COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,3)
Intimider, draguer, prendre ma prof d’anglais, vierge à vingt-six ans, c’est le défi que je m’étais lancé, le réussissant de main de maître.
L’annonce de mon départ pour la marine nationale m’a beaucoup aidé, faisant de moi un jeune homme sachant ce qu’il veut.
Mieux même, j’en ai fait ma soumise et finissant par la sodomiser.
Chantal, la jeune femme qui de son côté m’a dépucelé au bas d’un champ alors que nous étions en vacances dans le Doubs, a repris la salle de torture pour des masochistes aimant la domination.
Elle m’offre un collier en cuir, un peu les mêmes que ceux que l’on met à son toutou, avec une laisse pour la promener.
Depuis que je la connais à notre bahut, elle porte le stéréotype de la professeure d’anglais.
Tailleur noir strict, chemisier blanc boutonné style col mao, impossible de voir le moindre morceau de chair, avec ses seins.
Escarpins noirs, eux aussi et surtout grosses paires de lunettes noires aux verres neutres qui terminent le personnage qu’elle s’est créé afin de paraitre une femme sévère.
Je cherche dans son armoire et je trouve quelques vêtements du temps de ses dix—huit ans où elle devait encore être elle-même.

• Tu vois, tu n’as pas changé depuis tes dix-huit ans !
• Je trouve cela très osé !
• Je vais être fière d’être à tes côtés toute la soirée.
• Je vais me sentir dénuder, je risque d’avoir froid, qu’est-ce que je peux mettre avec cet ensemble ?

Je cherche et je trouve une petite veste en renard couvrant les trois quarts de la partie haute de son corps.

• C’est le renard de ma maman, je l’ai gardé en souvenir après son décès.
• Pauvre chérie, il y a longtemps que tu l’as perdu !
• Dix ans, j’ai eu le temps de faire mon deuil.
• Et ton papa ?
• Il est décédé six mois après elle, ils étaient tellement fusionnels que sa mort a brisé cet amour exceptionnel.

Nous sortons et nous allons prendre le R.E.R jusqu'à la gare de Joinville.
De nombreux hommes se retournent sur la bombe qui m’accompagne.
Rapidement nous sommes arrivés et nous remontons la marne en direction des guinguettes.
Va-t-on au petit Robinson ?
Je crois qu’il n’a pas de restaurant.
Non c’est chez gégène qu’elle entre.
Avec mes copains « chez gégène » pour nous représentait la guinguette des anciens.
Elle demande la table, nous étant réservé.
Nous sommes placés près de la piste de danse, sur la table contiguë un couple d’une trentaine d'années est déjà installé.
La femme est canon, je vais avoir une bombe en face de moi et un canon face à moi sur l’autre table.
Nous les saluons et attendons d’être servi en nous tenant la main et en nous regardant dans les yeux.
À la table voisine, l’amour entre ces deux êtres transpire dans leurs regards.
Chez gégène, j’étais persuadé qu’un spectacle type Lido ou moulins rouges égayait le repas.
L’orchestre entame une danse qui m’est inconnue.
Nos voisins se lèvent et l’homme prend la femme dans ses bras et investit la piste de danse.

• Viens-tu danser, c’est une marche ?
• À part au petit Rob à côté, je n’ai jamais dansé.
Et encore, je me suis trémoussé au rythme des musiques modernes.
• Viens, c’est facile, je vais conduire, la marche est la danse la moins risquée pour débuter.

Une fraction de seconde, j’ai l’impression d’avoir le collier avec la laisse autour de mon propre cou.
Lorsqu’elle se lève en me tendant la main, je n’ai pas le courage de lui faire l’affront de lui refuser le plaisir que la danse semble lui apporter.
Je la suis et rapidement le tempo est en moi.
À la fin du morceau, j’ai repris mon rôle de mâle et je la conduis.
Une musique plus rapide commence, prenant pitié de moi Malaurie s’en retourne vers notre table.
Je la suis le souffle rapide, Malaurie s’en aperçoit et me donne un conseil.

• Le souffle, lorsque l’on danse, est le plus difficile à acquérir.
Regarde, suis-je essoufflée alors que tu ressembles à une locomotive montante une côte, tu verras mon cœur tu y arriveras.

L’entrée nous est servie agrémentée d’une coupe de champagne que le serveur nous a conseillé avec le plat.
Je suis un vrai ignare en ce qui concerne le vin, pourquoi le contredire.

• C’est bien jeune homme, c’est la première fois que vous dansiez une marche !

Elle m’adresse la parole avec ses grands yeux de biche.
Pincez-moi que je me réveille.
En quelques heures, j’ai défloré la merveille que j’ai devant mes yeux et son sosie en matière de beauté m’adresse la parole.

• Oui, madame, il y a un début à tous, si monsieur me le permet, je vous invite à m’apprendre la danse suivante.
• Madame, a pour prénom Ophélie et monsieur Samy.
• Ma compagne c’est Malaurie et moi Christophe.

Une série de tangos prend fin, quelle bêtise d’avoir voulu faire le coq.
À quelle sauce Ophélie, cette jolie brune, va me manger !
Les danseurs ont repris leurs places.
Les premières mesures commencent.
Je pourrais reculer, mais non je me lance, depuis que j’ai séduit Malaurie, tout m’est permis.
Je contourne Samy et présente ma main à ma cavalière.
Sa tenue est presque similaire à celle de Malaurie.
Des couples sont déjà sur la piste, je vois la manière dont ils enlacent leurs partenaires.
Facile, une main dans la main, l’autre sur les fesses et roulées jeunesse.
Ma main dans sa main semble être bien placée, mais ma main sur son derrière lui plaquant le pubis sur ma verge semble l’étonner, mais elle reste stoïque.

• Aimes-tu le slow ?
• Avec une jolie fille comme toi dans mes bras, j’aimerais n’importe quelle danse que tu veux m’apprendre !

Le temps de ces quelques échanges, j’ai pris le rythme de la musique.
Une chose que ma maman m’a apprise lors du mariage d’un cousin, il faut toujours glisser ses pieds pour éviter de marcher sur ceux de sa partenaire.

Nos corps se serrent l’un contre l’autre, la marche tout à l’heure était loin d’avoir le même effet sur ma verge.
Le tempo donné par la musique fait de l’effet à ma bite qui commence à manquer de place dans mon pantalon.
Ma partenaire semble loin d’ignorer la transformation qu'elle suscite en moi.
Mieux même, elle accentue sa pression amplifiant inexorablement mon mal, plutôt léger problème.
Sa main libre vient me prendre la nuque et m’attire vers elle.
Nos regards sont si prêts que je peux voir les paillettes qui brillent dans ses yeux.
J’ai la certitude qu’à la minute présente si je désire lui prendre les lèvres qui sont à quelques centimètres des miennes, elle ne se refusera pas.

Où est Malaurie, elle a quitté notre table ?
En tournant, je l’aperçois dans les bras de Samy dans une position plus conventionnelle.
À la faveur d’un mouvement je remarque qu’à la différence de nous, elle est loin d’avoir plaqué son bassin contre celui de son cavalier.
La série de slows se termine Ophélie met quelques secondes à détacher son bas-ventre de mon bas-ventre.
Le morceau de musique que l’orchestre attaque vient nous sauver.

Elvis est parmi nous et un rock’n’roll endiablé démarre.
Je continue à lui tenir la main et commence à la faire aller et venir dans le rythme de cette musique de Zoulou.
Un moment nous croisons nos partenaires qui dansent eux aussi, j’en profite pour récupérer Malaurie qui est enchantée de me rejoindre.
Un peu vanné, je suis content de reconduire ma cavalière pour continuer notre repas. Au moment où chacun nous rejoignons notre table, Ophélie me regarde en se passant la langue sur les lèvres.

• Très bien Christophe c’est le meilleur slow que j’ai dansé depuis longtemps hormis ceux avec Samy.
• Il est doué en toutes choses !

Malaurie vient de parler, je suis très étonné qu’elle prononce ce genre de phrase.

• Même pour le sexe ?
• Surtout pour le sexe !

Elle m’étonne, elle qui était encore vierge, il y a quelques jours.

• Champagne ?

Samy vient de faire la proposition.

• Oui, mais juste un verre, car j’ai du mal à supporter l’alcool !

Sous la table, mon pied trouve celui de ma bien-aimée.
Elle ne se dérobe pas.
Bien au contraire, la nappe qui descend assez basse, me permet de franchir une étape.
J’enlève mon mocassin et fais monter mon pied vers son bas-ventre que je sais libre de tout sous-vêtement.
Samy l’a-t-il fait mouiller ?...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Ohhh oui Chris...
La suite

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,3)
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