COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’infirmière (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’infirmière (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’infirmière (1/1)
- Paulo, c’est Chris, connais-tu une infirmière ?
- Comme l’était Paula ?
- Oui, avant de partir avec son mec sur la côte, elle savait faire ce qu’il faut.
- La Rothschild, c’est toi !
- Tu as compris, quelquefois les murs ont des oreilles, tu as ce qu’il faut, j’ai de quoi la payer.
- Je t’envoie une jeune voisine, en plus d’être canon, elle vient de s’installer et galère pour trouver une clientèle.
- Tu as mon adresse, je l’attends !

Comme je viens de le dire, je m’appelle Chris, métier braqueur de banque, mon mode opératoire est toujours le même, moto, arrêt devant la banque, j’entre, je menace et après je remplis mon sac à dos.
Ce matin c’est à deux pas de l’Élysée que j’ai braqué, qui aurait pensé qu’un fêlé comme moi oserait s’attaquer à cette banque dans un quartier grouillant de flics.
J’avais tout calculé hormis qu’un agent de sécurité viendrait remettre une mallette pour son patron.
Il était armé et quand je m’enfuyais il a tiré quand un employé est sorti pour crier.

« Au voleur »
Il m’a touché, mais la balle est entrée dans le gras du bide et est ressortie.
J’aurais dû être mort, mais par chance, j’entends encore le bruit sec quand il a appuyé sur la détente, mais j’étais déjà à 50 mètres quand j’ai compris que son arme s’était enrayée.
Ma moto est cachée dans mon garage dans le pavillon que j’ai hérité à la mort de mes parents.
À ce jour dix braquages tous sans inconvénient majeur, sauf aujourd’hui où on m’a touché.
J’ai eu de la chance, j’ai attrapé la mallette au passage.
L’argent étant fait pour changer de main, mon sac à dos rempli de 1850 €, la mallette de 426 000, je peux voir venir surtout que les billets sont tous de série et de numéros différents, impossibles de pister par la police.

- Entrez mademoiselle, venez dans ma chambre, il va falloir que vous interveniez alors que je serais allongé.

Le trou fait par la balle même si elle est ressortie m’a transpercé sur une profondeur de 5 centimètres dans le gras, mais ça saigne et j’ai besoin d’antiseptique et surtout de point de suture.
Paulo travaille dans le milieu médical, c’est pratique, car depuis que je le connais il m’approvisionne en champs stériles, fils et aiguilles à coudre pour faire des points et compresses.

- Comment dois-je vous appeler, Paulo ne me l’a pas dit ?
- Virginia.
- Tu as 20 ans, je m’appelle Chris, j’ai 25 ans.
- 21, je savais votre nom, votre ami me l’a donné quand il m’a contacté.

C’est vrai qu’elle est jolie, blonde aux yeux bleus.
Si je l’avais connue dans d'autres circonstances dans un pub par exemple, moi qui suis aussi beau gosse, c’est la première à qui j’aurais offert un verre.

- Quelle intervention votre médecin souhaite que je pratique ?

Je m’allonge, j’enlève mon tee-shirt faisant apparaître ma blessure sur laquelle, j’ai mis des compresses qu’elle enlève.

- Mais c’est un trou de balle que vous avez là !

Il faut que vous alliez vous faire déclarer à l’hôpital.
Si je tente de vous soigner, je deviens complice et je risque au minimum de perdre mon autorisation d’exercer.
Ça c’est un minimum, je risque comme vous de faire de la prison.
Je sors une liasse de billets que j’ouvre devant elle de dessous mon oreiller.

- 1 000 €, j’ai tout ce qu’il faut pour que vous me soigniez.

Tout le monde ignorera que c’est vous qui m’avez réparé.

- Vous êtes gentil, 1 000 € c’est à peu près ce que je dégage comme salaire, chaque mois.

Pourquoi voulez-vous que je prenne des risques pour doubler le salaire d’un mois.

- Ok, voilà 2 000 € et vous aurez le double quand vous m’aurez remis en état.

Vous avez la garantie que si ma parole était creuse, vous pourriez déposer mon adresse dans une lettre anonyme à la police qui aura facile à m’arrêter.
Je vois que j’ai gagné quand elle met mes billets dans sa petite valise d’infirmière, elle sort une paire de gants en latex.

- Regardez dans cette armoire, vous trouverez tout ce dont vous aurez besoin.

J’ai besoin de vous pour le trou derrière mon dos, devant je pouvais me recoudre moi-même et je suis sûr que vos jolies mains de femmes vont me faire de jolies boutonnières.

Elle me recoud avec une anesthésie locale qui fait partie de ce que Paulo m’a vendu.
J’avais raison, je vois les trois points qu’elle m’a faits devant, comme une bonne couturière elle a fait un travail très soigné.
Pour cela, elle se penche me montrant sa paire de mappemondes que je vois dans son décolleté et qui repose sur un soutien-gorge demi-lune s’arrêtant à la pointe de ses seins.
Malgré les circonstances, je sens ma queue commencer à se durcir.

- Êtes-vous vacciné contre le tétanos ?
- Je l’ignore, j’ai un ami qui me fournit en matériel, je vais lui demander.
- Inutile, je vais aller chercher un vaccin, je passerai chez un médecin de mes amis qui me fournira une ordonnance.

Je la vois partir, c’est le moment le plus risqué de mon aventure, soit elle est franche du collier, soit elle me donne à la maréchaussée.

- Je peux entrer !

C’est Virginia qui vient d’ouvrir la porte et qui entre dans ma chambre.
Elle enlève son manteau, sa blouse s’ouvre, un bouton ayant sauté, un de ses seins m’apparaît.
Il est beau et semble bien ferme.

- Excusez, ces boutons ils sautent toujours.

Elle referme sa blouse.

- Chris, c’est Christian ou Christophe.
- Loupé, c’est Christopher, mon père était texan.
- Mais vous bandez à la simple vue de mon sein ?
- Et ton joli petit cul.
- Tu viens de me montrer que je pouvais te faire confiance, si tu m’avais donné aux flics, ils seraient déjà là.

Je l’ai tutoyée, elle me tutoie en retour.

- Cache cette bosse, montre tes fesses que je te fasse ta piqûre.

Autoritaire avec ça, mais j’aime les femmes qui ont du chien, Virginia semble en avoir à revendre.

- Dis merci pour la piqûre, mais regarde, je dois faire du priapisme.

Je me suis retourné sans remonter mon boxer, me faisant mal à mes cicatrices, mais c’est supportable.

- C’est vrai elle est belle, je suis infirmière, pas pute, j’ai une cousine qui pourrait te rendre ce service.

Je lui saisis la main et la pose sur ma verge.

- Tu sais être persuasif, j’ai un peu de temps, je débute comme infirmière et j’ai encore peu de clients.

Elle est infirmière et aurait pu être pute comme sa cousine.
Elle se penche et commence à me sucer.
Je passe ma main dans sa blouse et empoigne un de ses seins, il réagit, la fraise apparue tout à l’heure, double de volume dès l’afflux de sang comme il pulse dans ma verge.
Je la délaisse un instant pour me glisser en dessous.
Elle ruisselle, une femme qui mouille comme elle, est presque dans votre lit.

Elle me suce divinement, elle écarte même légèrement ses jambes pour que je la caresse plus profondément.
Je sens qu’elle est loin d’être vierge, sa chatte s’ouvrant facilement à ma pénétration.
Elle me relâche un instant.

- Je sens que tu as envie de me baiser mais il est trop tôt rapport à ta blessure.
Je vais faire retomber ta tension et nous irons sur ton lit quand je jugerais que tu es bien guéri.
Ce sera 100 € chaque jour.
Attention, je sais que tu me dois 4 000 € quand tu seras guérie.
Inutile de croire que tu as fait de moi ta pute.
- Embrasse-moi avant de me finir, pas ma pute mais mon infirmière particulière, tes autres clients, terminés.

Dix jours à me sucer.
Dix jours à faire gicler mon sperme ou l’avaler.
Dix jours avant de la prendre sur la table après qu’elle a enlevé mes points de suture.
Elle voulait que j’attende que tout soit consolidé.
Sa chatte entièrement épilée, mais ça mes doigts l’avaient déjà senti quand je la caressais, se donne à moi comme aucune chatte ne s’est donnée.
Comme prévu, elle refuse tout client.

En ce moment, nous sommes au soleil à Tahiti, mollement allongés sur le sable noir de la plage de notre hôtel.
J’ai appris à Virginia à conduire une moto en faisant le tour de l’île chaque jour.
Notre but est loin de voir le trou du souffleur, mais de nous sauver de Papeete le plus vite possible pour nous réfugier au centre de l’île dans une cabane que j’ai repérée.
Quand on braque, surtout sur une île, il faut savoir protéger ses arrières.
La banque que nous avons repérée, qui reçoit la plupart des recettes des supermarchés et la paye d’une usine tous les vingt-cinq du mois, est loin d’être une forteresse imprenable.

Ce dont je suis certain c’est que notre coup fait, dans cette cabane, la montée de notre adrénaline surtout pour Virginia qui sera montée à son premier braquage fera d’elle une folle du cul qu’elle est déjà.

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