COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,1)
En sortant de chez Chantal, je reprends le R.E.R et je descends près de chez Malaurie, je monte directement, je frappe, la porte s’ouvre,
Elle est nue simplement recouverte de son peignoir découvrant la pointe de ses seins.
Le même qu’elle avait mis pour me raccompagner à sa porte, après son dépucelage et ses grandes eaux.
• Mon chéri tu es là, la manière dont tu m’as quitté hier en classe m’a fait craindre que tu ne m’abandonnes.
Je suis sûr que mes cheveux coupés ton déplu, mais je ne pouvais pas aller au collège avec toutes les transformations que tu m’avais demandées.
• Oui et tu sais ce que cela veut dire !
• Tu vas me punir !
• Non, je vais te faire un cadeau.
• Pour mon pubis rasé ?
• Non, pour la salope que tu es devenue.
Elle me saute au cou et me donne ses lèvres montrant ainsi tout le bien que je lui apporte.
J’ouvre la boîte que j’avais posée sur la commode dans le vestibule.
• Malaurie, acceptes-tu d’être mon esclave ?
• Quelle question sans aucun fondement, je suis ton esclave chéri !
• Alors tu vas porter ce collier !
À sa vue, je la sens se troubler.
Comme me l’a dit Chantal, va-t-elle accepter et me montrer que malgré mon jeune âge en rapport du sien et ainsi être susceptible d’aller la rencontrer !
Elle avance sa tête, je sens que c’est gagner, accepter un collier de chien, montre qu’elle est en phase avec ses dires.
• Qu’il est beau, et il y a aussi la laisse, oui, je suis ta gentille petite chienne !
Je le fixe en le serrant juste ce qu’il faut pour éviter de la marquer et de l’étrangler.
• Regarde voilà la laisse que j’attacherais à cet anneau grâce au mousqueton et chaque fois tu accepteras tout ce que je te demanderais.
• Où les as-tu achetés, j’adore la couleur rouge ?
Je lui raconte ma visite chez maîtresse Chantal.
Comment elle fait fortune en infligeant des sévices consentis à des hommes et des femmes qui payent pour être soumis, je lui attache la laisse ?
• À quatre pattes !
Elle s’exécute.
• C’est très bien tu as compris qui était ton maître maintenant, tu es ma petite chienne ?
• Oui ! Maître.
Je prends le bout de la laisse et je la frappe sans trop appuyer.
Je veux éviter de la braquer et de la blesser.
J’aurais pu demander à Chantal de me confier l’une des nombreuses cravaches avec diverses spatules plus ou moins larges !
Je les ai vues sur l’un des murs où se trouvaient des fouets et même deux chats à neuf queues, dont j’ignorais que cela existait.
• Comment as-tu dit, chienne ?
• Vous êtes mon maître, je vous l’ai prouvé en acceptant ce collier qui fond de moi votre soumise !
• C’est la première fois et surtout la dernière, maître c’est très bien mais tu ajouteras toujours Christophe.
• Maître Christophe, bien maître.
Je lui présente de nouveau le bout de la laisse et fait celui qui va la frapper sur son joli popotin.
• Je suis indécrottable, maître Christophe, vous avez raison de me fouetter avec le bout de ma laisse.
• Avance une bonne chienne doit honorer son maître avec sa bouche, suce-moi la queue.
Elle ouvre la bouche et en me présentant un regard trouble, elle me suce divinement.
• Viens que je te saillisse !
Je la relève, je la fais reculer jusqu'à une chaise, je m’assieds et l’attire vers moi.
Elle comprend ce que j’attends d’elle, elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente à mon pieu qui sous la façon dont je domine ma prof, me fait énormément bander.
Elle est un peu basse pour y arriver, je la prends par les hanches et grâce à sa légèreté je la soulève pour la laisser retomber sur mon mât de cocagne.
J’atteins le centre de la cible.
• Oh !
Je la soulève et la laisse retomber, mon pieu la pénètre plus profondément, je la soulève, elle retombe, je la soulève, elle retombe se mettant à émettre des borborygmes venus du fond de son corps.
• Tu es exceptionnelle, j’aime cette nouvelle, aaahaah.
• Merde !
Elle vient de m’inonder les cuisses en ayant une décharge que j’ai sentie partir de son bas du dos.
Elle baisse un peu la tête et me prend la bouche.
Sa langue me sépare les lèvres pour m’investir pleinement la cavité buccale.
Elle m’entoure le cou de ses bras m’en faisant un collier.
Je ne veux pas décharger trop vite, je veux lui prendre les autres parties du corps et ainsi la faire partir un maximum de fois.
Une nouvelle fois je la prends sous les fesses et je la jette directement sur le lit.
Je vais pour la rejoindre lorsque je remarque un petit sèche-linge posé sur le radiateur.
Je récupère cinq pinces et je m’assieds à côté d’elle.
Elle a atterri sur les fesses les jambes écartées.
Je la rejoins et je lui caresse la poitrine, elle se place sur ses avants bras ce qui lui permet de voir son sexe épilé.
Elle comprend ce que j’attends d’elle.
Elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente où je fixe, la première puis la deuxième et la troisième pince à linge à ses lèvres vaginales.
• Oh !
Après les ha ! les oh !
J’en retire une qui est mal fixée et qui risque de tomber.
• Tu es un démon, maître Christophe, j’ai mal, mais de ta main c’est si bon, ahaaaa !
J’aime ce nouvel, aaahaah, combien y a-t-il de cette voyelle ?
Je l’ignore, mais chaque fois des jets de cyprine sorte de sa chatte.
Elle vient de m’inonder en prenant une nouvelle décharge et part vers un magnifique orgasme.
Jusqu’à ce qu’elle atterrisse, ses yeux sont révulsés jusqu’à la blanche intégrale.
Un jour j’ai vu ma cousine germaine faire une crise d’épilepsie et jusqu’à l’arrivée de ma tante qui savait quoi faire, ses yeux étaient aussi blancs que ceux de Malaurie.
Je suis à deux doigts de paniquer et prendre le combiné téléphonique sur la table de nuit pour appeler les secours.
• Je t’aime !
Tout bas, elle me dit à l’oreille.
• Où veux-tu me mettre les deux dernières, je veux que tu me les poses toutes suivant ton envie, maître Christophe ?
• Ici !
Je la saisis, j’ouvre sa vulve et fixe la quatrième sur son clitoris.
Elle se mord carrément les lèvres, elle souffle un grand coup.
• Je vais mettre la dernière moi-même.
Un coup de laisse sur les pinces en faisant tomber deux, je vois qu’elle est à deux doigts de tourner de l’œil.
Elle les prend et les remet difficilement, mais de nouveau jets me montrent que d’un autre côté elle est là soumise que j’espérais avoir à mon service.
Je prends la dernière et lui place sur sa fraise droite avant de m’occuper de sa sœur jumelle.
• Fait moi rebander, j’ai envie de ton petit trou.
Elle plonge sur ma verge, avec ses mains et sa bouche et me remet en pleine forme.
• Place-toi en levrette.
• Oh ! maître Christophe vous allez me sodomiser, je sais que les chiennes aiment être prises dans cette position et dans l’anus.
Elle suit mon ordre, les pinces attirées vers le bas pendent et me présentent une vision qui augmente ma turgescence.
Je lui empoigne les hanches et la cloue sur ma lance.
• Chéri, tu es un vrai taureau.
Tu me prends bien au fond de mon anus, j’ai mal mais je suis prête à toutes les concessions pour toi, j’adore.
Je lui claque les fesses presque avec violence, une nouvelle fois en plus de m’avoir tutoyé, elle a oublié de me dire « maître Christophe ».
Avant de me rendre chez Chantal, je veux que ma soumise soit parfaite pour rencontrer maîtresse Chantal...
Elle est nue simplement recouverte de son peignoir découvrant la pointe de ses seins.
Le même qu’elle avait mis pour me raccompagner à sa porte, après son dépucelage et ses grandes eaux.
• Mon chéri tu es là, la manière dont tu m’as quitté hier en classe m’a fait craindre que tu ne m’abandonnes.
Je suis sûr que mes cheveux coupés ton déplu, mais je ne pouvais pas aller au collège avec toutes les transformations que tu m’avais demandées.
• Oui et tu sais ce que cela veut dire !
• Tu vas me punir !
• Non, je vais te faire un cadeau.
• Pour mon pubis rasé ?
• Non, pour la salope que tu es devenue.
Elle me saute au cou et me donne ses lèvres montrant ainsi tout le bien que je lui apporte.
J’ouvre la boîte que j’avais posée sur la commode dans le vestibule.
• Malaurie, acceptes-tu d’être mon esclave ?
• Quelle question sans aucun fondement, je suis ton esclave chéri !
• Alors tu vas porter ce collier !
À sa vue, je la sens se troubler.
Comme me l’a dit Chantal, va-t-elle accepter et me montrer que malgré mon jeune âge en rapport du sien et ainsi être susceptible d’aller la rencontrer !
Elle avance sa tête, je sens que c’est gagner, accepter un collier de chien, montre qu’elle est en phase avec ses dires.
• Qu’il est beau, et il y a aussi la laisse, oui, je suis ta gentille petite chienne !
Je le fixe en le serrant juste ce qu’il faut pour éviter de la marquer et de l’étrangler.
• Regarde voilà la laisse que j’attacherais à cet anneau grâce au mousqueton et chaque fois tu accepteras tout ce que je te demanderais.
• Où les as-tu achetés, j’adore la couleur rouge ?
Je lui raconte ma visite chez maîtresse Chantal.
Comment elle fait fortune en infligeant des sévices consentis à des hommes et des femmes qui payent pour être soumis, je lui attache la laisse ?
• À quatre pattes !
Elle s’exécute.
• C’est très bien tu as compris qui était ton maître maintenant, tu es ma petite chienne ?
• Oui ! Maître.
Je prends le bout de la laisse et je la frappe sans trop appuyer.
Je veux éviter de la braquer et de la blesser.
J’aurais pu demander à Chantal de me confier l’une des nombreuses cravaches avec diverses spatules plus ou moins larges !
Je les ai vues sur l’un des murs où se trouvaient des fouets et même deux chats à neuf queues, dont j’ignorais que cela existait.
• Comment as-tu dit, chienne ?
• Vous êtes mon maître, je vous l’ai prouvé en acceptant ce collier qui fond de moi votre soumise !
• C’est la première fois et surtout la dernière, maître c’est très bien mais tu ajouteras toujours Christophe.
• Maître Christophe, bien maître.
Je lui présente de nouveau le bout de la laisse et fait celui qui va la frapper sur son joli popotin.
• Je suis indécrottable, maître Christophe, vous avez raison de me fouetter avec le bout de ma laisse.
• Avance une bonne chienne doit honorer son maître avec sa bouche, suce-moi la queue.
Elle ouvre la bouche et en me présentant un regard trouble, elle me suce divinement.
• Viens que je te saillisse !
Je la relève, je la fais reculer jusqu'à une chaise, je m’assieds et l’attire vers moi.
Elle comprend ce que j’attends d’elle, elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente à mon pieu qui sous la façon dont je domine ma prof, me fait énormément bander.
Elle est un peu basse pour y arriver, je la prends par les hanches et grâce à sa légèreté je la soulève pour la laisser retomber sur mon mât de cocagne.
J’atteins le centre de la cible.
• Oh !
Je la soulève et la laisse retomber, mon pieu la pénètre plus profondément, je la soulève, elle retombe, je la soulève, elle retombe se mettant à émettre des borborygmes venus du fond de son corps.
• Tu es exceptionnelle, j’aime cette nouvelle, aaahaah.
• Merde !
Elle vient de m’inonder les cuisses en ayant une décharge que j’ai sentie partir de son bas du dos.
Elle baisse un peu la tête et me prend la bouche.
Sa langue me sépare les lèvres pour m’investir pleinement la cavité buccale.
Elle m’entoure le cou de ses bras m’en faisant un collier.
Je ne veux pas décharger trop vite, je veux lui prendre les autres parties du corps et ainsi la faire partir un maximum de fois.
Une nouvelle fois je la prends sous les fesses et je la jette directement sur le lit.
Je vais pour la rejoindre lorsque je remarque un petit sèche-linge posé sur le radiateur.
Je récupère cinq pinces et je m’assieds à côté d’elle.
Elle a atterri sur les fesses les jambes écartées.
Je la rejoins et je lui caresse la poitrine, elle se place sur ses avants bras ce qui lui permet de voir son sexe épilé.
Elle comprend ce que j’attends d’elle.
Elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente où je fixe, la première puis la deuxième et la troisième pince à linge à ses lèvres vaginales.
• Oh !
Après les ha ! les oh !
J’en retire une qui est mal fixée et qui risque de tomber.
• Tu es un démon, maître Christophe, j’ai mal, mais de ta main c’est si bon, ahaaaa !
J’aime ce nouvel, aaahaah, combien y a-t-il de cette voyelle ?
Je l’ignore, mais chaque fois des jets de cyprine sorte de sa chatte.
Elle vient de m’inonder en prenant une nouvelle décharge et part vers un magnifique orgasme.
Jusqu’à ce qu’elle atterrisse, ses yeux sont révulsés jusqu’à la blanche intégrale.
Un jour j’ai vu ma cousine germaine faire une crise d’épilepsie et jusqu’à l’arrivée de ma tante qui savait quoi faire, ses yeux étaient aussi blancs que ceux de Malaurie.
Je suis à deux doigts de paniquer et prendre le combiné téléphonique sur la table de nuit pour appeler les secours.
• Je t’aime !
Tout bas, elle me dit à l’oreille.
• Où veux-tu me mettre les deux dernières, je veux que tu me les poses toutes suivant ton envie, maître Christophe ?
• Ici !
Je la saisis, j’ouvre sa vulve et fixe la quatrième sur son clitoris.
Elle se mord carrément les lèvres, elle souffle un grand coup.
• Je vais mettre la dernière moi-même.
Un coup de laisse sur les pinces en faisant tomber deux, je vois qu’elle est à deux doigts de tourner de l’œil.
Elle les prend et les remet difficilement, mais de nouveau jets me montrent que d’un autre côté elle est là soumise que j’espérais avoir à mon service.
Je prends la dernière et lui place sur sa fraise droite avant de m’occuper de sa sœur jumelle.
• Fait moi rebander, j’ai envie de ton petit trou.
Elle plonge sur ma verge, avec ses mains et sa bouche et me remet en pleine forme.
• Place-toi en levrette.
• Oh ! maître Christophe vous allez me sodomiser, je sais que les chiennes aiment être prises dans cette position et dans l’anus.
Elle suit mon ordre, les pinces attirées vers le bas pendent et me présentent une vision qui augmente ma turgescence.
Je lui empoigne les hanches et la cloue sur ma lance.
• Chéri, tu es un vrai taureau.
Tu me prends bien au fond de mon anus, j’ai mal mais je suis prête à toutes les concessions pour toi, j’adore.
Je lui claque les fesses presque avec violence, une nouvelle fois en plus de m’avoir tutoyé, elle a oublié de me dire « maître Christophe ».
Avant de me rendre chez Chantal, je veux que ma soumise soit parfaite pour rencontrer maîtresse Chantal...
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Cyrille