COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (8/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (8/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (8/10)
Si je foire mes études, je pourrai facilement gagner ma vie en devenant escorte dans le sud de la France.
Je dis ça, car après que je l’ai baisé jusqu’à la faire jouir dans ce vestiaire, Lauriane remet sa robe après que pour donner le change, je lui place une bande sur sa cheville soi-disant endolorie.
Elle a le même genre de fourreau rose qui la moule et qui me confirme qu’elle se promène sans le moindre dessous.
C’est tout naturellement que nous rejoignons le restaurant.
Au loin, je vois Pierre et Hugo sur les derniers trous qui tapent dans la petite balle alors que moi je viens de me taper sa femme.

• Tient, mets ça dans ta poche, j’ai été jeune avec Hugo, il y a quelques années et je me souviens du manque de fric de notre couple.
Par chance Hugo a réussi de bonnes affaires à la bourse et depuis il est devenu courtier, ce qui nous met à l’abri de tout besoin.

C’est lorsque je prends ces coupures, que je me sens comme une pute que l’on paye pour baiser.
Mais je compte bien réussir ces putain d’études dans l’école d’ingénieurs où je me suis inscrit pour la rentrée.
J’ai besoin d’aller aux toilettes, alors que les deux hommes finissent leur parcours et vont aux vestiaires se changer.
Mille euros, cinq billets de deux cents pour en plus me vider les couilles et la faire jouir.
Quand je dis qu’il serait bon vivre en faisant l’escorte au cas où.

• Ma chérie, je vais te conduire aux urgences !
• Inutile Hugo, Christian doit avoir un don, lorsqu’il m’a massé la cheville avant de me mettre ma bande, progressivement, j’ai senti la douleur disparaitre et maintenant je marche sans le moindre problème.
• Parfait Christian même un don mérite salaire, tient prend ça, on sait ce que sait que d’être jeune.

Hugo, le mari cocu sort de la poche de son pantalon une liasse de billets.
J’ai le temps de voir qu’ils sont de cent euros et il me les met dans ma poche de mon futal ou sont déjà ceux de sa femme.
Plus tard, je peux voir qu’ils sont cinq, cinq cents de plus pour avoir sauté son épouse.

• Vous déjeunez avec nous, je te dois bien ça Pierre après nous avoir fait connaitre Christian et de m’avoir, laisser te battre en loupant ton birdie au dix-huit.

Si je dois faire l’escorte, il faudra que j’apprenne tous ces termes de golf qu’ils semblent très bien connaitre.
Heureusement, aucun même Lauriane, pense à me demander si j’ai connaissance de ces mots.

• Christian, ça te dérange si nous déjeunons avec nos amis, mais avant je dois prévenir Georgette, notre femme de service de notre absence.
Nous nous ferions enguirlander à notre retour, elle aime la ponctualité, c’est pire que ma femme, elle, elle est plus cool.

C’est ainsi que je me retrouve assis en face de Lauriane qui rapidement me caresse la queue à travers mon pantalon en ayant ôté ses talons.
Un moment dans nos ébats dans la douche, elle s’est traitée de salope.
Lorsque je suis à deux doigts d’éjaculer dans mon boxer, car moi je porte un sous-vêtement, elle me confirme quelle en est une.
Les deux hommes parlent d’investissement dans l’entreprise de Pierre, je me lève, je m’excuse et je me dirige vers les toilettes
On va me trouver vénal, mais une fois dans les toilettes hommes et femmes, je regarde ce que mes coups de bite ont couté à Hugo !
Cinq cents plus les milles, ça me conforte d’avoir une porte de sortie si par malheur je foire mes études.
En plus des deux cabines, il y a un urinoir.
Je sors ma queue et je me soulage, c’est au moment où je me secoue pour évacuer la dernière petite goutte que je me sens saisi et un corps vient se coller au mien.

• Christian, j’ignore quand on se reverra, mais laisse-moi te sucer la queue une dernière fois.

Je me retourne Lauriane, une vraie goulue se trouve déjà à genoux et me prend la bite avant de la porter à sa bouche.
Un, deux, cinq cents, quatre, six, huit, mille, cinq cents euros, je suis une pute dont on se sert suivant son bon vouloir.
J’ai déjà déchargé deux fois en peu de temps, mais la coquine sait si bien s’y prendre montrant sa grande expérience dans le domaine du sexe que je lui offre son dessert avant de la rentrer et de rejoindre la salle.

• 200 000 €, oui c’est jouable surtout si tu penses introduire ton affaire en bourse, ça nous ouvrira de grandes portes pour que cet argent fasse un maximum de petit.

Pendant que sa femme le suçait, les deux hommes avaient continué leur conversation sur l’avenir de l’entreprise de Pierre.
Mon père serait là, lui qui a milité toutes ses années de travail, il me dirait que je viens de rentrer par la bouche d’une femme dans le grand capitalisme.

• Christian dit moi, que penses-tu faire comme étude à la rentrée, j’ai eu une conversation avec Gabriel, il parle de math sup !
C’est la voie royale pour qu’il vienne travailler avec moi dans notre entreprise.
• Je suis inscrit à une école d’ingénieurs à Paris moins prestigieuse que math sup, mais qui débouchent sur des métiers concrets.
• Si tu dois faire des stages, appelle-moi, je te donnerais ma carte avant notre retour, je te les ferais faire, c’est souvent difficile pour les jeunes d’en trouver.
• Christian si Pierre te prend en main, pour te faire obtenir tes diplômes, tu seras sûr de les réussir.
C’est un autodidacte, mais certainement le meilleur dans sa partie.

Lauriane revient à notre table comme si de rien était.
Une nouvelle fois elle m’a fait une gorge profonde la faisant pleurer lorsqu’elle a insisté un peu trop longtemps.
Elle a refait son maquillage redevenant la vraie bourgeoise presque dame patronnesse sauf sa petite culotte qu’elle laisse chez elle.
Une vraie salope, c’est le cas de le dire, mais j’aime bien ce genre de salope.
Nous nous séparons, Pierre et Hugo se dispute l’addition à savoir qui a invité le premier.
Lauriane tranche prenant la coupelle avec la note et se rend auprès de la femme gérant le restaurant en lui présentant sa carte gold.
Nous nous séparons, en nous faisant la bise Lauriane et moi d’une façon toute naturelle, nous roulons quand Pierre m’interpelle.

• Dis-moi Christian Lauriane tu l’as poinçonnée dans les vestiaires et après dans les toilettes, elle t’a sucé, c’est une très bonne suceuse ?
• Vous semblez bien la connaitre, elle fait souvent le coup de la foulure à des jeunes comme moi et Hugo, il semble évité de le voir.
• Seul le fric qu’il gagne l’intéresse, mais parlons d’autre chose, cette journée t’a plu, tu reviendras pour que je t’apprenne à taper dans la petite balle.
J’ai essayé avec Gabriel, le golf est loin d’être sa tartine de pain, il doit tenir de sa mère, mais c’est une autre histoire.

De retour à la villa, chacun vaque à ses occupations habituelles, Valentine et Nadia bronze nue sur le lit à deux places en rotin avec de gros matelas.
Gabriel est absent, je voudrais bien savoir ce qu’il fabrique, je beaucoup de choses à lui dire comme j’espère que lui en aie aussi.
Je m’approche des femmes, je constate qu’une chose à changer chez Valentine, son triangle pubien a disparu.
Sa chatte est lisse comme elle devait l’être, il y a encore peu d’années avant sa puberté.
Je me garde bien de leur faire remarquer, ce serait leur montré que je joue les voyeurs même si ce sont elles qui s’exposent nues.
Que dire de plus, ce soir Pierre nous fait un barbecue merguez saucisse, c’est le jour de repos du couple Georgette et Charles ?
Une nouvelle baignade, il fait encore très chaud ce soir.

• Christian, tu étais là quand j’ai imposé à Valentine de sortir avec nous dimanche dernier.
J’ai parlé des mercredis à Paris et ici.
Demain vers dix heures nous rejoindrons le voilier tous les trois afin de passer un moment d’intimité avec mes enfants.
Tu resteras seul avec Nadia, car Georgette et Charles ont leur deuxième jour de repos consécutifs comme nous impose la législation.
Je crois qu’ils ont une petite maison dans l’arrière-pays Niçois qu’ils rénovent en vue de leur retraite dans les prochaines années.

C’est sachant que je serais seule avec la belle Nadia, que je vais me coucher.
Même s’il est encore assez tôt, après ma douche, je m’allonge au-dessus du drap, la grosse chaleur oblige.
Les chambres sont climatisées, mais je préfère respirer librement que de sentir de l’air froid tomber sur moi.

« Lauriane laisse ma queue, tu m’as épuisé, laisse-moi dormir. »

Les guillemets, c’est, car je suis en plein rêve, sauf au moment où je finis par émerger, j’ai bien une main qui est posée sur ma bite, qui malgré la fatigue se met à bander.

• Valentine, tu es insupportable, j’avais pourtant fermé ma porte à clef !
• Ta porte, oui, sauf celle vitrée sur la terrasse de ta chambre et je suis passée par les balcons pour te rejoindre.
• Tu veux vraiment me faire virer par ton père.
• Mon père, quand je veux, je le fais manger dans ma main, soit sans crainte.
J’ai vu que tu regardais ma chatte en rentrant tout à l’heure.
Nadia m’a payé une séance laser, ça te plait.

Valentine dans la clarté de la pleine lune me montre son vagin, me prend la main et la pose dessus.
Je suis à deux doigts de craquer et d’y porter ma bouche pour un cunni.
Mais je résiste, je me lève et je lui ouvre ma porte.
Elle a compris que j’étais le plus fort, elle se lève et en me donnant un baiser rapide sur ma bouche retourne nue vers sa chambre.

Il fait jour quand j’émerge, ça sent bon le café, la famille doit l’avoir préparé avant de descendre vers le port.
Je descends au salon, Nadia sort de la cuisine, elle aussi est nue, magnifique dans cette nudité.

• Christian nous sommes seules, ils sont partis, veux-tu un café ?...

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