COLLECTION HISTOIRE COURTE. Rencontre étonnante sur une plage naturiste (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Rencontre étonnante sur une plage naturiste (1/1)
• Madame Ragain, Abby si je me souviens bien, si je pensais vous retrouver sur cette plage ce matin !
• Nous nous connaissons, en êtes-vous sûr ?
Mais je suis loin d’être physionomiste.
• Je n’ai pas eu de doute lorsque je vous ai vu, mais lorsque vous me parlez, votre accent anglais me confirme que c’est bien vous.
• Madame Abby, oui, mais Ragain, c’est terminé, c’était le nom de mon mari et il y a six mois nous avons signé notre divorce.
J’ai repris mon nom de jeune fille Trévors, après notre divorce.
• Jean Deval, il est vrai que j’avais une quinzaine d’années lorsque je vous ai eu au collège où vous étiez ma prof d’anglais.
• Oui, Jean Deval, je me souviens, il faut dire que vous avez bien grandi, ça fait combien d’années ?
• Onze ans, pour grandir, j’ai bien grandi.
Cette conversation en ce matin de juillet, nous l’avons alors qu’elle comme moi, nous sommes nues sur cette plage naturiste encore bien dépeuplée.
Madame Abby est allongée sur une serviette, les jambes légèrement écartées, s’étant mis en appui sur ses avant-bras, mettant ses seins en valeur lorsque je lui ai adressé la parole.
À mon tour je m’agenouille, la vision qu’elle a de ma bite, beau morceau d’environ dix-huit centimètres, me fait comprendre pourquoi elle me dit que j’ai grandi.
• Vous êtes en vacances dans la région !
• Non, je viens pour y habiter, après mon divorce, mon mari m’a laissé la maison non loin d’ici et j’ai demandé ma mutation de Paris vers la côte qui a été acceptée.
Par chance un poste au collège non loin d’ici c’est libéré.
Mais je vous reconnais, après réflexion, c’est vrai Jean Deval, le boutonneux, j’avais de la compassion pour vous comment s’appelait donc cet élève indiscipliné qui se fichait de vous ?
• Serge Ducros, comme les épices dans les petits flacons.
• À oui, c’est lui un jour alors que je le reprenais qui m’a demandé si j’avais une culotte.
• C’est pour ça que vous faites du naturisme !
• Non, le naturiste, c’est depuis mon plus jeune âge avec mes parents.
Nous venions sur la Côte atlantique dans un camping naturiste.
C’est là que j’ai rencontré Ragain qui est devenue mon mari et qui m’a quitté pour une plus jeune que moi.
Je vais vous faire une confidence, le temps a passé depuis cette altercation avec ce garçon, ça ne porte plus à conséquence.
J’étais naturiste, sa remarque m’a décontenancé et les jours qui ont suivi, comme un défi sans lui dire bien sûr, je suis venue devant vous sans en porter.
• C’est peut-être pour cela que je vous idolâtrais, je me souviens que je pensais à vous dans le plus simple appareil comme aujourd’hui.
Vous avez été à l’origine de mes premiers émois.
• Vous faisais-je bander ?
• Mieux, je mettais ma main sous mon pupitre et je me masturbais.
• Nous devions faire ça ensemble, un jour je vous avais donné une dissertation et moi aussi à l’abri de mon bureau, j’ai glissé ma main et je me suis caressée.
J’ai failli jouir en pleine classe !
• Vous étiez déjà rasée, je vois des perles de cyprine sortir de votre chatte.
Je vais vous annoncer une nouvelle après ce que vous venez de me dire de votre mutation ici.
Nous allons être collègues, je suis moi aussi prof d’anglais dans ce collège voisin.
• Vous avez été affecté ici après votre diplôme !
J’éclate de rire, ça la surprend.
• Non, mes parents, plutôt mon père a pris un poste dans une usine comme responsable de la sécurité, à Paris il était pompier de Paris.
Nous avons déménagé et grâce à vous j’ai décidé de devenir prof d’anglais.
Vous m’aviez donné le gout pour votre langue.
• Et nous nous retrouvons sur cette plage, nus tous les deux et je vois qu’à l’évocation de ces années de collège, vous comme élève et moi comme prof, votre sexe se redresse légèrement.
• Non, c’est la vue de votre chatte qui me fait de l’effet !
Je dois continuer ma course du matin, aurais-je le plaisir de vous revoir avant la rentrée prochaine ?
• Je te propose mieux, es-tu libre ce soir ou demain ou tout autre jour, nous ferons plus ample connaissance de ce que nous sommes devenus ?
Je vois son regard sur ma verge, j’ai toujours aimé les femmes plus vieilles que moi.
C’est une voisine de mes parents la cinquantaine qui l’année suivante, j’avais seize ans, c’est occupé de me dépuceler.
Depuis j’ai eu quelques maîtresses, mais rien de durable, surtout l’été ou en boîte ou sur cette plage, je lève des petites femelles comme mon ancienne prof d’anglais.
D’un autre côté, Abby par son tutoiement me fait sentir que nous venons de raccourcir la distance entre la prof et celui qui a été son élève.
Elle m’a donné son adresse, le soir, je me présente.
• Bien venue dans mon humble demeure et dire que nous aurions pu nous rencontrer plus tôt, depuis ces longues années, nous étions voisins sans le savoir.
• Dans les premières années, mes parents m’envoyaient chez ma grand-mère hélas décédé.
• De notre côté, il est vrai que mon mari ayant pris de l’embonpoint, avait cessé le naturisme hors de ces murs, ça limitait nos déplacements jusqu’à la plage où tu m’as vu ce matin.
• Ou puis-je poser mes affaires, nous voir dans le plus simple appareil, comme ce matin, ça raccourcit les distances et je suis un peu gêné de me trouver habillés devant toi !
Je pose mon pantalon sur la chaise dans l’entrée à croire qu’elle est faite spécialement pour que ses invités se dévêtent et se retrouvent nus comme elle l’est elle aussi.
Une fois dans le plus simple appareil, pensant à l’invite que représente une femme se sachant seule chez elle, vous ouvre nue comme le jour de sa naissance, je la colle contre moi.
• Je vois que tu es direct, il est vrai que c’est moi qui t’ai ouverte les portes vers mon désir.
Il y a un an que je fais abstinence côté sexe.
Il y a juste un an jour pour jour que dans cette maison, j’ai trouvé mon mari se faisant sucer par la femme de ménage, venant préparer nos repas.
Comme je l’ai dit, il avait arrêté le naturiste hors d’ici, mais avait sorti sa verge qu’il fourait dans la bouche de cette petite salope.
Ils sont partis ensemble et moi j’ai demandé le divorce.
Vingt-six ans, son corps contre le mien, ma queue a recommencé à monter comme sur la plage et pendant que nos bouches se réunissaient, Abby a bien senti que j’avais envie d’elle.
Elle s’est séparée de moi, mais pour mieux s’agenouiller et me prendre dans sa bouche, sa main empoignant mon sexe.
Moi qui de tout temps avec mes maîtresses suis d’une résistance à toute épreuve.
Est-ce le fait qu’elle ait été à l’origine de mes premiers fantasmes me propulsant vers l’âge adulte, je suis à deux doigts de lui remplir la bouche.
Je récupère ma queue et nos corps comme nos bouches se retrouvent, jusqu’à ce qu’à la limite de l’étouffement, elle s’écarte de moi.
• Je sens que tu veux calmer le jeu, tu as raison nous avons toute la soirée et plus à ce que je vois et que je ressens.
J’ai préparé un petit repas en amoureux sur la terrasse, depuis le départ de mon mari et de Juliette, je fais tout moi-même, il vaut mieux être tout seul que mal accompagné.
• Juliette, dix-sept ans, non dix-huit cette année, la pute de cet endroit.
Jusqu’à l’année dernière, je l’avais comme élève et…
• Et, tu sembles buter sur ce « et », dois-je comprendre qu’elle a été, elle aussi, ta maîtresse comme celle de mon mari ?
• Sans être une pute, elle était connue comme la plus rapide sur le sexe de tout mâle partant à sa portée.
Non, je l’aurais certainement baisé si elle avait eu ton âge, j’ai horreur des jeunes filles en fleurs, je préfère les femmes d’expérience.
• Tu aurais dit, les femmes d’âge mures, tu aurais remis ton pantalon et je serais repartie vers ma misère sexuelle.
Nous nous serions revus à la rentrer, mais malgré que j’ai quelques années de plus que toi, viens, nous allons dîner en amoureux, si tu le permets.
Je l’ai repris dans mes bras, il faut savoir mentir, Juliette, je l’ai sauté deux ans plus tôt.
J’étais allé dans une boîte, la coquine était là, avec un vieux ventripotent, certainement le mari d’Abby.
Elle m’a reconnu et c’est elle qui a voulu que je la prenne comme une bête alors que le mari d’Abby était à quelques pas de nous.
Elle devait les avoir surpris dans les heures ou les jours qui ont suivi la libérant de son entrave maritale et permettant à ma queue de venir la fourrer dès que nous avons fini de manger le saumon sur toast qu’elle avait préparé.
Terrasse, piscine, petite, mais bien agréable par ces fortes chaleurs, bain de minuit à vingt-deux heures.
La première fois sur la chaise, donc après l’entrée, la faisant jouir comme j’ai toujours fait jouir mes maîtresses depuis que je les fourre lorsqu’elles sont consentantes.
• Chéri, ça fait trois jours, qu’on mange, qu’on baise, qu’on se baigne, qu’on re-mange, re-baise dans la piscine, tu vas me tuer.
• J’ai onze ans à rattraper, onze ans que je fantasme sur ma jolie prof de la langue de Shakespeare.
Alors si tu le permets, je suis célibataire, tu l’es redevenue et nous nous entendons comme Laron en foire.
• Embrasse-moi, nous verrons à remplir le frigo pour nous substanter, vivons d’amour et d’eau fraiche.
Une cigale ayant chanté tout l’été se trouva fort dépourvu quand la bise fut venue !
Fable très connue de La Fontaine, nous ce fut à peu près pareil.
• Messieurs, mesdames, à l’heure de la rentrée des profs la veille de celle de nos élèves, je vous présente nos nouveaux collègues.
Madame Yvette Orner, sans H ni accordéon, pardon madame on doit vous le faire à chaque fois, prof de math, fraichement nommé.
Madame Abby Trévors, la remplaçante de feu Hubert prof d’anglais, notre collègue trop tôt disparu d’un cancer du poumon.
Merci à toi, Jean d’avoir assumé toutes les classes pendant les deux derniers mois jusqu’aux vacances.
Je compte sur toi pour soutenir Abby au cours de ses premières heures.
Si vous permettez qu’entre nous, comme je le fais avec tous les autres, je vous appelle par votre prénom.
• À mon tour de te remercier de ton accueil Sylvain au nom de nos collègues anciens et nouveaux.
En ce qui concerne Abby, soit sans crainte, nous avons déjà fait plus ample connaissance avant cette rentrée, tout devrait bien se passer.
Le petit sourire en coin d’Abby doit se produire alors qu’elle doit penser à la belle queue que je lui ai mise ce matin avant de partir.
Je lui ai enlevé sa petite culotte dans la cuisine, qu’elle avait prévu de remettre pour cette rentrée et que je sens en la tâtant dans ma poche où je l’ai mise.
La savoir la chatte à l’air sous sa jupe stricte, me donne du tonus afin d’affronter nos élèves dès demain après certainement un bain de minuit, nus bien sûrs.
• Nous nous connaissons, en êtes-vous sûr ?
Mais je suis loin d’être physionomiste.
• Je n’ai pas eu de doute lorsque je vous ai vu, mais lorsque vous me parlez, votre accent anglais me confirme que c’est bien vous.
• Madame Abby, oui, mais Ragain, c’est terminé, c’était le nom de mon mari et il y a six mois nous avons signé notre divorce.
J’ai repris mon nom de jeune fille Trévors, après notre divorce.
• Jean Deval, il est vrai que j’avais une quinzaine d’années lorsque je vous ai eu au collège où vous étiez ma prof d’anglais.
• Oui, Jean Deval, je me souviens, il faut dire que vous avez bien grandi, ça fait combien d’années ?
• Onze ans, pour grandir, j’ai bien grandi.
Cette conversation en ce matin de juillet, nous l’avons alors qu’elle comme moi, nous sommes nues sur cette plage naturiste encore bien dépeuplée.
Madame Abby est allongée sur une serviette, les jambes légèrement écartées, s’étant mis en appui sur ses avant-bras, mettant ses seins en valeur lorsque je lui ai adressé la parole.
À mon tour je m’agenouille, la vision qu’elle a de ma bite, beau morceau d’environ dix-huit centimètres, me fait comprendre pourquoi elle me dit que j’ai grandi.
• Vous êtes en vacances dans la région !
• Non, je viens pour y habiter, après mon divorce, mon mari m’a laissé la maison non loin d’ici et j’ai demandé ma mutation de Paris vers la côte qui a été acceptée.
Par chance un poste au collège non loin d’ici c’est libéré.
Mais je vous reconnais, après réflexion, c’est vrai Jean Deval, le boutonneux, j’avais de la compassion pour vous comment s’appelait donc cet élève indiscipliné qui se fichait de vous ?
• Serge Ducros, comme les épices dans les petits flacons.
• À oui, c’est lui un jour alors que je le reprenais qui m’a demandé si j’avais une culotte.
• C’est pour ça que vous faites du naturisme !
• Non, le naturiste, c’est depuis mon plus jeune âge avec mes parents.
Nous venions sur la Côte atlantique dans un camping naturiste.
C’est là que j’ai rencontré Ragain qui est devenue mon mari et qui m’a quitté pour une plus jeune que moi.
Je vais vous faire une confidence, le temps a passé depuis cette altercation avec ce garçon, ça ne porte plus à conséquence.
J’étais naturiste, sa remarque m’a décontenancé et les jours qui ont suivi, comme un défi sans lui dire bien sûr, je suis venue devant vous sans en porter.
• C’est peut-être pour cela que je vous idolâtrais, je me souviens que je pensais à vous dans le plus simple appareil comme aujourd’hui.
Vous avez été à l’origine de mes premiers émois.
• Vous faisais-je bander ?
• Mieux, je mettais ma main sous mon pupitre et je me masturbais.
• Nous devions faire ça ensemble, un jour je vous avais donné une dissertation et moi aussi à l’abri de mon bureau, j’ai glissé ma main et je me suis caressée.
J’ai failli jouir en pleine classe !
• Vous étiez déjà rasée, je vois des perles de cyprine sortir de votre chatte.
Je vais vous annoncer une nouvelle après ce que vous venez de me dire de votre mutation ici.
Nous allons être collègues, je suis moi aussi prof d’anglais dans ce collège voisin.
• Vous avez été affecté ici après votre diplôme !
J’éclate de rire, ça la surprend.
• Non, mes parents, plutôt mon père a pris un poste dans une usine comme responsable de la sécurité, à Paris il était pompier de Paris.
Nous avons déménagé et grâce à vous j’ai décidé de devenir prof d’anglais.
Vous m’aviez donné le gout pour votre langue.
• Et nous nous retrouvons sur cette plage, nus tous les deux et je vois qu’à l’évocation de ces années de collège, vous comme élève et moi comme prof, votre sexe se redresse légèrement.
• Non, c’est la vue de votre chatte qui me fait de l’effet !
Je dois continuer ma course du matin, aurais-je le plaisir de vous revoir avant la rentrée prochaine ?
• Je te propose mieux, es-tu libre ce soir ou demain ou tout autre jour, nous ferons plus ample connaissance de ce que nous sommes devenus ?
Je vois son regard sur ma verge, j’ai toujours aimé les femmes plus vieilles que moi.
C’est une voisine de mes parents la cinquantaine qui l’année suivante, j’avais seize ans, c’est occupé de me dépuceler.
Depuis j’ai eu quelques maîtresses, mais rien de durable, surtout l’été ou en boîte ou sur cette plage, je lève des petites femelles comme mon ancienne prof d’anglais.
D’un autre côté, Abby par son tutoiement me fait sentir que nous venons de raccourcir la distance entre la prof et celui qui a été son élève.
Elle m’a donné son adresse, le soir, je me présente.
• Bien venue dans mon humble demeure et dire que nous aurions pu nous rencontrer plus tôt, depuis ces longues années, nous étions voisins sans le savoir.
• Dans les premières années, mes parents m’envoyaient chez ma grand-mère hélas décédé.
• De notre côté, il est vrai que mon mari ayant pris de l’embonpoint, avait cessé le naturisme hors de ces murs, ça limitait nos déplacements jusqu’à la plage où tu m’as vu ce matin.
• Ou puis-je poser mes affaires, nous voir dans le plus simple appareil, comme ce matin, ça raccourcit les distances et je suis un peu gêné de me trouver habillés devant toi !
Je pose mon pantalon sur la chaise dans l’entrée à croire qu’elle est faite spécialement pour que ses invités se dévêtent et se retrouvent nus comme elle l’est elle aussi.
Une fois dans le plus simple appareil, pensant à l’invite que représente une femme se sachant seule chez elle, vous ouvre nue comme le jour de sa naissance, je la colle contre moi.
• Je vois que tu es direct, il est vrai que c’est moi qui t’ai ouverte les portes vers mon désir.
Il y a un an que je fais abstinence côté sexe.
Il y a juste un an jour pour jour que dans cette maison, j’ai trouvé mon mari se faisant sucer par la femme de ménage, venant préparer nos repas.
Comme je l’ai dit, il avait arrêté le naturiste hors d’ici, mais avait sorti sa verge qu’il fourait dans la bouche de cette petite salope.
Ils sont partis ensemble et moi j’ai demandé le divorce.
Vingt-six ans, son corps contre le mien, ma queue a recommencé à monter comme sur la plage et pendant que nos bouches se réunissaient, Abby a bien senti que j’avais envie d’elle.
Elle s’est séparée de moi, mais pour mieux s’agenouiller et me prendre dans sa bouche, sa main empoignant mon sexe.
Moi qui de tout temps avec mes maîtresses suis d’une résistance à toute épreuve.
Est-ce le fait qu’elle ait été à l’origine de mes premiers fantasmes me propulsant vers l’âge adulte, je suis à deux doigts de lui remplir la bouche.
Je récupère ma queue et nos corps comme nos bouches se retrouvent, jusqu’à ce qu’à la limite de l’étouffement, elle s’écarte de moi.
• Je sens que tu veux calmer le jeu, tu as raison nous avons toute la soirée et plus à ce que je vois et que je ressens.
J’ai préparé un petit repas en amoureux sur la terrasse, depuis le départ de mon mari et de Juliette, je fais tout moi-même, il vaut mieux être tout seul que mal accompagné.
• Juliette, dix-sept ans, non dix-huit cette année, la pute de cet endroit.
Jusqu’à l’année dernière, je l’avais comme élève et…
• Et, tu sembles buter sur ce « et », dois-je comprendre qu’elle a été, elle aussi, ta maîtresse comme celle de mon mari ?
• Sans être une pute, elle était connue comme la plus rapide sur le sexe de tout mâle partant à sa portée.
Non, je l’aurais certainement baisé si elle avait eu ton âge, j’ai horreur des jeunes filles en fleurs, je préfère les femmes d’expérience.
• Tu aurais dit, les femmes d’âge mures, tu aurais remis ton pantalon et je serais repartie vers ma misère sexuelle.
Nous nous serions revus à la rentrer, mais malgré que j’ai quelques années de plus que toi, viens, nous allons dîner en amoureux, si tu le permets.
Je l’ai repris dans mes bras, il faut savoir mentir, Juliette, je l’ai sauté deux ans plus tôt.
J’étais allé dans une boîte, la coquine était là, avec un vieux ventripotent, certainement le mari d’Abby.
Elle m’a reconnu et c’est elle qui a voulu que je la prenne comme une bête alors que le mari d’Abby était à quelques pas de nous.
Elle devait les avoir surpris dans les heures ou les jours qui ont suivi la libérant de son entrave maritale et permettant à ma queue de venir la fourrer dès que nous avons fini de manger le saumon sur toast qu’elle avait préparé.
Terrasse, piscine, petite, mais bien agréable par ces fortes chaleurs, bain de minuit à vingt-deux heures.
La première fois sur la chaise, donc après l’entrée, la faisant jouir comme j’ai toujours fait jouir mes maîtresses depuis que je les fourre lorsqu’elles sont consentantes.
• Chéri, ça fait trois jours, qu’on mange, qu’on baise, qu’on se baigne, qu’on re-mange, re-baise dans la piscine, tu vas me tuer.
• J’ai onze ans à rattraper, onze ans que je fantasme sur ma jolie prof de la langue de Shakespeare.
Alors si tu le permets, je suis célibataire, tu l’es redevenue et nous nous entendons comme Laron en foire.
• Embrasse-moi, nous verrons à remplir le frigo pour nous substanter, vivons d’amour et d’eau fraiche.
Une cigale ayant chanté tout l’été se trouva fort dépourvu quand la bise fut venue !
Fable très connue de La Fontaine, nous ce fut à peu près pareil.
• Messieurs, mesdames, à l’heure de la rentrée des profs la veille de celle de nos élèves, je vous présente nos nouveaux collègues.
Madame Yvette Orner, sans H ni accordéon, pardon madame on doit vous le faire à chaque fois, prof de math, fraichement nommé.
Madame Abby Trévors, la remplaçante de feu Hubert prof d’anglais, notre collègue trop tôt disparu d’un cancer du poumon.
Merci à toi, Jean d’avoir assumé toutes les classes pendant les deux derniers mois jusqu’aux vacances.
Je compte sur toi pour soutenir Abby au cours de ses premières heures.
Si vous permettez qu’entre nous, comme je le fais avec tous les autres, je vous appelle par votre prénom.
• À mon tour de te remercier de ton accueil Sylvain au nom de nos collègues anciens et nouveaux.
En ce qui concerne Abby, soit sans crainte, nous avons déjà fait plus ample connaissance avant cette rentrée, tout devrait bien se passer.
Le petit sourire en coin d’Abby doit se produire alors qu’elle doit penser à la belle queue que je lui ai mise ce matin avant de partir.
Je lui ai enlevé sa petite culotte dans la cuisine, qu’elle avait prévu de remettre pour cette rentrée et que je sens en la tâtant dans ma poche où je l’ai mise.
La savoir la chatte à l’air sous sa jupe stricte, me donne du tonus afin d’affronter nos élèves dès demain après certainement un bain de minuit, nus bien sûrs.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Excellent, qui n' a pas fantasmé sur l un ou l' autre de ses profs ? Cela me rappelle une également anglaise prof d'anglais en études supérieures, qui portait des bas et peut-être ou pas une culotte. C était le jeu de se mettre au premier rang devant le bureau pour apprécier la variante du jour...😜 Nico

