COLLECTION HOMME – FEMME. Amour fusionnel. Saison I (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME – FEMME. Amour fusionnel. Saison I (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Amour fusionnel. Saison I (2/3)
Ayant été contacté par Philippe que nous citerons par son diminutif Phil tout au long de leur histoire, je reprends le plus fidèlement possible, le texte qu’il m’a envoyé.
Je rajouterais seulement quelques passages un peu plus chauds, ayant pour sa part trop de pudeur pour les écrire.

Dans le 1er chapitre de la Saison I, nous avons fait connaissance de nos deux jeunes devenant rapidement nos deux tourtereaux.
La seule chose qui gênait Phil, s’était de devoir attendre leur mariage pour, je dirais consommer la jolie gazelle.
Vivre sous le même toit que sa dulcinée et se taper des pignoles dans la chambre voisine un vrai calvaire.
Mais redonnons la parole à ceux qui sont devenus nos amis.
Il semble que le comportement que Phil a eu envers un jeune bellâtre ait fortement contrarié Iris.

Notre histoire à Iris et Phil.

• Tu me demandes comment j'imagine ma vie en couple uni par les liens sacrés du mariage ma chérie !
Rien de plus simple, comme cela a toujours été jusqu'ici, rien ne va changer.
• Soit plus précis !
• J’ignore ce que tu veux dire, qu'entends-tu par là ?
• Jaloux comme tu l’es, tu sais que cela est un vilain défaut et en vieillissant tu risques de le devenir de plus en plus.

J’éclate de rire.

• De quoi as-tu peur, toi-même , tu fripe ton joli petit nez si j’ai des petits regards envers d’autres filles ?
• Regarde-toi, serais-je allée jusqu'à sauter sur l’une d’elles si elles te touchaient les cheveux ?
• Iris, cette discussion est puérile, évitons de venir sur ce terrain.
• Mais puisque tu as commencé et que tu sembles de mauvaise foi, allons y jusqu'au bout.
• Je t’aime, je t’aime, trois fois je t’aime à la folieQue quiconque essaye de nous séparer, je serais capable de tuer !
• Les grands mots maintenant, « tuer », tu es incapable de faire mal à une mouche.
Souviens-toi, l'autre soir, nous avons failli avoir un accident quand tu as voulu éviter un hérisson.
Mon pauvre ami, « tuer », tu deviens risible.
• Tu peux rire, mais je tiens à te rappeler que je t'aime pour la vie et je t'aimerai toujours.
À moins que tu m’en veuilles de t’avoir demandé d’attendre le jour de notre mariage pour faire ce que tu rêves de me faire.
• Je te demandais simplement de supposer.
Je dis bien juste de supposer, étant tous les deux des esprits cartésiens.
Supposons donc, qu’au cours de notre vie commune, tu aies envie d'aller voir ailleurs, la seule chose que je te demande c’est de me l'annoncer avant.
Sinon je te certifie que je serais capable de tuer de mes mains celui qui osera te toucher.
• Que tu es bête, que vas-tu chercher ?
J’ai seulement voulu savoir ton point de vue sur la vie d’un couple marié.
Je suis sincèrement désolée de t’avoir provoqué par cette question que je trouve après coup un tantinet bête.
Je te demande pardon mon amour.
Je suis une partie de toi autant que tu es une partie de moi.
Je t'aime chaque jour davantage.
Oublions cette maudite discussion et allons faire un tour.

Nous sortons marcher.
J’aurais beaucoup mieux aimé que ce premier début de brouille se termine comme la plupart des couples sur mon lit ou sur le sien.
Je lui aurais ôté ses vêtements un à un, embrassant chaque partie de sa peau que j’aurais découverte.
Ses pieds, plutôt ses orteils, tous chez elle est d’une gracieuseté rare.
Ses orteils que j’aurais sucés un à un, à chaque pied.
Dix moyens de ressentir le bonheur de les lécher comme d’autres lèchent des bites.
Lorsque je les regarde, ses pieds ont la grâce d’une reine.
Ma reine.
Poursuivons notre découverte, c’est normal, c’est la première fois qu’elle m’aura permis d’approcher de si près son corps de déesse.
Afin d’éviter d’aller trop vite et de bâcler le travail, je vais contourner ma convoitise depuis que je sais qu’elle accepte d’être mienne pour la vie par l’aine gauche.
Sans le moindre encombre, j’arrive à son nombril !
Ma langue dans son nombril.
Cette langue qui touche le centre de la terre l’ayant reliée à sa gentille maman.

Hélas, je fais un rêve éveillé et la triste réalité me rattrape, alors marchons.
La fatigue évitera le trop-plein de sang alimentant ma bite.
Nous sommes de jeune chien et chienne fou.
Cet échange est vite oublié et les zones à lécher aussi.
Après la fin de nos études, nous travaillons tous les deux dans l'une des sociétés de mon père en attendant de les diriger un jour.

Avec nos parents, nous tombons d’accord qu’il est tant de nous marier, même s’il ignore que nous faisons chambre à part.
Mariage grandiose et mémorable un an après la fin de nos chères études.
Mariage tout de même conventionnel, car en France tout le monde est mis au même niveau.
Seul, petit avantage, c’est monsieur le maire en personne qui nous mari, alors qu’il a la réputation confier ce travail à ses adjoints.
Question logistique, nos mères s’occupent de tous, du moins dès qu’Iris valideToute la journée, mairie, église, repas, ouverture du bal et enfin découpage du gâteau avec à son sommet le couple d’amoureux.

Enfin, direction la sortie que nous voulions discrète.
Mais avec un départ en voiture bien moins discret, lorsque nous tirons derrière nous une série de casseroles reliées par leur queue à notre, parechoque.

Nuit de noces encore plus grandiose dans la chambre réservée par nos parents.
Enfin pas tout à fait.
Pour la première fois, après lui avoir maladroitement ôté sa robe blanche, vu seulement à la mairie comme le veut la tradition.
Elle défaisant ma ceinture pour enfin me prendre dans sa jolie petite mimine.
Nous nous sommes retrouvés nus tous les deux nous embrassant fougueusement.
Depuis le temps que j’avais échafaudé des plans pour savoir comment j’allais m’y prendre.
Faire l’amour pour la première fois je me doutais du mur que cela représentait.
Conscient que les pornos restaient des pornos et qu’il était hors de question de la prendre bestialement, rapidement j’ai senti que je baissais pavillon.
Panne pour la première fois et panne par peur de lui faire mal.
À la limite de la panne lorsque je regarde la beauté de ce corps d’une rare perfection et qui va être à moi seul de longues années, du moins je l’espère.
Mais avant il faut consommer et j’ignore combien de temps je dors.
C’est un souffle chaud sur ma verge qui me ramène à la triste vérité, je me croyais balaise de la queue alors que je suis peut-être impuissant.
Que va devenir ma vie !
Je reprends place sur terre.
Celle qui depuis le passage de monsieur le maire se fait appeler Madame est en manque.
Sa bouche vient sur ma bite, lui faisant de légère léchouille comme si elle rechignait à aller plus loin.
Pour une vierge, elle aussi a dû apprendre dans des pornos ou avec certaines de ses copines un peu et même beaucoup délurées.
Je dois prendre l’initiative au risque d’être dominé par ma femme le restant de ma vie.
Nous avons des copains, Caro et Alex, lui est complètement dominé.
Un jour à notre appartement nous les avions invités, nous avons été étonnés lorsqu’ils sont arrivés.
C’est au cours du repas qu’Iris a posé la question à trois sous.

• Alex, comment se fait-il que tu es mis une chemise à manches longues, toi qui détestes ça ?

Sa question même si elle reflétait une réalité a semblé les embarrasser.

• Euh ! J’ai voulu vous faire plaisir en en mettant une aujourd’hui.

À un moment du repas Alex a voulu aider Iris à débarrasser.
Une fraction de seconde, sa manche est remontée légèrement nous montrant une trace brune à son poignet.
Lorsqu’ils nous ont quittés, j’ai senti qu’elle voulait en parler, mais sa pudeur l’en empêchait.
Le soir même, les pornos BDSM tournaient à plein pot sur mon ordi.
Pendue par ses bras dans des bracelets de cuir, Iris me montrait sa nudité et réagissait favorablement à mes coups de cravache.
J’ai fini par exploser, l’image d’Iris martyrisé c’est, hélas, estompé dans les jours qui ont suivi.
Nul doute qu’ayant franchi ces barrières inhérentes à l’éducation de nos familles, nos amis avaient su franchir le pas.
Vers où notre vie allait-elle s’orienter.
Mais revenons à notre nuit de noces, ou en étais-je à oui, Iris me suçait, pour un début, c’est loin d’être mal, mais j’espère un peu plus de ma nuit de noces...

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