COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (4/5)
Le grand luxe, je découvre le grand luxe.
Une voiture, gros modèle, pour descendre de Paris jusqu’à la côte.
Une villa près de Cannes avec une magnifique piscine et une chambre aussi grande que la totalité de la surface de l’appartement de mes parents.
Un voilier de 12 mètres, à l’œil, j’étais incapable de le dire, mais c’est Pierre qui me le faisant visiter, me le dit.
Nadia, dans sa robe très serrée est montée à bord aidé par son mari en enlevant ses talons hauts, ces pieds nus qu’elle s’assied à l’arrière pendant que je visite.
Cabine à l’avant pour un couple, je constate que le lit est défait et lorsque je vais pour sortir, je vois un coin toilettes.
Un lavabo dans lequel repose une capote qui semble avoir servi, il y a peu.
La cabine avec la possibilité de manger à six et sur l’arrière, deux autres cabines.
À droite, celle de Valentine et celle de gauche pour Gabriel.
Bien sûr, système de navigation avec pilotage automatique bref, un modèle de chez Benetton, pardon Bénéteau flambant neuf.
Lorsque je rejoins Nadia, je me garde bien de lui parler de la capote, inutile de mettre la zizanie dans le couple et risquer un écourtement de nos vacances.
Nous retrouvons Nadia à la sortie de la cabine, assise sur l’une des banquettes où il est même possible de déjeuner en mer.
• Christian, as-tu le mal de mer ?
• Je l’ignore, c’est la première fois que je monte à bord d’un tel voilier, d’un voilier tout cours, d’ailleurs.
• On verra ça demain, le voilier est près, j’ai fait faire le plein de carburant pour le moteur lors de la sortie du port et si nous devons rentrer en cas de changement de météo.
Départ dix heures de la villa après un léger petit déjeuner.
Tu t’assureras que ma fille emmène bien tout ce dont tu auras besoin pour son heure de cours, j’ai dit que même le dimanche elle étudiera.
• Tu pourrais avoir un peu de souplesse, c’est Christian qui va se retrouver puni à cause de Valentine.
• Nadia arrête de lui trouver des excuses, arrête de saper mon autorité envers ma fille.
Pierre est dur avec Valentine, il mériterait que je dise à Nadia, que malgré son jeune âge et sa beauté ce début de vieux barbeau, la trompe avec Éloise, trois fois moins jolie qu’elle.
Je parle de la beauté de Nadia, j’en ai pour preuve lorsque nous sommes de retour à la villa.
Gabriel et Valentine dorment sur le lit près de la piscine à l’ombre, d’une tonnelle, car il fait encore chaud.
Je vais dans ma chambre défaire et ranger tous les paquets qui ont été livrés.
Je passe mon maillot de bain moulant mes couilles et je vais pour redescendre, vers mes amis.
La porte de la chambre de Pierre et Nadia est ouverte, Pierre nu comme un ver, sort de la salle de bains, une serviette lui essuyant les cheveux.
• Christian vient, je vais te donner les dernières consignes pour ce soir !
J’entre, Nadia est là aussi nue que son mari, mais assise devant sa table de maquillage, qu’elle est belle et semble naturellement insouciante que sa vision alors qu’elle se maquille, recommence à me faire bander.
Heureusement, mon slip et si serré qu’il comprime mon érection.
Dans le vieux, ma bite aurait de nouveau fait toile de tente et il aurait fallu que je parte en courant, prétextant une envie présente.
Ordre reçu, je quitte la chambre non sans un petit sourire en coin, que je peux voir dans sa glace, car elle me tourne le dos.
Ce qui me fait bander, c’est son fessier, poser sur une chaise ajourée ma montrant le début de sa raie culière.
Je suis bientôt majeur, mais je suis aussi encore un vilain gamin.
J’arrive près de mes amis en courant et comme l’on dit, je fais la bombe pour les arroser d’un peu d’eau.
C’est une véritable vague que je projette sur le lit de piscine réveillant les deux d’un coup légèrement froid.
• Pauvre con, espèce de taré.
Ces mots que Valentine prononce, je les entant en sortant ma tête de l’eau, fraiche à souhait malgré qu’elle doit avoisiner les trente degrés.
Elle court vers moi et saute, elle aussi, manquant d’atterrir sur ma figure.
J’ai la bouche ouverte pour reprendre de l’air après la bombe que j’ai faite.
La vague qu’elle déclenche, vient dans ma bouche, manquant de m’étouffer.
Je crache l’eau.
• Pauvre conne, espèce de tarée.
C’est en toussant que je prononce ces mots, Valentine me saute dessus, me faisant repartir vers le fond.
Elle s’appuie si fort sur moi qu’un instant lorsque je rebois la tasse, j’ai l’impression de me noyer.
Je retrouve avec mes pieds, le fond de la piscine, ça a dû arriver à beaucoup de personnes, j’avais pied sans le savoir.
Je recrache l’eau avalée, le chlore dans la bouche, on peut reconnaitre que c’est loin des plats que j’ai mangés à midi.
Valentine, me ressaute dessus, je repars en arrière et comme je reprenais de l’air après la tasse, j’en bois une nouvelle.
Sachant que j’ai pied, je me laisse couler, mais au dernier moment je lui attrape, je voulais le bras, mais c’est son petit sein que je chope.
Je gagne, à son tour elle boit la tasse et tombe dans mes bras.
Je l’aide à se relever et c’est l’un contre l’autre que nous reprenons notre souffle.
Nous remontons les marches, Georgette a dû leur amener des boissons citronnées, nous nous assayons à la table et c’est bien agréable d’ôter ce goût de chlore dans nos bouches.
Nous parlons de notre soirée et de la sortie en mer de demain.
Je vois Pierre venir vers nous sur la terrasse, habillé d’un magnifique smoking blanc.
Derrière lui, Nadia sort à son tour, une bombe, sa robe me fait bander un mort.
Je comprends un peu mieux le milieu dans lequel je suis venu, j’allais dire « tomber. »
• Salut, les jeunes on vous laisse et nous vous souhaitons une bonne soirée, surtout toi Valentine, je te fais confiance.
Tu veux être une grande fille, fais attention aux sollicitations dont tu pourrais être la victime.
Gabriel et Christian, j’ai été prévenu que des salopards mettent des produits dans les verres des jeunes filles leur faisant perdre le contrôle.
Je veux que l’un ou l’autre, restiez à les surveiller.
• Oui, papa on fera attention, allez-vous amuser de votre côté.
• On y va, Pierre, Christian est assez grand pour faire attention à tes enfants.
• Georgette vous servira à manger à 20 heures, évitez de la retarder, elle a droit à un peu de repos elle aussi.
Je vois partir le couple, mon dieu que le petit cul de Nadia me fait envie, mais je sais que même si Pierre la trompe, il m’est à jamais fermé.
Même si elle m’a mis la main au paquet dans la cabine d’essayage, les privautés semblent s’arrêter là.
Nous entendons la voiture démarrer, elle se lève d’un coup et vient s’asseoir sur mes genoux.
Est-ce de la timidité ou du je-m’en-foutisme, Gabriel regarde son Iphone semblant nous ignorer.
• Dis Christian, ce soir, c’est ma première sortie en boîte, j’espère que tu me laisseras un peu de libertés.
En plus de s’asseoir sur ma bite, qui comme d’habitude réagie, elle donne un petit mouvement à son bassin, c’est à l’oreille qu’elle me susurre.
• Tu bandes, si tu dis non à ma requête, je me lève, je te baisse ton slip de bain bien plus suggestif que celui que tu avais en arrivant et je te suce la queue.
Comme elle est placée et grâce à la muscu que je pratique, je la prends par la taille et je la balance à la flotte au risque de louper mon coup et qu’elle se fracasse son joli crâne sur le carrelage de la margelle.
Je file vers ma chambre, je vais prendre une douche froide, ça calme mes pulsions et ça me nettoie du chlore.
Sur mon bureau, une enveloppe, des mots sont écrits dans une écriture impeccable de première de casse.
« Christian, Pierre et moi, nous te laissons quelques billets, pour pallier toute situation que tu serais dans l’impossibilité de gérer.
Nous ignorons si tu as de quoi payer personnellement, passez une bonne soirée. Nadia. »
Dans l’enveloppe, mille euros, avant que je parte, maman m’a glissé deux billets de cent euros dans la main.
1 200 €, c’est la première fois qu’en plus de ma carte d’identité, j’ai autant d’argent directement dans ma poche.
• Venez, je vais vous faire entrer et vous faire installer dans le carré Vip, après je vous laisserais et je serais là à l’heure pour vous ramener.
Le DJ est déjà sur ces platines, j’ai déjà mixé dans des soirées entre copains, d’entrée je vois qu’il tient la route.
Dans le fond de la salle, endroit, ou il y a des poufs et une table basse, un vigile est devant le passage qui filtre ceux qui sortent et qui rentrent.
C’est là que Charles nous laisse et que je prends les rênes de notre soirée.
À peine Charles nous ayant quitté, Valentine dans une tenue, légèrement outrancière à mon goût, part sur la piste de danse.
Les bras en l’air tournant sur elle-même, son petit boléro pailleté se soulève montrant à tous son nombril et s’arrêtant à la limite de ses seins.
Heureusement, qu’ils sont petits et ronds, s’il était pendant, on en verrait une grande partie.
• Christian, elle est là !
• Qui ?
• Mais, Jennifer, regarde à droite de Valentine, reconnais qu’elle est bandante.
J’ai un instant de solitude, je regardais les petites fesses de sa sœur dans son petit short pailleté comme son boléro quand Gabriel m’interpelle.
La rousse au petit cul, oui, il a raison, elle aussi est bandante...
Une voiture, gros modèle, pour descendre de Paris jusqu’à la côte.
Une villa près de Cannes avec une magnifique piscine et une chambre aussi grande que la totalité de la surface de l’appartement de mes parents.
Un voilier de 12 mètres, à l’œil, j’étais incapable de le dire, mais c’est Pierre qui me le faisant visiter, me le dit.
Nadia, dans sa robe très serrée est montée à bord aidé par son mari en enlevant ses talons hauts, ces pieds nus qu’elle s’assied à l’arrière pendant que je visite.
Cabine à l’avant pour un couple, je constate que le lit est défait et lorsque je vais pour sortir, je vois un coin toilettes.
Un lavabo dans lequel repose une capote qui semble avoir servi, il y a peu.
La cabine avec la possibilité de manger à six et sur l’arrière, deux autres cabines.
À droite, celle de Valentine et celle de gauche pour Gabriel.
Bien sûr, système de navigation avec pilotage automatique bref, un modèle de chez Benetton, pardon Bénéteau flambant neuf.
Lorsque je rejoins Nadia, je me garde bien de lui parler de la capote, inutile de mettre la zizanie dans le couple et risquer un écourtement de nos vacances.
Nous retrouvons Nadia à la sortie de la cabine, assise sur l’une des banquettes où il est même possible de déjeuner en mer.
• Christian, as-tu le mal de mer ?
• Je l’ignore, c’est la première fois que je monte à bord d’un tel voilier, d’un voilier tout cours, d’ailleurs.
• On verra ça demain, le voilier est près, j’ai fait faire le plein de carburant pour le moteur lors de la sortie du port et si nous devons rentrer en cas de changement de météo.
Départ dix heures de la villa après un léger petit déjeuner.
Tu t’assureras que ma fille emmène bien tout ce dont tu auras besoin pour son heure de cours, j’ai dit que même le dimanche elle étudiera.
• Tu pourrais avoir un peu de souplesse, c’est Christian qui va se retrouver puni à cause de Valentine.
• Nadia arrête de lui trouver des excuses, arrête de saper mon autorité envers ma fille.
Pierre est dur avec Valentine, il mériterait que je dise à Nadia, que malgré son jeune âge et sa beauté ce début de vieux barbeau, la trompe avec Éloise, trois fois moins jolie qu’elle.
Je parle de la beauté de Nadia, j’en ai pour preuve lorsque nous sommes de retour à la villa.
Gabriel et Valentine dorment sur le lit près de la piscine à l’ombre, d’une tonnelle, car il fait encore chaud.
Je vais dans ma chambre défaire et ranger tous les paquets qui ont été livrés.
Je passe mon maillot de bain moulant mes couilles et je vais pour redescendre, vers mes amis.
La porte de la chambre de Pierre et Nadia est ouverte, Pierre nu comme un ver, sort de la salle de bains, une serviette lui essuyant les cheveux.
• Christian vient, je vais te donner les dernières consignes pour ce soir !
J’entre, Nadia est là aussi nue que son mari, mais assise devant sa table de maquillage, qu’elle est belle et semble naturellement insouciante que sa vision alors qu’elle se maquille, recommence à me faire bander.
Heureusement, mon slip et si serré qu’il comprime mon érection.
Dans le vieux, ma bite aurait de nouveau fait toile de tente et il aurait fallu que je parte en courant, prétextant une envie présente.
Ordre reçu, je quitte la chambre non sans un petit sourire en coin, que je peux voir dans sa glace, car elle me tourne le dos.
Ce qui me fait bander, c’est son fessier, poser sur une chaise ajourée ma montrant le début de sa raie culière.
Je suis bientôt majeur, mais je suis aussi encore un vilain gamin.
J’arrive près de mes amis en courant et comme l’on dit, je fais la bombe pour les arroser d’un peu d’eau.
C’est une véritable vague que je projette sur le lit de piscine réveillant les deux d’un coup légèrement froid.
• Pauvre con, espèce de taré.
Ces mots que Valentine prononce, je les entant en sortant ma tête de l’eau, fraiche à souhait malgré qu’elle doit avoisiner les trente degrés.
Elle court vers moi et saute, elle aussi, manquant d’atterrir sur ma figure.
J’ai la bouche ouverte pour reprendre de l’air après la bombe que j’ai faite.
La vague qu’elle déclenche, vient dans ma bouche, manquant de m’étouffer.
Je crache l’eau.
• Pauvre conne, espèce de tarée.
C’est en toussant que je prononce ces mots, Valentine me saute dessus, me faisant repartir vers le fond.
Elle s’appuie si fort sur moi qu’un instant lorsque je rebois la tasse, j’ai l’impression de me noyer.
Je retrouve avec mes pieds, le fond de la piscine, ça a dû arriver à beaucoup de personnes, j’avais pied sans le savoir.
Je recrache l’eau avalée, le chlore dans la bouche, on peut reconnaitre que c’est loin des plats que j’ai mangés à midi.
Valentine, me ressaute dessus, je repars en arrière et comme je reprenais de l’air après la tasse, j’en bois une nouvelle.
Sachant que j’ai pied, je me laisse couler, mais au dernier moment je lui attrape, je voulais le bras, mais c’est son petit sein que je chope.
Je gagne, à son tour elle boit la tasse et tombe dans mes bras.
Je l’aide à se relever et c’est l’un contre l’autre que nous reprenons notre souffle.
Nous remontons les marches, Georgette a dû leur amener des boissons citronnées, nous nous assayons à la table et c’est bien agréable d’ôter ce goût de chlore dans nos bouches.
Nous parlons de notre soirée et de la sortie en mer de demain.
Je vois Pierre venir vers nous sur la terrasse, habillé d’un magnifique smoking blanc.
Derrière lui, Nadia sort à son tour, une bombe, sa robe me fait bander un mort.
Je comprends un peu mieux le milieu dans lequel je suis venu, j’allais dire « tomber. »
• Salut, les jeunes on vous laisse et nous vous souhaitons une bonne soirée, surtout toi Valentine, je te fais confiance.
Tu veux être une grande fille, fais attention aux sollicitations dont tu pourrais être la victime.
Gabriel et Christian, j’ai été prévenu que des salopards mettent des produits dans les verres des jeunes filles leur faisant perdre le contrôle.
Je veux que l’un ou l’autre, restiez à les surveiller.
• Oui, papa on fera attention, allez-vous amuser de votre côté.
• On y va, Pierre, Christian est assez grand pour faire attention à tes enfants.
• Georgette vous servira à manger à 20 heures, évitez de la retarder, elle a droit à un peu de repos elle aussi.
Je vois partir le couple, mon dieu que le petit cul de Nadia me fait envie, mais je sais que même si Pierre la trompe, il m’est à jamais fermé.
Même si elle m’a mis la main au paquet dans la cabine d’essayage, les privautés semblent s’arrêter là.
Nous entendons la voiture démarrer, elle se lève d’un coup et vient s’asseoir sur mes genoux.
Est-ce de la timidité ou du je-m’en-foutisme, Gabriel regarde son Iphone semblant nous ignorer.
• Dis Christian, ce soir, c’est ma première sortie en boîte, j’espère que tu me laisseras un peu de libertés.
En plus de s’asseoir sur ma bite, qui comme d’habitude réagie, elle donne un petit mouvement à son bassin, c’est à l’oreille qu’elle me susurre.
• Tu bandes, si tu dis non à ma requête, je me lève, je te baisse ton slip de bain bien plus suggestif que celui que tu avais en arrivant et je te suce la queue.
Comme elle est placée et grâce à la muscu que je pratique, je la prends par la taille et je la balance à la flotte au risque de louper mon coup et qu’elle se fracasse son joli crâne sur le carrelage de la margelle.
Je file vers ma chambre, je vais prendre une douche froide, ça calme mes pulsions et ça me nettoie du chlore.
Sur mon bureau, une enveloppe, des mots sont écrits dans une écriture impeccable de première de casse.
« Christian, Pierre et moi, nous te laissons quelques billets, pour pallier toute situation que tu serais dans l’impossibilité de gérer.
Nous ignorons si tu as de quoi payer personnellement, passez une bonne soirée. Nadia. »
Dans l’enveloppe, mille euros, avant que je parte, maman m’a glissé deux billets de cent euros dans la main.
1 200 €, c’est la première fois qu’en plus de ma carte d’identité, j’ai autant d’argent directement dans ma poche.
• Venez, je vais vous faire entrer et vous faire installer dans le carré Vip, après je vous laisserais et je serais là à l’heure pour vous ramener.
Le DJ est déjà sur ces platines, j’ai déjà mixé dans des soirées entre copains, d’entrée je vois qu’il tient la route.
Dans le fond de la salle, endroit, ou il y a des poufs et une table basse, un vigile est devant le passage qui filtre ceux qui sortent et qui rentrent.
C’est là que Charles nous laisse et que je prends les rênes de notre soirée.
À peine Charles nous ayant quitté, Valentine dans une tenue, légèrement outrancière à mon goût, part sur la piste de danse.
Les bras en l’air tournant sur elle-même, son petit boléro pailleté se soulève montrant à tous son nombril et s’arrêtant à la limite de ses seins.
Heureusement, qu’ils sont petits et ronds, s’il était pendant, on en verrait une grande partie.
• Christian, elle est là !
• Qui ?
• Mais, Jennifer, regarde à droite de Valentine, reconnais qu’elle est bandante.
J’ai un instant de solitude, je regardais les petites fesses de sa sœur dans son petit short pailleté comme son boléro quand Gabriel m’interpelle.
La rousse au petit cul, oui, il a raison, elle aussi est bandante...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Punaise… j’ai hâte de la suite quand il va les démonter… belle-mère, belle-fille… pas le même sang, donc pas d’inceste…
Nico
Nico
J'essaye de le faire c'est pas toujours facile
Tu sais suspendre l'histoire au moment opportun.....
Cyrille
Cyrille