COLLECTION HISTOIRE COURTE. Divine méprise (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Divine méprise (1/1)
Il fait beau ce matin, Serge est parti en voyage pour son travail depuis deux heures, pour revenir dans quatre jours.
J’ai fait la grâce matinée comme je la fais tous les matins.
J’adore me prélasser dans mes draps en soie, c’est le privilège des femmes qui ont épousé un homme ayant une haute fonction dans notre société.
Il est dix heures quand je me fais couler un bain, divin moment surtout quand je l’agrémente de sels qui vont rendre ma peau douce et odorante.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée vient me rappeler qu’elle existe.
Je sors de mon eau encore chaude avec regret.
Qui peut être cet emmerdeur ou emmerdeuse ?
Si c’est Sophie ma petite voisine, je vais lui rappeler que je refuse qu'on me dérange avant midi.
Je passe mon peignoir, en soie lui aussi, bien sûr.
On a directement sonné à la porte sur mon palier, la personne vient de l’intérieur.
La porte d’entrée au rez-de-chaussée possède un Digicode et à ce que je sache, il ne s’est pas déclenché.
Perchée sur mes mules, je me mets sur la pointe des pieds.
Celui qui a placé les œilletons dans ces immeubles neufs à oublier que certaines personnes sont loin de mesurer 1 mètre 70.
Pour ma part, je mesure 1 mètre 55.
Mon point fort ce qui a fait craquer mon homme il y a presque 20 ans, mes seins, 95 C.
Je dis 95 car pour ma part vu ma taille je les trouve un peu gros aussi je les enferme un peu plus serrer alors que je fais un bon 100.
Je vois la lumière sur le palier allumé, sans voir qui est là.
J’attends, me mettant sur la pointe des pieds avant que le noir revienne.
Qui a pu sonner, certainement le gamin de la salope du deuxième.
Il est sournois et est toujours prêt à faire un mauvais coup pour nous emmerder.
Je finis par ouvrir ma porte, sachant que dans notre immeuble, je me sens en sécurité.
Je me sens propulser sur le mur opposé du couloir, j’ai le temps de voir un homme portant une cagoule noire avant de lourdement chuter au sol.
Je sens mon peignoir me quitter, je sens que ma dernière heure est venue.
Ce doit être un satyre qui va me violer avant de laisser mon corps sans vie, à l’endroit où la lame effilée entrera sous mon sein droit.
C’est ce qui arrive à l’héroïne du livre que je lis en ce moment.
Il me reste 10 pages pour apprendre l’intrigue, je contais le finir à l’heure de ma sieste.
La sieste apanage des femmes oisives, un café à midi pour garder ma ligne et ma bergère pour me reposer du peu d'effort fait avec un bon livre.
- Entrez les mecs, je tiens cette salope, mettez-lui le bâillon, je sens qu’elle va hurler.
C’est vrai, j’ai voulu hurler.
Sophie la nouvelle petite voisine aura entendu et appelé la police.
Hélas ce genou entre mes omoplates et cette main sur ma bouche m’en empêche.
J’essaye de ruer, mes mains sont entravées, j’arrive à voir trois silhouettes toutes cagoulées, certainement trois hommes, ils ont tous des pantalons.
- Portez là dans sa chambre, on serra plus à l’aise pour la baiser.
À part des mmm, mmm rien ne sort de ma bouche.
Malgré toutes les précautions pour que notre appartement soit une résidence sécurisé par Serge, je vais finir violée sur notre lit.
Ignorant ce que vont me faire ces trois hommes, je me jure qu’ils auront mon corps mais qu’il est hors de question que je leur montre la moindre jouissance.
Par chance, Serge m’a fait l’amour divinement, hier et mon corps est rassasié ce qui facilitera à tenir ma résolution.
- Ouvre la bouche salope, je vois que tu espérais notre venue, en peignoir, nue dessous c’est de la provocation.
Une verge sortie d’un pantalon essaye de rentrer dans ma bouche.
- Si tu mords salope, tu vas ramasser doublement.
On est trois t’es seule, le combat pour toi est perdu d’avance.
Une main me bouche le nez, il faut bien respirer.
Se faire violer, c’est une chose, mourir étouffé en est une autre.
Une fraction de seconde une envie de fermer mes crocs sur ce sexe me traverse l’esprit.
Hier, j’ai sucé Serge.
Bien avant notre mariage je suçais Serge et par jeux, je ferme souvent mes dents juste ce qu’il faut afin que les marques de mes dents restent un peu incrustées.
Ce sont les doigts dans ma chatte qui me font changer d’avis.
Mon bas-ventre décide d’être indépendant de mon cerveau.
Chaque femme au moins une fois dans sa vie a rêvé de se faire violer.
C’est mon cas, alors comme j’y suis afin d’éviter de culpabiliser d’avoir certainement attiré le regard de mes violeurs avec mes seins compressés dans mes soutiens-gorge trop petits, je me laisse aller.
Le sexe dans ma bouche décharge, un peu vite à mon goût.
Heureusement un autre le remplace pendant que l’on me retourne et que mes jambes soient relevées, une grosse verge bien tendue entre dans ma chatte.
Les résolutions sont pour ceux qui y croient.
La deuxième verge m’envoie des giclées sur mon visage me libérant et me permettant de hurler de plaisir.
C’est drôle d’expliquer son viol surtout quand on m’empale sur une verge certainement encore pleine de son sperme.
Comment savoir car pour la première fois de ma vie une verge s’insinue dans ma rosette ?
Prise en sandwich je hurle de nouveau atteinte par un nouvel orgasme.
Est-ce pour museler mes cris, qu’une troisième verge prend la seule place libre.
Trois mecs, trois queues, trois pénétrations.
Au plus loin de mes rêves les plus osés, une seule verge un seul trou, ma chatte.
Trois verges qui déchargent simultanément mais qui m’apportent la plénitude à laquelle chaque femme aspire.
- Les gars que faite vous, ma femme Sophie est au 3 B, vous êtes au 3 A.
Vous vous êtes trompés d’appartement.
Ma femme est à côté et se demande pourquoi sa voisine si discrète en temps normal hurle son plaisir.
Avant de comprendre votre erreur, j’ai écouté, bravo Christine, vous semblez avoir bien profité de ces trois cons qui confondent A et B.
Pour compléter leur connerie, quand j’allais sonner pour vous libérer, votre porte était restée ouverte.
Enlever vos cagoules, Christine ce sont trois hardeurs que j’ai payés pour réaliser le fantasme de Sophie de se faire attaquer et violer.
Les trois garçons enlèvent leurs cagoules me montrant que je me suis fait sauter par trois apollons.
En d'autres circonstances, je me serais donnée sans aucune retenue si par amour pour mon mari j’avais eu envie de le tromper.
- Pour la deuxième partie de votre paye vous pouvez vous asseoir dessus et surtout bien profond.
- On peut aller sonner chez toi !
- Avec ces queues qui pendent lamentablement, ce serait un deuxième fiasco.
- Dite les garçons, c’est étrange de parler du viol avorté de ma petite voisine la queue à l’air et moi la chatte étalée devant mon voisin.
Combien tu leur dois Louis ?
Au point où nous en sommes, tutoyons-nous.
Alors combien ?
- 1 000 chacun.
- Eh bien mes salauds 2 000 € chacun pour tirer un coup pardons des coups avec de jolies femmes.
Je vais demander à Serge lorsqu’il reviendra de son voyage en Italie pour son travail de devenir hardeur bien que concernant le sexe il est parfait.
Je me lève ayant une légère douleur à ma petite fleur.
Je sais c’est mon côté bucolique, parler d’anus ou de trou à merde très peu pour moi.
En femme du monde, je vais dans le bureau de mon mari, j’ouvre le coffre et après avoir pris ce que j’étais venue chercher je retourne dans la chambre.
- Messieurs deux choses, voici le bloc de mon mari avec son stylo.
Veuillez noter vos noms, prénoms et adresse.
Vous voyez ce vase sur la commode et le pantin sur cette étagère.
Ce sont des caméras reliées à un système sophistiqué qui a filmé vos exploits.
Je devrais dire nos exploits.
Il y en a une dans l’entrée qui a filmé votre arrivée.
Sauf dans les toilettes et la salle de bains de la chambre d’amis Serge en a fait placer partout.
- Nos renseignements c’est pour venir chaque fois que vous ferez appel à nous, je pense.
- Adam c’est toi, la verge la première que j’ai eue dans ma bouche.
Tu as tout compris.
Tient, c’est moi qui vous paye pour le bon moment que j’ai passé.
Je leur donne 1 000 € et je les raccompagne.
Louis a suivi semblant vouloir les suivre.
- Louis, tout commence avec toi, retournons dans la chambre.
Je le précède lui montrant mes fesses dont je suis assez fière.
Je me lève tard mais je leur consacre une bonne partie de mon après-midi.
C’est dans une salle de sport voisine que je les muscle en courant sur l’un de leurs tapis.
- Je te vois penaud, rien de dramatique, dit moi, ton scénario.
Tu rentrais chez toi et tu trouvais ta femme se faisant violer par trois sales types et les ayant fait fuir tu baisais madame.
Dis-moi, nager dans le sperme des autres ça t’aurait plu.
À poil, j’ai encore une petite faim.
Question sperme, tu seras servi, ma chatte et mon cul sans oublier ma bouche en sont farcis.
Ta bite va nager, certainement pour son plus grand plaisir.
Avant, je te rappelle que tout est filmé.
Si je vais à la police dire que l'on m'a violé, tu passeras quelques heures au violon.
Si Sophie avait le fantasme de se faire violer, pour ma part j’en ai deux.
Un que nous allons réaliser ce soir, à 20 heures vous sonnerez chez moi.
Un repas aux chandelles sera préparé et j’aurais des rapports lesbiens avec ta femme.
Je suis sûr qu’elle va aimer.
Souviens-toi tout sera filmé et quand Serge reviendra de voyage il verra nos ébats et surtout mon viol.
C’est à ce moment que nous rendant notre invitation nous réaliserons un vieux fantasme de notre couple.
Une partie carrée où Serge baisera Sophie et où tu la prendras avec lui en double pénétration comme tes trois copains ont fait pour moi.
En attendant je vois que tu es bien monté vient me faire voir comment tu t’en sers.
En attendant la soirée et la chatte de ma petite voisine avec laquelle je vais me gouiner pour la première fois de ma vie.
La verge qu’il met dans ma bouche va nous permettre de passer un bon moment sans avoir à le payer.
Me gouiner chouette j’aime les fantasmes et surtout les réaliser.
J’ai fait la grâce matinée comme je la fais tous les matins.
J’adore me prélasser dans mes draps en soie, c’est le privilège des femmes qui ont épousé un homme ayant une haute fonction dans notre société.
Il est dix heures quand je me fais couler un bain, divin moment surtout quand je l’agrémente de sels qui vont rendre ma peau douce et odorante.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée vient me rappeler qu’elle existe.
Je sors de mon eau encore chaude avec regret.
Qui peut être cet emmerdeur ou emmerdeuse ?
Si c’est Sophie ma petite voisine, je vais lui rappeler que je refuse qu'on me dérange avant midi.
Je passe mon peignoir, en soie lui aussi, bien sûr.
On a directement sonné à la porte sur mon palier, la personne vient de l’intérieur.
La porte d’entrée au rez-de-chaussée possède un Digicode et à ce que je sache, il ne s’est pas déclenché.
Perchée sur mes mules, je me mets sur la pointe des pieds.
Celui qui a placé les œilletons dans ces immeubles neufs à oublier que certaines personnes sont loin de mesurer 1 mètre 70.
Pour ma part, je mesure 1 mètre 55.
Mon point fort ce qui a fait craquer mon homme il y a presque 20 ans, mes seins, 95 C.
Je dis 95 car pour ma part vu ma taille je les trouve un peu gros aussi je les enferme un peu plus serrer alors que je fais un bon 100.
Je vois la lumière sur le palier allumé, sans voir qui est là.
J’attends, me mettant sur la pointe des pieds avant que le noir revienne.
Qui a pu sonner, certainement le gamin de la salope du deuxième.
Il est sournois et est toujours prêt à faire un mauvais coup pour nous emmerder.
Je finis par ouvrir ma porte, sachant que dans notre immeuble, je me sens en sécurité.
Je me sens propulser sur le mur opposé du couloir, j’ai le temps de voir un homme portant une cagoule noire avant de lourdement chuter au sol.
Je sens mon peignoir me quitter, je sens que ma dernière heure est venue.
Ce doit être un satyre qui va me violer avant de laisser mon corps sans vie, à l’endroit où la lame effilée entrera sous mon sein droit.
C’est ce qui arrive à l’héroïne du livre que je lis en ce moment.
Il me reste 10 pages pour apprendre l’intrigue, je contais le finir à l’heure de ma sieste.
La sieste apanage des femmes oisives, un café à midi pour garder ma ligne et ma bergère pour me reposer du peu d'effort fait avec un bon livre.
- Entrez les mecs, je tiens cette salope, mettez-lui le bâillon, je sens qu’elle va hurler.
C’est vrai, j’ai voulu hurler.
Sophie la nouvelle petite voisine aura entendu et appelé la police.
Hélas ce genou entre mes omoplates et cette main sur ma bouche m’en empêche.
J’essaye de ruer, mes mains sont entravées, j’arrive à voir trois silhouettes toutes cagoulées, certainement trois hommes, ils ont tous des pantalons.
- Portez là dans sa chambre, on serra plus à l’aise pour la baiser.
À part des mmm, mmm rien ne sort de ma bouche.
Malgré toutes les précautions pour que notre appartement soit une résidence sécurisé par Serge, je vais finir violée sur notre lit.
Ignorant ce que vont me faire ces trois hommes, je me jure qu’ils auront mon corps mais qu’il est hors de question que je leur montre la moindre jouissance.
Par chance, Serge m’a fait l’amour divinement, hier et mon corps est rassasié ce qui facilitera à tenir ma résolution.
- Ouvre la bouche salope, je vois que tu espérais notre venue, en peignoir, nue dessous c’est de la provocation.
Une verge sortie d’un pantalon essaye de rentrer dans ma bouche.
- Si tu mords salope, tu vas ramasser doublement.
On est trois t’es seule, le combat pour toi est perdu d’avance.
Une main me bouche le nez, il faut bien respirer.
Se faire violer, c’est une chose, mourir étouffé en est une autre.
Une fraction de seconde une envie de fermer mes crocs sur ce sexe me traverse l’esprit.
Hier, j’ai sucé Serge.
Bien avant notre mariage je suçais Serge et par jeux, je ferme souvent mes dents juste ce qu’il faut afin que les marques de mes dents restent un peu incrustées.
Ce sont les doigts dans ma chatte qui me font changer d’avis.
Mon bas-ventre décide d’être indépendant de mon cerveau.
Chaque femme au moins une fois dans sa vie a rêvé de se faire violer.
C’est mon cas, alors comme j’y suis afin d’éviter de culpabiliser d’avoir certainement attiré le regard de mes violeurs avec mes seins compressés dans mes soutiens-gorge trop petits, je me laisse aller.
Le sexe dans ma bouche décharge, un peu vite à mon goût.
Heureusement un autre le remplace pendant que l’on me retourne et que mes jambes soient relevées, une grosse verge bien tendue entre dans ma chatte.
Les résolutions sont pour ceux qui y croient.
La deuxième verge m’envoie des giclées sur mon visage me libérant et me permettant de hurler de plaisir.
C’est drôle d’expliquer son viol surtout quand on m’empale sur une verge certainement encore pleine de son sperme.
Comment savoir car pour la première fois de ma vie une verge s’insinue dans ma rosette ?
Prise en sandwich je hurle de nouveau atteinte par un nouvel orgasme.
Est-ce pour museler mes cris, qu’une troisième verge prend la seule place libre.
Trois mecs, trois queues, trois pénétrations.
Au plus loin de mes rêves les plus osés, une seule verge un seul trou, ma chatte.
Trois verges qui déchargent simultanément mais qui m’apportent la plénitude à laquelle chaque femme aspire.
- Les gars que faite vous, ma femme Sophie est au 3 B, vous êtes au 3 A.
Vous vous êtes trompés d’appartement.
Ma femme est à côté et se demande pourquoi sa voisine si discrète en temps normal hurle son plaisir.
Avant de comprendre votre erreur, j’ai écouté, bravo Christine, vous semblez avoir bien profité de ces trois cons qui confondent A et B.
Pour compléter leur connerie, quand j’allais sonner pour vous libérer, votre porte était restée ouverte.
Enlever vos cagoules, Christine ce sont trois hardeurs que j’ai payés pour réaliser le fantasme de Sophie de se faire attaquer et violer.
Les trois garçons enlèvent leurs cagoules me montrant que je me suis fait sauter par trois apollons.
En d'autres circonstances, je me serais donnée sans aucune retenue si par amour pour mon mari j’avais eu envie de le tromper.
- Pour la deuxième partie de votre paye vous pouvez vous asseoir dessus et surtout bien profond.
- On peut aller sonner chez toi !
- Avec ces queues qui pendent lamentablement, ce serait un deuxième fiasco.
- Dite les garçons, c’est étrange de parler du viol avorté de ma petite voisine la queue à l’air et moi la chatte étalée devant mon voisin.
Combien tu leur dois Louis ?
Au point où nous en sommes, tutoyons-nous.
Alors combien ?
- 1 000 chacun.
- Eh bien mes salauds 2 000 € chacun pour tirer un coup pardons des coups avec de jolies femmes.
Je vais demander à Serge lorsqu’il reviendra de son voyage en Italie pour son travail de devenir hardeur bien que concernant le sexe il est parfait.
Je me lève ayant une légère douleur à ma petite fleur.
Je sais c’est mon côté bucolique, parler d’anus ou de trou à merde très peu pour moi.
En femme du monde, je vais dans le bureau de mon mari, j’ouvre le coffre et après avoir pris ce que j’étais venue chercher je retourne dans la chambre.
- Messieurs deux choses, voici le bloc de mon mari avec son stylo.
Veuillez noter vos noms, prénoms et adresse.
Vous voyez ce vase sur la commode et le pantin sur cette étagère.
Ce sont des caméras reliées à un système sophistiqué qui a filmé vos exploits.
Je devrais dire nos exploits.
Il y en a une dans l’entrée qui a filmé votre arrivée.
Sauf dans les toilettes et la salle de bains de la chambre d’amis Serge en a fait placer partout.
- Nos renseignements c’est pour venir chaque fois que vous ferez appel à nous, je pense.
- Adam c’est toi, la verge la première que j’ai eue dans ma bouche.
Tu as tout compris.
Tient, c’est moi qui vous paye pour le bon moment que j’ai passé.
Je leur donne 1 000 € et je les raccompagne.
Louis a suivi semblant vouloir les suivre.
- Louis, tout commence avec toi, retournons dans la chambre.
Je le précède lui montrant mes fesses dont je suis assez fière.
Je me lève tard mais je leur consacre une bonne partie de mon après-midi.
C’est dans une salle de sport voisine que je les muscle en courant sur l’un de leurs tapis.
- Je te vois penaud, rien de dramatique, dit moi, ton scénario.
Tu rentrais chez toi et tu trouvais ta femme se faisant violer par trois sales types et les ayant fait fuir tu baisais madame.
Dis-moi, nager dans le sperme des autres ça t’aurait plu.
À poil, j’ai encore une petite faim.
Question sperme, tu seras servi, ma chatte et mon cul sans oublier ma bouche en sont farcis.
Ta bite va nager, certainement pour son plus grand plaisir.
Avant, je te rappelle que tout est filmé.
Si je vais à la police dire que l'on m'a violé, tu passeras quelques heures au violon.
Si Sophie avait le fantasme de se faire violer, pour ma part j’en ai deux.
Un que nous allons réaliser ce soir, à 20 heures vous sonnerez chez moi.
Un repas aux chandelles sera préparé et j’aurais des rapports lesbiens avec ta femme.
Je suis sûr qu’elle va aimer.
Souviens-toi tout sera filmé et quand Serge reviendra de voyage il verra nos ébats et surtout mon viol.
C’est à ce moment que nous rendant notre invitation nous réaliserons un vieux fantasme de notre couple.
Une partie carrée où Serge baisera Sophie et où tu la prendras avec lui en double pénétration comme tes trois copains ont fait pour moi.
En attendant je vois que tu es bien monté vient me faire voir comment tu t’en sers.
En attendant la soirée et la chatte de ma petite voisine avec laquelle je vais me gouiner pour la première fois de ma vie.
La verge qu’il met dans ma bouche va nous permettre de passer un bon moment sans avoir à le payer.
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