COLLECTION HISTOIRE COURTE. Marie l’infirmière et Johnny le dépravé (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Marie l’infirmière et Johnny le dépravé (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Marie l’infirmière et Johnny le dépravé (1/1)
Mon histoire est somme toute banale.
Une jeune infirmière jolie, mais sans plus.
Ça fait deux ans que j’ai terminés mes études d’infirmière et que j’ai été nommé dans l’hôpital de notre ville.
Je rejoins le secteur où des patients arrivent souvent après des excès.
À 20 ans comme on dit j’ai déjà plusieurs fois connu le loup.
La première fois, le souvenir m’en a été cuisant.
C’était deux jours après mon entrée à l’école d’infirmières.
Ça s’est passé d’une façon très romantique dans la chambre de Guy qui venait de me séduite.
Romantique dans le principe, j’avais eu le coup de foudre, mais le fer rouge qu’il m’a enfoncé dans la chatte me faisant horriblement mal aurait pu me vacciner définitivement de recommencer avec un garçon.
J’en ai parlé au docteur Duval, l’un de nos professeurs.
C’est dans son bureau sur un lit lui servant afin de dormir un peu pendant ses gardes qu’il m’a démontré que le sexe pouvait être très sympathique, une fois l’hymen de la jeune fille éclaté.
Il en a profité pour me donner un cours de physiologie sur la femme.
Pour cela malgré ses plus de 50 ans, il a enlevé une à une mes affaires, m’a sorti son sexe plus gros que celui de Guy que j’avais vu une fraction de seconde avant que je hurle de douleur.
Cette première fois, car il y en a eu plusieurs, il s’est contenté de me faire mettre à quatre pattes et de m’enfiler me faisant vibrer rapidement.
Il faut dire que je me suis aperçu que j’étais loin d’être la seule à avoir affaire à des problèmes de douleurs.
Régulièrement il nous convoquait au gré de ses envies pour nous donner des cours particuliers.
Par chance, l’administration a eu vent de ses façons de pratiquer avec ses jeunes infirmières par Claudette, ce plaignant de certains de ses agissements.
Pas de chance, le docteur Duval a voulu la sauter, ignorant que s’était uniquement une suceuse de founes.
Il a été déplacé et Claudette a continué à être pucelle des hommes.

Il faut dire que si je suis jolie, mais sans plus, on peut dire que je suis loin d’être un laideron.
Mais chaque chaussure droite trouve sa chaussure gauche.
Quand avec Olga, Loula, la fille des gérants de la superette s’est mise en couple avec elle, elles étaient bien assorties.
Elle ignorait qu’elle était lesbienne et qu’elle était faite pour sucer des chattes.
Chaque chaussure doit savoir si elle est mocassin, basket ou de ville.
Si ces types de chaussures veulent se faire séduire par une botte ou toute autre forme de chaussures différentes, vous courrez immanquablement à l’échec.
Elles s’étaient, elles étaient faites pour s’assembler.
J’ai failli dire pour s’emboiter, la langue suffit-elle ?

Lesbiennes, j’ai essayé un jour avec Liliane, une veille copine.
Peste, pour moi, du temps où nous usions nos culottes en coton sur les bancs de l’école.
C’était à la fin de notre première année d’école d’infirmières.
J’étais en vacances chez ma grand-mère près du Puy Marie en Auvergne.
Il y avait un petit étang, non loin de chez elle,
Vu la chaleur j’avais pris l’habitude de venir me baigner et de me faire bronzer nue, le coin étant isolé, du moins je le croyais.
C’est le deuxième jour que j’ai entendu que l’on me parlait.
J’ai levé les yeux et dans le soleil placé derrière elle, je voyais sa fourche.
Je l’ai reconnu.
Quand j’avais dix ans et pendant quatre ans ma grand-mère m’avait gardé pendant que maman refaisait sa vie après la désertion de papa.
Pour Fred, son amant, j’étais de trop dans son paysage faite de baise et de fête.
Grand-mère a été la solution à leurs débordements, mais il y avait Liliane qui m’a fait une vie impossible.
Par chance maman a quitté Fred et comme je lui manquais, je suis retournée en ville près de Paris.
Comme, j’étais nue, elle m’a imité me montrant que de la jeune adolescente plutôt garçon manqué s’était un peu développé.
J’ai rapidement eu plaisir à lui sucer les seins pendant qu’elle me caressait le vagin.
Elle avait déjà pratiqué, les plaisirs dits défendus et à la fin de l’été j’étais une chaussure à double semelle.
Bref, j’étais bisexuelle aimant autant les chattes que les verges sans pour autant en abuser.
Pour le prouver, dès mon retour à l’école d’infirmières, j’ai eu comme amant un voisin de chambre garçon pas très doué et à qui j’ai rapidement dit d’aller planter son poireau ailleurs.

Et puis il y a ce matin quand je prends mon service avec Laétitia et Pauline.
Pauline est notre responsable avec ses 30 ans d’expérience.
Nous relevons trois autres infirmières avec Maria qui nous explique la nuit.

• À une heure, j’allais aller m’allonger quand le SAMU nous a amené un garçon d’une quarantaine d’années ayant fait des excès en tout genre.
Dommage que je sois fidèle à Tonio, je lui aurais bien fait un bout de causette en tête à tête.

La quarantaine, cheveux poivre et sel, je le rencontre quand je fais les prises de température.
Il dort après les sédatifs que le médecin de garde lui a administrés.
Depuis que j’exerce, la prise de température va vite.
L’administration nous a pourvu de lecteur électronique que nous posons sur le front des malades lisant directement le résultat.
Il sent quand je le touche et ouvre les yeux.

• Bonjour beauté fatale.
• Vous vous moquez, c’est l’effet des médicaments.
À tout à l’heure.

Nous avons fait les examens, adapté un traitement et malgré la limitation du temps des patients dans les lits le docteur souhaite qu’il reste pendant quelques jours.
C’est au moment où il y a eu l’autorisation de visite que le défilé a commencée.
On aurait dit que toutes les salopes des alentours s’étaient donné rendez-vous dans notre hôpital.
Brune, blonde souvent, même rousse, sont venues le visiter.
Des paquets de femmes qui toutes semblaient ignorer la jalousie.
J’ai rapidement compris que j’avais affaire à un sérial baiseur qui accumulait sans vergogne les conquêtes féminines.
Pendant une visite des chambres, au deuxième jour, j’ai vu la rousse collée à son lit se faisant caresser la chatte.
Vu le mouvement, il était profondément en elle.
Elle devait être venue la craquette à l’air espérant qu’il lui ferait ce qu’il lui faisait.
J’avais frappé, mais elle était tellement à son plaisir que Johnny me regardait fixement avec un petit rictus en disant long sur qui il était.
La rouquine a mordu son poing au moment où elle jouissait.
J’ai attendu qu’elle reprenne un peu pied sur terre, j’ai refrappé et je me suis approché du couple.
La belle jeune femme était rouge de confusion, ignorant si je les avais vus.

Et puis, il y a eu la nuit suivant.
J’aurais dû être de repos, mais nous faisions souvent des remplacements de copine.
C’était le cas ce soir-là.
Je faisais la tournée de sécurité.
Johnny savait que j’étais là ayant frappé.
J’ai vu ses paupières se refermer.
Lorsque j’ai approché avec mon thermomètre, j’ai vu qu’il avait repoussé son drap afin que je voie sa verge au repos.
Un monstre de verge, un truc énorme mieux que Rocco, des films X que je regardais discrètement dans ma jeunesse sur Canal.
C’était le conard de ma mère qui s’était abonné, à ses frais bien sûr, pour un an passionné du club de Marseille alors que je supporte le PSG.
On comprend notre mésentente.
Mais grâce au Replay, dans la journée, je trainais sur le canapé à me caresser la chatte.

C’était ma dernière chambre et je savais mes copines à l’autre bout du couloir, car elles prenaient la tension et donnaient les médicaments pour la nuit, ce qui était plus long.
Je l’ai prise dans ma main, sachant bien qu’il faisait semblant.

• Suce salope, j’ai vu que tu avais un regard de vicieuse quand je doigtais Maria, la rousse.

Bien sûr, je l’ai fait, à sa sortie, je suis devenue sa favorite dès que le médecin l’a libéré.
C’est chez lui qu’il m’a emmené sur sa grosse moto qu’un copain avait déposée sur le parking de l’hôpital.
J’aurais dû me méfier d’être un numéro dans la liste des pétasses baisant avec lui. Mais il faut croire que j’avais du chien, car ça faisait trois mois qu’il me sortait partout semblant me couver du regard alors que d’autres salopes recherchaient sa présence.
Je loupais, mes tours de service de plus en plus souvent étant même convoqué chez le médecin-chef pour qu’il essaye de trouver d’où venaient mes migraines fulgurantes et répétitives.
Si quelqu’un en connaissait la source, c’était moi et surtout la queue de Johnny que j’avais du mal à quitter et qui me faisait jouir chaque fois que je la faisais entrer dans ma chatte ?
Johnny était inventif côté sexe, tout lieu, toute position lui permettait de me sauter fougueusement, entrainant des orgasmes dévastateurs.
Et puis il y avait les jours où il partait son sac à dos sur les épaules.
J’aimais lui attacher son casque intégral après un baiser fougueux.

• Écarte tes cuisses que je te baise.
• Écarte tes cuisses que je te baise.
• Écarte tes cuisses que je te baise.
• Écarte tes cuisses que je te baise.

Ça correspond aux quatre fois ou j’ai fini par comprendre que Johnny avait braqué une banque ou une bijouterie.
C’est cette quatrième fois que j’ai vu ce que j’étais censé ignorer, comment il pouvait me sortir dans les meilleurs endroits de loisir de la capitale, craquant des masses de fric.
J’étais officiellement chez mon esthéticienne, mais elle m’avait envoyé un message que mon rendez-vous était repoussé.
J’ai vu Johnny sortir de son sac à dos un paquet de bijoux et l’homme sortir d’un sac une grosse liasse de billets.
Je regardais la télé quand j’ai entendu l’homme partie et me rejoindre.
J’étais dans ses bras quant aux infos, que je regardais rarement, ils ont parlé du braqueur à la moto noir avec un casque noir.
Il a bien fallu qu’il m’avoue.
La façon dont il me baisait à son retour me faisant atteindre le nirvana me montrait le degré d’adrénaline qu’il emmagasinait dans cette période d’un braquage.

• Johnny, le prochain casse, je le fais avec toi.
Quand tu te fais une bijouterie, je suis sûr que tu laisses des vitrines où nous pourrions gagner beaucoup plus en une seule fois.
Tu prendrais moins de risque, car je te couvrirais.

Samedi 3 octobre 15 heures, une bijouterie rue de Passy.
Je saute de la moto la peur au ventre dans ma combinaison et mon casque noir.
Je suis Johnny et nous entrons arme à la main.
C’est vrai que la peur démultiplie mes sensations et en rentrant, je serais à l’unisson de mon amant quand il me baisera fougueusement m’arrachant ma combinaison dès que nous serons dans l’ascenseur.
Le coup part, j’ai dû me tromper de flingue en partant, celui que je devais avoir en main était un faux très bien imité.
Comme au ralenti la femme du patron s’est écroulée raide morte, ma balle l’avait frappée en plein milieu du front.

Histoire banale, d’une jeune infirmière qui tombe amoureuse du type qu’elle aurait dû éviter.
Histoire d’une infirmière qui se retrouve à la prison pour femmes de Poitiers à s’occuper du service médical en attendant le nombre d’années où elle va être enfermée.
Je suis à Poitiers et Johnny comme si ça avait été écrit est à la prison de la Santé.
J’ai une petite compensation grâce à ma position.
Je broute les chattes de mes congénères lorsqu’elles viennent pour des soins
De plus, je me fais sauter par le médecin affecté à notre prison.
Ce médecin, c’est Georges, mais si Georges Duval mon professeur à l’école d’infirmières, c’est là qu’il a été déplacé.

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