COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,6)
Retour de nos putes, de substitution de la salle de bains où elles se sont rafraichies après les clients qu’elles se sont faite dans une allée du bois de Vincennes non loin du château centenaire de cette cité parisienne.
Nous sommes confortement installé dans de beaux fauteuils dans le salon aussi grand qu’une salle de bal lorsqu’elles arrivent recouvertes de peignoirs, Ophélie de couleur Rose et Malaurie bleue.
• Christophe, mon cœur Ophélie m’a lavé et m’a mangé la chatte, elle m’a sucé le clito et m’a fait beaucoup jouir.
Tu te rends compte, moi qui viens de perdre mon hymen que tu m’as enfin enlevé il y a peu, je suis devenue une pute et maintenant une gouine.
Le plus drôle c’est que je serais enchanté de recommencer quand tu le voudras et où tu le voudras, même si j’ai eu la peur de ma vie !
• Ophélie, as-tu pris ta douche avec Malaurie ?
• Non nous avons pris un bain.
• Cela je l’ai vu, je te parlais d’une autre douche.
• Tu veux dire les jets que j’ai reçus de sa chatte et que j’ai adorée avaler.
• Les mêmes que j’ai nettoyés dans la voiture.
• Malaurie, reprend ton collier, je redeviens ton maître.
Les jeunes femmes échangent le collier et Samy sort la laisse de sa poche de pantalon me l’envoyant vers moi.
Il tombe au sol.
• Chienne, à quatre pattes et vient ramasser avec ta bouche ta laisse et met moi là dans ma main.
Malaurie, se prête à ce nouveau jeu, Collier placé par Ophélie, elle vient à moi, prend sa laisse entre ses jolies lèvres et me l’apporte.
Je la prends dans mes mains et je lui assène un grand coup sur chacune de ces fesses.
• Maître Christophe, pourquoi me fessée vous, j’ai suivi votre ordre sans rechigner !
• Certes, tu as exécuté mon ordre, mais tu aurais dû prendre l’initiative de toi-même, tu as perdu trop de temps.
• Je ferais attention, maître Christophe, vous avez raison, j’aurais dû savoir ce que vous vouliez.
• C’est bien ma petite chienne, va te faire pardonner du travail que tu as donné à Samy, va lui sucer la queue !
Elle se déplace à quatre pattes en laissant tomber son peignoir.
J’ai le temps d’admirer le petit derrière fripon et la pastille brune que j’aime défoncer et qui sur chacun de ces hémisphères est zébré des coups que je leur ai portés.
Voyant son ami exécuter mon ordre, Ophélie se met nue et vient se mettre à quatre pattes son cul plus charnu tourné vers moi.
Elle le secoue en tournant sa tête me provoquant à venir la saillir comme le ferait une petite chienne en chaleur excitant son mâle.
J’aurais les moyens d’éviter, j’aime tellement baiser Malaurie qui suce Samy, je me mets moi aussi nu et me place à hauteur du séant de la belle, je lui enfourne la chatte. Depuis la piste de danse où je l’aurais bien presque violé devant tout le public et les musiciens, la prendre maintenant devant son mari décuple mon plaisir.
Malaurie a bien sucé la queue de Samy qui bande au maximum.
Elle se retourne et écarte ses jambes pour se placer de chaque côté du mâle qu’elle convoite.
Elle lui saisit la verge d’une main et la présente à sa rosette.
D’un coup elle se baisse et s’empale sur le pieu qui lui est présenté.
Nos deux femelles commencent à chanter, les paroles sont relativement les mêmes, un peu plus grave concernant Ophélie, l’âge, même s’il est loin d’être plus grand, doit y être pour quelque chose.
• Oh ! Ah ! Oui ! je jouis ! il me défonce bien ! continu ! elle est grosse !
Pour finir toutes les deux s’enflamment.
« Remplis-moi la vulve pour l’une » et « remplis-moi le cul pour l’autre »
Nous nous empressons de les combler et c’est à notre tour d’émettre des sons significatifs du plaisir que chacune d’elles, nous donne.
Je tombe sur la moquette si épaisse où Ophélie me rejoint, le sommeil nous prend dans cette position.
Au matin, la lumière du plafonnier qui est toujours allumée me réveille.
Ophélie, la main sur mon sexe qu’elle doit tenir au chaud dort profondément.
Je me dégage et me dirige vers les toilettes.
Malaurie dort dans les bras de Samy toujours à cheval sur lui, lui-même allongé dans la profondeur de son fauteuil.
A la regarder, elle est si belle dans sa nudité qu’un léger vent de jalousie me taraude, malgré la chaleur du chauffage venant certainement du sol.
Le jour entrant par une grande baie vitrée, je m’approche pour voir où ils habitent. Surprise, je connais bien l’immeuble où ils demeurent.
Il surplombe la marne du côté de Saint-Maur.
Le pavillon de mes parents est juste face à la petite rue qui conduit à celle où nous habitons.
Tous les dimanches lorsque je cours, je passe devant.
Je me suis toujours demandé qui pouvait s’offrir de tels appartements dans ces immeubles entièrement construits avec des pierres de taille blanche.
Du bruit, je me retourne. Samy essaye de se dégager et n’arrive qu’a réveillé ma belle.
Le bruit que nous faisons réveille aussi Ophélie.
• Venez, on va prendre un bain !
Je vais démarrer l’eau, Samy va démarrer le café nos amis en ont certainement bien besoin.
Il est vrai que j’ai une petite gueule de bois, nous-nous retrouvons tous les quatre dans la baignoire.
Je frotte le dos, les seins et surtout la chatte de Malaurie.
Dommage étant dans l’eau il est difficile de sentir si elle mouille, mais à son regard je vois qu’elle apprécie le traitement, aussi je m’arrête avant que le niveau de la baignoire monte.
Samy pratique de même sur Ophélie.
Samy saisit le pommeau de douche et nous rince un à un.
Nous sortons et c’est Ophélie qui prend le relais pour nous essuyer.
L’odeur du café nous réunit sur la table de la salle à manger.
Nos hôtes, en un éclair, ont tapissé la table de diverses choses appétissantes.
Malaurie a apporté son sac, elle sort une poignée de billets.
• Qu’est-ce que je fais de tout cela ?
La grande se lève et apporte elle aussi une poignée de billets chèrement gagnée avec leurs fesses et en prime une frayeur carabinée.
• Si j’ai bien compté, vous avez gagné 900 francs avant que vous soyez dérangées !
Je réunis les coupures et les comptes. 500, 600, 700, 800, 900 francs.
• Tient-il me reste un billet ?
Timidement.
• C’est à moi.
• Cent francs la sucette tu en as sucé pour 400 francs.
D’une voix plus timide Malaurie répond !
• Oui mais il y en a un que ma donné 200 francs
• Comme cela pour ta jolie frimousse ?
• Non pour que j’avale !
Il m’a donné mes 100 francs avant que je le suce comme Ophélie m’a demandé de faire la première fois quand nous étions toutes les deux avec les clients.
Lorsqu’il a déchargé au lieu de tout cracher, il m’a dit « Cent de plus si tu avales. »
J’ai tendu la main, il m’a payé et j’ai avalé.
Je me suis dit, que c’était un client de moins à trouver pour Ophélie ou moi.
• Donc vous me rapportez moins de la moitié de ce que vous m’aviez promis !
Nous éclatons tous de rire et nous nous habillons, Ophélie débarrasse, nous devons hélas, nous séparer, heureux de nous être rencontrés.
Samy doit aller à son entreprise et Ophélie doit rejoindre une amie pour déjeuner.
• Cela ne me dit pas de ce que l’on fait de ces francs sur la table !
• Malaurie, garde les pour aller au restaurant avec Christophe.
Cela compensera la grande peur que vous avez eue.
Samy se propose de nous raccompagner, je décline, car je dois traverser et aller changer mes affaires chez mes parents.
• Si tu te diriges vers la mairie de Champigny, j’accepte que tu m’emmènes, je dois préparer des cours pour demain, c mon maître me fait oublier mes autres élèves.
• Si Christophe est d’accord aucun problème, je monte vers Pontault-combault.
Je quitte nos amis, non sans embrasser tendrement les deux femmes.
Elles me rendent mon baiser bien sûr plus appuyé par Malaurie.
• Soit sage !
Je prends la direction du Pont du petit Parc pour traverser et retrouver la maison de mes parents, j’ai à peine fait dix mètres qu’elle me manque déjà...
Nous sommes confortement installé dans de beaux fauteuils dans le salon aussi grand qu’une salle de bal lorsqu’elles arrivent recouvertes de peignoirs, Ophélie de couleur Rose et Malaurie bleue.
• Christophe, mon cœur Ophélie m’a lavé et m’a mangé la chatte, elle m’a sucé le clito et m’a fait beaucoup jouir.
Tu te rends compte, moi qui viens de perdre mon hymen que tu m’as enfin enlevé il y a peu, je suis devenue une pute et maintenant une gouine.
Le plus drôle c’est que je serais enchanté de recommencer quand tu le voudras et où tu le voudras, même si j’ai eu la peur de ma vie !
• Ophélie, as-tu pris ta douche avec Malaurie ?
• Non nous avons pris un bain.
• Cela je l’ai vu, je te parlais d’une autre douche.
• Tu veux dire les jets que j’ai reçus de sa chatte et que j’ai adorée avaler.
• Les mêmes que j’ai nettoyés dans la voiture.
• Malaurie, reprend ton collier, je redeviens ton maître.
Les jeunes femmes échangent le collier et Samy sort la laisse de sa poche de pantalon me l’envoyant vers moi.
Il tombe au sol.
• Chienne, à quatre pattes et vient ramasser avec ta bouche ta laisse et met moi là dans ma main.
Malaurie, se prête à ce nouveau jeu, Collier placé par Ophélie, elle vient à moi, prend sa laisse entre ses jolies lèvres et me l’apporte.
Je la prends dans mes mains et je lui assène un grand coup sur chacune de ces fesses.
• Maître Christophe, pourquoi me fessée vous, j’ai suivi votre ordre sans rechigner !
• Certes, tu as exécuté mon ordre, mais tu aurais dû prendre l’initiative de toi-même, tu as perdu trop de temps.
• Je ferais attention, maître Christophe, vous avez raison, j’aurais dû savoir ce que vous vouliez.
• C’est bien ma petite chienne, va te faire pardonner du travail que tu as donné à Samy, va lui sucer la queue !
Elle se déplace à quatre pattes en laissant tomber son peignoir.
J’ai le temps d’admirer le petit derrière fripon et la pastille brune que j’aime défoncer et qui sur chacun de ces hémisphères est zébré des coups que je leur ai portés.
Voyant son ami exécuter mon ordre, Ophélie se met nue et vient se mettre à quatre pattes son cul plus charnu tourné vers moi.
Elle le secoue en tournant sa tête me provoquant à venir la saillir comme le ferait une petite chienne en chaleur excitant son mâle.
J’aurais les moyens d’éviter, j’aime tellement baiser Malaurie qui suce Samy, je me mets moi aussi nu et me place à hauteur du séant de la belle, je lui enfourne la chatte. Depuis la piste de danse où je l’aurais bien presque violé devant tout le public et les musiciens, la prendre maintenant devant son mari décuple mon plaisir.
Malaurie a bien sucé la queue de Samy qui bande au maximum.
Elle se retourne et écarte ses jambes pour se placer de chaque côté du mâle qu’elle convoite.
Elle lui saisit la verge d’une main et la présente à sa rosette.
D’un coup elle se baisse et s’empale sur le pieu qui lui est présenté.
Nos deux femelles commencent à chanter, les paroles sont relativement les mêmes, un peu plus grave concernant Ophélie, l’âge, même s’il est loin d’être plus grand, doit y être pour quelque chose.
• Oh ! Ah ! Oui ! je jouis ! il me défonce bien ! continu ! elle est grosse !
Pour finir toutes les deux s’enflamment.
« Remplis-moi la vulve pour l’une » et « remplis-moi le cul pour l’autre »
Nous nous empressons de les combler et c’est à notre tour d’émettre des sons significatifs du plaisir que chacune d’elles, nous donne.
Je tombe sur la moquette si épaisse où Ophélie me rejoint, le sommeil nous prend dans cette position.
Au matin, la lumière du plafonnier qui est toujours allumée me réveille.
Ophélie, la main sur mon sexe qu’elle doit tenir au chaud dort profondément.
Je me dégage et me dirige vers les toilettes.
Malaurie dort dans les bras de Samy toujours à cheval sur lui, lui-même allongé dans la profondeur de son fauteuil.
A la regarder, elle est si belle dans sa nudité qu’un léger vent de jalousie me taraude, malgré la chaleur du chauffage venant certainement du sol.
Le jour entrant par une grande baie vitrée, je m’approche pour voir où ils habitent. Surprise, je connais bien l’immeuble où ils demeurent.
Il surplombe la marne du côté de Saint-Maur.
Le pavillon de mes parents est juste face à la petite rue qui conduit à celle où nous habitons.
Tous les dimanches lorsque je cours, je passe devant.
Je me suis toujours demandé qui pouvait s’offrir de tels appartements dans ces immeubles entièrement construits avec des pierres de taille blanche.
Du bruit, je me retourne. Samy essaye de se dégager et n’arrive qu’a réveillé ma belle.
Le bruit que nous faisons réveille aussi Ophélie.
• Venez, on va prendre un bain !
Je vais démarrer l’eau, Samy va démarrer le café nos amis en ont certainement bien besoin.
Il est vrai que j’ai une petite gueule de bois, nous-nous retrouvons tous les quatre dans la baignoire.
Je frotte le dos, les seins et surtout la chatte de Malaurie.
Dommage étant dans l’eau il est difficile de sentir si elle mouille, mais à son regard je vois qu’elle apprécie le traitement, aussi je m’arrête avant que le niveau de la baignoire monte.
Samy pratique de même sur Ophélie.
Samy saisit le pommeau de douche et nous rince un à un.
Nous sortons et c’est Ophélie qui prend le relais pour nous essuyer.
L’odeur du café nous réunit sur la table de la salle à manger.
Nos hôtes, en un éclair, ont tapissé la table de diverses choses appétissantes.
Malaurie a apporté son sac, elle sort une poignée de billets.
• Qu’est-ce que je fais de tout cela ?
La grande se lève et apporte elle aussi une poignée de billets chèrement gagnée avec leurs fesses et en prime une frayeur carabinée.
• Si j’ai bien compté, vous avez gagné 900 francs avant que vous soyez dérangées !
Je réunis les coupures et les comptes. 500, 600, 700, 800, 900 francs.
• Tient-il me reste un billet ?
Timidement.
• C’est à moi.
• Cent francs la sucette tu en as sucé pour 400 francs.
D’une voix plus timide Malaurie répond !
• Oui mais il y en a un que ma donné 200 francs
• Comme cela pour ta jolie frimousse ?
• Non pour que j’avale !
Il m’a donné mes 100 francs avant que je le suce comme Ophélie m’a demandé de faire la première fois quand nous étions toutes les deux avec les clients.
Lorsqu’il a déchargé au lieu de tout cracher, il m’a dit « Cent de plus si tu avales. »
J’ai tendu la main, il m’a payé et j’ai avalé.
Je me suis dit, que c’était un client de moins à trouver pour Ophélie ou moi.
• Donc vous me rapportez moins de la moitié de ce que vous m’aviez promis !
Nous éclatons tous de rire et nous nous habillons, Ophélie débarrasse, nous devons hélas, nous séparer, heureux de nous être rencontrés.
Samy doit aller à son entreprise et Ophélie doit rejoindre une amie pour déjeuner.
• Cela ne me dit pas de ce que l’on fait de ces francs sur la table !
• Malaurie, garde les pour aller au restaurant avec Christophe.
Cela compensera la grande peur que vous avez eue.
Samy se propose de nous raccompagner, je décline, car je dois traverser et aller changer mes affaires chez mes parents.
• Si tu te diriges vers la mairie de Champigny, j’accepte que tu m’emmènes, je dois préparer des cours pour demain, c mon maître me fait oublier mes autres élèves.
• Si Christophe est d’accord aucun problème, je monte vers Pontault-combault.
Je quitte nos amis, non sans embrasser tendrement les deux femmes.
Elles me rendent mon baiser bien sûr plus appuyé par Malaurie.
• Soit sage !
Je prends la direction du Pont du petit Parc pour traverser et retrouver la maison de mes parents, j’ai à peine fait dix mètres qu’elle me manque déjà...
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