COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (1/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (1/5)
Cette nouvelle histoire est une saga comme tu les aimes Cyrille.
20 chapitres sont déjà écrits, je vais les publier 5 par 5, aujourd’hui du numéro 1 au 5.
Ils seront entrecoupés de textes en 1, 2 ou 3 chapitres afin de pouvoir continuer à les écrire, bonne lecture, j’espère que l’histoire de Christian trouvera son public.
Vacances de rêve, ce sont mes vacances de cette année en août qui va devenir déterminant pour le reste de ma vie.
Mais commençons par le début.
Dix-sept ans, bientôt dix-huit en septembre, je viens d’avoir mon bac avec mention très bien.
Au début de cette année, je suis devenu pote avec Gabriel, lui aussi dix-sept ans et ses dix-huit pendant les vacances le 15 août et étant avec moi dans notre classe de terminale.
Nous rigolons de cette date, il plaisante toujours que s’il avait été fille, il s’appèlerait Marie.
Je suis fils unique et je sais que pour réussir, il faut travailler dur, papa est dessinateur industriel chez Renaud et le sera toute sa vie à dessiner des pièces de voiture neuve.
Métier honorable, mais obligeant maman à faire la caissière au supermarché du coin surtout pour me payer mes études supérieures.
Bref petite famille bourgeoise sans grand moyen, mais heureuse de ce qu’elle possède, gagner à la sueur de son front.
Notre distraction principale à tous les trois, des places réservées pour le parc des princes, nous sommes des supporters du virage Auteuil.
Des matchs de foot, ça coute surtout à trois, mais c’est notre principale distraction, hurler « allez, Paris, » ça défoule surtout maman qui crie la plus forte son amour pour notre club.
Je vois déjà certains supporter de l’OM qui arrête de lire ce texte de Chris71, par haine du club où nous sommes tous ennemis les uns des autres.
Restez là, mon histoire va se dérouler aussi sur la Côte d’Azur, non loin de votre club, « les Marseillais, ce sont tous des »...
Pardon, je me suis laissé emporter par la fougue des jours de ce match unique chaque saison ou notre tribune est chaude bouillante à la venue de vos héros.
Je dis unique, pas tout à fait, coupe de la ligue qui a disparu ou coupe de France ou certaines années nous tombons contre eux chez nous au tirage.
Je dis chez nous, car pour ces matchs le déplacement des supporters est interdit.
Une ou deux fois par an, maman ayant économisé, nous faisons un déplacement en car avec les Ultras, c’est ainsi que j’ai pu aller à Lille, Lens cette année.
Nous, on est fou de notre club, eux, les Lensois, ils sont de vraies maboules lorsqu’ils chantent leurs « corons » à la mi-temps de leurs matchs.
• Bonjour madame, je venais vous voir pour vous demander si au mois d’août, nous pouvons emmener Christian en vacances à Cannes ou nous avons une petite résidence !
Il nous serait utile en nous rendant deux services !
Continué à être l’ami de Gabriel, le fils de mon mari garçon très secret et qui se lie rarement d’amitié et surtout donner des cours de maths à sa sœur.
Valentine risque de louper son bac si elle reste au niveau qui est le sien, à ce jour en math.
Christian a dit à celui que je considère comme mon propre fils que vous restiez chaque année à Paris afin d’économiser pour la saison de foot du PSG.
Nous sommes nous-mêmes, du moins mon mari, supporter de ce club ou nous avons une loge pour recevoir, les personnes dont nous avons besoin dans le cadre de notre entreprise.
Il aura sa propre chambre, contiguë à celle de nos enfants ayant eux-mêmes la leur, notre villa en compte six, avec bien sûre salle à manger salon et cuisine.
Nous avons un couple d’employés qui loge sur place toute l’année, Charles s’occupe de l’entretien, jardin et piscine et du gardiennage l’hiver.
Georgette, sa femme, fait l’entretien de l’intérieur, le manger après les cours, lorsque nous sommes présents.
Je vois pâlir, maman, un instant j’ai peur d’entendre un « non » malgré que Nadia, grande femme blonde d’environ la trentaine, même si elle est élégante et très bien maquillée est très naturelle.
• Christian allait en colo par notre comité d’entreprise, mais depuis deux ans, il se trouve trop vieux pour suivre des moniteurs tous juste plus vieux que lui.
Vous nous enlèverez une épine du pied, mon mari a la possibilité que nous allions avec le comité d’entreprise de Renaud, une semaine en Andalousie.
C’est un lieu où je rêve d’aller, berceau de ma famille a plus ou moins trois ou quatre générations.
Voilà comment un vendredi soir, ils passent me chercher dans leur grosse voiture allemande direction le Sud.
Pierre le papa de Gabriel voulant profiter de la moindre minute de ses vacances et voulant éviter le flot des aoutiens rejoignant les plages et le soleil de la côte.
Je suis assis à côté de Valentine qui semble me faire la gueule, certainement contrariée d’être obligée de faire une heure à une heure et demie de math par jour dimanche compris.
On l’a bien compris Pierre et Nadia sa seconde femme gagne largement leur vie dans leur entreprise de composants électroniques, Pierre ayant des contrats avec Airbus France, Allemande, Anglais et Espagne.
Ils fournissent aussi la fusée Ariane de ces composants électroniques.
Bref au matin je découvre la côte et surtout celle que l’on appelle la grande bleue.
Pour mes vacances avec Renaud, maman m’inscrivait toujours pour des séjours en montagne où je crapaütais pendant un mois.
J’ai fini par avoir une aversion de cet air pur que j’étais censé respirer pour mon bien comparé à la pollution de l’air parisien.
Charles, la cinquantaine et sa femme semblablement le même âge nous ouvre les portes de ce paradis sur terre.
Ça vaut bien une à deux heures de mon temps à consacrer à cette petite peste fort jolie, il faut bien le reconnaitre, aussi brune que sa belle-mère est blonde.
Souvent pendant le voyage, elle s’est retournée et comme j’étais du bon côté, elle me regardait en me souriant, je parle de Nadia, Valentine dormant sur mon épaule.
Seul moment où elle était agréable, comme je l’ai dit le reste du temps, c’était une vraie petite vipère, hélas, bien jolie au demeurant.
Dans les phares de la voiture, je voyais son regard couleur de l’océan et elle était à la limite de me faire craquer, une nouvelle fois je parle de Nadia.
Georgette m’accompagne à ma chambre pure merveille pour moi qui dors dans la plus petite pièce de notre appartement sans fenêtre, car c’était un débarras.
Ici, je dois avoir quatre fois l’espace, je me mets nu et j’enfile mon maillot de bain que je trouve ridicule lorsque j’arrive près de la piscine.
• Georgette, notre fille arrive, vous avez l’habitude qu’elle arrive la dernière, servez-nous notre petit déjeuner qui va lancer notre mois de vacances.
Mais avant tous à l’eau.
C’est Pierre qui a fait ce petit discours.
Si je dis que je suis ridicule, c’est que mon maillot de bain est jaune à rayures verticales.
Comparé aux maillots de Pierre et Gabriel qui leur moule leur partie intime, on voit le ridicule.
Que dire du maillot de Nadia, orange fluo, une pièce, avec des bretelles lui cachant seulement la pointe de sa belle poitrine ?
Mais surtout l’entrejambe qui cache juste sa fente certainement parfaitement épilée sinon des poils disgracieux seraient visibles ?
Je plonge dans l’eau, je sens ma tige commençant à bander à la vue de cette merveille blonde.
Je sens que je vais passer des vacances de rêve même si je dois subir la petite peste de Valentine un peu plus d’une heure par jour.
Ma verge étant revenue en position basse, je sors de l’eau pour rejoindre la table dressée au bord de la piscine où nous attende croissant chaux, café et thé.
C’est la première fois que je vois une table si bien garnie.
À la maison nous avions un budget serré, mais assez pour être en bonne santé, ici, c’est l’opulence.
Je suis assis, un croissant en bouche lorsque Valentine arrive, la petite fille sage, même chiante dans la voiture, semblant sorti de sa chrysalide, devenant un joli papillon.
Ce doit être sa tenue topless quel abord fièrement, à croire qu’elle veut rivaliser avec sa belle-mère.
Sous ses vêtements, ses seins sont presque inexistants, là dans la lumière du Soleil, ils se dressent fièrement comme la jeune fille de seize ans qu’elle est.
Resauté à l’eau, alors que je mange, serait suspect, je prends mon temps surtout que Valentine vient s’assoir à la place libre près de moi et que rapidement sa jambe vient se coller à la mienne.
Et c’est reparti, ma queue se dresse, si je fais cela chaque fois que je les ai dans mon champ de vision, lors de la nuit prochaine, je risque de recommencer à faire des cartes postales dans mon lit.
• Nadia, j’ai vu Christian de ma chambre lorsqu’il est venu vers vous avec son boxer à rayures jaunes.
Peux-tu l’emmener en ville, lui offrir des vêtements plus conformes à notre standing, je me vois mal aller en boîte avec lui dans ses vêtements pouilleux.
Papa, si je te dis ça, c’est pour te rappeler ta promesse de me laisser aller avec Gabriel m’amuser les samedis soir.
• Je t’ai fait cette promesse, si tu faisais un effort dans tes études.
Force est de constater que si nous sommes heureux d’avoir Christian avec nous.
Si en plus de son amitié avec ton frère, il est parmi nous, c’est pour tes manques en math, aux antipodes de nos espérances dans ce secteur de tes études.
Je vois là l’ouverture pour m’attirer les bonnes grâces de Valentine, même si je sais du moins, je le pense que ce sera dur.
• Monsieur Pierre, loin de moi l’idée de vous influencer dans la façon d’élever votre fille, j’étais moi-même un cancre, il y a encore deux ans.
Un prof m’ayant à la bonne et voyant mon potentiel est venu rencontrer mon père et en deux ans, je viens d’avoir mon bac avec mention très bien, m’ouvrant les portes des meilleures écoles de Paris.
Laissez une chance à votre fille, nous allons aller lui donner son premier cours, je vous dirais si ce retard est irrécupérable et là vous sévirez, sinon laisser moi faire !
Je sens la jambe de Valentine se coller plus profondément en moi, je me lève et je me dirige vers la maison.
• Valentine, tu viens, nous allons regarder si tu mérites de sortir ce soir.
• Christian ayez terminé avec Valentine au plus tard à onze heures, nous descendrons en ville pour acheter de quoi faire plaisir à ma belle-fille sur vos tenus.
Charles, nous déjeunerons en ville avec Christian, c’est vrai qu’il y a du travail, je vais prévenir Georgette de notre absence au repas de midi.
• La voiture sera prête, madame Nadia.
J’arrive dans la chambre de Valentine, nous fermons la porte, l’espiègle jeune fille, viens se coller à moi et approche sa bouche de la mienne.
• Christian, merci, d’avoir intercédé auprès de papa !
Je vais te faire un aveu, je me suis juré de revenir de ces vacances sans ma virginité, à ce jour, c’est toi qui tiens la corde pour me l’enlever.
Avant que j’aie le temps de freiner ses ardeurs, sa bouche est sur la mienne, ses seins collés à mes tétons et sa langue tournant autour de la mienne.
• Tu es sûr que tu es vierge, tu embrasses déjà comme une femme ayant eu de nombreuses expériences !
• Que crois-tu que les jeunes filles font, lorsqu’elles sont seules entre elles ?
Nous nous embrassons pour ressentir ce que ce sera lorsque nous aurons trouvé le garçon qui mérite notre premier baiser.
Quand je parle de vacances de rêve, celle-ci commence plutôt bien, pour moi, à défaut de la belle-mère, je dois pouvoir ferrer cette petite pucelle, réalisant son souhait de rentrer à Paris, sa virginité enlevée...
20 chapitres sont déjà écrits, je vais les publier 5 par 5, aujourd’hui du numéro 1 au 5.
Ils seront entrecoupés de textes en 1, 2 ou 3 chapitres afin de pouvoir continuer à les écrire, bonne lecture, j’espère que l’histoire de Christian trouvera son public.
Vacances de rêve, ce sont mes vacances de cette année en août qui va devenir déterminant pour le reste de ma vie.
Mais commençons par le début.
Dix-sept ans, bientôt dix-huit en septembre, je viens d’avoir mon bac avec mention très bien.
Au début de cette année, je suis devenu pote avec Gabriel, lui aussi dix-sept ans et ses dix-huit pendant les vacances le 15 août et étant avec moi dans notre classe de terminale.
Nous rigolons de cette date, il plaisante toujours que s’il avait été fille, il s’appèlerait Marie.
Je suis fils unique et je sais que pour réussir, il faut travailler dur, papa est dessinateur industriel chez Renaud et le sera toute sa vie à dessiner des pièces de voiture neuve.
Métier honorable, mais obligeant maman à faire la caissière au supermarché du coin surtout pour me payer mes études supérieures.
Bref petite famille bourgeoise sans grand moyen, mais heureuse de ce qu’elle possède, gagner à la sueur de son front.
Notre distraction principale à tous les trois, des places réservées pour le parc des princes, nous sommes des supporters du virage Auteuil.
Des matchs de foot, ça coute surtout à trois, mais c’est notre principale distraction, hurler « allez, Paris, » ça défoule surtout maman qui crie la plus forte son amour pour notre club.
Je vois déjà certains supporter de l’OM qui arrête de lire ce texte de Chris71, par haine du club où nous sommes tous ennemis les uns des autres.
Restez là, mon histoire va se dérouler aussi sur la Côte d’Azur, non loin de votre club, « les Marseillais, ce sont tous des »...
Pardon, je me suis laissé emporter par la fougue des jours de ce match unique chaque saison ou notre tribune est chaude bouillante à la venue de vos héros.
Je dis unique, pas tout à fait, coupe de la ligue qui a disparu ou coupe de France ou certaines années nous tombons contre eux chez nous au tirage.
Je dis chez nous, car pour ces matchs le déplacement des supporters est interdit.
Une ou deux fois par an, maman ayant économisé, nous faisons un déplacement en car avec les Ultras, c’est ainsi que j’ai pu aller à Lille, Lens cette année.
Nous, on est fou de notre club, eux, les Lensois, ils sont de vraies maboules lorsqu’ils chantent leurs « corons » à la mi-temps de leurs matchs.
• Bonjour madame, je venais vous voir pour vous demander si au mois d’août, nous pouvons emmener Christian en vacances à Cannes ou nous avons une petite résidence !
Il nous serait utile en nous rendant deux services !
Continué à être l’ami de Gabriel, le fils de mon mari garçon très secret et qui se lie rarement d’amitié et surtout donner des cours de maths à sa sœur.
Valentine risque de louper son bac si elle reste au niveau qui est le sien, à ce jour en math.
Christian a dit à celui que je considère comme mon propre fils que vous restiez chaque année à Paris afin d’économiser pour la saison de foot du PSG.
Nous sommes nous-mêmes, du moins mon mari, supporter de ce club ou nous avons une loge pour recevoir, les personnes dont nous avons besoin dans le cadre de notre entreprise.
Il aura sa propre chambre, contiguë à celle de nos enfants ayant eux-mêmes la leur, notre villa en compte six, avec bien sûre salle à manger salon et cuisine.
Nous avons un couple d’employés qui loge sur place toute l’année, Charles s’occupe de l’entretien, jardin et piscine et du gardiennage l’hiver.
Georgette, sa femme, fait l’entretien de l’intérieur, le manger après les cours, lorsque nous sommes présents.
Je vois pâlir, maman, un instant j’ai peur d’entendre un « non » malgré que Nadia, grande femme blonde d’environ la trentaine, même si elle est élégante et très bien maquillée est très naturelle.
• Christian allait en colo par notre comité d’entreprise, mais depuis deux ans, il se trouve trop vieux pour suivre des moniteurs tous juste plus vieux que lui.
Vous nous enlèverez une épine du pied, mon mari a la possibilité que nous allions avec le comité d’entreprise de Renaud, une semaine en Andalousie.
C’est un lieu où je rêve d’aller, berceau de ma famille a plus ou moins trois ou quatre générations.
Voilà comment un vendredi soir, ils passent me chercher dans leur grosse voiture allemande direction le Sud.
Pierre le papa de Gabriel voulant profiter de la moindre minute de ses vacances et voulant éviter le flot des aoutiens rejoignant les plages et le soleil de la côte.
Je suis assis à côté de Valentine qui semble me faire la gueule, certainement contrariée d’être obligée de faire une heure à une heure et demie de math par jour dimanche compris.
On l’a bien compris Pierre et Nadia sa seconde femme gagne largement leur vie dans leur entreprise de composants électroniques, Pierre ayant des contrats avec Airbus France, Allemande, Anglais et Espagne.
Ils fournissent aussi la fusée Ariane de ces composants électroniques.
Bref au matin je découvre la côte et surtout celle que l’on appelle la grande bleue.
Pour mes vacances avec Renaud, maman m’inscrivait toujours pour des séjours en montagne où je crapaütais pendant un mois.
J’ai fini par avoir une aversion de cet air pur que j’étais censé respirer pour mon bien comparé à la pollution de l’air parisien.
Charles, la cinquantaine et sa femme semblablement le même âge nous ouvre les portes de ce paradis sur terre.
Ça vaut bien une à deux heures de mon temps à consacrer à cette petite peste fort jolie, il faut bien le reconnaitre, aussi brune que sa belle-mère est blonde.
Souvent pendant le voyage, elle s’est retournée et comme j’étais du bon côté, elle me regardait en me souriant, je parle de Nadia, Valentine dormant sur mon épaule.
Seul moment où elle était agréable, comme je l’ai dit le reste du temps, c’était une vraie petite vipère, hélas, bien jolie au demeurant.
Dans les phares de la voiture, je voyais son regard couleur de l’océan et elle était à la limite de me faire craquer, une nouvelle fois je parle de Nadia.
Georgette m’accompagne à ma chambre pure merveille pour moi qui dors dans la plus petite pièce de notre appartement sans fenêtre, car c’était un débarras.
Ici, je dois avoir quatre fois l’espace, je me mets nu et j’enfile mon maillot de bain que je trouve ridicule lorsque j’arrive près de la piscine.
• Georgette, notre fille arrive, vous avez l’habitude qu’elle arrive la dernière, servez-nous notre petit déjeuner qui va lancer notre mois de vacances.
Mais avant tous à l’eau.
C’est Pierre qui a fait ce petit discours.
Si je dis que je suis ridicule, c’est que mon maillot de bain est jaune à rayures verticales.
Comparé aux maillots de Pierre et Gabriel qui leur moule leur partie intime, on voit le ridicule.
Que dire du maillot de Nadia, orange fluo, une pièce, avec des bretelles lui cachant seulement la pointe de sa belle poitrine ?
Mais surtout l’entrejambe qui cache juste sa fente certainement parfaitement épilée sinon des poils disgracieux seraient visibles ?
Je plonge dans l’eau, je sens ma tige commençant à bander à la vue de cette merveille blonde.
Je sens que je vais passer des vacances de rêve même si je dois subir la petite peste de Valentine un peu plus d’une heure par jour.
Ma verge étant revenue en position basse, je sors de l’eau pour rejoindre la table dressée au bord de la piscine où nous attende croissant chaux, café et thé.
C’est la première fois que je vois une table si bien garnie.
À la maison nous avions un budget serré, mais assez pour être en bonne santé, ici, c’est l’opulence.
Je suis assis, un croissant en bouche lorsque Valentine arrive, la petite fille sage, même chiante dans la voiture, semblant sorti de sa chrysalide, devenant un joli papillon.
Ce doit être sa tenue topless quel abord fièrement, à croire qu’elle veut rivaliser avec sa belle-mère.
Sous ses vêtements, ses seins sont presque inexistants, là dans la lumière du Soleil, ils se dressent fièrement comme la jeune fille de seize ans qu’elle est.
Resauté à l’eau, alors que je mange, serait suspect, je prends mon temps surtout que Valentine vient s’assoir à la place libre près de moi et que rapidement sa jambe vient se coller à la mienne.
Et c’est reparti, ma queue se dresse, si je fais cela chaque fois que je les ai dans mon champ de vision, lors de la nuit prochaine, je risque de recommencer à faire des cartes postales dans mon lit.
• Nadia, j’ai vu Christian de ma chambre lorsqu’il est venu vers vous avec son boxer à rayures jaunes.
Peux-tu l’emmener en ville, lui offrir des vêtements plus conformes à notre standing, je me vois mal aller en boîte avec lui dans ses vêtements pouilleux.
Papa, si je te dis ça, c’est pour te rappeler ta promesse de me laisser aller avec Gabriel m’amuser les samedis soir.
• Je t’ai fait cette promesse, si tu faisais un effort dans tes études.
Force est de constater que si nous sommes heureux d’avoir Christian avec nous.
Si en plus de son amitié avec ton frère, il est parmi nous, c’est pour tes manques en math, aux antipodes de nos espérances dans ce secteur de tes études.
Je vois là l’ouverture pour m’attirer les bonnes grâces de Valentine, même si je sais du moins, je le pense que ce sera dur.
• Monsieur Pierre, loin de moi l’idée de vous influencer dans la façon d’élever votre fille, j’étais moi-même un cancre, il y a encore deux ans.
Un prof m’ayant à la bonne et voyant mon potentiel est venu rencontrer mon père et en deux ans, je viens d’avoir mon bac avec mention très bien, m’ouvrant les portes des meilleures écoles de Paris.
Laissez une chance à votre fille, nous allons aller lui donner son premier cours, je vous dirais si ce retard est irrécupérable et là vous sévirez, sinon laisser moi faire !
Je sens la jambe de Valentine se coller plus profondément en moi, je me lève et je me dirige vers la maison.
• Valentine, tu viens, nous allons regarder si tu mérites de sortir ce soir.
• Christian ayez terminé avec Valentine au plus tard à onze heures, nous descendrons en ville pour acheter de quoi faire plaisir à ma belle-fille sur vos tenus.
Charles, nous déjeunerons en ville avec Christian, c’est vrai qu’il y a du travail, je vais prévenir Georgette de notre absence au repas de midi.
• La voiture sera prête, madame Nadia.
J’arrive dans la chambre de Valentine, nous fermons la porte, l’espiègle jeune fille, viens se coller à moi et approche sa bouche de la mienne.
• Christian, merci, d’avoir intercédé auprès de papa !
Je vais te faire un aveu, je me suis juré de revenir de ces vacances sans ma virginité, à ce jour, c’est toi qui tiens la corde pour me l’enlever.
Avant que j’aie le temps de freiner ses ardeurs, sa bouche est sur la mienne, ses seins collés à mes tétons et sa langue tournant autour de la mienne.
• Tu es sûr que tu es vierge, tu embrasses déjà comme une femme ayant eu de nombreuses expériences !
• Que crois-tu que les jeunes filles font, lorsqu’elles sont seules entre elles ?
Nous nous embrassons pour ressentir ce que ce sera lorsque nous aurons trouvé le garçon qui mérite notre premier baiser.
Quand je parle de vacances de rêve, celle-ci commence plutôt bien, pour moi, à défaut de la belle-mère, je dois pouvoir ferrer cette petite pucelle, réalisant son souhait de rentrer à Paris, sa virginité enlevée...
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Oui c'est ça je fini d'écrire et je le publie
Hello Chris,
Je me réjouis de lire toutes tes histoires..
Tu veux parler de Cicciolina, l'ancienne députée italienne et ancienne star du X?
Je la connais et déjà vu des films avec elle...
Je n'ai pas Netflix, on paye déjà bien assez cher la redevance tv..
Cyrille
Je me réjouis de lire toutes tes histoires..
Tu veux parler de Cicciolina, l'ancienne députée italienne et ancienne star du X?
Je la connais et déjà vu des films avec elle...
Je n'ai pas Netflix, on paye déjà bien assez cher la redevance tv..
Cyrille
Amuse toi Cyrille, je viens de finir le chapitre 28 et le 29 est commencé mais avant une petite histoire courte que j'ai entamé cette nuit et que je continu ce matin, certainement publier fin avril début maiTu vois j'ai de l'avance pour trouver le temps d'écrite...
Surtout que sur Netflix je viens de regarder la vie de Rocco...
Connais tu la Chichonila, le marin l'a baisé dans sa jeunesse...
Surtout que sur Netflix je viens de regarder la vie de Rocco...
Connais tu la Chichonila, le marin l'a baisé dans sa jeunesse...
Merci Chris pour m'adresser ce texte, je me réjouis de te lire jusqu'au dernier point, tes textes...
Cyrille
Cyrille