COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. La voix ou la totalité de nos fantasmes (1/4)
Je rentre chez moi après avoir fini mon travail.
Je suis avocate et je bosse quelquefois tard.
C’est le cas ce soir quand allant descendre dans une bouche de métro, ce que je crains, car les couloirs sont quelquefois vides, mon portable sonne.

Lorsque je sors de mon travail de temps en temps Loïc m’appelle pour me demander si tout va bien.
J’ai toujours mes écouteurs, ce qui me permet d’entendre des messages et soit de répondre pouvant parler, soit répondre par SMS.
C’est le cas ce soir.
Un message anonyme avec surtout une photo.
Qui peut m’envoyer cette horreur.
Noah, le black qui me prend en levrette la seule fois après mon mariage où j’ai trompé Loïc !
On voit très bien que c’est moi, même en jurant mes grands deux, je serais dans l’obligation de dire que c’est bien moi.
C’était lors de notre voyage de noces, il y a trois ans.
Nous étions dans un hôtel à la Réunion, Loïc était parti pour une plongée sous-marine et j’étais resté à la piscine ayant peur des requins.
J’avais eu le malheur de regarder un reportage sur l’île quelques jours avant me montrant des personnes déchiquetées.
Ce beau noir était venu avec deux cocktails alors que je bronzais nonchalamment sur un transat.

• J’ai pensé que ça vous ferait du bien avec cette chaleur.
Excuse mon audace, mais j’ai horreur de voir de jolie vacancière abandonnée.

Abandonné ce fut cour, car l’alcool aidant, Noah, m’a aidé à me mettre à l’ombre en me guidant vers notre chambre.
Sa main sur mon sein m’électrisait et c’est naturellement que je l’ai laissé entrer et me conduire vers notre lit.
Notre lit, car en plus de sa verge noire qui est en moi, la photo montre mon visage mais aussi le tee-shirt posé sur l’oreillé de Loïc avec ces trois mots.

« Fuck your mother. »

J’avais en horreur ce tee-shirt, mais comme j’aimais celui qui le portait la nuit, jusqu’à ce que malencontreusement notre bonne le crame sous son fer à repasser.
Un billet de 50 € a fait l’affaire pour me disculper de sa disparition.
Ce tee-shirt, je le trouvais insultant pour ma belle-mère, malgré que notre entente soit quelquefois distendue.

• Tu te souviens de cette photo, je sais tu l’avais enfoui au fond de ton portable sachant les risques que tu prenais.
Comme de nombreuses femmes ayant goûté à l’adultère surtout pendant sa lune de miel, tu as voulu garder ce moment intense de ta vie.
Maintenant, regarde ce numéro que je compose.

Sur mon écran, apparaît le numéro 06 06 .. .. .. de Loïc mon mari.
Ça sonne.

• Oui, Véronique !

Je vais pour hurler, mais ça coupe, c’était bien la voix de Loïc que j’ai eu dans mes écouteurs.

• Tu as compris, à partir de maintenant tu suivras tous mes ordres sans te poser la moindre question.
Tu vas t’apercevoir qu’à tout moment je contrôle ta situation et même la situation.
Descend !

Je m’exécute, je suis piégée.
Qui a trouvé cette photo pour me faire chanter.
J’aime tellement Loïc et aussi mon travail que je perdrais, car nous avons créé notre cabinet d’avocats avec mon mari.
Vu l’influence qu’il a sur la place de Paris, quel cabinet acceptera de me faire travailler si nous nous séparons suite à mon infamie.
Je suis les ordres, je descends dans le trou noir.

• Arrête !

L’ordre est tombé sec, je me fige.

• Arrache ton string, tu sais le rose que tu as mis ce matin.

Impossible que cette voix sache que j’avais mis le rose, changeant au dernier moment alors qu’au départ j’aie mis le bleu.
Ce doit être Loïc qui me fait une blague.
C’est loin de me rassurer, il aurait tout découvert en fouillant ce maudit portable que je garde dans ma main.

• Allez, j’attends, tu te souviens du numéro comme moi.

Personne au bas des escaliers.
Je passe ma main sous ma jupe et j’arrache mon bout de tissu.
Dans ma main, je sens qu’il est trempé, inconsciemment la situation me fait mouiller.

• C’est bien, tu as tout compris, tu as senti comme la situation t’exit.
À partir de maintenant, fini les petites culottes même devant les juges en audience.
Garde là dans ta main, elle va te servir.

Je continue mon chemin dans le couloir quand face à moi arrivent trois jeunes.
Que va-t-il m’arriver, j’ai un moment de peur, est-ce parce que je me sens à la merci de ce qu’ils pourraient me faire surtout avec ma chatte blonde dénudée ?
Ouf, ils me croisent sans aucune marque d’irrespect, ce sont des jeunes bien.
Je tourne à droite, les quais sont à cinquante mètres devant moi.
Personne, sauf la voix qui me parle de nouveau.

• Soulève ta jupe et parcours cette distance en montrant ton cul et ta chatte.
Tu vas voir, t’exhiber vas te procurer un immense plaisir, aussi intense que celui que tu as eu en baisant avec Noah.

Je suis sûr que Loïc est derrière tout ça et que je vais me réveiller de ce rêve impossible.

• Allez, j’attends !

Cette voix, plus je l’entends et plus j’ignore si je l’ai déjà entendu.
Je soulève ma jupe et j’accélère malgré mes talons hauts, pressée d’être à l’autre bout, le couloir étant vide.

• Cool prend ton temps, rien à craindre, je t’ai dit que je maitrisais tout.

De plus en plus piégée, la situation m’échappant moi qui aime que ma vie soit toujours bien rangée depuis que nous sommes rentrés de la Réunion et de mon seul adultère.
Je suis à la limite de défaillir, mais j’arrive à dix mètres du prochain virage.

• C’est bien remet là en place, je suis sûr que dans le futur dès que tu le pourras, tu recommenceras sans mon injonction.
Je vais te faire découvrir la salope que tu aies.

Je suis contente de m’exécuter, que vais-je trouver au virage menant aux escaliers et aux quais.
J’entends un métro qui arrive.
C’est sûr, Loïc a un comparse et doit trouver nos jeux érotiques de plus en plus classiques, voire simplistes, pour éviter de dire à la va-vite.
Le stresse du travail et de la vie qui nous fil entre les doigts.
À deux ou trois mètres du coin, un homme apparaît.

• Balance, ton string à ses pieds, vite.

Par instinct, je le fais, regardant rapidement sa réaction.
D’un geste souple, il la ramasse et la porte à son nez.

• Non, lui il est beau, mais j’ai décidé d’autres jeux érotiques pour toi.
Descend prendre ton métro.

Cette voix de basse a tendance à m’envouter.
Je deviens accro et j’attends les ordres suivants.
Comme si on avait lâché les chiens, un groupe de personnes descendu de la rame en même temps que l’homme qui commence à me suivre, puis repart, monte et pars à droite et à gauche.
J’arrive sur le quai en regardant derrière moi, l’homme a repris le cours de sa vie, avec en plus l’odeur de ma chatte ruisselante.
Ce jeu pervers bien maitrisé par celui qui me le fait jouer commence à m’étonner, surtout quand je reçois une photo.

• Regarde comme cette jolie blonde est belle se déplaçant dans ce couloir de métro sa chatte blonde bien visible.

Je suis à deux doigts de tourner de l’œil au risque de tomber sur la voie, surtout qu’un métro sort du tunnel.
La photo me montre de face alors qu’à aucun moment, il y a eu quelqu’un en face de moi sauf l’homme à qui j’ai jeté mon string.
Une caméra de surveillance, je l’aurais vu sur le mur face à moi, elle m’aurait attiré l’œil surtout mon vagin dénudé.
Surtout quand la photo change et que c’est mon cul que je vois me montant que j’ai bien vu, aucune caméra face à moi.
Un détail me plait, aucune trace de cellulite, les joggings du dimanche matin avec Loïc, me sont efficaces.
La rame arrive.
Les portes s’ouvrent, je monte, je suis la seule.
Dans le wagon, sur un strapontin, un vieux à la barbe blanche est assis comme dans ses pensées, certainement un vieux travailleur sortant du boulot et pressé de retrouver son lit.
Même là, sous terre, les ordres arrivent.
J’allais aller me m’assoir derrière lui.

• Non, la banquette à droite, face à ce vieil homme.

Une nouvelle fois, je m’exécute, la rame redémarre.

• Écarte tes cuisses que ce monsieur ait la vision de ta chatte.
Tu as plus d’un kilomètre, le temps que vous traversiez la Seine pour savourer ce moment d’exception.

Un kilomètre, lentement j’écarte ma jambe gauche, ma jupe remontante.
Je suis à deux doigts de me caresser avec mes doigts.
Je frissonne...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle histoire vivement la suite

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