COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le vicaire (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le vicaire (1/1)
- Et si nous jouions à cap ou pas cap.
- Arrête Véronique, ce jeu stupide où je gagne à tous les coups.
Tu sais que je suis folle du cul aucune de vos demandes d'ordre sexuel ne m’est impossible.
Sauf ce que la morale réprouve bien sûr.
- Marie, tu nous dis ça car tu t’es fait dépuceler le jour de tes 18 ans par mon père sur la table de notre cuisine pendant que ma mère était à son pèlerinage à Lourdes.
- Jean, tu sais bien que je voulais que ce soit un homme d’âge mûr qui m’enlève mon hymen.
J’avais la hantise que des jeunes cons comme vous ne me massacrent la chatte.
Il a été d’une courtoisie maxi et depuis c’est toi qui peux me baiser autant que tu le veux.
- Je sais, la première fois où tu m’as sauté sur le paf, j’ai même blasphémé en oubliant de dire à confesse à notre vieux curé que j’avais pratiqué l’acte de chair.
- Et tu n’en es pas mort pour autant.
Nos parents nous ont élevés à la limite de la foi intégriste alors qu’ils sont comme nous de fieffés baiseurs entre eux.
- Justement Marie, si je vous propose de jouer à cap ou pas cap c’est parce que j’ai une petite idée derrière la tête pour toi qui a su nous faire voir que nos verges et nos chattes pouvaient nous servir à bien autre chose qu’a pisser.
- Véronique ajoute aussi à chier depuis que Thomas sur ma demande t’a sodomisé, ce qui t’a permis de te faire mettre en sandwich par Thomas et Jean.
- Marie à ce que je sache, tu es loin d’être la dernière a accepté la double pénétration !
Surtout quand tu l’as fait avec ces deux grands blacks de la société de sécurité qui encadrait le mariage de ta tante.
- Vous vous rappelez, ma tante, cette vieille bigote de 45 ans qui s’est mariée avec Albert ce vieux garçon boutonneux de son âge.
- Je mettrais ma main à couper que tous les deux étaient vierges et qu’ils ont fait ça à leurs âges déjà bien mur, la nuit de leur noce.
- Je peux vous assurer qu’ils étaient vierges, la veille des noces, j’ai entendu maman, sa sœur, lui prodiguer des conseils pour que son mari fasse d’elle une femme à part entière.
- Dieu nous bénit surtout toi Marie de nous avoir entraînés dans notre vie de pécher.
- Dieu et autres sujets, dit moi directement ce que tu veux que je fasse Véronique, c’est certain qu’avec moi rien n’est impossible.
- Alors voilà, dimanche dernier, vous avez vu lors de la messe que le curé avait à ses côtés un jeune vicaire.
De retour au gigot du dimanche, j’ai demandé à mon père comment se faisait-il que le père Simon eût à ses côtés le jeune Pierre qui officiait avec lui.
Sa réponse a été claire, le curé Simon va se faire opérer du cœur et notre évêque a désigné le père Pierre tout juste sorti major de sa formation de curé pour l’assister.
Il a même ajouté qu’il était si fort qu’il était certainement amené à devenir rapidement évêque lui aussi voir cardinale dans quelques années.
- Si je comprends bien, notre jeune vicaire peut être pape un jour.
- C’est bien dommage, dimanche lorsque je le regardais, ma chatte dégoulinait d’envie.
- Marie, je suis contente qu’il te fasse de l’effet et envie, serais-tu cap de le séduire et de le mettre dans ton lit.
- Tu rigoles Véronique, bien sûr que je relève le défi, si je perds je vous offre un repas dans le plus grand restaurant de votre choix de Paris.
Mieux, je vais me faire épouser.
- Une belle salope comme toi, baiser avec, c’est possible, aucun mec ne te résiste mais delà à ce qu’il t’épouse, tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’à ta chatte.
Les amis, nous pouvons choisir entre nous le restaurant qui va nous recevoir.
Marie est forte mais épousez ce jeune vicaire, c’est mission impossible.
Mais donnons-lui jusqu’au jour de la rentrée en fac pour perdre son pari.
Dans les heures qui ont suivi, ce pari stupide comme la plupart de ceux que j’ai relevé comme baiser avec un vieux de plus de 80 ans.
C’est après avoir tourné près d’une maison de retraite du 18ème où nous habitons que j’en ai repéré un qui sortait avec sa troisième jambe se promener.
Non loin de là un hôtel et toute une après-midi je me suis amusée avec son vieux sexe.
J’ignore s’il est toujours en vie, mais ce qu’il y a de sûr c’est qu’il doit se souvenir de la salope qui n’avait de cesse de le faire bander.
J’y suis arrivée deux fois dans cette jolie chambre, pépère comme je l’appelais m’avais emmené dans un hôtel de luxe.
Une idée me vient, il me fallait un renseignement, le curé Simon me l’a fourni.
- Bonjour monsieur le curé, j’ai appris que vous aviez un problème de santé, quand allez-vous vous faire opérer, pour que je puisse prier pour vous.
- C’est bien, gentille petite Marie de t’inquiéter de ma vie.
Ta maman t’a bien éduqué, ce sera mardi prochain mon enfant.
- Merci monsieur le curé dans ces cas-là, inutile de dire bonne chance.
- Non tu as raison Marie, on dit « merde ».
Aucun souci Marie, tout à l’heure quand je lirais mon bréviaire, je demanderais à saint Simon de me pardonner ce gros mot.
Le mardi, je respecte ma parole, elle est sacrée et je m’agenouille au pied de mon lit pour prier.
Le mercredi, je suis à l’église, nous sommes pendant les vacances et la fac est fermée jusqu’en septembre.
- Bonjour, puis-je vous parlez, pour commencer comment dois-je vous appeler.
Notre vieux curé je disais monsieur le curé.
- Aucun tralala, l’église se modernise, appelle-moi Pierre, nous sommes sensiblement du même âge bien que je doive être légèrement plus âgé.
Mais toi comment tes parents-on baptiser, je t’ai vu dimanche lors de ma première messe avec tes parents et tes amis à la sortie.
Des jeunes pleins de fois, c’est si rare.
- Marie, Pierre, je m’appelle Marie.
- Quel beau prénom, mais que cherches-tu.
- Avoir des nouvelles de notre vieux curé, je sais qu’il a été opéré hier.
Tout ça c’est bien joli, mais loin de me le mettre dans son lit, or j’ai horreur de perdre devant mes amis.
J’emploie directement une autre méthode.
- Il va bien, je vous donnerais de ses nouvelles chaque dimanche.
- Pierre, j’aimerais que pendant ces derniers jours de vacances approfondir des écrits, j’en aurais besoin l’an prochain pour mes études et j’ai quelques lacunes.
Peux-tu me consacrer une heure chaque après-midi ?
- Sans problème, tu sais où se trouve le presbytère, 14 heures à partir de demain sauf le dimanche.
- Sans problème Pierre, je serais à l’heure.
Ce qu’il ignore, c’est qu’il vient d’accepter de faire entrer le vice dans son entourage.
Pendant trois jours, je suis sage, tenue simple sans excentricité.
Mais le lundi après la messe ou mon regard a été persistant vers lui, je passe à l’attaque.
Nous sommes dans le bureau du vieux curé rempli de livres poussiéreux.
- Pierre, j’aimerais avoir ton avis sur Marie-Madeleine, il se dit qu’elle était une prostituée et que Jésus aurait goûté à ses charmes.
Or vous les prêtres sont tenus à la chasteté.
Je pense que comme sujet de conversation afin d’atteindre mon but, c’est finement amené, surtout assise de l’autre côté du bureau avec ma mini la plus courte que mon armoire possédait.
- Vaste sujet Marie, plein de polémique du même type que l’enfantement de Jésus par Dieu sans l’aide de la technique des hommes.
Bref, je l’allume, par mes questions toutes tourner vers le sexe mais dans l’esprit des écritures.
- À demain Pierre, j’ai bien progressé grâce à tes explications.
Je lui fais un petit signe de la main, en jeune fille ingénue et je quitte la pièce laissant la porte ouverte.
J’arrive à la porte du presbytère à quelques mètres, je l’ouvre et je la referme comme si j’étais sortie.
Je reviens vers le bureau sans bruit, ce que j’espérais est là devant mes yeux.
- Pierre j’ai oublié de te demander.
Oh pardon !
- Merde Marie, je croyais que tu étais partie, j’ai entendu la porte claquer.
- Mais il ne faut pas rester comme ça mon grand coquin, bander comme tu le fais ces mauvais à ton âge, regarde où en est ton prédécesseur.
Pierre a sorti sa verge et se masturbait.
J’ai vu de nombreux pornos depuis que je joue avec mon sexe, Rocco l’italien n’a qu’à bien se tenir face à Pierre.
Je m’agenouille, c’est normal devant un curé et je commence à le masturber.
Je passe les mots qu’ils déversent de sa bouche, des Ah ! Oh ! c’est bon, continu bref je fini par boire son sperme.
Ayant marqué le premier point dans ma quête à me faire baiser, je le plante là.
C’est le lendemain qu’il m’entraîne dans sa chambre et qu’il me met sa verge gigantesque au fond de mon vagin.
À part les doubles pénétrations qui m’apportent des sensations différentes, une verge dans la chatte l’autre dans l’anus, faisant travailler d’autres terminaisons nerveuses, mon curé m’envoie au septième ciel.
Je peux vous dire que le paradis existe, je le rencontre pendant les huit jours suivants même le dimanche.
Je dois reconnaître qu’il est un peu gauche au début.
C’est normal pour un puceau, jusqu’au jour ou après m’avoir prise en levrette pendant plus d’une heure, nous reposons dans les bras l’un de l’autre.
- Marie, que va-t-il nous arriver, je t’aime et j’ai fait vœu de chasteté devant notre évêque.
- Moi aussi je t’aime.
Incroyable, c’est vrai, j’ai trouvé l’homme de ma vie alors qu’au début ce n’était qu’un jeu.
- Il faut choisir Pierre, lui ou moi, je sais déjà c’est toi, je suis prête à te chérir jusqu’à e que la mort nous sépare.
Le jour même, il m’a demandé en mariage, la pensée de Dieu est impénétrable.
Dans sa valise, il avait la bague de fiançailles de sa grand-mère dont il avait hérité.
Nous avions la même taille de doigts.
Oui, oui, oui, avant le mois qui a précédé ma rentrée en fac, non pas à Paris mais à Montpellier, ou nous sommes allés habiter.
En plus de sa bague, sa grand-mère lui avait laissé un logement de trois pièces.
C’est devant le maire de cette ville que je l’ai épousé mon défroqué en la seule présence de mes copains qui nous payent notre repas de noces.
Nos parents nous ont reniésSi je me suis inscrite pour suivre mes cours de droit, bien loin des textes sacrés, il a postulé un poste d’enseignant.
Il attend sa réponse, mon mari risque d’être prof dans mon université.
Je vous quitte, c’est l’heure de me coucher, je pense que ce soir, mon vicaire va me faire connaître le sexe total la sodomie me manquant.
- Arrête Véronique, ce jeu stupide où je gagne à tous les coups.
Tu sais que je suis folle du cul aucune de vos demandes d'ordre sexuel ne m’est impossible.
Sauf ce que la morale réprouve bien sûr.
- Marie, tu nous dis ça car tu t’es fait dépuceler le jour de tes 18 ans par mon père sur la table de notre cuisine pendant que ma mère était à son pèlerinage à Lourdes.
- Jean, tu sais bien que je voulais que ce soit un homme d’âge mûr qui m’enlève mon hymen.
J’avais la hantise que des jeunes cons comme vous ne me massacrent la chatte.
Il a été d’une courtoisie maxi et depuis c’est toi qui peux me baiser autant que tu le veux.
- Je sais, la première fois où tu m’as sauté sur le paf, j’ai même blasphémé en oubliant de dire à confesse à notre vieux curé que j’avais pratiqué l’acte de chair.
- Et tu n’en es pas mort pour autant.
Nos parents nous ont élevés à la limite de la foi intégriste alors qu’ils sont comme nous de fieffés baiseurs entre eux.
- Justement Marie, si je vous propose de jouer à cap ou pas cap c’est parce que j’ai une petite idée derrière la tête pour toi qui a su nous faire voir que nos verges et nos chattes pouvaient nous servir à bien autre chose qu’a pisser.
- Véronique ajoute aussi à chier depuis que Thomas sur ma demande t’a sodomisé, ce qui t’a permis de te faire mettre en sandwich par Thomas et Jean.
- Marie à ce que je sache, tu es loin d’être la dernière a accepté la double pénétration !
Surtout quand tu l’as fait avec ces deux grands blacks de la société de sécurité qui encadrait le mariage de ta tante.
- Vous vous rappelez, ma tante, cette vieille bigote de 45 ans qui s’est mariée avec Albert ce vieux garçon boutonneux de son âge.
- Je mettrais ma main à couper que tous les deux étaient vierges et qu’ils ont fait ça à leurs âges déjà bien mur, la nuit de leur noce.
- Je peux vous assurer qu’ils étaient vierges, la veille des noces, j’ai entendu maman, sa sœur, lui prodiguer des conseils pour que son mari fasse d’elle une femme à part entière.
- Dieu nous bénit surtout toi Marie de nous avoir entraînés dans notre vie de pécher.
- Dieu et autres sujets, dit moi directement ce que tu veux que je fasse Véronique, c’est certain qu’avec moi rien n’est impossible.
- Alors voilà, dimanche dernier, vous avez vu lors de la messe que le curé avait à ses côtés un jeune vicaire.
De retour au gigot du dimanche, j’ai demandé à mon père comment se faisait-il que le père Simon eût à ses côtés le jeune Pierre qui officiait avec lui.
Sa réponse a été claire, le curé Simon va se faire opérer du cœur et notre évêque a désigné le père Pierre tout juste sorti major de sa formation de curé pour l’assister.
Il a même ajouté qu’il était si fort qu’il était certainement amené à devenir rapidement évêque lui aussi voir cardinale dans quelques années.
- Si je comprends bien, notre jeune vicaire peut être pape un jour.
- C’est bien dommage, dimanche lorsque je le regardais, ma chatte dégoulinait d’envie.
- Marie, je suis contente qu’il te fasse de l’effet et envie, serais-tu cap de le séduire et de le mettre dans ton lit.
- Tu rigoles Véronique, bien sûr que je relève le défi, si je perds je vous offre un repas dans le plus grand restaurant de votre choix de Paris.
Mieux, je vais me faire épouser.
- Une belle salope comme toi, baiser avec, c’est possible, aucun mec ne te résiste mais delà à ce qu’il t’épouse, tu te mets le doigt dans l’œil jusqu’à ta chatte.
Les amis, nous pouvons choisir entre nous le restaurant qui va nous recevoir.
Marie est forte mais épousez ce jeune vicaire, c’est mission impossible.
Mais donnons-lui jusqu’au jour de la rentrée en fac pour perdre son pari.
Dans les heures qui ont suivi, ce pari stupide comme la plupart de ceux que j’ai relevé comme baiser avec un vieux de plus de 80 ans.
C’est après avoir tourné près d’une maison de retraite du 18ème où nous habitons que j’en ai repéré un qui sortait avec sa troisième jambe se promener.
Non loin de là un hôtel et toute une après-midi je me suis amusée avec son vieux sexe.
J’ignore s’il est toujours en vie, mais ce qu’il y a de sûr c’est qu’il doit se souvenir de la salope qui n’avait de cesse de le faire bander.
J’y suis arrivée deux fois dans cette jolie chambre, pépère comme je l’appelais m’avais emmené dans un hôtel de luxe.
Une idée me vient, il me fallait un renseignement, le curé Simon me l’a fourni.
- Bonjour monsieur le curé, j’ai appris que vous aviez un problème de santé, quand allez-vous vous faire opérer, pour que je puisse prier pour vous.
- C’est bien, gentille petite Marie de t’inquiéter de ma vie.
Ta maman t’a bien éduqué, ce sera mardi prochain mon enfant.
- Merci monsieur le curé dans ces cas-là, inutile de dire bonne chance.
- Non tu as raison Marie, on dit « merde ».
Aucun souci Marie, tout à l’heure quand je lirais mon bréviaire, je demanderais à saint Simon de me pardonner ce gros mot.
Le mardi, je respecte ma parole, elle est sacrée et je m’agenouille au pied de mon lit pour prier.
Le mercredi, je suis à l’église, nous sommes pendant les vacances et la fac est fermée jusqu’en septembre.
- Bonjour, puis-je vous parlez, pour commencer comment dois-je vous appeler.
Notre vieux curé je disais monsieur le curé.
- Aucun tralala, l’église se modernise, appelle-moi Pierre, nous sommes sensiblement du même âge bien que je doive être légèrement plus âgé.
Mais toi comment tes parents-on baptiser, je t’ai vu dimanche lors de ma première messe avec tes parents et tes amis à la sortie.
Des jeunes pleins de fois, c’est si rare.
- Marie, Pierre, je m’appelle Marie.
- Quel beau prénom, mais que cherches-tu.
- Avoir des nouvelles de notre vieux curé, je sais qu’il a été opéré hier.
Tout ça c’est bien joli, mais loin de me le mettre dans son lit, or j’ai horreur de perdre devant mes amis.
J’emploie directement une autre méthode.
- Il va bien, je vous donnerais de ses nouvelles chaque dimanche.
- Pierre, j’aimerais que pendant ces derniers jours de vacances approfondir des écrits, j’en aurais besoin l’an prochain pour mes études et j’ai quelques lacunes.
Peux-tu me consacrer une heure chaque après-midi ?
- Sans problème, tu sais où se trouve le presbytère, 14 heures à partir de demain sauf le dimanche.
- Sans problème Pierre, je serais à l’heure.
Ce qu’il ignore, c’est qu’il vient d’accepter de faire entrer le vice dans son entourage.
Pendant trois jours, je suis sage, tenue simple sans excentricité.
Mais le lundi après la messe ou mon regard a été persistant vers lui, je passe à l’attaque.
Nous sommes dans le bureau du vieux curé rempli de livres poussiéreux.
- Pierre, j’aimerais avoir ton avis sur Marie-Madeleine, il se dit qu’elle était une prostituée et que Jésus aurait goûté à ses charmes.
Or vous les prêtres sont tenus à la chasteté.
Je pense que comme sujet de conversation afin d’atteindre mon but, c’est finement amené, surtout assise de l’autre côté du bureau avec ma mini la plus courte que mon armoire possédait.
- Vaste sujet Marie, plein de polémique du même type que l’enfantement de Jésus par Dieu sans l’aide de la technique des hommes.
Bref, je l’allume, par mes questions toutes tourner vers le sexe mais dans l’esprit des écritures.
- À demain Pierre, j’ai bien progressé grâce à tes explications.
Je lui fais un petit signe de la main, en jeune fille ingénue et je quitte la pièce laissant la porte ouverte.
J’arrive à la porte du presbytère à quelques mètres, je l’ouvre et je la referme comme si j’étais sortie.
Je reviens vers le bureau sans bruit, ce que j’espérais est là devant mes yeux.
- Pierre j’ai oublié de te demander.
Oh pardon !
- Merde Marie, je croyais que tu étais partie, j’ai entendu la porte claquer.
- Mais il ne faut pas rester comme ça mon grand coquin, bander comme tu le fais ces mauvais à ton âge, regarde où en est ton prédécesseur.
Pierre a sorti sa verge et se masturbait.
J’ai vu de nombreux pornos depuis que je joue avec mon sexe, Rocco l’italien n’a qu’à bien se tenir face à Pierre.
Je m’agenouille, c’est normal devant un curé et je commence à le masturber.
Je passe les mots qu’ils déversent de sa bouche, des Ah ! Oh ! c’est bon, continu bref je fini par boire son sperme.
Ayant marqué le premier point dans ma quête à me faire baiser, je le plante là.
C’est le lendemain qu’il m’entraîne dans sa chambre et qu’il me met sa verge gigantesque au fond de mon vagin.
À part les doubles pénétrations qui m’apportent des sensations différentes, une verge dans la chatte l’autre dans l’anus, faisant travailler d’autres terminaisons nerveuses, mon curé m’envoie au septième ciel.
Je peux vous dire que le paradis existe, je le rencontre pendant les huit jours suivants même le dimanche.
Je dois reconnaître qu’il est un peu gauche au début.
C’est normal pour un puceau, jusqu’au jour ou après m’avoir prise en levrette pendant plus d’une heure, nous reposons dans les bras l’un de l’autre.
- Marie, que va-t-il nous arriver, je t’aime et j’ai fait vœu de chasteté devant notre évêque.
- Moi aussi je t’aime.
Incroyable, c’est vrai, j’ai trouvé l’homme de ma vie alors qu’au début ce n’était qu’un jeu.
- Il faut choisir Pierre, lui ou moi, je sais déjà c’est toi, je suis prête à te chérir jusqu’à e que la mort nous sépare.
Le jour même, il m’a demandé en mariage, la pensée de Dieu est impénétrable.
Dans sa valise, il avait la bague de fiançailles de sa grand-mère dont il avait hérité.
Nous avions la même taille de doigts.
Oui, oui, oui, avant le mois qui a précédé ma rentrée en fac, non pas à Paris mais à Montpellier, ou nous sommes allés habiter.
En plus de sa bague, sa grand-mère lui avait laissé un logement de trois pièces.
C’est devant le maire de cette ville que je l’ai épousé mon défroqué en la seule présence de mes copains qui nous payent notre repas de noces.
Nos parents nous ont reniésSi je me suis inscrite pour suivre mes cours de droit, bien loin des textes sacrés, il a postulé un poste d’enseignant.
Il attend sa réponse, mon mari risque d’être prof dans mon université.
Je vous quitte, c’est l’heure de me coucher, je pense que ce soir, mon vicaire va me faire connaître le sexe total la sodomie me manquant.
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