COLLECTION HISTOIRE COURTE. Robinson Crusoé et Vendredi (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2023 dans la catégorie En solitaire
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Robinson Crusoé et Vendredi (1/1)
C’est après la lecture du roman de Daniel Defoe, Robinson Crusoé que j’ai décidé d’acquérir mon île au soleil.
Presque dix ans comme trader à la City ont fait de moi un homme riche.
Plus que riche, mais le bruit et la fureur des salles de marchés étant à mille lieues de ce que je suis et de ce que j’aime.
La solitude et mes bouquins.
Cette solitude je pensais la trouver dans cet immeuble près de Tower Bridge avec terrasse donnant sur la Tamise.
J’allais sur mon lieu de travail, je gagnais un max de pognon tout en faisant de magnifique placement qui gonflait mon compte en banque.
J’achetais des maximums de livres que je dévorais.
Aussi bien en Français qu’en Anglais.
Par chance, moi qui étais né à Guéret, maman étant prof d’anglais, papa prof de math, maman a voulu que je parle couramment leurs deux langues.
Elle disait que ce serait toujours une porte de sortie et faciliterait mes études.
Une semaine en Français, l’autre en Anglais, à ce rythme je parle parfaitement les deux langues.
Premier en math avec leçon particulière par papa dès qu’un problème me posait souci.
Premier en langue, l’espagnol était pure formalité pour moi.
J’ai fini par aller à Londres trouver du boulot comme trader et me faire des couilles en or.
Je parlais donc des livres, seul moment de solitude, mais, hélas, le bruit de la vie en bas de mon immeuble, il m’était impossible de le gommer.
À mon âge, ma libido existait, il était hors de question d’avoir une femme à demeure.
J’avais des amis de travail chez qui j’acceptais d’aller manger et je voyais en grandeur nature les ravages qu’une femme pouvait faire dans la vie d’un homme.
Les escortes, tu payes, tu baises et elles repartent comme elles sont venues.
Pas de radio crachant leurs informations de merde écouté par madame à longueur de temps.
Encore moins de télé, travail et bouquin mon principal crédo.
À ma banque, un camarade m’a surnommé « Robinson Crusoé ».
Qu’il est con ce robinson d’être revenue à la civilisation.
Renseignement pris, des petits îlots vierges, mais tout de même habitables, il y en a des myriades à travers le monde.
Surtout du côté de la Grèce, mais trop près du bruit et de la fureur que j’aspirais à bannir de ma vie.
L’océan Pacifique…
Océan mythique ou le naufrage de Robinson avait eu lieu.
C’est dans cet étendu d’eau que j’ai pu acheter cette île.
Mais mes parents ayant disparu, j'étais seul et je savais que si je me retirais sur mon île, je pourrais vivre tranquille.
Un seul problème important s’est présenté à moi, l'eau et les livres.
Seul problème, car mon île est abordable seulement par les airs et encore en hélitreuillant le peu qu’il m’était nécessaire.
Les récifs et la barrière de corail empêchant toute approche par la mer, c’est pour cela que j’ai pu la racheter à un prix défiant toute concurrence.
Quelques planches au début m’ont permis de bâtir une cabane mais que j’ai vite abandonnée au profit de mon hamac où je passe des heures à contempler la mer ou à lire.
Pour manger, j’ai fait hélitreuiller des experts.
La faune, ce fut vite fait rien de mangeable.
De toute façon, bien que je vienne de la campagne tuer un animal aurait été au-dessus de mes forces.
La flore est beaucoup plus intéressante, si je fais attention, je peux me nourrir de racines et de baies qui poussent toute l’année sous ce climat.
La faune s'est avérée plus utile lorsque j’ai pensé aux poissons.
Fusil sous-marin avec de bonnes flèches, je peux me divertir et vivre en mangeant du fruit de ma chasse sous les eaux.
Pendant combien de temps, je vis au rythme de la mer et du soleil avec le seul moment où ma quiétude est troublée par le bruit de l’hélico venu du bateau qui croise au large.
Il m’apporte tous les mois de l’eau et les derniers romans à la mode.
Ça fait combien, trois, quatre ans que je suis là engrangeant mon pognon qui continue à fructifier grâce à mon chargé d’affaires qui fait des placements à ma place.
Aujourd’hui, je suis confronté à un typhon.
Je sauve mon hamac et ma peau sans savoir comment.
Je sens la nécessité de construire un abri souterrain dans le sol me sauvant si ce genre de situation se reproduisait.
J’aime la vie mais une vie de paix.
Ça fait deux mois que j’ai construit cet abri grâce au système que j’ai inventé pour parler à mon équipe dans l’hélicoptère.
Une boîte que je pends, attachée à une corde entre deux piquets au petit sommet de mon île.
Je la place, elle est bien visible, il la récupère avec un crochet et me livre ce dont j’ai besoin quelques jours après.
Ça me coûte un pognon dingue, mais c’est ma seule dépense avec les fournitures.
Je peux voir venir.
Hier la rotation a eu lieu, quand partant pêcher, mon regard est attiré par une barque dans les récifs.
Par chance la mer est d’huile et elle a dû passer entre les rochers.
Je nage jusqu’à elle en faisant attention aux coraux.
Par chance a porté de main, une corde pend à l’avant, j’arrive à la tirer jusqu’au rivage pour découvrir une jeune femme à l’intérieur.
Elle est évanouie et a été attaquée par le soleil.
Je la porte et la pose dans mon hamac.
Elle pèse trois grammes, depuis quand est-elle à la dérive sur cette barque.
Je lui donne de l’eau, au goutte-à-goutte, elle est en maillot de bain mini vraiment mini.
Le même que les escortes que je faisais venir.
En l'hydratant, elle finit par reprendre vie.
• Ah !
Suis-je si laid que ça, ça ce peut, depuis que je suis sur cette île, j’ai dû changer, simplement ma barbe qui est là depuis le premier jour, a dû lui faire peur ?
Sans regarder, je me sers d’un couteau pour la raccourcir régulièrement.
• Qui êtes-vous et où suis-je ?
Elle parle en Anglais, à l’accent américain.
Parler, c’est vrai à part chantée as-tu tête, les chansons apprises dans ma jeunesse, ici, j’avais oublié les mots.
Si, il m’arrive de dire « Merde » chaque fois que je me fais mal en construisant ou consolidant un de mes lieux de vie, c’est le bout du monde.
• Je suis le propriétaire et le seul habitant de mon île.
• Je peux téléphoner que l’on vient me chercher.
J’éclate de rire, c’est bon de rire, ça m’était passé comme bien des choses comme d’avoir un vêtement, je suis seul, je vis nu.
Les explications ont lieu, elle comprend dans la situation où elle se trouve.
Je lui donne de mon eau, rapidement malgré des coups de soleil, elle reprend vie.
Dans les premiers jours ici, j’ai été confronté à des coups de soleil.
Au fond de mon abri, j’ai une mallette de secours et de la pommade que je m’étais fait amener dès la première rotation.
Je peux la soigner, c’est la première femme que je touche depuis mon installation ici.
• Tu es donc Robinson, je suis donc ton Vendredi.
Par chance, elle a de l’humour et un fort joli cul.
Depuis le début, une phrase, une situation dans les livres qui m’était livrée me permettait grâce à la veuve poignée d’expulser le trop-plein en moi.
• Comment t’es-tu retrouvée dans cette barque.
En anglais, mais en traduisant, je me sers du « tu » inconnu chez les rosbifs.
• J’étais sur un voilier avec des amis, quand une tornade tropicale s’est abattue sur nous.
Le bateau a coulé, j’ignore où sont mes compagnons, il y avait cette barque à l’arrière du voilier ou par miracle j’ai réussi à me hisser.
J’ignore depuis combien de temps je dérive et par chance ton île était là et tu m’as sauvée.
Me disant cela, elle se pend à mon cou et m’embrasse sur mes deux joues.
C’est beau le corps humain, rapidement je sens ma queue lever la tête.
On a beau être un Robinson dans l’âme, on est aussi un homme.
Je m’écarte comme si un serpent inconnu sur mon île m’avait piqué.
Nouveau rire, alors je pars à la chasse à la langouste.
Dans mon île, elle pullule, certaines étant gigantesques.
Si je veux, je peux en manger en faisant bouillir de l’eau de mer dans ma gamelle sur un feu de palme de noix de coco tous les jours.
Là encore, des noix, il suffit de se baisser pour les ramasser.
Langouste au citron vert, jus de coco et pulpe de coco avec pour finir des baies cueillies hier.
Bref, nous nous couchons sur le lit de palme que j’ai confectionné pour moi, lui laissant le hamac, j’ai beau être solitaire, je suis resté un homme galant.
Comme chaque nuit que j’ai passée ici, j’admire le calme de cette nuit de pleine lune bercée par le bruit des petites vaguelettes venant jusqu’à ma plage et aux myriades d’étoiles qui constellent mon ciel.
C’est serein que je dors jusqu’à ce que je me réveille d’un coup ayant l’impression qu’un animal se pose sur mon bas-ventre.
Rapidement la peur se mue en plaisir.
Vendredi est descendu du hamac et viens de me caresser la verge.
Sa main me saisit pour mieux me mettre dans sa bouche.
Je dois reconnaître que je bande rapidement, c’est nettement mieux que ma veuve poignée.
Je mets mes bras derrière ma tête voulant voir jusqu’à où elle va aller.
Elle m’enfourche et cassant le silence qui m’entoure, elle enfonce ma verge dans sa chatte.
Je bande au maximum.
Que dire du bruit qu’elle fait avec sa bouche alors qu’au niveau de nos sexes, je sens que ça résiste et que ça cède d’un coup ?
Nul doute que Robinson vient de dépuceler Vendredi, comme de nombreux lecteurs de Daniel Defoe demandait si Robinson enculait Vendredi.
Ce dépucelage est le premier pour moi et d’un coup mon cœur s’embrase, je suis amoureux de cette jeune femme venue de nulle part échouer sur mon île.
Dans les jours qui suivent, alors que j’ai réussi à faire jouir Vendredi dès ma première fois, nous faisons l’amour là où cela nous fait envie.
Dans la civilisation que j’ai fuie à cause du bruit, être nu toute la journée sauf en club naturiste est impossible.
Ici chez moi, nous le faisons allant même baiser jusqu’au sommet où ensemble nous apportons la boîte de nos besoins.
L’eau principalement que nous consommons en plus grande quantité.
Je me contentais de la mer pour me nettoyer, Vendredi veut garder son hygiène et c’est très compréhensif.
Quelques jours plus tard, l’hélico nous apporte trois grosses bonbonnes de mille litres d’eau, nous devrions tenir jusqu’au prochain largage.
Mais à grand débordement Vendredi adorant que je la prenne dans l’eau en levrette évitant de lui mettre du sable dans la chatte, la nature nous rattrape, les règles de Vendredi disparaissent.
Nous devons nous résoudre à admettre que Robinson a engrossé Vendredi.
Nous tenons jusqu’à ce que le ventre de Vendredi s’arrondisse avant que je déclenche la balise de sécurité que je me suis fait amener après le typhon ayant réuni Robinson et Vendredi.
Nous sommes hélitreuillés et conduits à la nouvelle Orléans.
Ça fait trois ans que je vis dans cette ville remplie de fête et de musique.
Ma fortune est telle que je nous ai fait construire un building le plus haut de la ville.
Mes bureaux sont sous mes pieds et travaillent pour moi alors que nous résidons aux derniers étages avec une terrasse d’où je vois l’océan.
Ma principale activité à son sommet, c’est de toujours lire, mais sur une tablette renfermant toute la littérature du monde et évitant les déforestations, je suis heureux.
Je finis par accepter le bruit de quelques parasites, comme celui des vagues sur mon îlot rocheux.
Le cri des oiseaux passants au-dessus de moi !
Mais aussi celui de mes trois enfants jouant autour de moi et surtout les cris de ma femme chaque fois que nous faisons l’amour.
De ce côté-là, Vendredi est très oralement expressif et quand je la remplis de mon sperme, je suis revenu seul avec elle sur l’île de Robinson même si je suis à la nouvelle Orléans.
Presque dix ans comme trader à la City ont fait de moi un homme riche.
Plus que riche, mais le bruit et la fureur des salles de marchés étant à mille lieues de ce que je suis et de ce que j’aime.
La solitude et mes bouquins.
Cette solitude je pensais la trouver dans cet immeuble près de Tower Bridge avec terrasse donnant sur la Tamise.
J’allais sur mon lieu de travail, je gagnais un max de pognon tout en faisant de magnifique placement qui gonflait mon compte en banque.
J’achetais des maximums de livres que je dévorais.
Aussi bien en Français qu’en Anglais.
Par chance, moi qui étais né à Guéret, maman étant prof d’anglais, papa prof de math, maman a voulu que je parle couramment leurs deux langues.
Elle disait que ce serait toujours une porte de sortie et faciliterait mes études.
Une semaine en Français, l’autre en Anglais, à ce rythme je parle parfaitement les deux langues.
Premier en math avec leçon particulière par papa dès qu’un problème me posait souci.
Premier en langue, l’espagnol était pure formalité pour moi.
J’ai fini par aller à Londres trouver du boulot comme trader et me faire des couilles en or.
Je parlais donc des livres, seul moment de solitude, mais, hélas, le bruit de la vie en bas de mon immeuble, il m’était impossible de le gommer.
À mon âge, ma libido existait, il était hors de question d’avoir une femme à demeure.
J’avais des amis de travail chez qui j’acceptais d’aller manger et je voyais en grandeur nature les ravages qu’une femme pouvait faire dans la vie d’un homme.
Les escortes, tu payes, tu baises et elles repartent comme elles sont venues.
Pas de radio crachant leurs informations de merde écouté par madame à longueur de temps.
Encore moins de télé, travail et bouquin mon principal crédo.
À ma banque, un camarade m’a surnommé « Robinson Crusoé ».
Qu’il est con ce robinson d’être revenue à la civilisation.
Renseignement pris, des petits îlots vierges, mais tout de même habitables, il y en a des myriades à travers le monde.
Surtout du côté de la Grèce, mais trop près du bruit et de la fureur que j’aspirais à bannir de ma vie.
L’océan Pacifique…
Océan mythique ou le naufrage de Robinson avait eu lieu.
C’est dans cet étendu d’eau que j’ai pu acheter cette île.
Mais mes parents ayant disparu, j'étais seul et je savais que si je me retirais sur mon île, je pourrais vivre tranquille.
Un seul problème important s’est présenté à moi, l'eau et les livres.
Seul problème, car mon île est abordable seulement par les airs et encore en hélitreuillant le peu qu’il m’était nécessaire.
Les récifs et la barrière de corail empêchant toute approche par la mer, c’est pour cela que j’ai pu la racheter à un prix défiant toute concurrence.
Quelques planches au début m’ont permis de bâtir une cabane mais que j’ai vite abandonnée au profit de mon hamac où je passe des heures à contempler la mer ou à lire.
Pour manger, j’ai fait hélitreuiller des experts.
La faune, ce fut vite fait rien de mangeable.
De toute façon, bien que je vienne de la campagne tuer un animal aurait été au-dessus de mes forces.
La flore est beaucoup plus intéressante, si je fais attention, je peux me nourrir de racines et de baies qui poussent toute l’année sous ce climat.
La faune s'est avérée plus utile lorsque j’ai pensé aux poissons.
Fusil sous-marin avec de bonnes flèches, je peux me divertir et vivre en mangeant du fruit de ma chasse sous les eaux.
Pendant combien de temps, je vis au rythme de la mer et du soleil avec le seul moment où ma quiétude est troublée par le bruit de l’hélico venu du bateau qui croise au large.
Il m’apporte tous les mois de l’eau et les derniers romans à la mode.
Ça fait combien, trois, quatre ans que je suis là engrangeant mon pognon qui continue à fructifier grâce à mon chargé d’affaires qui fait des placements à ma place.
Aujourd’hui, je suis confronté à un typhon.
Je sauve mon hamac et ma peau sans savoir comment.
Je sens la nécessité de construire un abri souterrain dans le sol me sauvant si ce genre de situation se reproduisait.
J’aime la vie mais une vie de paix.
Ça fait deux mois que j’ai construit cet abri grâce au système que j’ai inventé pour parler à mon équipe dans l’hélicoptère.
Une boîte que je pends, attachée à une corde entre deux piquets au petit sommet de mon île.
Je la place, elle est bien visible, il la récupère avec un crochet et me livre ce dont j’ai besoin quelques jours après.
Ça me coûte un pognon dingue, mais c’est ma seule dépense avec les fournitures.
Je peux voir venir.
Hier la rotation a eu lieu, quand partant pêcher, mon regard est attiré par une barque dans les récifs.
Par chance la mer est d’huile et elle a dû passer entre les rochers.
Je nage jusqu’à elle en faisant attention aux coraux.
Par chance a porté de main, une corde pend à l’avant, j’arrive à la tirer jusqu’au rivage pour découvrir une jeune femme à l’intérieur.
Elle est évanouie et a été attaquée par le soleil.
Je la porte et la pose dans mon hamac.
Elle pèse trois grammes, depuis quand est-elle à la dérive sur cette barque.
Je lui donne de l’eau, au goutte-à-goutte, elle est en maillot de bain mini vraiment mini.
Le même que les escortes que je faisais venir.
En l'hydratant, elle finit par reprendre vie.
• Ah !
Suis-je si laid que ça, ça ce peut, depuis que je suis sur cette île, j’ai dû changer, simplement ma barbe qui est là depuis le premier jour, a dû lui faire peur ?
Sans regarder, je me sers d’un couteau pour la raccourcir régulièrement.
• Qui êtes-vous et où suis-je ?
Elle parle en Anglais, à l’accent américain.
Parler, c’est vrai à part chantée as-tu tête, les chansons apprises dans ma jeunesse, ici, j’avais oublié les mots.
Si, il m’arrive de dire « Merde » chaque fois que je me fais mal en construisant ou consolidant un de mes lieux de vie, c’est le bout du monde.
• Je suis le propriétaire et le seul habitant de mon île.
• Je peux téléphoner que l’on vient me chercher.
J’éclate de rire, c’est bon de rire, ça m’était passé comme bien des choses comme d’avoir un vêtement, je suis seul, je vis nu.
Les explications ont lieu, elle comprend dans la situation où elle se trouve.
Je lui donne de mon eau, rapidement malgré des coups de soleil, elle reprend vie.
Dans les premiers jours ici, j’ai été confronté à des coups de soleil.
Au fond de mon abri, j’ai une mallette de secours et de la pommade que je m’étais fait amener dès la première rotation.
Je peux la soigner, c’est la première femme que je touche depuis mon installation ici.
• Tu es donc Robinson, je suis donc ton Vendredi.
Par chance, elle a de l’humour et un fort joli cul.
Depuis le début, une phrase, une situation dans les livres qui m’était livrée me permettait grâce à la veuve poignée d’expulser le trop-plein en moi.
• Comment t’es-tu retrouvée dans cette barque.
En anglais, mais en traduisant, je me sers du « tu » inconnu chez les rosbifs.
• J’étais sur un voilier avec des amis, quand une tornade tropicale s’est abattue sur nous.
Le bateau a coulé, j’ignore où sont mes compagnons, il y avait cette barque à l’arrière du voilier ou par miracle j’ai réussi à me hisser.
J’ignore depuis combien de temps je dérive et par chance ton île était là et tu m’as sauvée.
Me disant cela, elle se pend à mon cou et m’embrasse sur mes deux joues.
C’est beau le corps humain, rapidement je sens ma queue lever la tête.
On a beau être un Robinson dans l’âme, on est aussi un homme.
Je m’écarte comme si un serpent inconnu sur mon île m’avait piqué.
Nouveau rire, alors je pars à la chasse à la langouste.
Dans mon île, elle pullule, certaines étant gigantesques.
Si je veux, je peux en manger en faisant bouillir de l’eau de mer dans ma gamelle sur un feu de palme de noix de coco tous les jours.
Là encore, des noix, il suffit de se baisser pour les ramasser.
Langouste au citron vert, jus de coco et pulpe de coco avec pour finir des baies cueillies hier.
Bref, nous nous couchons sur le lit de palme que j’ai confectionné pour moi, lui laissant le hamac, j’ai beau être solitaire, je suis resté un homme galant.
Comme chaque nuit que j’ai passée ici, j’admire le calme de cette nuit de pleine lune bercée par le bruit des petites vaguelettes venant jusqu’à ma plage et aux myriades d’étoiles qui constellent mon ciel.
C’est serein que je dors jusqu’à ce que je me réveille d’un coup ayant l’impression qu’un animal se pose sur mon bas-ventre.
Rapidement la peur se mue en plaisir.
Vendredi est descendu du hamac et viens de me caresser la verge.
Sa main me saisit pour mieux me mettre dans sa bouche.
Je dois reconnaître que je bande rapidement, c’est nettement mieux que ma veuve poignée.
Je mets mes bras derrière ma tête voulant voir jusqu’à où elle va aller.
Elle m’enfourche et cassant le silence qui m’entoure, elle enfonce ma verge dans sa chatte.
Je bande au maximum.
Que dire du bruit qu’elle fait avec sa bouche alors qu’au niveau de nos sexes, je sens que ça résiste et que ça cède d’un coup ?
Nul doute que Robinson vient de dépuceler Vendredi, comme de nombreux lecteurs de Daniel Defoe demandait si Robinson enculait Vendredi.
Ce dépucelage est le premier pour moi et d’un coup mon cœur s’embrase, je suis amoureux de cette jeune femme venue de nulle part échouer sur mon île.
Dans les jours qui suivent, alors que j’ai réussi à faire jouir Vendredi dès ma première fois, nous faisons l’amour là où cela nous fait envie.
Dans la civilisation que j’ai fuie à cause du bruit, être nu toute la journée sauf en club naturiste est impossible.
Ici chez moi, nous le faisons allant même baiser jusqu’au sommet où ensemble nous apportons la boîte de nos besoins.
L’eau principalement que nous consommons en plus grande quantité.
Je me contentais de la mer pour me nettoyer, Vendredi veut garder son hygiène et c’est très compréhensif.
Quelques jours plus tard, l’hélico nous apporte trois grosses bonbonnes de mille litres d’eau, nous devrions tenir jusqu’au prochain largage.
Mais à grand débordement Vendredi adorant que je la prenne dans l’eau en levrette évitant de lui mettre du sable dans la chatte, la nature nous rattrape, les règles de Vendredi disparaissent.
Nous devons nous résoudre à admettre que Robinson a engrossé Vendredi.
Nous tenons jusqu’à ce que le ventre de Vendredi s’arrondisse avant que je déclenche la balise de sécurité que je me suis fait amener après le typhon ayant réuni Robinson et Vendredi.
Nous sommes hélitreuillés et conduits à la nouvelle Orléans.
Ça fait trois ans que je vis dans cette ville remplie de fête et de musique.
Ma fortune est telle que je nous ai fait construire un building le plus haut de la ville.
Mes bureaux sont sous mes pieds et travaillent pour moi alors que nous résidons aux derniers étages avec une terrasse d’où je vois l’océan.
Ma principale activité à son sommet, c’est de toujours lire, mais sur une tablette renfermant toute la littérature du monde et évitant les déforestations, je suis heureux.
Je finis par accepter le bruit de quelques parasites, comme celui des vagues sur mon îlot rocheux.
Le cri des oiseaux passants au-dessus de moi !
Mais aussi celui de mes trois enfants jouant autour de moi et surtout les cris de ma femme chaque fois que nous faisons l’amour.
De ce côté-là, Vendredi est très oralement expressif et quand je la remplis de mon sperme, je suis revenu seul avec elle sur l’île de Robinson même si je suis à la nouvelle Orléans.
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