COLLECTION HOMME FEMME. Et la tendresse bordel (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Et la tendresse bordel (1/1)
Mon histoire est banale, j’ai hésité longtemps avant de commencer à l’écrire.
C’est en regardant un film avec Nathalie Baye qui vivait un peu ce que je voulais vivre que j’ai décidé de prendre mon clavier.
Quarante-deux ans, mariée deux enfants, heureuse ?
On peut le dire, du moins loin d’être malheureuse.
Depuis que je lis des textes sur le site HDS la plupart des femmes pratiquant l’adultère le fond car elles fantasment sur des grosses bites.
Sur des grosses bites noires de préférence.
Sur des fessées magistrales.
Sur des scènes où elles se font prendre comme des bêtes.
Sans parler de celle qui en veut deux, trois voir plus pour faire des gangs bang comme il est dit.
Moi c’est plus simple, ce que je cherche c’est de la tendresse.
Quel homme lisant ces lignes va bander ?
Quelle femme va aimer que je parle de tendresse ?
La tendresse c’est loin d’être un fantasme, j’en ai à revendre à la maison, mais une tendresse que je subis et non une tendresse que je gère.
Prenez nos rapports sexuels avec Pierre mon mari.
Nous passons à la salle de bains, lui avant moi et quand je le rejoins il se masturbe et il bande.
J’aimerais que ce soit moi qui le fasse.
Attention, aucune perversion si la fellation est une perversion.
J’ignore s’il aurait aimé, mais comme il était loin d’être demandeur, je me contente de me coucher à ses côtés et il me pénètre jusqu’à éjaculation.
C’est ainsi que nous avons fait Jade et Chris certes sans plaisir mais toujours sur le même modèle.
Un autre rite, ayant déchargé, c’est lui qui se lève, va dans la salle d’eau avant de revenir, ayant tiré la chasse d’eau.
C’est à mon tour d’aller sur le bidet et de me laver la chatte avec simplement deux doigts dans mon vagin à la limite de me procurer des sensations plus forte que la bite qui vient de me pénétrer.
Puis il y a eu Internet et ses tchats.
J’ai découvert ça un jour et j’ai commencé à parler avec diverses personnes.
Des femmes qui me parlaient de leurs envies de deux genres.
Hétéro avec comme fantasmes ce dont je parlais au début, bites de diverses textures.
Lesbiennes qui veulent me rencontrer pour voir ma chatte rousse me faisant comprendre que c’est surtout mon odeur dégagée qui leurs fond envie.
Pour franchir un pas il faut que toutes les planètes soient alignées et dans tous ce qui m’est proposée seule la baise hard semble être le motif de ces hommes et de ces femmes.
Et un après-midi, venant de rentrer de mon travail à mi-temps mettant un peu de beurre dans les épinards Jérémy s’est connecté sur mon pseudo.
Le pseudo gros problème de choix à la première connexion.
J’ai pensé à « Ludivine » mais comme « Lucrèce » trop tendance à être des noms noirs ou sataniques.
Après Lucie, impossible, c’est doux mais c’est mon nom.
Pour vivre heureuse vivons caché !
Aline, c’est bien, je finis mon profil en choisissant Aline.
- Bonjours Aline, pouvons-nous parler ?
Bien sûr que l’on se parle, avec Alain, Aline !
Alain ça c’est ce que j’appelle le destin.
Nous dialoguons, nous re-dialoguons et encore et encore.
Alain lui aussi est marié et comme moi a du vague à l’âme.
Rapidement je comprends que sa femme de 28 ans, lui qui en a 30, est chaude de sa chatte et est toujours demandeuse.
Quand je lui parle de tendresse, je sens qu’un écho se fait entre nous.
Aussi quand un jour il me donne rendez-vous dans un café je suis loin de voir le mal, il est tellement gentil alors nous nous rencontrons.
Là encore, une fois deux fois, cinq fois, la quatrième aurait pu être la bonne mais j’avais mes règles et je me retrouve avec lui devant la porte d’une chambre d’hôtel.
La porte ouverte, il m’aurait sauté dessus je me serais sauvée en courant.
Là, assis côte à côte sur le lit, pendant de longues minutes nous nous sommes regardés sans jamais bouger le moindre petit doigt.
On s’est quitté ayant continué à parler de notre vie, de nos enfants, lui en a trois.
Deux de lui et la première que sa femme a eu dans son très jeune âge et pour laquelle elle refuse d’en parler.
Vu l’âge de sa belle-fille et celui de sa femme, il a fait un énorme travail sur lui pour la considérer comme sa fille.
Et il y a eu le jeudi 12 décembre de cette année, nous nous sommes retrouvés à notre café habituel à deux pas de l’hôtel où Alain a réservé une chambre.
Notre première expérience ayant calé nous sommes tombés d’accord sur notre deuxième fois.
Une fois la porte fermée chacun se déshabille dos à dos de peur que l’un voudrait reculer au dernier moment.
J’ignore qui de lui ou de moi est prêt la première mais quand j’entends le bruit du matelas, je sais qu’il vient de s’allonger.
Je le rejoins, dans nos dialogues, j’ai voulu que ce soit moi qui sois maîtresse du jeu.
Contrairement à mon mari sa verge assez belle est au repos.
Je suis le long de son corps et ma main se porte sur ce vit.
Rapidement il bande.
C’est doux dans ma main.
C’est doux pour la première fois dans ma main.
Quand je sens qu’il est capable de me pénétrer, c’est moi qui l’enjambe et qui le plante en moi.
Et la tendresse bordel, ça remonte du fond de moi quand je rythme notre coït à la vitesse que je trouve la plus approprier pour que le plaisir monte en nous très lentement.
Mes seins, c’est vrai jamais nous n’en avons parlé.
Mais quand il les empoigne pour les caresser, ça fait monter plus vite la boule en moi.
Il a bien fait, ils sont chauds comme la braise comme mon clitoris quand descendant de mes seins il vient caresser mon bouton qui de lui-même a quitté son capuchon.
Ce jeudi, nous avons joui en simultané.
C’était la première fois que ça m’arrivait.
- Aline, c’est la première fois que j’éclate en même temps que ma partenaire.
Quand je parle d’osmose, lui aussi l’a été.
Chez moi mon mec se serait levé pour investir la salle de bain.
Dans cette chambre, c’est main dans la main que nous y allons.
Il fait couler l’eau chaude dans la baignoire et quand elle est suffisamment remplie nous y entrons.
Assise face à face ses doigts de pieds viennent attaquer ma chatte rousse.
À aucun moment mon odeur de rousse fait partie de nos propos mais quand je sens que je vais jouir je lui attrape le pied pour qu’il me caresse plus profondément.
De mon côté, mon pied lui caresse la verge et le faisant bander, il décharge de nouveau dans l’eau son sperme remontant à la surface.
Je jouis aussi, mais il est temps de nous séparer.
Nous nous séchons et nous nous quittons sans reprendre de rendez-vous.
Ça faisait partie du contrat moral pris ensemble.
Voilà, je suis de retour chez moi contente de ma journée plutôt de mon après-midi.
J’ai enfin connu un rapport tendre, sans le bordel pour autant.
Et si un jour nous reprenons contact, serez-vous au rendez-vous pour lire mon aventure.
J’en doute, mon histoire étant somme toute banale.
C’est en regardant un film avec Nathalie Baye qui vivait un peu ce que je voulais vivre que j’ai décidé de prendre mon clavier.
Quarante-deux ans, mariée deux enfants, heureuse ?
On peut le dire, du moins loin d’être malheureuse.
Depuis que je lis des textes sur le site HDS la plupart des femmes pratiquant l’adultère le fond car elles fantasment sur des grosses bites.
Sur des grosses bites noires de préférence.
Sur des fessées magistrales.
Sur des scènes où elles se font prendre comme des bêtes.
Sans parler de celle qui en veut deux, trois voir plus pour faire des gangs bang comme il est dit.
Moi c’est plus simple, ce que je cherche c’est de la tendresse.
Quel homme lisant ces lignes va bander ?
Quelle femme va aimer que je parle de tendresse ?
La tendresse c’est loin d’être un fantasme, j’en ai à revendre à la maison, mais une tendresse que je subis et non une tendresse que je gère.
Prenez nos rapports sexuels avec Pierre mon mari.
Nous passons à la salle de bains, lui avant moi et quand je le rejoins il se masturbe et il bande.
J’aimerais que ce soit moi qui le fasse.
Attention, aucune perversion si la fellation est une perversion.
J’ignore s’il aurait aimé, mais comme il était loin d’être demandeur, je me contente de me coucher à ses côtés et il me pénètre jusqu’à éjaculation.
C’est ainsi que nous avons fait Jade et Chris certes sans plaisir mais toujours sur le même modèle.
Un autre rite, ayant déchargé, c’est lui qui se lève, va dans la salle d’eau avant de revenir, ayant tiré la chasse d’eau.
C’est à mon tour d’aller sur le bidet et de me laver la chatte avec simplement deux doigts dans mon vagin à la limite de me procurer des sensations plus forte que la bite qui vient de me pénétrer.
Puis il y a eu Internet et ses tchats.
J’ai découvert ça un jour et j’ai commencé à parler avec diverses personnes.
Des femmes qui me parlaient de leurs envies de deux genres.
Hétéro avec comme fantasmes ce dont je parlais au début, bites de diverses textures.
Lesbiennes qui veulent me rencontrer pour voir ma chatte rousse me faisant comprendre que c’est surtout mon odeur dégagée qui leurs fond envie.
Pour franchir un pas il faut que toutes les planètes soient alignées et dans tous ce qui m’est proposée seule la baise hard semble être le motif de ces hommes et de ces femmes.
Et un après-midi, venant de rentrer de mon travail à mi-temps mettant un peu de beurre dans les épinards Jérémy s’est connecté sur mon pseudo.
Le pseudo gros problème de choix à la première connexion.
J’ai pensé à « Ludivine » mais comme « Lucrèce » trop tendance à être des noms noirs ou sataniques.
Après Lucie, impossible, c’est doux mais c’est mon nom.
Pour vivre heureuse vivons caché !
Aline, c’est bien, je finis mon profil en choisissant Aline.
- Bonjours Aline, pouvons-nous parler ?
Bien sûr que l’on se parle, avec Alain, Aline !
Alain ça c’est ce que j’appelle le destin.
Nous dialoguons, nous re-dialoguons et encore et encore.
Alain lui aussi est marié et comme moi a du vague à l’âme.
Rapidement je comprends que sa femme de 28 ans, lui qui en a 30, est chaude de sa chatte et est toujours demandeuse.
Quand je lui parle de tendresse, je sens qu’un écho se fait entre nous.
Aussi quand un jour il me donne rendez-vous dans un café je suis loin de voir le mal, il est tellement gentil alors nous nous rencontrons.
Là encore, une fois deux fois, cinq fois, la quatrième aurait pu être la bonne mais j’avais mes règles et je me retrouve avec lui devant la porte d’une chambre d’hôtel.
La porte ouverte, il m’aurait sauté dessus je me serais sauvée en courant.
Là, assis côte à côte sur le lit, pendant de longues minutes nous nous sommes regardés sans jamais bouger le moindre petit doigt.
On s’est quitté ayant continué à parler de notre vie, de nos enfants, lui en a trois.
Deux de lui et la première que sa femme a eu dans son très jeune âge et pour laquelle elle refuse d’en parler.
Vu l’âge de sa belle-fille et celui de sa femme, il a fait un énorme travail sur lui pour la considérer comme sa fille.
Et il y a eu le jeudi 12 décembre de cette année, nous nous sommes retrouvés à notre café habituel à deux pas de l’hôtel où Alain a réservé une chambre.
Notre première expérience ayant calé nous sommes tombés d’accord sur notre deuxième fois.
Une fois la porte fermée chacun se déshabille dos à dos de peur que l’un voudrait reculer au dernier moment.
J’ignore qui de lui ou de moi est prêt la première mais quand j’entends le bruit du matelas, je sais qu’il vient de s’allonger.
Je le rejoins, dans nos dialogues, j’ai voulu que ce soit moi qui sois maîtresse du jeu.
Contrairement à mon mari sa verge assez belle est au repos.
Je suis le long de son corps et ma main se porte sur ce vit.
Rapidement il bande.
C’est doux dans ma main.
C’est doux pour la première fois dans ma main.
Quand je sens qu’il est capable de me pénétrer, c’est moi qui l’enjambe et qui le plante en moi.
Et la tendresse bordel, ça remonte du fond de moi quand je rythme notre coït à la vitesse que je trouve la plus approprier pour que le plaisir monte en nous très lentement.
Mes seins, c’est vrai jamais nous n’en avons parlé.
Mais quand il les empoigne pour les caresser, ça fait monter plus vite la boule en moi.
Il a bien fait, ils sont chauds comme la braise comme mon clitoris quand descendant de mes seins il vient caresser mon bouton qui de lui-même a quitté son capuchon.
Ce jeudi, nous avons joui en simultané.
C’était la première fois que ça m’arrivait.
- Aline, c’est la première fois que j’éclate en même temps que ma partenaire.
Quand je parle d’osmose, lui aussi l’a été.
Chez moi mon mec se serait levé pour investir la salle de bain.
Dans cette chambre, c’est main dans la main que nous y allons.
Il fait couler l’eau chaude dans la baignoire et quand elle est suffisamment remplie nous y entrons.
Assise face à face ses doigts de pieds viennent attaquer ma chatte rousse.
À aucun moment mon odeur de rousse fait partie de nos propos mais quand je sens que je vais jouir je lui attrape le pied pour qu’il me caresse plus profondément.
De mon côté, mon pied lui caresse la verge et le faisant bander, il décharge de nouveau dans l’eau son sperme remontant à la surface.
Je jouis aussi, mais il est temps de nous séparer.
Nous nous séchons et nous nous quittons sans reprendre de rendez-vous.
Ça faisait partie du contrat moral pris ensemble.
Voilà, je suis de retour chez moi contente de ma journée plutôt de mon après-midi.
J’ai enfin connu un rapport tendre, sans le bordel pour autant.
Et si un jour nous reprenons contact, serez-vous au rendez-vous pour lire mon aventure.
J’en doute, mon histoire étant somme toute banale.
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