COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le coup de téléphone fatidique (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le coup de téléphone fatidique (1/1)
Mariée depuis deux ans à Vivian, c’est avec stupeur qu’un jour je reçois un coup de téléphone d’une femme jeune me disant que mon mari me trompe et qu’ils vont refaire leur vie ensemble.
Je lui demande une preuve de ce qu’elle affirme.
• Tu attends ce soir, son retour, il va prétexter une réunion extraordinaire pour partir en Angleterre dès ce vendredi soir.
Et la fille raccroche.
Dès que Vivian arrive, ma première réaction est de lui parler du coup de téléphone bizarre reçu.
Je viens juste d’ouvrir la bouche quand son téléphone sonne, avant que j’aie le temps d’émettre un son.
• Allô, oui, vous rigolez et en Angleterre en plus, je vous aie dit tout à l’heure que le week-end s’était avec ma femme.
Un blanc et je suis incapable d’entendre.
• Je comprends, vous faites du chantage, mon avion est dans moins d’une heure sinon ma place est en jeu.
Que dois-je dire à mon épouse ?
Un blanc.
• Je dois lui parler de sa vie harmonieuse grâce à ma paye et que tout peut changer, car la liste des personnes ayant mon CV a la longueur de votre bras !
Qu’elle m’aura pour elle toute seule dimanche après midi.
Un blanc.
• Bref, vous avez choisi pour moi, c’est l’Angleterre ou la porte patron.
Un blanc.
• Vous m’avez choisi pour mes compétences et mon ambition, bien patron.
Le salaud, il a raccroché. Chérie, il faut que l’on discute.
Pourquoi à ce moment-là je le regarde incrédule et que j’occulte le coup de téléphone de cette fille ?
• Prépare-moi ma valise, chérie, je suis contraint de te laisser seule jusqu’à dimanche.
Une idiote, je suis une idiote, je vais tout préparer et je le vois partir après un simple baiser sur le bout du nez.
Toute la nuit et toute la matinée, je tourne comme une lionne en cage me demandant quelle salope, il est en train de baiser, jusqu’au moment où je prends la décision de rejoindre un bar non loin de mon logement où je passe régulièrement lorsque je vais acheter mes sous-vêtements affriolant pour plaire à ce saligaud qui me trompe.
Chaque fois que je passe devant, je vois entrer ou sortir des filles avec des hommes sentant les filles libérées.
Il est parti me tromper pourquoi je resterais sage alors que je peux me choisir un amant à la hauteur de ma beauté et surtout de mon cerveau.
Je compte sur mon short ras ma foufoune très peu exploitée, car j’ai été dépucelée par Vivian, le soir de nos noces.
• Alors joli petit lot, tu cherches un mâle très viril, tu viens de le trouver.
C’est comme cela que j’ai fait la connaissance de Théo très beau gosse d’une trentaine d’années.
• Tu prends un verre ?
• Jamais d’alcool, lorsque l’on me baise, j’aime être lucide pour mieux sentir la verge qui me défonce, tu en es ?
Presque pucelle, je pense que me faire passer pour une salope cherchant à se faire satisfaire très rapidement me permet d’entrer dans un cercle vicieux qui peut bien m’échapper.
• J’ai une piaule non loin d’ici, tu veux que j’invite mon pote Léo que tu vois là près de moi et qui peut m’aider à satisfaire tes besoins qui semblent très grands ?
• Lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux, pourquoi pas.
En prononçant ces mots, je prends conscience de l’énormité de ce que je propose à ces hommes.
Moi qui connais principalement la position du missionnaire, je viens de leur proposer de me prendre en sandwich, en me sodomisant alors que ma rosette est neuve de toute pénétration.
Chose dite, il paye et lorsque les hommes sortent, je les suis. Ils me prennent bras dessus, bras dessous, je fais déjà le sandwich.
Nous parcourons moins de cent mètres quand Théo entre dans un immeuble où nous montons au deuxième étage.
Il me fait entrer dans un appartement de célibataire mal rangé et où les meubles ont leur poussière d’origine certainement d'une dizaine d’années.
C’est à ce moment que la panique me prend et que l’envie de fuir devient irrésistible.
Trop tard, une main me saisit le bras et m’entraîne dans la chambre qui est dans le même état que le reste de l’appartement.
• Tu peux m’excuser.
Si j’avais su qu’une poulette de ton calibre viendrait se faire prendre dans nos filets, j’aurais changé les draps.
Sans ménagement il me fait tomber sur le lit et commence à défaire son ceinturon.
• Mets-toi à poil ou veux-tu que Léo le fasse ?
Coincée, j’enlève mon chemisier noué sous mes seins et qui les fait apparaître, ayant volontairement oublié de mettre le moindre soutien-gorge.
Idem pour le short où ma chatte impeccablement rasée dans mon salon de beauté où je vais une fois par mois n’est recouverte d’aucune petite culotte.
• Léo, vas-y, chauffe-la, je sens qu’elle va trouver ce qu'elle est venue chercher.
Pour voir, je vois. Léo est plus caressant que Théo qui vient nous rejoindre après un certain temps.
Temps, où Léo me caresse les seins, les prend en bouche et les suce sans oublier de mordiller leur pointe, me faisant couler la chatte dans une envie qu’ils me prennent pendant des heures, ne suis-je pas en train de me venger !
Il m’arrive de me caresser lorsque je suis seule, mais là, même avant qu’ils me pénètrent ma vulve leur procure de grandes quantités de sécrétions qui semblent leur faire plaisir.
Non seulement je baise comme une folle avec deux hommes, mais en plus mes connaissances du Kama Sutra s’enrichissent de quelques termes et positions qu’ils semblent connaître.
Pour stimuler mon clito, ce que je pratique avec Vivian, le missionnaire, Léo me prend comme un lotus et là il est vrai que mon clito s’embrase.
Le célèbre 69 que je fais avec Théo suçant par la même occasion ma première bite.
La fleur éclatée fatigante pour les bras de celui qui vous prend.
Celui qui reste à la maison, très fatigant pour mes propres bras.
Et puis ils me prennent avec des positions dont le nom leur est inconnu, mais qui me font partir et éclater trois ou quatre fois dans des orgasmes dévastateurs.
J’entends parler de cuillère, mais pour finir Léo s’allonge, sa queue est plus petite que celle de Théo qui lui m’offre un gros bâton bien noueux.
Il s’allonge, on me fait m’empaler et alors que je bouge en rythme pour une nouvelle fois éclatée, Théo se positionne et avant que je ne comprenne ce qui m’arrive, il me sodomise.
Surprise pour moi, car si un 69 était une nouveauté, que dire de cette sodomie que j’étais loin d’avoir prévue lorsque j’ai décidé de tromper Vivian, ce salaud qui s’éclate dans la chatte d’une salope d’anglaise.
Cette femme rosbif, insulte suprême pour moi qui ai été sélectionnée aux Jeux Olympiques, et qui sans leur vol aurait dû avoir lieu en France, si les votes avaient été réguliers.
J’ai dû prendre le bateau avec un mal de mer qui m’a vidé et qui a permis à une anglaise de me battre en finale.
Donc, je subis ma première sodomie et je dois reconnaître que cette double pénétration me donne bien du plaisir.
Lorsqu’ils jugent qu’il est temps pour eux de décharger, je reçois de grandes giclées des deux côtés, me procurant un dernier orgasme.
• Allez ma belle, fiche le camp, je crois que tu as reçu ce que tu étais venue chercher, Léo et moi nous avons un petit travail à faire.
Habillée, je fais le chemin en sens inverse, je rejoins mon domicile, satisfaite d’un côté d’avoir trompé Vivian, en me vengeant de sa propre tromperie et de la bonne partie de baise que mes deux amants m'ont fait passer.
Je ressors de cette expérience avec une connaissance du sexe nettement supérieure à celle que j’avais en entrant dans le bar.
Le dimanche matin après une nuit agitée, étant nettement moins sûre que ce que j’ais fait la veille était la meilleure des décisions prise dans ma jeune vie.
J’attends mon mari pour lui donner bien du plaisir espérant rattraper la bêtise que je suis sûre d’avoir faite.
Je sais que je l’ai entendu dire au téléphone qu’il m’aurait toute l’après-midi, mais à aucun moment, il n’a parlé de l’heure exacte de son retour.
Je tourne comme une lionne en cage allumant puis éteignant la télévision sur une chaîne bien connue d’informations jusqu’à ce qu’un flash annonce.
« Arrestation de deux braqueurs hier au soir. Ces deux hommes dont vous voyez les portraits fournis par la police sont des récidivistes, ils ont tenté d’attaquer un bureau de change près de… »
Coup de chance qu’il y ai un fauteuil derrière moi car les deux hommes arrêtés sont Théo et Léo, mes amants.
Quand ils m’ont dit avoir quelque chose à faire, ils ont dû allés braquer ce bureau de change après m’avoir baisée toute l’après-midi.
C’est le moment que choisit Vivian pour ouvrir la porte de l’appartement.
• Chérie, que se passe-t-il, tu es livide, es-tu malade ?
Je le regarde hébétée, incapable d’ouvrir la bouche.
J’ai l’impression d’avoir reçu un coup de poing au plexus me laissant KO comme un boxeur.
Dans combien de temps la police va venir m’arrêter divulguant par là même à mon mari ce que j’ai fait hier après-midi dans cette chambre avec ces deux braqueurs ?
• Bois un coup cela va passer.
C’est à ce moment qu’une sirène de police se fait entendre, ils viennent me chercher.
Ouf ils passent.
Vivian va pour me chercher un verre d’eau quand je l’arrête.
• Un whisky !
• À dix heures du matin ?
J’ai besoin de cet alcool fort pour revenir poser les pieds sur terre.
Le verre bu, je reprends des couleurs.
• Chérie, j’ai quelque chose à t’annoncer.
• Tu m’as trompé.
• Je vois que tu as reçu le coup de fil de mes collègues hier matin avec leur complice.
Pourquoi n’as-tu rien dit avant que je ne parte ?
Je comprends la nuit que tu as passée pensant que je te trompais avec une fille en Angleterre.
C’est plus simple que cela, deux d’entre eux ont voulu se venger de savoir que la réunion d’urgence qui était montée à la maison-mère en Angleterre était pour m’apprendre que lundi, je prends le poste de directeur de notre centre parisien.
Pauvre chérie qui a dû être morte d’inquiétude pendant tout ce temps !
Moralité, j’échappe à la prison, mes amants dans leurs aveux ayant gardé le silence sur notre après-midi, mon mari récupère une belle salope car je me donne à lui d’une manière effrénée.
N’ai-je pas appris « Celui qui reste à la maison. »Je sens bien qu’il trouve bizarres mes divers empressements, je lui cache simplement pour un temps que je sais me faire sodomiser.
La seule chose qui va me manquer, c’est la double pénétration à moins que j’arrive à orienter notre couple vers le libertinage et les clubs échangistes.
Ce que femme veut, elles sont souvent assez malignes pour l’obtenir, surtout après une expérience acquise.
Je lui demande une preuve de ce qu’elle affirme.
• Tu attends ce soir, son retour, il va prétexter une réunion extraordinaire pour partir en Angleterre dès ce vendredi soir.
Et la fille raccroche.
Dès que Vivian arrive, ma première réaction est de lui parler du coup de téléphone bizarre reçu.
Je viens juste d’ouvrir la bouche quand son téléphone sonne, avant que j’aie le temps d’émettre un son.
• Allô, oui, vous rigolez et en Angleterre en plus, je vous aie dit tout à l’heure que le week-end s’était avec ma femme.
Un blanc et je suis incapable d’entendre.
• Je comprends, vous faites du chantage, mon avion est dans moins d’une heure sinon ma place est en jeu.
Que dois-je dire à mon épouse ?
Un blanc.
• Je dois lui parler de sa vie harmonieuse grâce à ma paye et que tout peut changer, car la liste des personnes ayant mon CV a la longueur de votre bras !
Qu’elle m’aura pour elle toute seule dimanche après midi.
Un blanc.
• Bref, vous avez choisi pour moi, c’est l’Angleterre ou la porte patron.
Un blanc.
• Vous m’avez choisi pour mes compétences et mon ambition, bien patron.
Le salaud, il a raccroché. Chérie, il faut que l’on discute.
Pourquoi à ce moment-là je le regarde incrédule et que j’occulte le coup de téléphone de cette fille ?
• Prépare-moi ma valise, chérie, je suis contraint de te laisser seule jusqu’à dimanche.
Une idiote, je suis une idiote, je vais tout préparer et je le vois partir après un simple baiser sur le bout du nez.
Toute la nuit et toute la matinée, je tourne comme une lionne en cage me demandant quelle salope, il est en train de baiser, jusqu’au moment où je prends la décision de rejoindre un bar non loin de mon logement où je passe régulièrement lorsque je vais acheter mes sous-vêtements affriolant pour plaire à ce saligaud qui me trompe.
Chaque fois que je passe devant, je vois entrer ou sortir des filles avec des hommes sentant les filles libérées.
Il est parti me tromper pourquoi je resterais sage alors que je peux me choisir un amant à la hauteur de ma beauté et surtout de mon cerveau.
Je compte sur mon short ras ma foufoune très peu exploitée, car j’ai été dépucelée par Vivian, le soir de nos noces.
• Alors joli petit lot, tu cherches un mâle très viril, tu viens de le trouver.
C’est comme cela que j’ai fait la connaissance de Théo très beau gosse d’une trentaine d’années.
• Tu prends un verre ?
• Jamais d’alcool, lorsque l’on me baise, j’aime être lucide pour mieux sentir la verge qui me défonce, tu en es ?
Presque pucelle, je pense que me faire passer pour une salope cherchant à se faire satisfaire très rapidement me permet d’entrer dans un cercle vicieux qui peut bien m’échapper.
• J’ai une piaule non loin d’ici, tu veux que j’invite mon pote Léo que tu vois là près de moi et qui peut m’aider à satisfaire tes besoins qui semblent très grands ?
• Lorsqu’il y en a pour un, il y en a pour deux, pourquoi pas.
En prononçant ces mots, je prends conscience de l’énormité de ce que je propose à ces hommes.
Moi qui connais principalement la position du missionnaire, je viens de leur proposer de me prendre en sandwich, en me sodomisant alors que ma rosette est neuve de toute pénétration.
Chose dite, il paye et lorsque les hommes sortent, je les suis. Ils me prennent bras dessus, bras dessous, je fais déjà le sandwich.
Nous parcourons moins de cent mètres quand Théo entre dans un immeuble où nous montons au deuxième étage.
Il me fait entrer dans un appartement de célibataire mal rangé et où les meubles ont leur poussière d’origine certainement d'une dizaine d’années.
C’est à ce moment que la panique me prend et que l’envie de fuir devient irrésistible.
Trop tard, une main me saisit le bras et m’entraîne dans la chambre qui est dans le même état que le reste de l’appartement.
• Tu peux m’excuser.
Si j’avais su qu’une poulette de ton calibre viendrait se faire prendre dans nos filets, j’aurais changé les draps.
Sans ménagement il me fait tomber sur le lit et commence à défaire son ceinturon.
• Mets-toi à poil ou veux-tu que Léo le fasse ?
Coincée, j’enlève mon chemisier noué sous mes seins et qui les fait apparaître, ayant volontairement oublié de mettre le moindre soutien-gorge.
Idem pour le short où ma chatte impeccablement rasée dans mon salon de beauté où je vais une fois par mois n’est recouverte d’aucune petite culotte.
• Léo, vas-y, chauffe-la, je sens qu’elle va trouver ce qu'elle est venue chercher.
Pour voir, je vois. Léo est plus caressant que Théo qui vient nous rejoindre après un certain temps.
Temps, où Léo me caresse les seins, les prend en bouche et les suce sans oublier de mordiller leur pointe, me faisant couler la chatte dans une envie qu’ils me prennent pendant des heures, ne suis-je pas en train de me venger !
Il m’arrive de me caresser lorsque je suis seule, mais là, même avant qu’ils me pénètrent ma vulve leur procure de grandes quantités de sécrétions qui semblent leur faire plaisir.
Non seulement je baise comme une folle avec deux hommes, mais en plus mes connaissances du Kama Sutra s’enrichissent de quelques termes et positions qu’ils semblent connaître.
Pour stimuler mon clito, ce que je pratique avec Vivian, le missionnaire, Léo me prend comme un lotus et là il est vrai que mon clito s’embrase.
Le célèbre 69 que je fais avec Théo suçant par la même occasion ma première bite.
La fleur éclatée fatigante pour les bras de celui qui vous prend.
Celui qui reste à la maison, très fatigant pour mes propres bras.
Et puis ils me prennent avec des positions dont le nom leur est inconnu, mais qui me font partir et éclater trois ou quatre fois dans des orgasmes dévastateurs.
J’entends parler de cuillère, mais pour finir Léo s’allonge, sa queue est plus petite que celle de Théo qui lui m’offre un gros bâton bien noueux.
Il s’allonge, on me fait m’empaler et alors que je bouge en rythme pour une nouvelle fois éclatée, Théo se positionne et avant que je ne comprenne ce qui m’arrive, il me sodomise.
Surprise pour moi, car si un 69 était une nouveauté, que dire de cette sodomie que j’étais loin d’avoir prévue lorsque j’ai décidé de tromper Vivian, ce salaud qui s’éclate dans la chatte d’une salope d’anglaise.
Cette femme rosbif, insulte suprême pour moi qui ai été sélectionnée aux Jeux Olympiques, et qui sans leur vol aurait dû avoir lieu en France, si les votes avaient été réguliers.
J’ai dû prendre le bateau avec un mal de mer qui m’a vidé et qui a permis à une anglaise de me battre en finale.
Donc, je subis ma première sodomie et je dois reconnaître que cette double pénétration me donne bien du plaisir.
Lorsqu’ils jugent qu’il est temps pour eux de décharger, je reçois de grandes giclées des deux côtés, me procurant un dernier orgasme.
• Allez ma belle, fiche le camp, je crois que tu as reçu ce que tu étais venue chercher, Léo et moi nous avons un petit travail à faire.
Habillée, je fais le chemin en sens inverse, je rejoins mon domicile, satisfaite d’un côté d’avoir trompé Vivian, en me vengeant de sa propre tromperie et de la bonne partie de baise que mes deux amants m'ont fait passer.
Je ressors de cette expérience avec une connaissance du sexe nettement supérieure à celle que j’avais en entrant dans le bar.
Le dimanche matin après une nuit agitée, étant nettement moins sûre que ce que j’ais fait la veille était la meilleure des décisions prise dans ma jeune vie.
J’attends mon mari pour lui donner bien du plaisir espérant rattraper la bêtise que je suis sûre d’avoir faite.
Je sais que je l’ai entendu dire au téléphone qu’il m’aurait toute l’après-midi, mais à aucun moment, il n’a parlé de l’heure exacte de son retour.
Je tourne comme une lionne en cage allumant puis éteignant la télévision sur une chaîne bien connue d’informations jusqu’à ce qu’un flash annonce.
« Arrestation de deux braqueurs hier au soir. Ces deux hommes dont vous voyez les portraits fournis par la police sont des récidivistes, ils ont tenté d’attaquer un bureau de change près de… »
Coup de chance qu’il y ai un fauteuil derrière moi car les deux hommes arrêtés sont Théo et Léo, mes amants.
Quand ils m’ont dit avoir quelque chose à faire, ils ont dû allés braquer ce bureau de change après m’avoir baisée toute l’après-midi.
C’est le moment que choisit Vivian pour ouvrir la porte de l’appartement.
• Chérie, que se passe-t-il, tu es livide, es-tu malade ?
Je le regarde hébétée, incapable d’ouvrir la bouche.
J’ai l’impression d’avoir reçu un coup de poing au plexus me laissant KO comme un boxeur.
Dans combien de temps la police va venir m’arrêter divulguant par là même à mon mari ce que j’ai fait hier après-midi dans cette chambre avec ces deux braqueurs ?
• Bois un coup cela va passer.
C’est à ce moment qu’une sirène de police se fait entendre, ils viennent me chercher.
Ouf ils passent.
Vivian va pour me chercher un verre d’eau quand je l’arrête.
• Un whisky !
• À dix heures du matin ?
J’ai besoin de cet alcool fort pour revenir poser les pieds sur terre.
Le verre bu, je reprends des couleurs.
• Chérie, j’ai quelque chose à t’annoncer.
• Tu m’as trompé.
• Je vois que tu as reçu le coup de fil de mes collègues hier matin avec leur complice.
Pourquoi n’as-tu rien dit avant que je ne parte ?
Je comprends la nuit que tu as passée pensant que je te trompais avec une fille en Angleterre.
C’est plus simple que cela, deux d’entre eux ont voulu se venger de savoir que la réunion d’urgence qui était montée à la maison-mère en Angleterre était pour m’apprendre que lundi, je prends le poste de directeur de notre centre parisien.
Pauvre chérie qui a dû être morte d’inquiétude pendant tout ce temps !
Moralité, j’échappe à la prison, mes amants dans leurs aveux ayant gardé le silence sur notre après-midi, mon mari récupère une belle salope car je me donne à lui d’une manière effrénée.
N’ai-je pas appris « Celui qui reste à la maison. »Je sens bien qu’il trouve bizarres mes divers empressements, je lui cache simplement pour un temps que je sais me faire sodomiser.
La seule chose qui va me manquer, c’est la double pénétration à moins que j’arrive à orienter notre couple vers le libertinage et les clubs échangistes.
Ce que femme veut, elles sont souvent assez malignes pour l’obtenir, surtout après une expérience acquise.
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