COLLECTION HISTOIRE COURTE. Soirée étape (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Soirée étape (1/1)
Encore un hôtel de merde, une soirée de merde, j’en ai mare de ce travail de représentant de commerce, mais après plus de deux ans de chômage et Babette qui est toujours prompte à faire flamber ma carte, je n’avais pas le choix quand Pôle Emploi m'a proposé ce poste.
Le lit, encore une nuit blanche, je sens les ressorts du matelas, il doit avoir senti plus de cul s’affaler dessus que de poils que j’ai sur mon propre cul.
Regardons la télé, c’est vrai, ce soir, c’est PSG, Réal sur Canal+, voyons si cette chaîne est en service.
J’allais dire merde, à part Arte, aucune chaîne ne fonctionne, j’ai habitude, inutile d’appeler la réception, ils vont me dire qu’ils appelleront le réparateur, demain, mais je serais déjà parti.
Il a fait chaud en ce mois de juin, même en Bretagne dans cet hôtel donnant directement sur la plage.
Je plains les vacanciers qui auront une semaine à passer ici en juillet ou en août, je prends un bain dans une baignoire qui est écaillée à plusieurs endroits, par chance l’eau est chaude.
Me laver à l’eau froide cela aurait été un comble.
Dix-neuf heures, je téléphone à Babette, je serais tranquille pour le reste de la soirée, je n’oublie pas depuis qu’elle m’a passé une chasse la semaine dernière en Alsace alors que nous habitons à Paris.
Je passe la conversation, malgré tous les inconvénients de cet hôtel, je lui dis que tout va bien.
Une demi-heure à regarder la mer presque d’huile, alors que j’aurais espéré une mer démontée, comme au temps de mon enfance où je venais sur la côte près de Lorient.
Vingt heures, je prends mon portefeuille, je vais payer ma chambre sans oublier ma facture après le repas, l’autre fois, dans une autre soirée étape, au matin la réception était fermée et j’ai dû attendre plus d’une demi-heure et j’ai loupé un rendez-vous.
J’irais après-manger, la réceptionniste, qui doit être la patronne, est en train de prendre des rendez-vous au téléphone.
Salle de restaurant, une jeune serveuse m’indique une table, sur celle voisine, Ouest-France, je le prends, je vais regarder la page des sports en remplacement du match de foot.
Je vois arriver une femme d’une quarantaine d'années, environ mon âge que la serveuse fait s’asseoir à la table voisine de la mienne, cheveux impeccablement coiffés avec un chignon, tailleur strict sur chaussures à talons.
Repas étape, soupe ou éternel pâté de foie avec cornichon, je prends de la soupe, cela me rappelle mon enfance quand je venais chez ma grand-mère.
Ma voisine prend du pâté de foie.
Je l’entends marmonner.
• Il est dégueulasse, j’aurais dû prendre de la soupe.
Un peu plus loin de notre table, un marin pécheur mange de la soupe, il fait profiter tout le monde des gorgées qu’il ingurgite.
La femme me regarde, je la regarde.
Dix minutes, avec seul le bruit des cuillères surtout quand l’homme racle le fond de son assiette.
Nouveau regard entre nous.
Avant l’arrivée du plat principal, la femme me regarde.
• Êtes-vous en soirée étape ?
• Oui !
• Et vous• Oui !
Cinq minutes, le rôti de porc chou de Bruxelles en boîte arrive.
• Qu’en pensez-vous, c’est dégouttant, c’est un morceau de gras.
• Et les choux de Bruxelles sont en boîte.
• Détrompez-vous, ils sont congelés.
• Heureusement qu’ils les ont fait cuire.
• Pardon ?
Pas marrante, la dame, ou elle n’a pas compris ma blague.
• Congelé, heureusement qu’ils les ont fait cuire, on aurait mal aux dents s’ils sortaient du congèle.
• À oui, je n’avais pas compris.
Dix minutes sans un mot, de toute façon, notre conversation, s’il y a conversation, est plate.
• Fromage ou dessert.
• L’un ou l’autre, pas les deux ?
Je demande à la serveuse.
• Vous êtes en soirée étape, c’est l’un ou l’autre.
• Et si je veux les deux !
• Vous avez un supplément de 5 €.
• Fromage.
• Je vous apporte une assiette et vous madame !
• Monsieur, voulez-vous mon dessert, le soir, je mange légèrement, le café est compris dans votre menu soirée étape.
• Oui, je vais demander à la patronne si je peux donner votre dessert à monsieur.
• Voyons autrement, qu’avez-vous comme dessert ?
• Crème brûlé, île flottante, tarte aux poires.
Elle me regarde, avec ses doigts, elle me fait voir 1, 2 ou trois, je lui réponds de la même façon, 2.
• Île flottante.
• Je note, un fromage, et une île flottante, avec un café pour madame, et vous monsieur, un café aussi.
• Il est compris dans le menu.
• Monsieur, j’ai autre chose à faire que d’écouter vos bêtises, je viens de le dire à la dame.
• J’ignore si nous avons le même menu, soirée étape.
Nous éclatons de rire avec la dame, comme elle le dit.
• Non, j’ai déjà peur de mal dormir dans votre lit.
• Allez le dire à la patronne, je m’occupe du restaurant.
Je passe le reste du repas, je me lève, je salue la dame et je passe à la réception, tout est éteint, je monte dans ma chambre.
Il fait nuit quand je regarde par la fenêtre, je vois la plage, je ne pourrais pas dormir, j’aurais dû éviter le café.
Je descends et je marche un peu sur le sable encore chaud.
• On se promène !
• Le lit est pourri et le café m’empêche de dormir.
• Moi aussi, asseyez-vous près de moi, je ne mords pas.
C’est celle que la serveuse appelait la dame qui est assise là, je ne l’aurais pas reconnu dans sa robe à fleurs et son chignon défait, ses cheveux tombant en cascade.
• Êtes-vous mariée ?
• Oui, avec deux enfants un garçon de 16 ans et une fille de 12 ans.
• Je n’aurais jamais cru que vous aviez des enfants si grands.
• Flatteur et vous ?
• Marié avec Babette, trois garçons, 10, 9 et 8.
• Une grande famille, vous aimez votre femme, pardon question incongrue, je n’aurais pas aimé que vous me posiez une même question.
• Aimez-vous votre mari ?
• Bien joué, je l’aime et je lui suis fidèle depuis le jour de mon mariage, et vous.
• Je l’adore, je n’ai rien à lui reprocher.
• Elle vous manque, vous êtes représentante de commerce !
• Oui !
• Comme moi, il fait bon ce soir, regardez les étoiles commencent à sortir du ciel.
J’adore l’image, la nuit de plus en plus noir permet aux étoiles de plus en plus visibles.
Pour lever la tête, je suis si prêt qu’elle pose sa tête sur mon épaule d’une façon tout à fait naturellement.
• Pardon, ne me dites pas que nous nous sommes embrassés !
• Si, et j’ai beaucoup aimé.
• Je n’ai jamais trompé mon mari depuis notre mariage.
• Moi idem avec ma femme.
Nos bouches, malgré cet état de fait, se retrouvent, ma main se pose sur son sein que je sens nu sous sa robe.
Je sens sa main se poser sur mon sexe, je bande comme je ne l’ai pas fait depuis longtemps, sa bouche est suave, là encore, Babette ne m’a pas embrassé comme cela pendant des années.
La dame semble intéressée par mon sexe, j’ouvre mon jean enfilé après manger avant de ressortir.
Sa bouche qui monte et qui descend tout au long de ma hampe, sa langue friponne qui me lèche divinement avant que sa bouche revienne sur la mienne.
Pas de soutien-gorge, pas de poils sur la chatte qui s’offre, je suis fière, si elle m’a dit vrai qu’aucun homme que son mari ne l’a eu.
Elle écarte les cuisses, je nage dans sa cyprine qui s’échappe de son corps, elle m'a sucé, elle se laisse sucer avant que je ne la prenne, ma queue a un plaisir intense quand je me présente à sa porte alors que je la vois se mordre le point.
Très rapidement, je sens que cela s’affole au niveau de son sexe et j’ai le plaisir de lui offrir un magnifique orgasme, je jouis en même temps, je ne me souviens pas que ma verge est expulsée autant de sperme, les jets se succèdent aux jets et si quelqu’un est dans le coin, impossible d’ignorer que deux êtres se soient donnés du plaisirJe m’écroule à ses côtés, dans la nuit, je sens que l’on me suce, la coquine en veut encore, elle me fait de nouveau bander et c’est elle qui vient s’emmancher sur elle, je me laisse faire, Babette n’a jamais fait cela.
Je la fais jouir comme un bon mâle que j’espère être, le jour se lève, du bruit dans le village nous réveille, elle est toujours dans mes bras, son corps couvrant le mien, elle se relève, comme moi.
Un dernier baiser, main dans la main, nous rentrons vers l’hôtel, je la quitte après un dernier baiser, je vais me doucher, je descends, elle déjeune, je m’assieds à la table voisine.
Elle semble ne pas me connaître, mais je sais que ce n’est qu’une façade, elle se dirige vers la réception, elle a refait son chignon et son tailleur, je la suis au comptoir un simple geste, elle me prend subrepticement ma main.
• Ça a été madame !
• Les matelas, ce n’est pas ça.
• J’en attends des nouveaux demain, et vous monsieur, vous avez bien dormi.
• Comme un loir,
Nous sortons, sa voiture est près de la mienne, nous sommes en même temps dans nos coffres pour ranger nos valises.
• J’espère avoir l’occasion de te recroiser sans une soirée étape.
• Moi aussi, tu resteras un excellant souvenir.
Elle monte en voiture et me fait un petit signe de main quand elle passe près de moi.
Incroyable, quelle nuit alors qu’elle avait si mal démarré, le plus bizarre, c’est que j’ignore son nom comme elle ne connaît pas le mien.
Ce soir, je serais de retour à Paris et je retrouverais la routine avec Babette.
Le lit, encore une nuit blanche, je sens les ressorts du matelas, il doit avoir senti plus de cul s’affaler dessus que de poils que j’ai sur mon propre cul.
Regardons la télé, c’est vrai, ce soir, c’est PSG, Réal sur Canal+, voyons si cette chaîne est en service.
J’allais dire merde, à part Arte, aucune chaîne ne fonctionne, j’ai habitude, inutile d’appeler la réception, ils vont me dire qu’ils appelleront le réparateur, demain, mais je serais déjà parti.
Il a fait chaud en ce mois de juin, même en Bretagne dans cet hôtel donnant directement sur la plage.
Je plains les vacanciers qui auront une semaine à passer ici en juillet ou en août, je prends un bain dans une baignoire qui est écaillée à plusieurs endroits, par chance l’eau est chaude.
Me laver à l’eau froide cela aurait été un comble.
Dix-neuf heures, je téléphone à Babette, je serais tranquille pour le reste de la soirée, je n’oublie pas depuis qu’elle m’a passé une chasse la semaine dernière en Alsace alors que nous habitons à Paris.
Je passe la conversation, malgré tous les inconvénients de cet hôtel, je lui dis que tout va bien.
Une demi-heure à regarder la mer presque d’huile, alors que j’aurais espéré une mer démontée, comme au temps de mon enfance où je venais sur la côte près de Lorient.
Vingt heures, je prends mon portefeuille, je vais payer ma chambre sans oublier ma facture après le repas, l’autre fois, dans une autre soirée étape, au matin la réception était fermée et j’ai dû attendre plus d’une demi-heure et j’ai loupé un rendez-vous.
J’irais après-manger, la réceptionniste, qui doit être la patronne, est en train de prendre des rendez-vous au téléphone.
Salle de restaurant, une jeune serveuse m’indique une table, sur celle voisine, Ouest-France, je le prends, je vais regarder la page des sports en remplacement du match de foot.
Je vois arriver une femme d’une quarantaine d'années, environ mon âge que la serveuse fait s’asseoir à la table voisine de la mienne, cheveux impeccablement coiffés avec un chignon, tailleur strict sur chaussures à talons.
Repas étape, soupe ou éternel pâté de foie avec cornichon, je prends de la soupe, cela me rappelle mon enfance quand je venais chez ma grand-mère.
Ma voisine prend du pâté de foie.
Je l’entends marmonner.
• Il est dégueulasse, j’aurais dû prendre de la soupe.
Un peu plus loin de notre table, un marin pécheur mange de la soupe, il fait profiter tout le monde des gorgées qu’il ingurgite.
La femme me regarde, je la regarde.
Dix minutes, avec seul le bruit des cuillères surtout quand l’homme racle le fond de son assiette.
Nouveau regard entre nous.
Avant l’arrivée du plat principal, la femme me regarde.
• Êtes-vous en soirée étape ?
• Oui !
• Et vous• Oui !
Cinq minutes, le rôti de porc chou de Bruxelles en boîte arrive.
• Qu’en pensez-vous, c’est dégouttant, c’est un morceau de gras.
• Et les choux de Bruxelles sont en boîte.
• Détrompez-vous, ils sont congelés.
• Heureusement qu’ils les ont fait cuire.
• Pardon ?
Pas marrante, la dame, ou elle n’a pas compris ma blague.
• Congelé, heureusement qu’ils les ont fait cuire, on aurait mal aux dents s’ils sortaient du congèle.
• À oui, je n’avais pas compris.
Dix minutes sans un mot, de toute façon, notre conversation, s’il y a conversation, est plate.
• Fromage ou dessert.
• L’un ou l’autre, pas les deux ?
Je demande à la serveuse.
• Vous êtes en soirée étape, c’est l’un ou l’autre.
• Et si je veux les deux !
• Vous avez un supplément de 5 €.
• Fromage.
• Je vous apporte une assiette et vous madame !
• Monsieur, voulez-vous mon dessert, le soir, je mange légèrement, le café est compris dans votre menu soirée étape.
• Oui, je vais demander à la patronne si je peux donner votre dessert à monsieur.
• Voyons autrement, qu’avez-vous comme dessert ?
• Crème brûlé, île flottante, tarte aux poires.
Elle me regarde, avec ses doigts, elle me fait voir 1, 2 ou trois, je lui réponds de la même façon, 2.
• Île flottante.
• Je note, un fromage, et une île flottante, avec un café pour madame, et vous monsieur, un café aussi.
• Il est compris dans le menu.
• Monsieur, j’ai autre chose à faire que d’écouter vos bêtises, je viens de le dire à la dame.
• J’ignore si nous avons le même menu, soirée étape.
Nous éclatons de rire avec la dame, comme elle le dit.
• Non, j’ai déjà peur de mal dormir dans votre lit.
• Allez le dire à la patronne, je m’occupe du restaurant.
Je passe le reste du repas, je me lève, je salue la dame et je passe à la réception, tout est éteint, je monte dans ma chambre.
Il fait nuit quand je regarde par la fenêtre, je vois la plage, je ne pourrais pas dormir, j’aurais dû éviter le café.
Je descends et je marche un peu sur le sable encore chaud.
• On se promène !
• Le lit est pourri et le café m’empêche de dormir.
• Moi aussi, asseyez-vous près de moi, je ne mords pas.
C’est celle que la serveuse appelait la dame qui est assise là, je ne l’aurais pas reconnu dans sa robe à fleurs et son chignon défait, ses cheveux tombant en cascade.
• Êtes-vous mariée ?
• Oui, avec deux enfants un garçon de 16 ans et une fille de 12 ans.
• Je n’aurais jamais cru que vous aviez des enfants si grands.
• Flatteur et vous ?
• Marié avec Babette, trois garçons, 10, 9 et 8.
• Une grande famille, vous aimez votre femme, pardon question incongrue, je n’aurais pas aimé que vous me posiez une même question.
• Aimez-vous votre mari ?
• Bien joué, je l’aime et je lui suis fidèle depuis le jour de mon mariage, et vous.
• Je l’adore, je n’ai rien à lui reprocher.
• Elle vous manque, vous êtes représentante de commerce !
• Oui !
• Comme moi, il fait bon ce soir, regardez les étoiles commencent à sortir du ciel.
J’adore l’image, la nuit de plus en plus noir permet aux étoiles de plus en plus visibles.
Pour lever la tête, je suis si prêt qu’elle pose sa tête sur mon épaule d’une façon tout à fait naturellement.
• Pardon, ne me dites pas que nous nous sommes embrassés !
• Si, et j’ai beaucoup aimé.
• Je n’ai jamais trompé mon mari depuis notre mariage.
• Moi idem avec ma femme.
Nos bouches, malgré cet état de fait, se retrouvent, ma main se pose sur son sein que je sens nu sous sa robe.
Je sens sa main se poser sur mon sexe, je bande comme je ne l’ai pas fait depuis longtemps, sa bouche est suave, là encore, Babette ne m’a pas embrassé comme cela pendant des années.
La dame semble intéressée par mon sexe, j’ouvre mon jean enfilé après manger avant de ressortir.
Sa bouche qui monte et qui descend tout au long de ma hampe, sa langue friponne qui me lèche divinement avant que sa bouche revienne sur la mienne.
Pas de soutien-gorge, pas de poils sur la chatte qui s’offre, je suis fière, si elle m’a dit vrai qu’aucun homme que son mari ne l’a eu.
Elle écarte les cuisses, je nage dans sa cyprine qui s’échappe de son corps, elle m'a sucé, elle se laisse sucer avant que je ne la prenne, ma queue a un plaisir intense quand je me présente à sa porte alors que je la vois se mordre le point.
Très rapidement, je sens que cela s’affole au niveau de son sexe et j’ai le plaisir de lui offrir un magnifique orgasme, je jouis en même temps, je ne me souviens pas que ma verge est expulsée autant de sperme, les jets se succèdent aux jets et si quelqu’un est dans le coin, impossible d’ignorer que deux êtres se soient donnés du plaisirJe m’écroule à ses côtés, dans la nuit, je sens que l’on me suce, la coquine en veut encore, elle me fait de nouveau bander et c’est elle qui vient s’emmancher sur elle, je me laisse faire, Babette n’a jamais fait cela.
Je la fais jouir comme un bon mâle que j’espère être, le jour se lève, du bruit dans le village nous réveille, elle est toujours dans mes bras, son corps couvrant le mien, elle se relève, comme moi.
Un dernier baiser, main dans la main, nous rentrons vers l’hôtel, je la quitte après un dernier baiser, je vais me doucher, je descends, elle déjeune, je m’assieds à la table voisine.
Elle semble ne pas me connaître, mais je sais que ce n’est qu’une façade, elle se dirige vers la réception, elle a refait son chignon et son tailleur, je la suis au comptoir un simple geste, elle me prend subrepticement ma main.
• Ça a été madame !
• Les matelas, ce n’est pas ça.
• J’en attends des nouveaux demain, et vous monsieur, vous avez bien dormi.
• Comme un loir,
Nous sortons, sa voiture est près de la mienne, nous sommes en même temps dans nos coffres pour ranger nos valises.
• J’espère avoir l’occasion de te recroiser sans une soirée étape.
• Moi aussi, tu resteras un excellant souvenir.
Elle monte en voiture et me fait un petit signe de main quand elle passe près de moi.
Incroyable, quelle nuit alors qu’elle avait si mal démarré, le plus bizarre, c’est que j’ignore son nom comme elle ne connaît pas le mien.
Ce soir, je serais de retour à Paris et je retrouverais la routine avec Babette.
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