COLLECTION HISTOIRE COURTE. Quand on est pute, on est pute (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Quand on est pute, on est pute (1/1)
J’ai bien écrit dans le titre « on est pute » j'aurais pu dire « on naît pute ».
Quand je suis née, ma famille était loin de connaître le milieu de la prostitution.
Maman institutrice, papa fonctionnaire dans la mairie de notre ville de province.
Je me garderais bien de dire le nom de cette petite ville, papa y est toujours et maman est toujours dans son école.
Messe tous les dimanches, communion privée et communion solennelle.
Mes rêves de jeunes filles, comme papa et maman mariées, un voire aux plus deux enfants car comme la mienne je voulais devenir institutrice.
Si je parle de pute, c’est que bien qu’ignorant tous de ce milieu, le soir de mes résultats de bac, j’ai plongé les deux pieds en dedans.
- Vic, quand tu m’as fait connaître mon premier client, tu m’as bien dit que si je voulais arrêter, il fallait que je te le demande et que tu me laisserais aller ?
- Mais oui bébé, je respecte les femmes comme je respecte ma parole.
- Tu respectes les femmes alors que tu vends le cul de cinq d’entre nous pour ton petit confort.
- Ça c’est autre chose, c’est le business, les femmes ont une chatte, un cul et une bouche pour les remplir par les verges des hommes.
Vous en plus des régulières de certains des hommes vous gagnez du fric.
Je vous assure une protection et je vous trouve les meilleurs clients dans les meilleurs hôtels.
Je vous fais vivre dans le luxe.
Il y a cinq ans bébé quand je t’ai fait faire ta première passe, tu étais programmée pour torcher des gosses et être rapidement cocue par celui qui t’aurais juré fidélité.
Vic tente de noyer le poisson, il a fait de moi une pute dès le soir où lors de la soirée organisée par une copine je fêtais ma mention au bac.
Il était un élève, un an plus vieux que nous et c’est présenté comme un élève de la fac que nous devions intégrer.
- Carole, t’as de beaux yeux, tu sais.
C’est le genre de banalité tirée d’une scène de film vu à la télé me faisant craquer ainsi que ses beaux yeux.
Il m’a pris ma virginité dans sa voiture dans une position inconfortable, mais je m’en foutais mon cœur faisant boom boom.
Trois jours plus tard, je laissais une lettre à mes parents que j’avais trouvé l’amour et que mon amoureux m’emmenait dans une sorte de voyage de noces en Italie.
L’Italie je l’ai vue et surtout l’arrière d’un tripot où pendant quatre soirs il jouait au poker avec des copains.
Ça a été rapide, j’aimais qu’il me baise dans la chambre qu’il avait louée à Gène près du port.
Un soir nous sommes rentrés suivi d’Enzo l’un des joueurs, Vic m’a laissé seule pour que j’efface son ardoise.
Maintenant que je suis plus vieille et qui ait de l’expérience comment j'aie pu me laisser prendre à ses larmes quand il m’a demandé de coucher avec son soi-disant créditeur ?
Un jour, deux jours, là encore trois jours, je me laissais baiser et en plus quand il venait pleurer et qu’il me faisait l’amour, j’en redemandais.
Tout ça sans un coup, ou la moindre baffe.
Alors quand nous sommes remontés jusqu’à Paris, c’est naturellement que je me suis prostituée pour lui.
À son âge, j’étais sa première gagneuse.
C’est dans cette période que j’ai su que c’était le fils d’un macro célèbre de Marseille.
Dans sa jeunesse sa mère pute elle-même l'avait élevé dans cette façon de faire vivre les femmes.
Le plus dur ça a été quand j’ai compris qu’il avait ferré une autre pauvre fille inculte du cul comme je l’étais.
Elle savait qu’il avait une copine, il s’en vantait presque mais quand son cœur comme le mien a fait boum, boum, elle a écarté les cuisses pour que Vic s’achète sa première voiture de sport.
Trois et quatre, cinq avec moi, c’était devenu le macro le plus célèbre de France et connes comme nous l’étions on en redemandait.
Bien sûr pour que je lui rapporte plus, il m’a sodomisé ce qui lui faisait gagner plus de fric.
Nous avions toutes notre appartement où nous recevions nos clients et les hôtels voire particuliers où nous passions des soirées à nous faire sauter par de multiples hommes.
Il y a quelque temps, Vic m’a envoyé un garçon puceau.
Quand il est passé dans mes bras experts, il était un homme.
Ça l’a rendu amoureux et il m’a dit vouloir m’épouser.
Cinq ans, presque, que je tapine, il était si émouvant et avait une belle fortune du moins celle de ses parents que devenir Comtesse j’aurais eu du mal à dire non.
- Vic, Jules fils du comte et de la comtesse de Blagnac veut m’épouser, je peux lui dire oui et reprendre ma liberté.
- Tu sais que tu fais la plus grosse connerie de ta vie Bébé.
Mais je suis un homme de parole et tu peux lui dire oui, pourtant tu vas me faire perdre une grosse quantité de pognon.
- Je te fais confiance, ton cinquième appartement sera rapidement occupé.
- Je te rappelle, tu fais une connerie.
Je suis partie et je me suis mariée.
Six mois, ça a duré six mois.
- Vic, mon appartement est toujours libre.
- Je te vois venir bébé, j’avais raison, quand on est pute, on est pute.
Non, je vais te faire connaître Nouzha une petite franco-Marocaine, les beurettes ça plait en ce moment.
Mais toi l’amour que j’ai pour toi, m’oblige à te reprendre.
Je viens justement de signer l’achat d’un deux pièces près de la gare de Lyon.
Il y a plein d’hôtels où tu pourras travailler sans problème.
Avant, viens, je vais t’en mettre un coup dans l’anus, j’espère qu’il est toujours aussi ouvert.
- C’est pour ça que je l’ai quitté en demandant le divorce.
J’ai essayé plusieurs fois tu sais comme j’aime ça.
Pour lui la boîte à chocolats s’était contre nature.
Mais il y a mieux, belle-maman me formait pour faire des tricots pour les pauvres.
Le castel était beau, mais sa verge lui servait pour pisser.
- As-tu pensé à prendre un amant ?
- Oui mon beau-père, à son âge il fallait que je le suce pendant des heures pour arriver à boire trois gouttes de sperme.
Mon cul, ma bouche sont à toi et dès que tu auras un client je m’y rendrais avec grand plaisir.
- Justement, le gros Léon m’appelle si tu as vraiment quitté le métier.
Je lui avais dit d’être patient.
Si je l’appelle, demain tu pourras recommencer.
En attendant vient ici, notre nuit va être longue.
Quand Vic m’encule je me demande quel titre pour l’histoire de ma vie entre « naît » et « est » pute.
Quand je suis née, ma famille était loin de connaître le milieu de la prostitution.
Maman institutrice, papa fonctionnaire dans la mairie de notre ville de province.
Je me garderais bien de dire le nom de cette petite ville, papa y est toujours et maman est toujours dans son école.
Messe tous les dimanches, communion privée et communion solennelle.
Mes rêves de jeunes filles, comme papa et maman mariées, un voire aux plus deux enfants car comme la mienne je voulais devenir institutrice.
Si je parle de pute, c’est que bien qu’ignorant tous de ce milieu, le soir de mes résultats de bac, j’ai plongé les deux pieds en dedans.
- Vic, quand tu m’as fait connaître mon premier client, tu m’as bien dit que si je voulais arrêter, il fallait que je te le demande et que tu me laisserais aller ?
- Mais oui bébé, je respecte les femmes comme je respecte ma parole.
- Tu respectes les femmes alors que tu vends le cul de cinq d’entre nous pour ton petit confort.
- Ça c’est autre chose, c’est le business, les femmes ont une chatte, un cul et une bouche pour les remplir par les verges des hommes.
Vous en plus des régulières de certains des hommes vous gagnez du fric.
Je vous assure une protection et je vous trouve les meilleurs clients dans les meilleurs hôtels.
Je vous fais vivre dans le luxe.
Il y a cinq ans bébé quand je t’ai fait faire ta première passe, tu étais programmée pour torcher des gosses et être rapidement cocue par celui qui t’aurais juré fidélité.
Vic tente de noyer le poisson, il a fait de moi une pute dès le soir où lors de la soirée organisée par une copine je fêtais ma mention au bac.
Il était un élève, un an plus vieux que nous et c’est présenté comme un élève de la fac que nous devions intégrer.
- Carole, t’as de beaux yeux, tu sais.
C’est le genre de banalité tirée d’une scène de film vu à la télé me faisant craquer ainsi que ses beaux yeux.
Il m’a pris ma virginité dans sa voiture dans une position inconfortable, mais je m’en foutais mon cœur faisant boom boom.
Trois jours plus tard, je laissais une lettre à mes parents que j’avais trouvé l’amour et que mon amoureux m’emmenait dans une sorte de voyage de noces en Italie.
L’Italie je l’ai vue et surtout l’arrière d’un tripot où pendant quatre soirs il jouait au poker avec des copains.
Ça a été rapide, j’aimais qu’il me baise dans la chambre qu’il avait louée à Gène près du port.
Un soir nous sommes rentrés suivi d’Enzo l’un des joueurs, Vic m’a laissé seule pour que j’efface son ardoise.
Maintenant que je suis plus vieille et qui ait de l’expérience comment j'aie pu me laisser prendre à ses larmes quand il m’a demandé de coucher avec son soi-disant créditeur ?
Un jour, deux jours, là encore trois jours, je me laissais baiser et en plus quand il venait pleurer et qu’il me faisait l’amour, j’en redemandais.
Tout ça sans un coup, ou la moindre baffe.
Alors quand nous sommes remontés jusqu’à Paris, c’est naturellement que je me suis prostituée pour lui.
À son âge, j’étais sa première gagneuse.
C’est dans cette période que j’ai su que c’était le fils d’un macro célèbre de Marseille.
Dans sa jeunesse sa mère pute elle-même l'avait élevé dans cette façon de faire vivre les femmes.
Le plus dur ça a été quand j’ai compris qu’il avait ferré une autre pauvre fille inculte du cul comme je l’étais.
Elle savait qu’il avait une copine, il s’en vantait presque mais quand son cœur comme le mien a fait boum, boum, elle a écarté les cuisses pour que Vic s’achète sa première voiture de sport.
Trois et quatre, cinq avec moi, c’était devenu le macro le plus célèbre de France et connes comme nous l’étions on en redemandait.
Bien sûr pour que je lui rapporte plus, il m’a sodomisé ce qui lui faisait gagner plus de fric.
Nous avions toutes notre appartement où nous recevions nos clients et les hôtels voire particuliers où nous passions des soirées à nous faire sauter par de multiples hommes.
Il y a quelque temps, Vic m’a envoyé un garçon puceau.
Quand il est passé dans mes bras experts, il était un homme.
Ça l’a rendu amoureux et il m’a dit vouloir m’épouser.
Cinq ans, presque, que je tapine, il était si émouvant et avait une belle fortune du moins celle de ses parents que devenir Comtesse j’aurais eu du mal à dire non.
- Vic, Jules fils du comte et de la comtesse de Blagnac veut m’épouser, je peux lui dire oui et reprendre ma liberté.
- Tu sais que tu fais la plus grosse connerie de ta vie Bébé.
Mais je suis un homme de parole et tu peux lui dire oui, pourtant tu vas me faire perdre une grosse quantité de pognon.
- Je te fais confiance, ton cinquième appartement sera rapidement occupé.
- Je te rappelle, tu fais une connerie.
Je suis partie et je me suis mariée.
Six mois, ça a duré six mois.
- Vic, mon appartement est toujours libre.
- Je te vois venir bébé, j’avais raison, quand on est pute, on est pute.
Non, je vais te faire connaître Nouzha une petite franco-Marocaine, les beurettes ça plait en ce moment.
Mais toi l’amour que j’ai pour toi, m’oblige à te reprendre.
Je viens justement de signer l’achat d’un deux pièces près de la gare de Lyon.
Il y a plein d’hôtels où tu pourras travailler sans problème.
Avant, viens, je vais t’en mettre un coup dans l’anus, j’espère qu’il est toujours aussi ouvert.
- C’est pour ça que je l’ai quitté en demandant le divorce.
J’ai essayé plusieurs fois tu sais comme j’aime ça.
Pour lui la boîte à chocolats s’était contre nature.
Mais il y a mieux, belle-maman me formait pour faire des tricots pour les pauvres.
Le castel était beau, mais sa verge lui servait pour pisser.
- As-tu pensé à prendre un amant ?
- Oui mon beau-père, à son âge il fallait que je le suce pendant des heures pour arriver à boire trois gouttes de sperme.
Mon cul, ma bouche sont à toi et dès que tu auras un client je m’y rendrais avec grand plaisir.
- Justement, le gros Léon m’appelle si tu as vraiment quitté le métier.
Je lui avais dit d’être patient.
Si je l’appelle, demain tu pourras recommencer.
En attendant vient ici, notre nuit va être longue.
Quand Vic m’encule je me demande quel titre pour l’histoire de ma vie entre « naît » et « est » pute.
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