COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le permis de conduire (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le permis de conduire (1/1)
Cinq fois que je passe mon permis de conduire, cinq fois que j’entends ce mot.
« Refuser ».
Cinq fois que je vois Pierre, mon mari se fiche de moi chaque fois que je rentre.
• Tu veux que je te trompe, tu seras peut-être cocu et tu auras ton permis.
• Trompe-moi et je te coupe les couilles.
Le grand sourire qui nous anime me fait voir la complicité que nous avons à vingt-cinq ans et sept ans de mariage.
Je reprends des cours et deux jours avant l’examen je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
• Bonjour, madame Juliette, vous allez trouver mon coup de téléphone incongru, je suis l’examinateur qui vais vous faire passer votre permis pour la sixième fois demain.
• Pourquoi m’appelez-vous, l’épreuve est repoussée ?
• Surtout pas, vous me connaissez, vous avez tenté votre chance trois fois avec moi et deux avec mon collègue.
• Je vois, vous êtes le beau garçon ténébreux.
• Je vois que je vous ai fait de l’effet.
• Hélas, je suis mariée, que voulez-vous ?
• Connaissez-vous l’hôtel des trois colombes dans la ville voisine.
• Vous pensez, c’est là que j’ai passé ma nuit de noces avec mon mari.
• Je vous attends dans la chambre 12 à treize heures et si vous vous donnez à moi pendant deux heures, vous serez assurée de repartir avec le papillon rose.
• Salop vous pouvez toujours courir.
Dans les heures qui suivent j’y vais, je n’y vais pas, oui, non, je décide que si Pierre me fait l’amour ce soir il évitera l’infamie d’être cocu.
Je me fais belle, sort ma plus belle nuisette et je sors de la salle de bain ma chatte lui étant offerte.
• Bon soir mon cœur, dors bien, tu seras en bonne forme dans deux jours.
Il selle son destin, à 13 heures je frappe porte 12 de l’hôtel des trois colombes, venue en taxi, hasard nous avions la même chambre pour notre nuit de noces.
• Entre salope, j’avais vu juste, tu aime le sexe et tu es prête à te faire enfiler pour réussir ton permis, avance et suce.
Il est à poil sur le lit sa verge en main assez ridicule comparé à celle de mon mari.
Mais permis oblige je dégrafe ma robe montrant que je suis intégralement nue dessous.
• J’avais deux fois raison, tu es même une pute de venir ta chatte à l’air surtout avec le vent qu’il y a dehors.
Pour la première fois de ma vie je suce une autre bite que celle de Pierre et je m’en tire bien, normal après sept ans de pratique.
• Tu pompes très bien, mais je veux éviter de lâcher la purée avant le temps qui m’est imparti, met toi en levrette je vais te défoncer la chatte.
• Met, une capote.
• Surement pas, les capotes, c’est pour les homos.
J’accepte, petite bite comparée à mon homme mais bite efficace car il m’arrache des râles de plaisir.
• Tu aimes que je te baise, je vais t’enculer.
• Sûrement pas, je l’interdis à mon mari.
• Doublement ton anus est vierge, il va m’enserrer divinement.
Je manque de le repousser, mais quand je m’affaisse sur mes avants bras disposant ma rosette à bonne hauteur, quand il pousse de ma bouche, sors un petit « oups », mais c’est fait, il est en moi.
Il me prend aux hanches et me pilonne à grands coups de sa verge, heureusement que c’est lui et non Pierre qui est plus gros et qui m’aurait défoncé.
• Reprends là dans la bouche, tu as respecté ton contrat, je vais te nettoyer les amygdales.
C’est ainsi que je rentre chez moi persuadé d’avoir fait le maximum pour obtenir mon permis demain avec en prime un bon moment de sexe même si c’était dans l’adultère.
• Bonjour madame, vous êtes prêtes, alors démarrée.
Clef de contact, moteur et je démarre, l’examinateur freine.
• Et la ceinture de sécurité ?
• J’allais la mettre pardon !
Je la mets et je redémarre.
• Vous avez calé, madame le frein à main, ça s’enlève.
• Pardon.
• Restez calme ça va aller.
Je tourne la clef de contact et j’arrive à avancer.
• Croyez-vous que l’on va faire tout le parcours en première ?
Attention, même à 20 à l’heure vous avez failli attraper cette poussette avec ce bébé.
Je suis au bord des larmes.
• Prenez à gauche.
À gauche, mais dans la partie droite de la route, vous êtes en sens interdit.
• Vous m’avez dit d’aller à gauche.
• Faites une marche arrière pour vous remettre dans le bon sens.
Pas dans le poteau qui signale le sens interdit.
Il me fait retourner à 20 mètres du point de départ de l’épreuve.
• Refuser !
• Mais hier vous m’aviez promis.
• Refuser, au mois prochain.
Je rentre chez moi en pleurs.
• tu as encore échoué à voir ta tête.
• J’aurais dû te tromper, tu aurais été cocu et j’aurais eu une chance.
Mais après cet échec, c’est toi qui vas être baisé, car tu vas devoir repayer le mois prochain.
Cela s’appelle de la mauvaise fois.
« Refuser ».
Cinq fois que je vois Pierre, mon mari se fiche de moi chaque fois que je rentre.
• Tu veux que je te trompe, tu seras peut-être cocu et tu auras ton permis.
• Trompe-moi et je te coupe les couilles.
Le grand sourire qui nous anime me fait voir la complicité que nous avons à vingt-cinq ans et sept ans de mariage.
Je reprends des cours et deux jours avant l’examen je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
• Bonjour, madame Juliette, vous allez trouver mon coup de téléphone incongru, je suis l’examinateur qui vais vous faire passer votre permis pour la sixième fois demain.
• Pourquoi m’appelez-vous, l’épreuve est repoussée ?
• Surtout pas, vous me connaissez, vous avez tenté votre chance trois fois avec moi et deux avec mon collègue.
• Je vois, vous êtes le beau garçon ténébreux.
• Je vois que je vous ai fait de l’effet.
• Hélas, je suis mariée, que voulez-vous ?
• Connaissez-vous l’hôtel des trois colombes dans la ville voisine.
• Vous pensez, c’est là que j’ai passé ma nuit de noces avec mon mari.
• Je vous attends dans la chambre 12 à treize heures et si vous vous donnez à moi pendant deux heures, vous serez assurée de repartir avec le papillon rose.
• Salop vous pouvez toujours courir.
Dans les heures qui suivent j’y vais, je n’y vais pas, oui, non, je décide que si Pierre me fait l’amour ce soir il évitera l’infamie d’être cocu.
Je me fais belle, sort ma plus belle nuisette et je sors de la salle de bain ma chatte lui étant offerte.
• Bon soir mon cœur, dors bien, tu seras en bonne forme dans deux jours.
Il selle son destin, à 13 heures je frappe porte 12 de l’hôtel des trois colombes, venue en taxi, hasard nous avions la même chambre pour notre nuit de noces.
• Entre salope, j’avais vu juste, tu aime le sexe et tu es prête à te faire enfiler pour réussir ton permis, avance et suce.
Il est à poil sur le lit sa verge en main assez ridicule comparé à celle de mon mari.
Mais permis oblige je dégrafe ma robe montrant que je suis intégralement nue dessous.
• J’avais deux fois raison, tu es même une pute de venir ta chatte à l’air surtout avec le vent qu’il y a dehors.
Pour la première fois de ma vie je suce une autre bite que celle de Pierre et je m’en tire bien, normal après sept ans de pratique.
• Tu pompes très bien, mais je veux éviter de lâcher la purée avant le temps qui m’est imparti, met toi en levrette je vais te défoncer la chatte.
• Met, une capote.
• Surement pas, les capotes, c’est pour les homos.
J’accepte, petite bite comparée à mon homme mais bite efficace car il m’arrache des râles de plaisir.
• Tu aimes que je te baise, je vais t’enculer.
• Sûrement pas, je l’interdis à mon mari.
• Doublement ton anus est vierge, il va m’enserrer divinement.
Je manque de le repousser, mais quand je m’affaisse sur mes avants bras disposant ma rosette à bonne hauteur, quand il pousse de ma bouche, sors un petit « oups », mais c’est fait, il est en moi.
Il me prend aux hanches et me pilonne à grands coups de sa verge, heureusement que c’est lui et non Pierre qui est plus gros et qui m’aurait défoncé.
• Reprends là dans la bouche, tu as respecté ton contrat, je vais te nettoyer les amygdales.
C’est ainsi que je rentre chez moi persuadé d’avoir fait le maximum pour obtenir mon permis demain avec en prime un bon moment de sexe même si c’était dans l’adultère.
• Bonjour madame, vous êtes prêtes, alors démarrée.
Clef de contact, moteur et je démarre, l’examinateur freine.
• Et la ceinture de sécurité ?
• J’allais la mettre pardon !
Je la mets et je redémarre.
• Vous avez calé, madame le frein à main, ça s’enlève.
• Pardon.
• Restez calme ça va aller.
Je tourne la clef de contact et j’arrive à avancer.
• Croyez-vous que l’on va faire tout le parcours en première ?
Attention, même à 20 à l’heure vous avez failli attraper cette poussette avec ce bébé.
Je suis au bord des larmes.
• Prenez à gauche.
À gauche, mais dans la partie droite de la route, vous êtes en sens interdit.
• Vous m’avez dit d’aller à gauche.
• Faites une marche arrière pour vous remettre dans le bon sens.
Pas dans le poteau qui signale le sens interdit.
Il me fait retourner à 20 mètres du point de départ de l’épreuve.
• Refuser !
• Mais hier vous m’aviez promis.
• Refuser, au mois prochain.
Je rentre chez moi en pleurs.
• tu as encore échoué à voir ta tête.
• J’aurais dû te tromper, tu aurais été cocu et j’aurais eu une chance.
Mais après cet échec, c’est toi qui vas être baisé, car tu vas devoir repayer le mois prochain.
Cela s’appelle de la mauvaise fois.
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