COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,2)
Soumettre une jeune femme de vingt-six ans, qui plus est ma prof d’anglais, moi qui m’apprête à partir dans la marine nationale, tomber les filles avec le pompon rouge, véritable piège à filles.
J’ai retrouvé Chantal, maîtresse Chantal la jeune femme qui m’a dépucelé et qui a fait en grande partie ce que je suis à ce jour.
Chantal m’a proposé de lui amener ma soumise surtout si elle accepte que je lui passe un collier de chien autour du cou.
Ça été facile, Malaurie, me montrant l’amour que j’ai su insuffler en elle.
La sodomiser, lui mettre ma verge au fond de son anus, ce sera pour moi le grâle faisant peut être l’égal de maîtresse Chantal.
Collier plus pinces à linge placé sur ses seins et sa chatte sans qu’elle se rebelle, me rend heureux.
Je passe mes mains sous son corps et je sers les pinces, augmentant la pression sur ses mamelons.
Au lieu de crier sa douleur la conjugaison de la sodomie et de sa douleur diffusée par les pinces la fait partir dans une jouissance qui nettoie le couvre lit.
Je maintiens son plaisir en lui envoyant de grandes claques sur les fesses.
En quelques minutes, je lui fais rougir le postérieur.
• Oui, oui, oui, oui !
Elle s’écroule, ma tige toujours au fond de son séant.
Je suis toujours mes couilles pleines, j’espère bien me rattraper dans peu de temps.
Je lui ôte les pinces, elle tourne la tête vers moi et me fait un joli sourire avec beaucoup d’amour.
• Mon cœur, tu sais ce que j’ai appris de la bouche de ma mère !
• Non mais j’espère que tu vas me le dire.
• Tu te rends compte avant de connaître mon père elle a vécu deux ans avec une femme.
C’était deux lesbiennes, jusqu’à ce qu’elle rencontre mon père.
Serais-tu traumatisé ?
• Non, mais j’ai simplement du mal à la regarder comme la femme sage qu’elle a été avec mon père depuis que mes souvenirs sont dans mon cerveau, je le crois.
Je la fais venir le long de mon corps pour que je sente sa chaleur, je la prends dans mon bras et nous nous endormons.
Lorsque je me réveille, il fait nuit, Malaurie ouvre les yeux et me met la main sur ma verge.
• Elle aussi a le droit à son plaisir, laisse-moi faire !
Elle prend ma verge en bouche et depuis ce matin où j’ai beaucoup bandé, d’abord chez Chantal, puis ici depuis que je suis arrivé, je les vide par de longs jets de spermes qui inondent sa bouche.
Les yeux dans les yeux, elle déglutit pour avaler toute ma semence.
• Chéri, dans deux heures j’ai réservé une table pour te remercier de tout ce que tu as déjà fait pour moi.
As-tu des vêtements plus habillés que ton jean et tes baskets ?
• Oui, je suis allé au mariage d’un cousin à Angoulême, j’ai ce qu’il faut à la maison.
• Sans te commander, je respecte mon maître, va te changer, je vais moi aussi me faire belle pour que tu sois fière de m’avoir à ton bras.
Voilà un double de ma clef que j’ai fait faire, tu pourras entrer sans sonner.
Un dernier baisé et je me dépêche de rejoindre le pavillon de mes parents.
Je cours et c’est tout essoufflé que j’arrive à la maison.
Mon père va partir travailler pour sa dernière nuit avant son repos.
Je vais sous la douche et je monte m’habiller.
Ma mère est dans sa chambre, je l’embrasse rapidement.
• Tout va bien, comment ça se passe avec ton amie ?
Impossible d’avouer à ma maman, que j’ai attaché un collier de chien au cou de cette jeune femme qui m’est tombée du ciel dès qu’elle ai su que je révais d’embrasser une carrière dans la marine nationale.
• Impeccable, je viens me changer, elle a réservé une table dans un restaurant.
• As-tu fait un cadeau à ton amie ?
• Oui, un collier !
• Avec 100 francs, tu as acheté du toc !
J’ai le chic pour me piéger moi-même surtout devant celle qui m’a mise au monde, je suis obligé de lui dire la vérité.
• Non, un collier munit d’une laisse !
• Elle aime être dominée !
• Un peu mais je reste raisonnable.
• Très bien, joue avec ses envies dans un strict respect.
Tu es mon digne fils, je dois moi aussi t’avoué que lorsque j’étais avec mon amie, elle faisait tout ce que je désirais.
Je te donne le conseil d’être raisonnable, car je pense que si ça a cassé c’est que quelquefois, j’ai abusé de ma rudesse envers elle.
Bonne soirée mon grand !
Je me change, ensemble blanc jusqu’aux mocassins et petite veste de cuir blanche. Un vrai top-modèle, au moment de repartir mon père s’apprête à partir.
• Chéri, je crois que Christophe va à côté du R.E.R. dépose-le !
Cinq minutes je suis arrivé.
• Passe une bonne nuit, pa... !
Dès que notre voiture a passé le coin, je grimpe les deux étages, j’entends Malaurie chanter, elle semble être heureuse.
J’entre, ça vient de la salle de bain, elle est dans l’eau se frottant une jambe qu’elle a fort belle et qui sort de la surface liquide.
Je suis derrière elle, j’admire ma conquête sans qu’elle me voie.
Je reste dans l’encoignure de porte à la regarder se savonner en chantant.
Elle a un joli brin de voix, elle aurait certainement plu au producteur de Chantal, bien que je la voie mal devenir une pute, elle a trop de classe.
Elle m’aperçoit dans la glace ce qui la fait sursauter.
• Tu m’as fait peur, que tu es beau !
J’ai de la chance d’avoir un homme comme toi.
Dommage que tu me quittes dans moins de trois mois, je t’aurais demandé de m’épouser.
À ce qu’elle vient de dire, je pense, « Malaurie, pas trop vite, j’ai beaucoup de chattes à honorer avant de penser à te passer une bague au doigt »
Mais avant, comme l’on dit, j’ai d’autre chat à fouetter, il faut que je lui fasse voir, qui dirige même chez elle !
• Où est ton collier, qui t’a donné le droit de le défaire ?
• Oh ! Christophe, je t’attendais avec impatience et c’est ainsi que tu me reviens, courroucé.
Je l’ai ôté avant mon bain pour être propre comme un sou neuf, pour ton retour.
J’avais peur de le mouiller et que le cuir soit abimé, il est sur notre lit, tu vas me le remettre puisque tu es de retour.
Elle se lève pour se rincer, elle passe sa main et ses doigts dans sa chatte qu’elle ouvre pour faire pénétrer le jet au fond de sa minette.
• Tu vois avant que ta verge m’enlève mon pucelage, chaque fois que je me douchais je me faisais jouir simplement au contact de l’eau.
• Fais-moi voir !
Elle reprend le contact de ses doigts avec sa vulve.
Je la vois se caresser le clitoris qui répond à sa sollicitation en lui envoyant certainement des ondes qui doivent toucher ses reins car elle fléchit sur les jambes. Son plaisir éclate et le carrelage reçoit les quelques gouttes que sa chatte éjecte.
• Je me demande si c’est car tu me regardais, mais c’est la première fois que je mouille comme je viens de le faire en jouissant.
Elle se rince avec la douche et s’apprête à descendre.
Je prends la serviette qu’elle avait préparée et je la sèche de haut en bas.
Je m’attarde sur sa fente qui sera sèche comme jamais.
J’évite d’insister, craignant qu’elle ne soit obligée de se re-doucher !
Elle s’installe pour se maquiller discrètement après être retourné dans la chambre.
Je lui remets son collier, je récupère sa laisse qui est à côté sur son lit.
Coup par coup, je la fouette avec la laisse, bien sûr, c’est les grandes eaux, elle me regarde semblant se demander pourquoi je la fesse.
• Ce collier, seul moi je peux te l’enlever, chaque fois que ce sera toi ou un autre sans mon accord tu ramasseras.
• Oui, maître Christophe, à partir de ce jour, je le saurais.
• Comment ne veux-tu que je m’habile, regarde dans mon armoire !
J’ouvre la porte et j’ai du mal à trouver des vêtements autres que ceux qui font d’elle une professeure.
Je trouve un ensemble cuir, composé d’une jupe qui lui arrivera à mi-cuisse, veste et bottines noires.
Dans les chemisiers, tous blancs, j’en choisis un qui se mariera avec le noir du cuir.
Un petit sac avec une chaîne dorée terminera l’affaire.
• Tu veux que je mette ces vêtements, j’avais dix-huit ans lorsque je les portais.
Je mets un soutien-gorge et une petite culotte, il y en a dans cette commode !
• Ni slip ni soutien-gorge, je te veux chatte et seins à l’air et à ma disposition !
Habillée-elle me présente une vision idyllique de la femme.
Elle place son chemisier d’une façon classique.
Je m’approche, je le fais sortir et le noue sous ses seins, avec son collier, elle est superbe...
J’ai retrouvé Chantal, maîtresse Chantal la jeune femme qui m’a dépucelé et qui a fait en grande partie ce que je suis à ce jour.
Chantal m’a proposé de lui amener ma soumise surtout si elle accepte que je lui passe un collier de chien autour du cou.
Ça été facile, Malaurie, me montrant l’amour que j’ai su insuffler en elle.
La sodomiser, lui mettre ma verge au fond de son anus, ce sera pour moi le grâle faisant peut être l’égal de maîtresse Chantal.
Collier plus pinces à linge placé sur ses seins et sa chatte sans qu’elle se rebelle, me rend heureux.
Je passe mes mains sous son corps et je sers les pinces, augmentant la pression sur ses mamelons.
Au lieu de crier sa douleur la conjugaison de la sodomie et de sa douleur diffusée par les pinces la fait partir dans une jouissance qui nettoie le couvre lit.
Je maintiens son plaisir en lui envoyant de grandes claques sur les fesses.
En quelques minutes, je lui fais rougir le postérieur.
• Oui, oui, oui, oui !
Elle s’écroule, ma tige toujours au fond de son séant.
Je suis toujours mes couilles pleines, j’espère bien me rattraper dans peu de temps.
Je lui ôte les pinces, elle tourne la tête vers moi et me fait un joli sourire avec beaucoup d’amour.
• Mon cœur, tu sais ce que j’ai appris de la bouche de ma mère !
• Non mais j’espère que tu vas me le dire.
• Tu te rends compte avant de connaître mon père elle a vécu deux ans avec une femme.
C’était deux lesbiennes, jusqu’à ce qu’elle rencontre mon père.
Serais-tu traumatisé ?
• Non, mais j’ai simplement du mal à la regarder comme la femme sage qu’elle a été avec mon père depuis que mes souvenirs sont dans mon cerveau, je le crois.
Je la fais venir le long de mon corps pour que je sente sa chaleur, je la prends dans mon bras et nous nous endormons.
Lorsque je me réveille, il fait nuit, Malaurie ouvre les yeux et me met la main sur ma verge.
• Elle aussi a le droit à son plaisir, laisse-moi faire !
Elle prend ma verge en bouche et depuis ce matin où j’ai beaucoup bandé, d’abord chez Chantal, puis ici depuis que je suis arrivé, je les vide par de longs jets de spermes qui inondent sa bouche.
Les yeux dans les yeux, elle déglutit pour avaler toute ma semence.
• Chéri, dans deux heures j’ai réservé une table pour te remercier de tout ce que tu as déjà fait pour moi.
As-tu des vêtements plus habillés que ton jean et tes baskets ?
• Oui, je suis allé au mariage d’un cousin à Angoulême, j’ai ce qu’il faut à la maison.
• Sans te commander, je respecte mon maître, va te changer, je vais moi aussi me faire belle pour que tu sois fière de m’avoir à ton bras.
Voilà un double de ma clef que j’ai fait faire, tu pourras entrer sans sonner.
Un dernier baisé et je me dépêche de rejoindre le pavillon de mes parents.
Je cours et c’est tout essoufflé que j’arrive à la maison.
Mon père va partir travailler pour sa dernière nuit avant son repos.
Je vais sous la douche et je monte m’habiller.
Ma mère est dans sa chambre, je l’embrasse rapidement.
• Tout va bien, comment ça se passe avec ton amie ?
Impossible d’avouer à ma maman, que j’ai attaché un collier de chien au cou de cette jeune femme qui m’est tombée du ciel dès qu’elle ai su que je révais d’embrasser une carrière dans la marine nationale.
• Impeccable, je viens me changer, elle a réservé une table dans un restaurant.
• As-tu fait un cadeau à ton amie ?
• Oui, un collier !
• Avec 100 francs, tu as acheté du toc !
J’ai le chic pour me piéger moi-même surtout devant celle qui m’a mise au monde, je suis obligé de lui dire la vérité.
• Non, un collier munit d’une laisse !
• Elle aime être dominée !
• Un peu mais je reste raisonnable.
• Très bien, joue avec ses envies dans un strict respect.
Tu es mon digne fils, je dois moi aussi t’avoué que lorsque j’étais avec mon amie, elle faisait tout ce que je désirais.
Je te donne le conseil d’être raisonnable, car je pense que si ça a cassé c’est que quelquefois, j’ai abusé de ma rudesse envers elle.
Bonne soirée mon grand !
Je me change, ensemble blanc jusqu’aux mocassins et petite veste de cuir blanche. Un vrai top-modèle, au moment de repartir mon père s’apprête à partir.
• Chéri, je crois que Christophe va à côté du R.E.R. dépose-le !
Cinq minutes je suis arrivé.
• Passe une bonne nuit, pa... !
Dès que notre voiture a passé le coin, je grimpe les deux étages, j’entends Malaurie chanter, elle semble être heureuse.
J’entre, ça vient de la salle de bain, elle est dans l’eau se frottant une jambe qu’elle a fort belle et qui sort de la surface liquide.
Je suis derrière elle, j’admire ma conquête sans qu’elle me voie.
Je reste dans l’encoignure de porte à la regarder se savonner en chantant.
Elle a un joli brin de voix, elle aurait certainement plu au producteur de Chantal, bien que je la voie mal devenir une pute, elle a trop de classe.
Elle m’aperçoit dans la glace ce qui la fait sursauter.
• Tu m’as fait peur, que tu es beau !
J’ai de la chance d’avoir un homme comme toi.
Dommage que tu me quittes dans moins de trois mois, je t’aurais demandé de m’épouser.
À ce qu’elle vient de dire, je pense, « Malaurie, pas trop vite, j’ai beaucoup de chattes à honorer avant de penser à te passer une bague au doigt »
Mais avant, comme l’on dit, j’ai d’autre chat à fouetter, il faut que je lui fasse voir, qui dirige même chez elle !
• Où est ton collier, qui t’a donné le droit de le défaire ?
• Oh ! Christophe, je t’attendais avec impatience et c’est ainsi que tu me reviens, courroucé.
Je l’ai ôté avant mon bain pour être propre comme un sou neuf, pour ton retour.
J’avais peur de le mouiller et que le cuir soit abimé, il est sur notre lit, tu vas me le remettre puisque tu es de retour.
Elle se lève pour se rincer, elle passe sa main et ses doigts dans sa chatte qu’elle ouvre pour faire pénétrer le jet au fond de sa minette.
• Tu vois avant que ta verge m’enlève mon pucelage, chaque fois que je me douchais je me faisais jouir simplement au contact de l’eau.
• Fais-moi voir !
Elle reprend le contact de ses doigts avec sa vulve.
Je la vois se caresser le clitoris qui répond à sa sollicitation en lui envoyant certainement des ondes qui doivent toucher ses reins car elle fléchit sur les jambes. Son plaisir éclate et le carrelage reçoit les quelques gouttes que sa chatte éjecte.
• Je me demande si c’est car tu me regardais, mais c’est la première fois que je mouille comme je viens de le faire en jouissant.
Elle se rince avec la douche et s’apprête à descendre.
Je prends la serviette qu’elle avait préparée et je la sèche de haut en bas.
Je m’attarde sur sa fente qui sera sèche comme jamais.
J’évite d’insister, craignant qu’elle ne soit obligée de se re-doucher !
Elle s’installe pour se maquiller discrètement après être retourné dans la chambre.
Je lui remets son collier, je récupère sa laisse qui est à côté sur son lit.
Coup par coup, je la fouette avec la laisse, bien sûr, c’est les grandes eaux, elle me regarde semblant se demander pourquoi je la fesse.
• Ce collier, seul moi je peux te l’enlever, chaque fois que ce sera toi ou un autre sans mon accord tu ramasseras.
• Oui, maître Christophe, à partir de ce jour, je le saurais.
• Comment ne veux-tu que je m’habile, regarde dans mon armoire !
J’ouvre la porte et j’ai du mal à trouver des vêtements autres que ceux qui font d’elle une professeure.
Je trouve un ensemble cuir, composé d’une jupe qui lui arrivera à mi-cuisse, veste et bottines noires.
Dans les chemisiers, tous blancs, j’en choisis un qui se mariera avec le noir du cuir.
Un petit sac avec une chaîne dorée terminera l’affaire.
• Tu veux que je mette ces vêtements, j’avais dix-huit ans lorsque je les portais.
Je mets un soutien-gorge et une petite culotte, il y en a dans cette commode !
• Ni slip ni soutien-gorge, je te veux chatte et seins à l’air et à ma disposition !
Habillée-elle me présente une vision idyllique de la femme.
Elle place son chemisier d’une façon classique.
Je m’approche, je le fais sortir et le noue sous ses seins, avec son collier, elle est superbe...
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