COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (2,5)
Je me trouve présentement chez Chantal, la jeune fille m’ayant dépucelé pendant mes vacances dans le Doubs et où je découvre qu’elle se fait appeler maintenant « maîtresse Chantal. »
Elle m’en montre la preuve en ramenant vers le vestiaire, séparément, un couple les sortant un à un alors qu’ils sont cagoulés les empêchant de voir ce qu’elle leur fait.
Indirectement, je me mets à la place de l’un et de l’autre.
Chantal en plus de sa tenue de dominatrice, tiens en main une cravache qu’elle leur assène sur certaines parties de leur corps.
J’ai eu le temps de voir, même si j’étais dans la pénombre rouge, que pour lui, la cravache s’est abattue sur ses couilles alors que pour la femme obligée de marcher comme une gentille chienne, c’est sa croupe qui a fortement ramassé.
Tous les deux en sortant, puisqu’elle me dit que c’est un couple ayant de haute responsabilité dans notre pays, doivent sentir qui sur sa verge, qui sur son cul les coups de cravache qu’elle leur a asséné.
Chantal me demandant ce que je deviens, je suis fière de lui expliquer le pouvoir que j’ai pris envers Malaurie ma prof d’anglais, vierge à vingt-six ans et les claques que je lui ai moi-même assénés sur son arrière-train, étant à la limite qu’elle en redemande.
Collier de chien avec une jolie laisse, demain, Chantal me demande de l’obliger à les porter ce qui me permettra de constater son degré de soumission.
Mieux même, si elle accepte, elle me propose de l’amener dans l’établissement qu’elle a créé et qui semble la faire bien vivre.
Mais son parcours a été semé d’embuches allant même jusqu’à se prostituer, ce qu’elle avait prédit pendant ses vacances, auprès de sa mère qui se prostituait depuis sa naissance.
Chantal, a omis de lui dire qu’elle était sa fille et c’est un jour où elle a vu un salopard l’agresser qu’elle est venue la secourir,
• J’ai littéralement sauté de la voiture de mon client et je suis intervenue avec une bombe aveuglante et je l’ai défendu.
Son agresseur a fui sans savoir où il allait, je l’ai même vu s’emplafonner un arbre.
Maman m’a eu à la bonne et nous avons travaillé en nous protégeant l’une l’autre.
Comment n’a-t-elle jamais remarqué que nous nous ressemblions, certains de nos clients nous appelaient les jumelles !
Un jour un client m’a proposé moyennant une grosse somme qu’il venait de gagner au champ de courses de l’accompagner dans une boîte échangiste où les hommes seuls avaient du mal à entrer.
J’ai été amusé n’étant jamais allée dans ce genre de boîte et les billets qui ont rejoint mon sac m'ont convaincu.
Nous sommes partis directement dans Paris à une adresse qu’il connaissait.
• Tu es un peu puéril, du métro à une étrange salle de concerts se trouvant être une salle de passes, tu l’as suivi sans te poser de question.
• Tu ignores ce que le bois, près d’un champ de courses peut rapidement déglinguer quelqu’un.
J’en avais la preuve vivante, j’avais vu maman lorsque cette salope de belle-mère avait parlé de la pute du bois avec une cliente.
La femme que je venais de protéger quelques jours plus tôt commençait à perdre de sa superbe.
Ne serait-ce que le gilet rose en fausse fourrure, il avait, comme elle subit la pluie des printemps et les froids de l’hiver.
À un moment, ignorant où elle habitait, je me suis demandé si le lendemain elle serait fidèle à l’arbre sous lequel elle se tenait.
Elle avait commencé à se prostituer sous couvert d’amélioré son propre univers, celui-ci la rattrapait à grands pas au fil des mois de prostitution.
Grâce à ma présence, ça lui a ouvert les portes de la boîte où il m’avait emmené pour lui service de caution afin de rentrer.
Une fois entré, il est parti vers les fonds de l’établissement sans se préoccuper de moi.
À un moment, je l’ai juste aperçu avec un homme.
Je m’étais approché du bar sans consommer, car les prix affichés pour les consommations, surtout les bouteilles de champagne, plus chère qu’une de mes passes à me faire défoncer, leurs prix étaient prohibitifs.
Plusieurs hommes ont essayé de m’entraîner dans les alcôves.
Avec moi, pas de fric pas de baise, mais j’ai vite compris que dans ce genre de boîte les putes sont très mal vues voire bannies.
Je les ai éconduits poliment.
En faisant cela j’ai attisé la convoitise d’une femme d’un certain âge.
C’était une lesbienne qui m’a fait dû rendre dedans comme aucune femme ne m’en avait jamais fait.
Le jeu m’a intéressé, je suis une belle salope et tu le sais bien.
Quand elle m’a proposé de la suivre dans une alcôve, par jeu, j’ai accepté, j’aime faire de nouvelle découverte, je l’ai donc suivie.
Pour la première fois, je me retrouvais à baiser avec une femme.
Ça avait failli se produire lors de nos vacances, je t’ai dépucelé, Hortense a failli en faire de même pour moi.
• Tu m’en diras tant, Hortense, la grosse dondon, tu te souviens, c’est comme cela que nous l’avions baptisé avec ses grosses fesses !
• Comment cela c’est produit ?
• Nous étions à l’étang qui nous était interdit, j’étais seule avec elle.
Il faisait chaud et elle m’a proposé de nous baigner.
Nous nous sommes mises en petite culotte, elle avait un gros cul, mais aussi des seins en rapport de ce dernier.
J’hésitais à entrer dans l’eau, mais elle m’a carrément balancé et j’ai bu une grande tasse.
Elle m’a pris dans ses bras de déménageurs et m’a porté sur la berge.
• Et c’est là qu’elle t’a embrassé !
• Non, nous avons entendu un tracteur, c’était ceux du champ fleuri qui venait moissonner dans le champ voisin.
Nous avons pris nos affaires et nous nous sommes éclipsées.
Ce fut la seule fois où j’ai senti qu’elle allait me montrer comment aimer les femmes.
Mais revenons à la gouine de la boîte, bizarrement les ombres qui rôdaient autour de nous me mettaient mal à l’aise.
Martine, elle l’a senti et m’a proposé de continuer la soirée chez elle, oui j’ai oublié de te dire qu’elle s’appelait Martine.
J’ai accepté contente de quitter ce lieu qui ne pouvait pas me rapporter un sou. Elle a commandé un taxi et nous nous sommes retrouvées dans cet appartement.
J’ai passé le reste de la nuit à la brouter et à me faire brouter.
Pendant deux jours elle m’a gardé sans me dire ce qu’elle faisait.
Le troisième jour, elle s’est préparée et je l’ai vu enfiler sa tenue de travail. Nous avons quitté la partie de l’appartement ou nous sommes en ce moment pour nous rendre dans l’autre où elle recevait les personnes adeptes de la domination.
Je n’étais pas en tenue, mais j’ai aimé infliger de petits sévices aux clients consentants.
Elle s’était rendue dans ce club échangiste pour trouver une femme susceptible de reprendre sa petite affaire afin de partir dans le Midi de la France dans une villa qu’elle possédait.
Elle y est toujours et je vais la retrouver lorsque le besoin de soleil me démange.
Dans la boîte, aussitôt qu’elle m’a vu, elle a su que j’étais celle qu’elle cherchait, du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
Elle m’a appris les ficelles du métier, au bout de deux ans elle m’a passé la main, avec au bout mes cravaches, mais fouet ou mes chats à neuf queues, je te les montrerais.
Je me retrouvais dans un monde étrange, je savais que des gens avaient des déviances, mais les toucher du doigt était une autre affaire, surtout qu’à ce jour, je suis un peu un petit être fragile.
• Je lui ai racheté l’ensemble des deux logements en lui versant une rente tous les mois.
J’aurais pu solder ma dette depuis longtemps, mais je préfère lui assurer un revenu qui lui permet de vivre tranquillement et moi de voir venir si mes affaires devaient mals tourner, la concurrence est féroce dans notre milieu.
J’ai fait énormément d’investissement dans la partie professionnelle surtout en ce qui concerne la sécurité de mes clients.
Je n’ai pas oublié mon bien-être et tu vois dans le luxe où je vis.
• Je le vois, tes revenus semblent conséquents !
• Le secret professionnel veut que je garde une grande partie de ce que ce monde m’a montré.
Le couple que j’ai reconduit lorsque tu es arrivé, elle siège à l’assemblée, elle fait partie des premiers ministrables en cas de démission de celui en place et nomination par le grand Charles.
Tu peux te douter que le couple souhaite de la discrétion et cela se paye.
• Et ta mère ?
• Merci, dès le début de notre entente j’ai raconté à Martine mon histoire.
Elle m’a demandé d’aller la chercher et que je lui propose de venir près de nous.
J’y suis allé et elle a accepté de venir, en ce moment elle est près de Martine pour les fêtes.
• Tu lui as dit qu’elle était ta mère.
• Non, j’ai peur que la connaissant un peu, le bois ça ne rapproche plus que notre filiation sa fierté la renvoie vers le trottoir.
Lorsque le nombre de clients est trop important elle enfile une tenue et nous travaillons ensemble.
Je sors du bain et suis obligé de m’habiller pour rejoindre Malaurie.
• J’ai bien aimé te retrouver, peut-on se revoir ?
• Oui les dimanches je laisse les masos à leur misère, viens dans huit jours.
De toute manière tu as mon numéro si tu as des problèmes, tu m’appelles.
Si tu y arrive et si elle l’accepte, j’aimerais parler à Malaurie, elle semble intéressante surtout si tu arrives à lui faire porter son collier de soumise.
Je la quitte en emmenant son cadeau, satisfait de l’avoir retrouvée.
Pour Malaurie, je me demande, si ce serait bien raisonnable de la faire entrer dans un tel milieu.
Une jeune femme vierge à vingt-six ans prof d’anglais m’a montré qu’elle était très influençable...
Elle m’en montre la preuve en ramenant vers le vestiaire, séparément, un couple les sortant un à un alors qu’ils sont cagoulés les empêchant de voir ce qu’elle leur fait.
Indirectement, je me mets à la place de l’un et de l’autre.
Chantal en plus de sa tenue de dominatrice, tiens en main une cravache qu’elle leur assène sur certaines parties de leur corps.
J’ai eu le temps de voir, même si j’étais dans la pénombre rouge, que pour lui, la cravache s’est abattue sur ses couilles alors que pour la femme obligée de marcher comme une gentille chienne, c’est sa croupe qui a fortement ramassé.
Tous les deux en sortant, puisqu’elle me dit que c’est un couple ayant de haute responsabilité dans notre pays, doivent sentir qui sur sa verge, qui sur son cul les coups de cravache qu’elle leur a asséné.
Chantal me demandant ce que je deviens, je suis fière de lui expliquer le pouvoir que j’ai pris envers Malaurie ma prof d’anglais, vierge à vingt-six ans et les claques que je lui ai moi-même assénés sur son arrière-train, étant à la limite qu’elle en redemande.
Collier de chien avec une jolie laisse, demain, Chantal me demande de l’obliger à les porter ce qui me permettra de constater son degré de soumission.
Mieux même, si elle accepte, elle me propose de l’amener dans l’établissement qu’elle a créé et qui semble la faire bien vivre.
Mais son parcours a été semé d’embuches allant même jusqu’à se prostituer, ce qu’elle avait prédit pendant ses vacances, auprès de sa mère qui se prostituait depuis sa naissance.
Chantal, a omis de lui dire qu’elle était sa fille et c’est un jour où elle a vu un salopard l’agresser qu’elle est venue la secourir,
• J’ai littéralement sauté de la voiture de mon client et je suis intervenue avec une bombe aveuglante et je l’ai défendu.
Son agresseur a fui sans savoir où il allait, je l’ai même vu s’emplafonner un arbre.
Maman m’a eu à la bonne et nous avons travaillé en nous protégeant l’une l’autre.
Comment n’a-t-elle jamais remarqué que nous nous ressemblions, certains de nos clients nous appelaient les jumelles !
Un jour un client m’a proposé moyennant une grosse somme qu’il venait de gagner au champ de courses de l’accompagner dans une boîte échangiste où les hommes seuls avaient du mal à entrer.
J’ai été amusé n’étant jamais allée dans ce genre de boîte et les billets qui ont rejoint mon sac m'ont convaincu.
Nous sommes partis directement dans Paris à une adresse qu’il connaissait.
• Tu es un peu puéril, du métro à une étrange salle de concerts se trouvant être une salle de passes, tu l’as suivi sans te poser de question.
• Tu ignores ce que le bois, près d’un champ de courses peut rapidement déglinguer quelqu’un.
J’en avais la preuve vivante, j’avais vu maman lorsque cette salope de belle-mère avait parlé de la pute du bois avec une cliente.
La femme que je venais de protéger quelques jours plus tôt commençait à perdre de sa superbe.
Ne serait-ce que le gilet rose en fausse fourrure, il avait, comme elle subit la pluie des printemps et les froids de l’hiver.
À un moment, ignorant où elle habitait, je me suis demandé si le lendemain elle serait fidèle à l’arbre sous lequel elle se tenait.
Elle avait commencé à se prostituer sous couvert d’amélioré son propre univers, celui-ci la rattrapait à grands pas au fil des mois de prostitution.
Grâce à ma présence, ça lui a ouvert les portes de la boîte où il m’avait emmené pour lui service de caution afin de rentrer.
Une fois entré, il est parti vers les fonds de l’établissement sans se préoccuper de moi.
À un moment, je l’ai juste aperçu avec un homme.
Je m’étais approché du bar sans consommer, car les prix affichés pour les consommations, surtout les bouteilles de champagne, plus chère qu’une de mes passes à me faire défoncer, leurs prix étaient prohibitifs.
Plusieurs hommes ont essayé de m’entraîner dans les alcôves.
Avec moi, pas de fric pas de baise, mais j’ai vite compris que dans ce genre de boîte les putes sont très mal vues voire bannies.
Je les ai éconduits poliment.
En faisant cela j’ai attisé la convoitise d’une femme d’un certain âge.
C’était une lesbienne qui m’a fait dû rendre dedans comme aucune femme ne m’en avait jamais fait.
Le jeu m’a intéressé, je suis une belle salope et tu le sais bien.
Quand elle m’a proposé de la suivre dans une alcôve, par jeu, j’ai accepté, j’aime faire de nouvelle découverte, je l’ai donc suivie.
Pour la première fois, je me retrouvais à baiser avec une femme.
Ça avait failli se produire lors de nos vacances, je t’ai dépucelé, Hortense a failli en faire de même pour moi.
• Tu m’en diras tant, Hortense, la grosse dondon, tu te souviens, c’est comme cela que nous l’avions baptisé avec ses grosses fesses !
• Comment cela c’est produit ?
• Nous étions à l’étang qui nous était interdit, j’étais seule avec elle.
Il faisait chaud et elle m’a proposé de nous baigner.
Nous nous sommes mises en petite culotte, elle avait un gros cul, mais aussi des seins en rapport de ce dernier.
J’hésitais à entrer dans l’eau, mais elle m’a carrément balancé et j’ai bu une grande tasse.
Elle m’a pris dans ses bras de déménageurs et m’a porté sur la berge.
• Et c’est là qu’elle t’a embrassé !
• Non, nous avons entendu un tracteur, c’était ceux du champ fleuri qui venait moissonner dans le champ voisin.
Nous avons pris nos affaires et nous nous sommes éclipsées.
Ce fut la seule fois où j’ai senti qu’elle allait me montrer comment aimer les femmes.
Mais revenons à la gouine de la boîte, bizarrement les ombres qui rôdaient autour de nous me mettaient mal à l’aise.
Martine, elle l’a senti et m’a proposé de continuer la soirée chez elle, oui j’ai oublié de te dire qu’elle s’appelait Martine.
J’ai accepté contente de quitter ce lieu qui ne pouvait pas me rapporter un sou. Elle a commandé un taxi et nous nous sommes retrouvées dans cet appartement.
J’ai passé le reste de la nuit à la brouter et à me faire brouter.
Pendant deux jours elle m’a gardé sans me dire ce qu’elle faisait.
Le troisième jour, elle s’est préparée et je l’ai vu enfiler sa tenue de travail. Nous avons quitté la partie de l’appartement ou nous sommes en ce moment pour nous rendre dans l’autre où elle recevait les personnes adeptes de la domination.
Je n’étais pas en tenue, mais j’ai aimé infliger de petits sévices aux clients consentants.
Elle s’était rendue dans ce club échangiste pour trouver une femme susceptible de reprendre sa petite affaire afin de partir dans le Midi de la France dans une villa qu’elle possédait.
Elle y est toujours et je vais la retrouver lorsque le besoin de soleil me démange.
Dans la boîte, aussitôt qu’elle m’a vu, elle a su que j’étais celle qu’elle cherchait, du moins c’est ce qu’elle m’a dit.
Elle m’a appris les ficelles du métier, au bout de deux ans elle m’a passé la main, avec au bout mes cravaches, mais fouet ou mes chats à neuf queues, je te les montrerais.
Je me retrouvais dans un monde étrange, je savais que des gens avaient des déviances, mais les toucher du doigt était une autre affaire, surtout qu’à ce jour, je suis un peu un petit être fragile.
• Je lui ai racheté l’ensemble des deux logements en lui versant une rente tous les mois.
J’aurais pu solder ma dette depuis longtemps, mais je préfère lui assurer un revenu qui lui permet de vivre tranquillement et moi de voir venir si mes affaires devaient mals tourner, la concurrence est féroce dans notre milieu.
J’ai fait énormément d’investissement dans la partie professionnelle surtout en ce qui concerne la sécurité de mes clients.
Je n’ai pas oublié mon bien-être et tu vois dans le luxe où je vis.
• Je le vois, tes revenus semblent conséquents !
• Le secret professionnel veut que je garde une grande partie de ce que ce monde m’a montré.
Le couple que j’ai reconduit lorsque tu es arrivé, elle siège à l’assemblée, elle fait partie des premiers ministrables en cas de démission de celui en place et nomination par le grand Charles.
Tu peux te douter que le couple souhaite de la discrétion et cela se paye.
• Et ta mère ?
• Merci, dès le début de notre entente j’ai raconté à Martine mon histoire.
Elle m’a demandé d’aller la chercher et que je lui propose de venir près de nous.
J’y suis allé et elle a accepté de venir, en ce moment elle est près de Martine pour les fêtes.
• Tu lui as dit qu’elle était ta mère.
• Non, j’ai peur que la connaissant un peu, le bois ça ne rapproche plus que notre filiation sa fierté la renvoie vers le trottoir.
Lorsque le nombre de clients est trop important elle enfile une tenue et nous travaillons ensemble.
Je sors du bain et suis obligé de m’habiller pour rejoindre Malaurie.
• J’ai bien aimé te retrouver, peut-on se revoir ?
• Oui les dimanches je laisse les masos à leur misère, viens dans huit jours.
De toute manière tu as mon numéro si tu as des problèmes, tu m’appelles.
Si tu y arrive et si elle l’accepte, j’aimerais parler à Malaurie, elle semble intéressante surtout si tu arrives à lui faire porter son collier de soumise.
Je la quitte en emmenant son cadeau, satisfait de l’avoir retrouvée.
Pour Malaurie, je me demande, si ce serait bien raisonnable de la faire entrer dans un tel milieu.
Une jeune femme vierge à vingt-six ans prof d’anglais m’a montré qu’elle était très influençable...
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Cyrille
Cyrille