COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jeux de boules (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jeux de boules (1/1)
• Je peux jouer aux billes avec vous !
Ces mots je les ai prononcés au moment de mon adolescence, ce fut la première fois où j’ai eu affaire avec des objets ronds.
À cette époque j’ignorais que dans leurs pantalons, ils avaient deux noisettes commençant à descendre dans leurs bourses.
Ces mots je les ai prononcés dans la cour de mon école lorsque j’ai innocemment voulu jouer avec les garçons.
• Va jouer ailleurs, les billes surtout celle en verre sont trop précieuses pour les prêter à des filles.
Va apprendre à langer tes poupées, ça te sera utile dans quelques années.
Je me suis senti frustrée et à mes dix-huit ans, j’ai suivi mon père et mon oncle, pour jouer en triplette avec des boules de compétitons de 700 grammes.
J’ai monté tous les paliers des boules à la provençale jusqu’à devenir finaliste malheureuse du célèbre concours de la Marseillaise à Marseille comme il se doit.
J’étais tireuse de notre trio et je touchais presque cent pourcents lorsqu’il fallait les enlever.
Ce jour-là, je prenais une revanche sur les jeunes cons qui m’avaient dit que les billes comme les boules s’étaient un jeu de garçon.
Sur les concours que nous faisions, j’étais une joueuse crainte, car nombreux et nombreuses, je leur ai fait embrasser le cul de Fanny à cause de mes tirs.
Souvent ce morceau de bois peint qui ornait les clubs où nous nous inscrivions me vengeait des jeunes cons lorsqu’ils avançaient leurs lèvres pour les embrasser.
Ce fut le cas à Aix-en-Provence ou Jacques, l’a embrassé alors que c’était l’un des cadors de la région.
Jacques, il avait vingt-huit ans, moi dix-neuf lorsque le soir au bal qui suivait le concours où il avait été la riser de tous ses amis, il m’a donné ses boules à sucer.
Pas du tout rancunier que nous lui ayons mis une branler, fanny en trois coups par mes tirs tous ayant fait mouche, il m’a cloué sous les fesses de Fanny.
J’ai toujours eu le doute qu’il m’a pris mon hymen comme une bête sous ce morceau de bois qu’il voulait se venger de lui leur avoir fait embrasser.
Mais rapidement il a respecté la tradition et a demandé à mon père s’il pouvait m’épouser.
En amour, certaines femmes passent d’un duo à un trio, se faisant baiser par un garçon et finissant en sandwich deux bites dans le vagin et l’anus.
Moi j’ai fait l’inverse, mais bien sûr à la pétanque seulement les pieds tanqués, quelle horreur évitez de penser que j’ai baisé avec papa et mon tonton.
J’ai quitté le jeu en triplette pour faire équipe avec mon mari en doublette.
Nous avions assez d’argent pour nous acheter un camping-car nous permettant de sillonner la France et de participer aux concours les plus rémunérateurs.
Nous avions des sponsors qui me suivaient, mon tir étant toujours aussi précis.
Principalement la marque de boule française, dont j’étais l’égérie.
Je tirais toute la journée et mon mari le faisait le soir me donnant énormément de plaisir.
J’étais passée des petites billes genre noisette aux noix et je m’en trouvais pleinement satisfaite, les jeunes cons de mon adolescence avaient qu’à bien se tenir.
Je rivalisais avec eux devenus adulte sur le terrain de tous, ce qui est rond.
Un jour mon principal sponsor, je jouais avec des boules de leur marque, bien connu en France m’ai proposé de venir jouer à la boule à la Lyonnaise.
Sport bien différent du jeu dit à la Provençal, j’ai accepté de m’entrainer avec Jacques.
Ce qui a été le plus difficile, c’étaient de coordonner mes mouvements entre courses et tirs.
Sans compter la grosseur des boules qui me remplissait la main.
La coordination des mouvements, c’était un peu comme, lorsque je fais des fellations à mon homme.
Au début, ce qui a été difficile, c’était de lui caresser les couilles tout en le masturbant, mouvement longiligne d’un côté, circulaire de l’autre.
Sans oublier les pompages de sa bite pour arriver à le faire éjaculer.
Mais lorsqu’on est doué pour les boules, on finit par y arriver et j’étais fin prête à jouer ce concours.
Pentecôte à Lyon, le temps jouait contre moi, il faisait froid, demi-finale tout de même contre Wiliam, son partenaire ayant peu d’intérêt pour moi j’ai oublié son nom.
Il faut dire qu’à la pétanque les noms sous lesquelles s’inscrivent les équipes surtout dans les concours interdits aux licenciés, étaient souvent étranges.
Nous les faisions tout de même de façon anonyme malgré ma notoriété lorsque aucun officiel pour nous faire un peu de fric.
Qui un samedi ou un dimanche crache sur 500 voire beaucoup plus alors que le Smic est à 1 500 € ?
Nous avions donc devant nous « Kéké et kéké », « les baleines » lorsque des équipes féminines avaient des gros culs.
Elle s’était facile de gagner, pour pointer, elles étaient incapables de se baiser au risque de faire éclater leur futal ou leur short.
J’entendais souvent des colibets dans leur dos, « Elles ont des culs à se faire enculer. »
Moi aussi j’entendais des colibets, « quel joli petit cul, » c’est bien plus agréable surtout qu’à ce jour, ma rosette était restée vierge sauf de la langue de Jacques me faisant des feuilles de rose.
Wiliam donc m’a battu sur le pré et sur son lit, habitant non loin de la place Bellecour à Lyon.
J’avais toujours été fidèle aux noix de Jacques, là sur son lit, je passais des fruits, noisettes et noix à de vraies balles de tennis.
Comme l’on dit, il était monté comme un taureau et lorsque je l’ai branlé, je devais prendre mes deux mains pour lui saisir l’une après l’autre ses deux couilles remplies de bons spermes.
En jouant, je voyais bien que son pantalon était bien prometteur, il avait du mal à la cacher lorsqu’il courait pour jeter sa boule.
Où était Jacques, après que je l’ai eu quitté au vin d’honneur, certainement bourré dans notre camping-car ?
J’extrapole, je l’ai retrouvé dans son vomi le lendemain lorsque je l’ai rejoint.
J’ai fait ma valise et j’ai quitté les lieux avec un petit mot sur l’arrière d’une affiche parlant de ce concours à la Lyonnaise.
« Je te quitte adieu, je divorce. »
Je suis retournée près de la verge de Wiliam, trente-cinq bons centimètres, certains fantasmes sur celle des noirs ma nouvelle est blanche et lorsqu’il me prend, chaque fois j’ai l’impression qu’il veut m’éclater l’utérus.
L’appartement avait un avantage, je me posais pour la première fois, bien sûr, Jacques m’a appelé pour me dire qu’il regrettait d’avoir trop bu et d’avoir dégueulé.
Ce que j’ai oublié de dire, c’était que c’était de plus en plus fréquent et que Wiliam en plus de sa grosse queue a su me faire partager sa passion pour la boule lyonnaise.
Je quittais donc la provençale pour la Lyonnaise et je l’épousais dès que ma rupture a été consommée devant un juge matrimonial.
On pourrait croire que les choses allaient en rester là.
J’avais trouvé l’homme de ma vie, le bon, comme certaines disent, hélas, est-ce moi ou eux, lui je l’ai retrouvé dans le lit de notre voisine.
Je la croisais de temps en temps sur le palier.
La première fois où je l’ai vu au bord d’un terrain de boules à la Lyonnaise, j’ignorais que j’étais déjà cocu et que c’était la queue de mon mari qu’elle venait voir jouer.
La provençale nous faisait vivre, la Lyonnaise il a fallu que je trouve un travail dans une usine de lingerie féminine, je piquais des strings pour femmes pendant huit heures.
Wiliam pointait au chômage, sur la machine voisine de la mienne, il y avait July, la rousse, c’est comme cela que toutes nous disions, car elle était « rousse » bien sûre et qu’elle s’appelait July.
C’est elle qui m’a hébergé avec ma valise lorsque rentrant à cause d’une migraine, j’avais mes règles qui une étaient très douloureuses.
Mes espoirs de grossesses étaient une nouvelle fois déçus, à croire qu’il y avait incompatibilité entre les boules de Wiliam et mes ovaires.
Ses boules, il les avait sorties et elle pendouillait tapant dans le cul de cette salope qui se faisait baiser en levrette.
Arrivant derrière eux sans qu’ils aient le temps de réaliser, j’ai saisi ses couilles et je les ai tordus jusqu’à la faire hurler de douleur
Je les aurais bien détachés de son corps et jetés par la fenêtre, faisant un carreau avec ses bijoues de famille.
Ça criait de partout aussi j’ai fait ma valise avant de tout déménager.
J’ai rejoint July, ma rousse, elle m’a ouvert, sa porte, son lit et son clitoris en forme de bille.
Dès le premier soir, je prenais une éclatante revanche sur ma jeunesse et la cour de l’école où les garçons ont refusé de jouer aux billes avec moi.
Son clito fort développé ressemblait à une de ces billes avec lesquelles j’aurais en plaisir de les tirer.
Ce sont mes lèvres qui l’ont attrapé et qui l’on fait rouler jusqu’à ce qu’il explose apportant à mon nez, les mille senteurs un peu fortes que la couleur de ses cheveux me promettait.
Sa chatte parfaitement entretenue était faite de ces mêmes effluves poivrez que mon nez aimait découvrir.
Je découvrais ma bi-sexualité entrainant le divorce avec mon deuxième mari.
July m’a parfaitement fait découvrir les plaisirs féminins, surtout qu’elle possédait des godes de toutes les couleurs, de grosseurs variées.
Placé dans une ceinture, c’est moi qui devenais mâle avant que ce soit moi qui fasse la femelle.
Elle avait une autre particularité, elle était secrétaire de la fédération de billes, jeux qu’elle pratiquait tous les fins de semaine et où elle m’a initié.
Je suis rapidement devenue championne de la pichenette nous permettant de faire avancer nos billes dans une structure de sable avec des montés et des descentes.
L’été nous écumions les plages ou des concours avaient lieu avec les célèbres champions cyclistes dont le maillot jaune en plomb.
J’ai gagné deux fois la même année le tour de France des figurines de plomb et des billes, mieux que les coureurs français sur leurs vélos finissant difficilement dans les dix premiers du classement.
À ce jour, je suis divorcée, nous parlons mariage avec July, deux maris, une mariée, j’ignore ce que sera la fin de ma ville et ce que je vais découvrir comme sport de boules.
Il y a bien le curling, avec des pierres rondes, que l’on pousse sur la glace, mais il fait trop froid dans ces patinoires.
Alors, on verra, qui vivra verra.
Certaines lectrices ou lecteurs me demandent ou je vais chercher mes histoires !
Cette dernière, avant la suivante, l’idée m’en est venue grâce à une participante au jeu, « qui veut prendre sa place » le midi sur France 2.
Une candidate fort rigolote a expliqué ses deux mariages le premier avec un homme pratiquant la boule provençale avant de divorcer pour en épouser un deuxième jouant à la Lyonnaise.
Dès la fin du repas, je me suis mis devant mon clavier et en voici le résultat.
Quels films, quels jeux m’apporteront ma prochaine idée, je l’ignore, mais je sais que mon esprit va bien trouver l’idée prochaine pour vous faire plaisir.
Ces mots je les ai prononcés au moment de mon adolescence, ce fut la première fois où j’ai eu affaire avec des objets ronds.
À cette époque j’ignorais que dans leurs pantalons, ils avaient deux noisettes commençant à descendre dans leurs bourses.
Ces mots je les ai prononcés dans la cour de mon école lorsque j’ai innocemment voulu jouer avec les garçons.
• Va jouer ailleurs, les billes surtout celle en verre sont trop précieuses pour les prêter à des filles.
Va apprendre à langer tes poupées, ça te sera utile dans quelques années.
Je me suis senti frustrée et à mes dix-huit ans, j’ai suivi mon père et mon oncle, pour jouer en triplette avec des boules de compétitons de 700 grammes.
J’ai monté tous les paliers des boules à la provençale jusqu’à devenir finaliste malheureuse du célèbre concours de la Marseillaise à Marseille comme il se doit.
J’étais tireuse de notre trio et je touchais presque cent pourcents lorsqu’il fallait les enlever.
Ce jour-là, je prenais une revanche sur les jeunes cons qui m’avaient dit que les billes comme les boules s’étaient un jeu de garçon.
Sur les concours que nous faisions, j’étais une joueuse crainte, car nombreux et nombreuses, je leur ai fait embrasser le cul de Fanny à cause de mes tirs.
Souvent ce morceau de bois peint qui ornait les clubs où nous nous inscrivions me vengeait des jeunes cons lorsqu’ils avançaient leurs lèvres pour les embrasser.
Ce fut le cas à Aix-en-Provence ou Jacques, l’a embrassé alors que c’était l’un des cadors de la région.
Jacques, il avait vingt-huit ans, moi dix-neuf lorsque le soir au bal qui suivait le concours où il avait été la riser de tous ses amis, il m’a donné ses boules à sucer.
Pas du tout rancunier que nous lui ayons mis une branler, fanny en trois coups par mes tirs tous ayant fait mouche, il m’a cloué sous les fesses de Fanny.
J’ai toujours eu le doute qu’il m’a pris mon hymen comme une bête sous ce morceau de bois qu’il voulait se venger de lui leur avoir fait embrasser.
Mais rapidement il a respecté la tradition et a demandé à mon père s’il pouvait m’épouser.
En amour, certaines femmes passent d’un duo à un trio, se faisant baiser par un garçon et finissant en sandwich deux bites dans le vagin et l’anus.
Moi j’ai fait l’inverse, mais bien sûr à la pétanque seulement les pieds tanqués, quelle horreur évitez de penser que j’ai baisé avec papa et mon tonton.
J’ai quitté le jeu en triplette pour faire équipe avec mon mari en doublette.
Nous avions assez d’argent pour nous acheter un camping-car nous permettant de sillonner la France et de participer aux concours les plus rémunérateurs.
Nous avions des sponsors qui me suivaient, mon tir étant toujours aussi précis.
Principalement la marque de boule française, dont j’étais l’égérie.
Je tirais toute la journée et mon mari le faisait le soir me donnant énormément de plaisir.
J’étais passée des petites billes genre noisette aux noix et je m’en trouvais pleinement satisfaite, les jeunes cons de mon adolescence avaient qu’à bien se tenir.
Je rivalisais avec eux devenus adulte sur le terrain de tous, ce qui est rond.
Un jour mon principal sponsor, je jouais avec des boules de leur marque, bien connu en France m’ai proposé de venir jouer à la boule à la Lyonnaise.
Sport bien différent du jeu dit à la Provençal, j’ai accepté de m’entrainer avec Jacques.
Ce qui a été le plus difficile, c’étaient de coordonner mes mouvements entre courses et tirs.
Sans compter la grosseur des boules qui me remplissait la main.
La coordination des mouvements, c’était un peu comme, lorsque je fais des fellations à mon homme.
Au début, ce qui a été difficile, c’était de lui caresser les couilles tout en le masturbant, mouvement longiligne d’un côté, circulaire de l’autre.
Sans oublier les pompages de sa bite pour arriver à le faire éjaculer.
Mais lorsqu’on est doué pour les boules, on finit par y arriver et j’étais fin prête à jouer ce concours.
Pentecôte à Lyon, le temps jouait contre moi, il faisait froid, demi-finale tout de même contre Wiliam, son partenaire ayant peu d’intérêt pour moi j’ai oublié son nom.
Il faut dire qu’à la pétanque les noms sous lesquelles s’inscrivent les équipes surtout dans les concours interdits aux licenciés, étaient souvent étranges.
Nous les faisions tout de même de façon anonyme malgré ma notoriété lorsque aucun officiel pour nous faire un peu de fric.
Qui un samedi ou un dimanche crache sur 500 voire beaucoup plus alors que le Smic est à 1 500 € ?
Nous avions donc devant nous « Kéké et kéké », « les baleines » lorsque des équipes féminines avaient des gros culs.
Elle s’était facile de gagner, pour pointer, elles étaient incapables de se baiser au risque de faire éclater leur futal ou leur short.
J’entendais souvent des colibets dans leur dos, « Elles ont des culs à se faire enculer. »
Moi aussi j’entendais des colibets, « quel joli petit cul, » c’est bien plus agréable surtout qu’à ce jour, ma rosette était restée vierge sauf de la langue de Jacques me faisant des feuilles de rose.
Wiliam donc m’a battu sur le pré et sur son lit, habitant non loin de la place Bellecour à Lyon.
J’avais toujours été fidèle aux noix de Jacques, là sur son lit, je passais des fruits, noisettes et noix à de vraies balles de tennis.
Comme l’on dit, il était monté comme un taureau et lorsque je l’ai branlé, je devais prendre mes deux mains pour lui saisir l’une après l’autre ses deux couilles remplies de bons spermes.
En jouant, je voyais bien que son pantalon était bien prometteur, il avait du mal à la cacher lorsqu’il courait pour jeter sa boule.
Où était Jacques, après que je l’ai eu quitté au vin d’honneur, certainement bourré dans notre camping-car ?
J’extrapole, je l’ai retrouvé dans son vomi le lendemain lorsque je l’ai rejoint.
J’ai fait ma valise et j’ai quitté les lieux avec un petit mot sur l’arrière d’une affiche parlant de ce concours à la Lyonnaise.
« Je te quitte adieu, je divorce. »
Je suis retournée près de la verge de Wiliam, trente-cinq bons centimètres, certains fantasmes sur celle des noirs ma nouvelle est blanche et lorsqu’il me prend, chaque fois j’ai l’impression qu’il veut m’éclater l’utérus.
L’appartement avait un avantage, je me posais pour la première fois, bien sûr, Jacques m’a appelé pour me dire qu’il regrettait d’avoir trop bu et d’avoir dégueulé.
Ce que j’ai oublié de dire, c’était que c’était de plus en plus fréquent et que Wiliam en plus de sa grosse queue a su me faire partager sa passion pour la boule lyonnaise.
Je quittais donc la provençale pour la Lyonnaise et je l’épousais dès que ma rupture a été consommée devant un juge matrimonial.
On pourrait croire que les choses allaient en rester là.
J’avais trouvé l’homme de ma vie, le bon, comme certaines disent, hélas, est-ce moi ou eux, lui je l’ai retrouvé dans le lit de notre voisine.
Je la croisais de temps en temps sur le palier.
La première fois où je l’ai vu au bord d’un terrain de boules à la Lyonnaise, j’ignorais que j’étais déjà cocu et que c’était la queue de mon mari qu’elle venait voir jouer.
La provençale nous faisait vivre, la Lyonnaise il a fallu que je trouve un travail dans une usine de lingerie féminine, je piquais des strings pour femmes pendant huit heures.
Wiliam pointait au chômage, sur la machine voisine de la mienne, il y avait July, la rousse, c’est comme cela que toutes nous disions, car elle était « rousse » bien sûre et qu’elle s’appelait July.
C’est elle qui m’a hébergé avec ma valise lorsque rentrant à cause d’une migraine, j’avais mes règles qui une étaient très douloureuses.
Mes espoirs de grossesses étaient une nouvelle fois déçus, à croire qu’il y avait incompatibilité entre les boules de Wiliam et mes ovaires.
Ses boules, il les avait sorties et elle pendouillait tapant dans le cul de cette salope qui se faisait baiser en levrette.
Arrivant derrière eux sans qu’ils aient le temps de réaliser, j’ai saisi ses couilles et je les ai tordus jusqu’à la faire hurler de douleur
Je les aurais bien détachés de son corps et jetés par la fenêtre, faisant un carreau avec ses bijoues de famille.
Ça criait de partout aussi j’ai fait ma valise avant de tout déménager.
J’ai rejoint July, ma rousse, elle m’a ouvert, sa porte, son lit et son clitoris en forme de bille.
Dès le premier soir, je prenais une éclatante revanche sur ma jeunesse et la cour de l’école où les garçons ont refusé de jouer aux billes avec moi.
Son clito fort développé ressemblait à une de ces billes avec lesquelles j’aurais en plaisir de les tirer.
Ce sont mes lèvres qui l’ont attrapé et qui l’on fait rouler jusqu’à ce qu’il explose apportant à mon nez, les mille senteurs un peu fortes que la couleur de ses cheveux me promettait.
Sa chatte parfaitement entretenue était faite de ces mêmes effluves poivrez que mon nez aimait découvrir.
Je découvrais ma bi-sexualité entrainant le divorce avec mon deuxième mari.
July m’a parfaitement fait découvrir les plaisirs féminins, surtout qu’elle possédait des godes de toutes les couleurs, de grosseurs variées.
Placé dans une ceinture, c’est moi qui devenais mâle avant que ce soit moi qui fasse la femelle.
Elle avait une autre particularité, elle était secrétaire de la fédération de billes, jeux qu’elle pratiquait tous les fins de semaine et où elle m’a initié.
Je suis rapidement devenue championne de la pichenette nous permettant de faire avancer nos billes dans une structure de sable avec des montés et des descentes.
L’été nous écumions les plages ou des concours avaient lieu avec les célèbres champions cyclistes dont le maillot jaune en plomb.
J’ai gagné deux fois la même année le tour de France des figurines de plomb et des billes, mieux que les coureurs français sur leurs vélos finissant difficilement dans les dix premiers du classement.
À ce jour, je suis divorcée, nous parlons mariage avec July, deux maris, une mariée, j’ignore ce que sera la fin de ma ville et ce que je vais découvrir comme sport de boules.
Il y a bien le curling, avec des pierres rondes, que l’on pousse sur la glace, mais il fait trop froid dans ces patinoires.
Alors, on verra, qui vivra verra.
Certaines lectrices ou lecteurs me demandent ou je vais chercher mes histoires !
Cette dernière, avant la suivante, l’idée m’en est venue grâce à une participante au jeu, « qui veut prendre sa place » le midi sur France 2.
Une candidate fort rigolote a expliqué ses deux mariages le premier avec un homme pratiquant la boule provençale avant de divorcer pour en épouser un deuxième jouant à la Lyonnaise.
Dès la fin du repas, je me suis mis devant mon clavier et en voici le résultat.
Quels films, quels jeux m’apporteront ma prochaine idée, je l’ignore, mais je sais que mon esprit va bien trouver l’idée prochaine pour vous faire plaisir.
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