COLLECTION HISTOIRE COURTE. Maman se remarie (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Maman se remarie (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Maman se remarie (1/1)
- Mes chéris, j’ai une révélation à vous faire, je me remarie.
- Ça fait deux ans que papa est mort.
On te voit de plus en plus sortir le soir Christophe et moi nous nous doutions bien qu’à moins de 40 ans ta vie était loin d’être terminée.
- Maman il a quel âge ?

Maman Jeanine change de couleur.

- Christian, j’ai peur de vous avouez la vérité.
Tu dois dire quelle âge a-t-elle ?
- Tu te remarie avec une femme, as-tu pensé à nous ?
- Nous ne faisons que ça depuis qu’Alexandra a souhaité que l’on se marie.
- Si elle t’a demandé en mariage, c’est une gouine maman.
- Moi aussi mes fils, pour se marier entre femme il faut être deux et l’une comme l’autre, nous nous aimons.
- Alexandra, dit-moi, c’est la jeune femme blonde que tu nous as présenté lors de l’enterrement de papa ?
- Il y a deux ans et tu t’en souviens Christophe ?
- Je l’avais trouvé baisable mais comme j’ignorais où elle habitait, je l’avais oublié.
- Je dois vous faire connaître une partie de ma vie. Avant de connaître votre père et qu’il m’offre mes magnifiques jumeaux mes fils.
Hélas, la maladie l’a rattrapé.
Alexandra plus jeune que moi de trois ans était en camp scout.
Nous nous sommes rencontrées j’étais Mousse et elle était Jeanette.
Elle était frêle et je l’ai pris sous mon aile.
Quand je voyais ses mèches blondes à ces âges, j’ignorais que l’amour entre filles existaient.
Nous nous sommes découvertes j’avais dix-neuf ans et elle un peu plus de seize.
Nous avons compris que l’attirance l’une envers l’autre dépassait le simple fait de se promener main dans la main.
Vous me permettez de m’arrêter là dans la description de ce que nous avons appris à faire et que font les femmes qui découvre leur amour entre elle.
- Vos parents l’ont su et vous ont éloigné.
Je sais que tu étais allée vivre chez ton papy et ta mamy.
- Oui, dans ce temps là, les portables étaient rares et mon grand-père sous la recommandation de mon père avait mis une clef sur l’appareil fixe dans le salon.
Un an après je rencontrais votre père à la piscine pendant l’été et vous êtes là.
- Maman avec Christian, il y a longtemps que nous avons su calculer.
Des prémats, même jumeaux, de plus de deux kilos c’était peu crédible.
- Vous avez bien grandi mes fils, si je pensais avoir une telle conversation il y a quelques années.
Lors de l’enterrement, j’ai pris son numéro sur mon portable et nous nous sommes rappelées.
Rapidement nous avons constaté que notre amour était toujours là.
Je suis allée manger chez elle, un petit studio et tout a été comme avant.
Comme je vous l’ai dit, elle vient de me demander en mariage ce qui aurait été impossible quand nous étions jeunes, c’était interdit.
- Et à quelle date pensez-vous convoler ?
- Si vous acceptez mon mariage, début juin le temps de tout préparer.
- Maman tu es majeur, on est majeur, fait ce qui te plait c’est ta vie nous avons la notre.
- Pareille pour moi maman, de quel droit je te refuserais le bonheur que tes parents t’ont refusé ?
- Merci mes fils, une dernière chose, peut elle emménager avec moi, les allées et retour incessant c’est épuisant ?
- Et c’est du temps perdu maman.
Feu vert.
- Vert aussi, si elle a son domaine et qu’elle nous laisse le notre.
- Vous verrez c’est une femme discrète.
Venez que je vous embrasse.

Voilà, nous sommes devant la mairie.
Témoins de leur mariage et témoins de leur bonheur.
Les deux femmes ont eu une dernière demande.
Nous avons tiré au sort.
Christian est le chevalier servant et témoin d’Alexandra et moi de maman.
Costume trois pièces gris pour nous et robe de mariée blanche pour les femmes.
Quand nous entrons à la mairie ceux qui passent et ignorent qui nous sommes doivent se dire, deux cougars épousant leurs jeunes bellâtres.
Ces femmes sont friquées et ils les épousent pour leur fric.
Friqués nous le sommes et aussi grâce au mariage de maman Jeanine et d’Alexandra.
Comme maman elle a rencontré un homme bourré de pognon.
Elle l’a épousé et il l’a trompé.
Elle venait de divorcer à la mort de papa quand elle a retrouvé maman.
Elle l’a fait cracher au bassinet grâce à ses avocats et peu vivre sans travailler.
Pour maman c’est différent.
Prof de math ce qui nous aide dans nos études, elle est proviseur du lycée où nous habitons.

Après leur mariage, pour leur lune de miel, nous sommes allés sur la côte où papa nous a laissé la maison familiale à notre nom.
Nous avons invité les jeunes mariées et les avons fait profiter de notre piscine.
C’est là que nous avons vu les seins d’Alexandra car elle se baignait topless alors que maman mère de famille de deux garçons arborait son maillot une pièce.
Ce que l’on peut dire d’elle c’est qu’allaiter deux garçons lui a donné une poitrine que sa femme ou son mec pourquoi chercher à savoir doivent apprécier à tâter ou à sucer.
Fin août, nous conduisons notre mère avec Alexandra au train.
Elle doit remonter dans notre ville.
Permettez que je taise le nom, les proviseur de lycée mariée à une autre femme ça doit être rare voire unique et de quel droit les désignerions nous à la vindicte populaire.

C’est le lendemain que pour mon frère et moi la surprise a été grande.
Nous avions été en boîte toute la nuit sans trouver chaussure à notre pied quand sortant sur la terrasse nous avons vu notre belle-mère nue se faisant bronzer près de la piscine.
Je savais qu’elle était blonde et que je l’aurais bien baisé quand je l’ai vu dans nos douloureuses circonstances mais là devant nous cette chatte épilée nous interpelait.

- Venez les garçons, j’aime être nue et votre mère m’a demandé de rester sur ma réserve car pour elle c’était impossible.
- Alexandra, tu es ici chez toi et la nudité est naturelle chez une femme de ta classe.
- Merci, j’ai autre chose à vous demander avant notre retour la semaine prochaine.
Jeanine refuse d’aller dans les boîtes.
- Ça on le sait, papa s’en plaignait.
- Pouvez-vous m’emmener avec vous ?
Soyez sans crainte j’en parlerais à Jeanine ce soir.

Voilà comment nous nous retrouvons tous les trois dans une des boîtes que nous fréquentons.
Elle boit payant le champagne dans le carré VIP où elle a réussi à nous faire entrer.
Quand nous dansons, elle se colle à nous sans aucune pudeur.
J’ignore pour Christian mais moi elle me fait bander.
Elle semble le sentir mais rien sur son visage ne nous permet de le savoir.
Nous rentrons, en prenant un taxi.
Est-elle ivre au point étant au milieu de nous de nous embrasser et de nous caresser chacun notre tour.
De retour à la villa, elle se met nue et plonge dans la piscine.

- Vous venez ?

Ce sont les deux seuls mots qu’elle prononce et après avoir enlever chaussures, chemisette et tergal avec nos caleçons nous la rejoignons.
Je sens sa main sur ma bite me masturbant légèrement.
Elle doit en faire de même avec Christian tout en l’embrassant goulûment.
J’ose deux doigts dans sa chatte, elle écarte ses cuisses pour mieux la pénétrer.
Osera-t-elle dire à maman que sur l’un des transats elle se donne à Christian pendant qu’elle me suce.
Nous devrions avoir honte de cocufier notre mère, mais quand elle laisse ma verge pour hurler son plaisir dans la nuit étoilée pendant que mon frère lui rempli le vagin j’accepte la situation.
On verra bien ce qui arrivera.
Un peu de repos, ma verge et mes burnes sont rempli de mon jus.
Elle se lève Christian ayant basculé sur le sol et saute à l’eau me prenant par la main.
Nous nageons de concert avant qu’elle s’arrête sur les marches.
Je fais encore une brasse et ma bouche est à hauteur de son sexe.
Les mètres passés dans l’eau l’ont nettoyé car c’est le goût de sa cyprine que j’ai sous ma langue.
Elle profite de l’eau qui recouvre les marches pour se retourner manquant de me faire boire la tasse.
Dans cette position, me redressant, ma verge est à bonne hauteur et toute belle-mère qu’elle soit ma tige entre sans trouver la moindre résistance tellement elle est mouillée.
Elle doit être chaude de la pénétration de mon frère malgré l’eau rafraichissante jouissant après trois grands coups.
Je suis si bien que je me laisse allé et à mon tour pendant le dernier orgasme qui la traverse je décharge par de longs jets.

Jusqu’à notre retour à Paris, à tour de rôle nous la faisons jouir sans qu’à aucun moment nous ayons conscience de sauter la femme de notre mère.
À un moment dans un emportement je désir lui mettre dans le cul.

- Ma chatte tant que tu veux.
Pas le reste.

Un accord entre nous fait qu’au retour chez nous, elle retrouve ses jeux lesbiens et que nos rapports se terminent là.
Il va de soit qu’elle ne dit rien de ce que nous avons fait dans notre villa car dans les semaines suivante maman est radieuse alors que si elle avait parlé, la tension serait tout autre.

- Les garçons, nous avons à vous parler Alexandra et moi.
Vous allez être papa et moi grand-mère des enfants de ma compagne.
Alexandra est enceinte.
Nous en avons eu confirmation toute à l’heure.
Qui plus est de faux jumeaux, un garçon et une fille.
Je dois reconnaître que je vous ais abusé.
Alexandra voulait connaître la joie de la maternité comme moi je l’ai connu avec vous.
Il existe des PMA qu’il était possible de faire à l’étranger.
Le donneur avait de l’importance car nous voulions un père qui soit parfait.
Qu’y a-t-il de plus parfait que vous mes enfants.
Quand j’ai quitté la cote, Alexandra avait mon accord pour avoir une relation avec vous espérant que dans ce laps de temps, vous arriveriez à la féconder.
Je dois reconnaître que vous nous comblé encore plus que nous l’espérions.
Des jumeaux comme moi j’ai eu la joie de vous avoir c’est parfait malgré la petite supercherie.
De plus je dois vous remercier depuis que vous êtes rentrés de m’avoir respecté en laissant ma femme tranquille.
Mes garçons, comme Alexandra va nous donner deux enfants mettez-vous d’accord pour la reconnaissance en paternité.
L’un reconnaîtra la fille, l’autre le garçon et je serais sa compagne la plus heureuse du monde.

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