COLLECTION HISTOIRE COURTE. Joueuse de poker (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Joueuse de poker (1/1)
Jouer au poker, c’est un jeu que je connais grâce à Patrick Bruel quand mon beau-père regardait une chaîne retransmettant les parties de Las Vegas.
Les World séries of poker sont le but principal de ses joueurs arrivant du monde entier.
Le fric que ça rapporte, mais aussi un bracelet porté par le champion du monde.
J’ai rapidement compris que certains poursuivaient ce but avant de penser à l’argent procuré lorsqu’ils gagnent.
Mon beau-père, Jean est lui-même joueur de poker.
Principalement la version, Texas Holdem, jeu inventé par les Américains pour être plus télégénique que le poker classique joué dans les films de gangsters de 1900.
Du moins c’est ce que je crois.
Jean, je l’appelle Jean, impossible de lui dire, papa.
Il vit à la colle avec ma mère depuis mes 5 ans.
C’est au moment où mon père génétique est parti sans laisser d’adresse, qu’il m’est apparu.
Maman à 45 ans et lui 35.
Dans nos grands immeubles les cloisons sont si fines, que je les entends comme si j’étais au pied de leur lit.
Je comprends qu’elle doit aimer, aux cris qu’elle pousse quand il la baise sauvagement.
À 20 ans, je suis encore vierge.
Ils sont tellement précis dans leurs descriptions de leurs rapports que je connais la plupart des positions les plus salaces qui se font en amour.
Jusqu’à la sodomie qu’ils pratiquent régulièrement.
• Encule-moi, tu sais, j’adore ça.
Eh oui, ces ce que j’entends, par la même j’apprends que cette partie de mon corps sert aux hommes pour satisfaire leurs envies, maman hurlant quand il entre par cette porte.
Depuis ma puberté, j’ai pris l’habitude de caresser le haut de ma chatte, ça, c’est seule que je l’ai trouvé.
Mais depuis par la paroi, j’apprends que ce bouton que je caresse, est mon clitoris.
Un jour ma mère m’a appris ce mot et depuis je l’ai entendue de nombreuses fois.
• Bouffe-moi le clitoris, mon bouton est à toi.
C’est la deuxième fois que je comprends de quel bouton elle parle.
• Ma fente ruisselle, ma petite bite attend ta bouche.
Bite, j’ai phosphoré, à la partie haute de ma chatte, j’ai, moi aussi cette excroissance ressemblant à une petite bite.
Plus je la caresse plus je jouis, toute seule j’ai trouvé mon clitoris.
Revenons au poker, je regarde tellement ce jeu, que, rapidement j’en comprends tous les arcanes.
J’arrive même à critiquer les joueurs qui neuf fois sur dix me donnent raison.
Ils perdent leur pognon et se lèvent de la table, la queue basse.
Pardon, « la tête basse, » surtout qu’il y a des femmes qui pratiquent ce jeu.
Dit-on, « le clito bas » !
• Adèle, Josiane est prête, elle me bas à tous les coups en tête à tête.
Je l’emmène à mon club, elle va battre les meilleurs d’entre nous.
C’est ainsi que je me retrouve autour d’une table avec huit autres joueurs.
Je bats Jean, pour perdre mon tapi, trois tours plus tard.
Je vois Charles le grand cador de leur club parler à mon beau-père, lui montrant un carnet et me regardant en même temps.
C’est trois semaines plus tard que je comprends ce qu’ils se sont dit.
Jean vient encore de perdre.
• Josiane, je peux t’avouer quelque chose.
• Bien sûr, on est devenu amis.
• Tu vois notre champion, il est amoureux de toi, mais est trop timide pour te le dire.
Il aimerait t’inviter au resto demain !
Je dois dire que je fonce tout droit dans ce piège.
Se masturber ces biens, mais quand j’entends ma mère hurler de plaisir, sauf pour la sodomie, pourquoi pas lui.
Franchir le pas, perdre mon pucelage avec cet homme la cinquantaine, mais qui reste une vraie gravure de mode, j’accepte.
• Tu viens dans ma chambre !
Comment dire « non » après le repas qu’il m’a payé, j’ai vu sortir sa carte or qui a dû chauffer ?
C’est très timide, cet homme m’impressionnant et ayant de faux airs de Patrick, que je me laisse déshabiller.
J’ai joué aux baisers mouillés avec des copains au lycée, mais quand sa bouche rejoint ma bouche, c’est une vraie midinette qu’il a dans ses bras.
Je suis maladroite, mais sa langue tournant sur la mienne à vite fait de me faire couler surtout quand il place deux doigts à l’intérieur de mon vagin.
Il finit par me coucher sur son lit.
J’ai les jambes ouvertes à leur maximum, je prends la verge qu’il a sortie de son pantalon et c’est moi qui me poignarde, surtout quand il donne un grand coup de rein.
Je dois faire partie des filles qui prenne du plaisir qu’avec du sentiment profond car rapidement je compte les mouches au plafond.
Mes copines l’ayant fait avant moi me parlaient d’un grand frisson, de mes yeux qui devraient se révulser, bref, je devais jouir.
Il décharge son sperme en moi sans rien de plus de mon côté.
Je suis bonne élève, toute la nuit il me prend plusieurs fois.
Il me place à quatre pattes, son sexe touche mon anus, je donne un coup de cul, il comprend que ce passage restera vierge.
Un seul moment de plaisir, c’est quand il me retourne et me la met dans ma bouche, il gicle plusieurs fois, je dois reconnaître que le goût du sperme est agréable.
La semaine suivante, deux de mes futurs adversaires à la table qui va débuter semblent se foutre de moi.
Ils boivent un whisky au bout du bar où nous nous réunissons.
Je les rejoins, j’ai horreur de cette manière de faire.
• C’est moi qui paye, j’aimerais savoir.
• Non, c’est nous, Charles fait courir le bruit que tu as recavé ton beau-père toute la nuit et qu’il t’a dépucelé.
Recavé, depuis que je fais du poker, ce mot à une signification bien précise.
• Si tu perds ou s’il perd, on est prêt à vous recaver, ton petit cul nous plait autant qu’il a plu à Charles.
C’est en pleurs que je me sauve, j’ai compris ce qui s’était passé la semaine dernière.
Jean reste là sachant certainement que ses copains m’ont mis au courant.
C’est le lendemain après avoir pleuré toute la nuit sans que maman entende, me voyant mal lui expliqué comment et pourquoi mon beau-père m’a piégé.
La connaissant et comme nous sommes un peu chien et chat, pardon « chienne et chatte », c’est lui qui trouvera une manière de présenter ce qui m’est arrivé et elle lui donnera raison.
Au matin, elle retourne à son travail à l’hôpital.
• Tu es là Josiane, je vais t’expliquer.
Il est dans ma chambre, j’ai oublié de fermer ma porte à clef, il est nu, sa verge est plus grosse que celle de Charles.
Je peux comparer, j’ai eu la première dans ma bouche.
Dans sa main un sac en papier.
• Fait moi une place.
• Je vais le dire à maman, tu m’as considéré comme une pute.
• Pas le moindre au monde, si j’avais refusé, ils me faisaient du chantage et ils nous interdisaient toutes les tables de poker de France.
Mais je suis ici pour te montrer ce que j’ai dans ce sac.
Il l’ouvre jetant sur mon lit des poignées de billets la plupart des coupures de 200 mais il y en a quelques-uns de 500 et commence à m’expliquer.
• Tu es parti, on s’est installé, j’avais bien vu que les deux types t’avaient vexé.
Je les avais déjà vus une fois et c’est vrai que Charles a effacé mon ardoise quand tu es sortie avec lui.
Mon deal pour qu’il efface mon ardoise était simplement que je te demande de sortir avec lui.
J’ai appris, moi aussi par un ami que Charles se vantait de m’avoir recavé après t’avoir dépucelée comme si tu étais un vulgaire morceau de viande.
Quatre, nous sommes restés à quatre.
Les deux hommes et Charles.
La rage était en moi, mais une rage salutaire en aucun cas une rage froide m’ayant fait perdre mes moyens.
Quand ils sont tombés l’un après l’autre, mon regard leur a fait comprendre pourquoi ils avaient perdu.
Restait Charles, je le tenais principalement pour responsable d’avoir fait courir le bruit que j’étais un maquereau qui était prêt à vendre sa belle-fille pour pouvoir continuer à jouer.
Sais-tu avec quoi je l’ai battu ?
• Une paire de 2 !
• Exact et qu’avait-il en main !
• Une paire d’as au moins.
• Exact, il restait la river.
J’ai monté les enchères avant de voir, le regardant fixement sans sourciller.
• Il a suivi !
• Encore exact.
À ce moment, qu’ai-je fait?
• Tu as fait all-in, tapis.
• Encore exact.
Et Charles !
• Il a fait, lui aussi tapi.
• Non, il a appelé le patron pour se recaver avant de suivre.
• La river était un 2.
Brelan, tu as gagné !
• Exact, je lui ai dit que la prochaine fois, c’est toi qui serais prête à le recaver.
Merde, te raconter, comment je t’ai vengé, ça me fait bander.
• Dommage pour toi, tu attendras ce soir que maman revienne.
Voilà comment je suis devenue riche avec maman et mon beau-père en plaçant l’argent dans des actions solides.
Depuis ?
Je continue à jouer, mais sur Internet avec des jetons offerts.
Peu d’adversaires sont capables de me battre.
J’ai rencontré Patrick Bruel, le jour de mon mariage avec Éric.
Il était invité par mon futur mari qui est batteur dans des orchestres.
Je lui ai raconté mon histoire, nous avons bien rigolé.
Un détail, mon mari a horreur du jeu et le contrat que j’ai signé est de jouer comme je le fais afin d’éviter de recaver un autre joueur.
Un mot de sexe, impeccable.
Ça vous suffit.
Les World séries of poker sont le but principal de ses joueurs arrivant du monde entier.
Le fric que ça rapporte, mais aussi un bracelet porté par le champion du monde.
J’ai rapidement compris que certains poursuivaient ce but avant de penser à l’argent procuré lorsqu’ils gagnent.
Mon beau-père, Jean est lui-même joueur de poker.
Principalement la version, Texas Holdem, jeu inventé par les Américains pour être plus télégénique que le poker classique joué dans les films de gangsters de 1900.
Du moins c’est ce que je crois.
Jean, je l’appelle Jean, impossible de lui dire, papa.
Il vit à la colle avec ma mère depuis mes 5 ans.
C’est au moment où mon père génétique est parti sans laisser d’adresse, qu’il m’est apparu.
Maman à 45 ans et lui 35.
Dans nos grands immeubles les cloisons sont si fines, que je les entends comme si j’étais au pied de leur lit.
Je comprends qu’elle doit aimer, aux cris qu’elle pousse quand il la baise sauvagement.
À 20 ans, je suis encore vierge.
Ils sont tellement précis dans leurs descriptions de leurs rapports que je connais la plupart des positions les plus salaces qui se font en amour.
Jusqu’à la sodomie qu’ils pratiquent régulièrement.
• Encule-moi, tu sais, j’adore ça.
Eh oui, ces ce que j’entends, par la même j’apprends que cette partie de mon corps sert aux hommes pour satisfaire leurs envies, maman hurlant quand il entre par cette porte.
Depuis ma puberté, j’ai pris l’habitude de caresser le haut de ma chatte, ça, c’est seule que je l’ai trouvé.
Mais depuis par la paroi, j’apprends que ce bouton que je caresse, est mon clitoris.
Un jour ma mère m’a appris ce mot et depuis je l’ai entendue de nombreuses fois.
• Bouffe-moi le clitoris, mon bouton est à toi.
C’est la deuxième fois que je comprends de quel bouton elle parle.
• Ma fente ruisselle, ma petite bite attend ta bouche.
Bite, j’ai phosphoré, à la partie haute de ma chatte, j’ai, moi aussi cette excroissance ressemblant à une petite bite.
Plus je la caresse plus je jouis, toute seule j’ai trouvé mon clitoris.
Revenons au poker, je regarde tellement ce jeu, que, rapidement j’en comprends tous les arcanes.
J’arrive même à critiquer les joueurs qui neuf fois sur dix me donnent raison.
Ils perdent leur pognon et se lèvent de la table, la queue basse.
Pardon, « la tête basse, » surtout qu’il y a des femmes qui pratiquent ce jeu.
Dit-on, « le clito bas » !
• Adèle, Josiane est prête, elle me bas à tous les coups en tête à tête.
Je l’emmène à mon club, elle va battre les meilleurs d’entre nous.
C’est ainsi que je me retrouve autour d’une table avec huit autres joueurs.
Je bats Jean, pour perdre mon tapi, trois tours plus tard.
Je vois Charles le grand cador de leur club parler à mon beau-père, lui montrant un carnet et me regardant en même temps.
C’est trois semaines plus tard que je comprends ce qu’ils se sont dit.
Jean vient encore de perdre.
• Josiane, je peux t’avouer quelque chose.
• Bien sûr, on est devenu amis.
• Tu vois notre champion, il est amoureux de toi, mais est trop timide pour te le dire.
Il aimerait t’inviter au resto demain !
Je dois dire que je fonce tout droit dans ce piège.
Se masturber ces biens, mais quand j’entends ma mère hurler de plaisir, sauf pour la sodomie, pourquoi pas lui.
Franchir le pas, perdre mon pucelage avec cet homme la cinquantaine, mais qui reste une vraie gravure de mode, j’accepte.
• Tu viens dans ma chambre !
Comment dire « non » après le repas qu’il m’a payé, j’ai vu sortir sa carte or qui a dû chauffer ?
C’est très timide, cet homme m’impressionnant et ayant de faux airs de Patrick, que je me laisse déshabiller.
J’ai joué aux baisers mouillés avec des copains au lycée, mais quand sa bouche rejoint ma bouche, c’est une vraie midinette qu’il a dans ses bras.
Je suis maladroite, mais sa langue tournant sur la mienne à vite fait de me faire couler surtout quand il place deux doigts à l’intérieur de mon vagin.
Il finit par me coucher sur son lit.
J’ai les jambes ouvertes à leur maximum, je prends la verge qu’il a sortie de son pantalon et c’est moi qui me poignarde, surtout quand il donne un grand coup de rein.
Je dois faire partie des filles qui prenne du plaisir qu’avec du sentiment profond car rapidement je compte les mouches au plafond.
Mes copines l’ayant fait avant moi me parlaient d’un grand frisson, de mes yeux qui devraient se révulser, bref, je devais jouir.
Il décharge son sperme en moi sans rien de plus de mon côté.
Je suis bonne élève, toute la nuit il me prend plusieurs fois.
Il me place à quatre pattes, son sexe touche mon anus, je donne un coup de cul, il comprend que ce passage restera vierge.
Un seul moment de plaisir, c’est quand il me retourne et me la met dans ma bouche, il gicle plusieurs fois, je dois reconnaître que le goût du sperme est agréable.
La semaine suivante, deux de mes futurs adversaires à la table qui va débuter semblent se foutre de moi.
Ils boivent un whisky au bout du bar où nous nous réunissons.
Je les rejoins, j’ai horreur de cette manière de faire.
• C’est moi qui paye, j’aimerais savoir.
• Non, c’est nous, Charles fait courir le bruit que tu as recavé ton beau-père toute la nuit et qu’il t’a dépucelé.
Recavé, depuis que je fais du poker, ce mot à une signification bien précise.
• Si tu perds ou s’il perd, on est prêt à vous recaver, ton petit cul nous plait autant qu’il a plu à Charles.
C’est en pleurs que je me sauve, j’ai compris ce qui s’était passé la semaine dernière.
Jean reste là sachant certainement que ses copains m’ont mis au courant.
C’est le lendemain après avoir pleuré toute la nuit sans que maman entende, me voyant mal lui expliqué comment et pourquoi mon beau-père m’a piégé.
La connaissant et comme nous sommes un peu chien et chat, pardon « chienne et chatte », c’est lui qui trouvera une manière de présenter ce qui m’est arrivé et elle lui donnera raison.
Au matin, elle retourne à son travail à l’hôpital.
• Tu es là Josiane, je vais t’expliquer.
Il est dans ma chambre, j’ai oublié de fermer ma porte à clef, il est nu, sa verge est plus grosse que celle de Charles.
Je peux comparer, j’ai eu la première dans ma bouche.
Dans sa main un sac en papier.
• Fait moi une place.
• Je vais le dire à maman, tu m’as considéré comme une pute.
• Pas le moindre au monde, si j’avais refusé, ils me faisaient du chantage et ils nous interdisaient toutes les tables de poker de France.
Mais je suis ici pour te montrer ce que j’ai dans ce sac.
Il l’ouvre jetant sur mon lit des poignées de billets la plupart des coupures de 200 mais il y en a quelques-uns de 500 et commence à m’expliquer.
• Tu es parti, on s’est installé, j’avais bien vu que les deux types t’avaient vexé.
Je les avais déjà vus une fois et c’est vrai que Charles a effacé mon ardoise quand tu es sortie avec lui.
Mon deal pour qu’il efface mon ardoise était simplement que je te demande de sortir avec lui.
J’ai appris, moi aussi par un ami que Charles se vantait de m’avoir recavé après t’avoir dépucelée comme si tu étais un vulgaire morceau de viande.
Quatre, nous sommes restés à quatre.
Les deux hommes et Charles.
La rage était en moi, mais une rage salutaire en aucun cas une rage froide m’ayant fait perdre mes moyens.
Quand ils sont tombés l’un après l’autre, mon regard leur a fait comprendre pourquoi ils avaient perdu.
Restait Charles, je le tenais principalement pour responsable d’avoir fait courir le bruit que j’étais un maquereau qui était prêt à vendre sa belle-fille pour pouvoir continuer à jouer.
Sais-tu avec quoi je l’ai battu ?
• Une paire de 2 !
• Exact et qu’avait-il en main !
• Une paire d’as au moins.
• Exact, il restait la river.
J’ai monté les enchères avant de voir, le regardant fixement sans sourciller.
• Il a suivi !
• Encore exact.
À ce moment, qu’ai-je fait?
• Tu as fait all-in, tapis.
• Encore exact.
Et Charles !
• Il a fait, lui aussi tapi.
• Non, il a appelé le patron pour se recaver avant de suivre.
• La river était un 2.
Brelan, tu as gagné !
• Exact, je lui ai dit que la prochaine fois, c’est toi qui serais prête à le recaver.
Merde, te raconter, comment je t’ai vengé, ça me fait bander.
• Dommage pour toi, tu attendras ce soir que maman revienne.
Voilà comment je suis devenue riche avec maman et mon beau-père en plaçant l’argent dans des actions solides.
Depuis ?
Je continue à jouer, mais sur Internet avec des jetons offerts.
Peu d’adversaires sont capables de me battre.
J’ai rencontré Patrick Bruel, le jour de mon mariage avec Éric.
Il était invité par mon futur mari qui est batteur dans des orchestres.
Je lui ai raconté mon histoire, nous avons bien rigolé.
Un détail, mon mari a horreur du jeu et le contrat que j’ai signé est de jouer comme je le fais afin d’éviter de recaver un autre joueur.
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