COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (10/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (10/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (10/10)
Me faire sucer par la belle-mère de Gabriel et de Valentine, c’est ce qu’il semble plus qu’espéré, lorsque j’ai rencontré Nadia.
Plus et au-delà Nadia blonde un peu plus vieille que moi est mariée avec Pierre et m’avoue franchement qu’elle est naturiste et en plus échangiste comme l’étaient ses parents.
Depuis mon voyage suivi de mon installation dans leur villa pour le mois d’août afin de renforcer les connaissances en math de Valentine, je passe mon temps à cacher la bosse que mon sexe fait dans mes vêtements.
Aujourd’hui, plutôt ce matin, comme nous sommes seuls, Pierre avec ses enfants étant parti en promenade familiale en mer, je peux la laisser s’épanouir sous la langue experte de Nadia.
Qui aurait pu me dire que cette femme si bon chic bon genre a été une jeune iroquoise baisant dans des partouzes, ce qui lui donne son assurance et son aisance dans les pratiques du sexe.
Lauriane, plus âgée, plus près de Pierre que de moi, malgré elle aussi son bon chic bon genre sentait la salope à plein nez.
J’en ai bien profité dans les vestiaires et les toilettes du resto du club de golf.
Mais savoir que Pierre et elle s’adonnent à ce genre de pratique, ça me met en joie, car je vais pouvoir passer des vacances de rêves auprès d’eux.

• Christian, baise-moi, Pierre m’a fait l’amour hier au soir, mais plus je baise et plus j’ai envie de baiser.
Je sais que Valentine a le béguin pour toi, elle m’a fait ses confidences au salon de beauté où je l'ai emmené pour se faire épiler au laser.
Si sa mère est partie avec un beau black et qu’il soit à l’origine de la naissance de Valentine, ce devait être un homme de Cro-Magnon couvert de poils.
Et toi, as-tu du sentiment pour elle, je te parle de Valentine bien sûre ?
• Tu veux que je sois franc, je l’aime bien, mais j’ai peur de mettre vos vacances en péril si Pierre apprenait que j’ai des rapports avec sa fille.

Tout en se relevant se plaçant sans équivoque le tronc posé sur le plan de travail et écartant ses cuisses, m’appelant à la prendre ici dans la cuisine, elle continue à me parler de Valentine.
À mon tour, je me lève, je me penche en avant pour embrasser cette veine dans son cou qui me faisait tant envie il y a quelques minutes.
Elle frissonne malgré la chaleur de ce matin.
Pour la première fois, mon sexe touche ses fesses et cherche son chemin.
Chemin facilité par la mouille que mes doigts ont sentie lorsque je l’ai doigté.
Baisé Nadia, j’en rêvais et je le fais.

• Attends, je vais chercher des capotes, toujours mettre une capote lorsque l’on est des libertins.

Elle part vers la salle, sa démarche chaloupée et sa touffe blonde au retour me permettant de rester en pleine forme.
J’ai dit qu’elle était dans l’impossibilité de me faire entrer dans sa bouche, mais en experte qu’elle semble être, je suis couvert en une fraction de seconde.
Je peux enfin la pénétrer.
Faire jouir Nadia, elle est tellement sensible du clito que je caresse en la pénétrant, qu’elle part au quart de tour, comme la jeune mécanique que son sexe m’offre.
Ses seins, une chose que mes précédentes aventures féminines m’ont appris à les prendre en compte.
Une main sur son sein gauche, le tirant à l’arracher et son clito que mon doigt titille sans compter ma verge entrante et sortante à diverses vitesses.
Elle devient ma chienne et je suis son clébard lui offrant une saillie.

• Oui, oui, encore, encore, encore, encorrrre !

Plus elle me dit encore, plus ma verge entre en elle, je voulais en faire ma chienne.
C’est une furie, une vraie bacchanale que j’ai au bout de ma queue la faisant hurler de plaisir, surtout que nous sommes seules dans la villa.
Son plaisir pris, je dirais son plaisir plus que pris, c’est la première fois qu’une femme est une telle furie sous ma queue, comme dirait d’Artagnan à la fin de l’envoi, je touche remplissant ma capote.
Essoufflés plus que si nous avions fait un mille mètres ou dix longueurs de bassin dans la piscine, nous reprenons notre souffle et je peux enfin déguster plus que de raison ces bons pancakes qui ont beaucoup refroidi.
Mais qu’importe, elle comme moi, nous avons faim après avoir fait l’amour de manière si intense.
C’est Nadia qui me met ma pâte à tartiner bourré d’huile de palme, elle doit être satisfaite du moment que nous avons passé, car j’ai droit à double épaisseur de cette pâte sorti du pot de Nutella.
Mince, sous l’effet de la jouissance que je sens après avoir ôté la capote que Nadia met au fond de la poubelle, j’ai prononcé une marque « Nutella ».
Dois-je comme à la télé en cité trois, là si ma queue est encore mouillée de mon sperme, je sèche, c’est la seule que je connais, j’ai toujours mangé depuis ma naissance du « Nutella » ?
L’honneur est sauf, j’ai prononcé trois fois le nom de cette pâte à tartiner.

• Christian, as-tu le temps de m’aider à préparer le repas de ce midi, nous avons une invitée, tu l'as déjà vu et elle aimerait faire plus connaissance avec toi !
• Je vais me doucher et je suis tout à toi, veux-tu venir avec moi.
• File vil suborneur de femme mariée, maintenant je te connais comme je me connais, tu vas vouloir remettre le couvert sous la douche et nous serons dans l’obligation d’emmener notre invité au restaurant.

Je file sous la douche, qui peut être cette mystérieuse femme que j’aurais déjà rencontrée et qui veut me connaitre ?
Valentine, elle est en mer et je crois qu’elle commence à bien me connaitre.
Lauriane, c’est possible, ils sont tous amis et au restaurant, elle a parlé de la partouze du soir.
Reste Annie, la femme de la boutique de fringues, lorsque j’ai vu son regard envers-moi lorsqu’elle nous a reconduite vers la porte, peut être !
Nous verrons bien, je monte, je descends, que je suis con d’être monté à l’étage même si j’ai pris une douche froide.
Nadia est dans la piscine devant la maison et fait des longueurs avant de sortir.
Comme la jeune femme d’une pub, pour Dior je crois, avant de prendre une serviette, dans un meuble où j’ai vu qu’ils rangeaient des draps de bain et de s’entourant dedans me cachant sa nudité.
Je parlais de tantale, me cacher ce corps que je venais de faire jouir était pour moi un vrai supplice de Tantale bien sûr, je suis l’arroseur arrosé.

• Nadia, je suis sur des charbons ardents, dis-moi qui souhaite me voir, vous vous êtes téléphoné, nous avons été presque tout le temps ensemble !
• Sauf lorsque je suis allée faire épiler Valentine au laser, et...

Elle s’interrompt, laissant planer le doute de qui va venir diner, comme le dit Claude François dans une de ses chansons.
Je me plaque à elle et j’arrive à lui tirer un baiser, mais du bout des lèvres, malgré son drap la recouvrant, elle doit bien sentir ma queue reprendre du volume.

• Arrête, dit moi plutôt si tu sais préparer des concombres !
• Ça dépend de la taille et ou veux-tu que je te les enfile ?
Je vois que tu restes stoïque, manquerais-tu un peu d’humour, comment veux-tu que je les coupes, petites ou larges tranches ?
Assaisonner avec du vinaigre balsamique, s’il y en a dans cette cuisine.
Bien sûr de l’huile d’olive ça rehausse le goût un peu fade du concombre.
Oh ! pardon, t'as une tête et un corps à vouloir les manger crue ça vous évite de grossir.

Je vais dans le réfrigérateur avant que Nadia réponde, je choisis un couteau dans les tiroirs et je prends la planche sur le côté du plan de travail.
Tac, tac, tac, autant de fois que mes doigts se déplacent le long de ce cucurbitacé.
Je prends le deuxième, tac, tac, tac et tac, le deuxième est tranché.

• Je fais le troisième, il y en a cinq, je pense que pour trois, ce serait un peu trop.
• Bravo, tu as fait des études de cuisines, j’ai rarement vu couper des concombres à tranche aussi parfaite en si peu de temps.
• Eh ! ça sans un doigt coupé, tu veux essayer.
• Alors école de restauration lorsque tu étais jeune !

J’ai vu des tomates dans le réfrigérateur, je vais en chercher trois.
Tac, tac, tac et d’une, tac, tac, tac et de deux, tac, tac, tac et de trois.

• Tu veux savoir, c’est mon père qui est passionné de cuisine et qui m’a appris à couper les légumes en fines tranches.
Il m’en faisait couper tous les dimanches, à part une fois où je me suis retrouvé aux urgences, j’ai appris ce que tu viens de voir.
Bon, le plat est près, cinq minutes pour le dresser, si tu venais faire un tour dans mes bras.

Je me colle à elle, mes doigts sont intacts, mais ils ont du jus de tomate, je m’amuse à lui en badigeonner les seins après avoir fait sauter la serviette.
Elle m’échappe, franchi par la porte fenêtre, cours jusqu’à la piscine et plonge pour de nouveau se nettoyer.
J’ai sauté une œuvre d’art, je veux lui montrer que malgré mon jeune âge je suis le roi de cette villa en l’absence du maître de maison.
Vingt-cinq mètres environ, je suis derrière elle au moment où elle atteint l’autre côté du bassin.
Je vais pour l’attraper, telle une championne de natation, elle plonge vers le fond se retourne, frappe avec ses pieds et je la sens me frôler repartant de l’autre côté.
Avez-vous déjà joué au chat et à la souris, même dans l’eau ?
Certes, le chat a horreur de l’eau, mais il gagne toujours à la fin.
C’est aussi le cas la troisième fois, lorsqu’elle passe, je plonge ma main, elle se cabre, mais je tiens fermement son sein seule prise que j’ai trouvée.
Elle bis la tasse, je la sors de l’eau et je la plaque contre moi.
Elle me saute au cou et s’empale sur ma verge assez tendue malgré la course folle que nous venons d’engager.
C’est elle qui rythme notre coït, excusez mesdames les dames patronnesses comme mon amie La Chippie !
Lorsque je la fais jouir et que j’éjacule dans l’eau de la piscine pensant à éviter d’être le père d’un enfant comme Valentine semble l’être pour Pierre, même si je suis de peau blanche.
Les MST, c’est parti si vite, lorsqu’elle a filé vers l’eau de la piscine, qu’on verra cela plus tard.

• Tu es fou, mais j’aime ta folie, vient trancher le saumon, notre invité en raffole.
Du sauvage, un peu comme toi et va mettre un slip de bain, tu auras bien le temps de l’enlever avant la fin de l’après-midi.

Une indication en passant, c’est bien une personne que je connais et qu’il y a une chance que je la baise avant la fin de cette journée.
Mais qui est cet inconnu que je semble avoir déjà vu au dire de Nadia ?
Nous allons bientôt le savoir, car le repas préparé, je file me doucher.
Je sens le chlore et je mets mon caleçon bleu, celui qui me moule le mieux le sexe qui après mes exploits du matin, pour une fois, reste calme.
On sonne à la porte de l’entrée de la villa.
Mais qui peut venir déjeuner ce midi ?...

Mon ami Cyrille, une nouvelle fois tu devras attendre deux jours pour avoir la suite.
Je sais que c’est un supplice pour toi...

Nos amis reviennent dans peu de jour...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
J'aime beaucoup cette série vivement la suite

Histoire Erotique
Merci pour ton côté sadique...
J'apprécie de te faire rire


Cyrille

Je vais t'avouer quelque chose Cyrille, moi je le sais mais toi tu devra attendre un ou deux petits textes sympa pour le savoir
Supplice pour toi, grand éclat de rire pour moi...

Histoire Erotique
Ahhhhhhh
Je suis fou...
Je suis comme Christian à chercher qui est cette prochaine proie

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (10/10)
Histoire sexe : Une rose rouge
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