COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,1)
En sortant de chez Samy et Ophélie, je traverse la marne pour retourner chez mes parents.
En temps normal, le matin je parcours les quais en faisant mon jogging.
Mes chaussures m’obligent à marcher, mais d’un pas rapide la distance est courte.
Mon père dort après sa nuit lorsque j’arrive.
Ma mère est dans la cuisine et fait ses éternelles réussites du début de matinée.

• As-tu passé une bonne soirée ?
• Oui, Malaurie avait réservé une table chez gégène où nous avons rencontré un couple qui habite juste en face de l’autre côté de la marne et chez qui nous avons fini la nuit.
• Vous avez dormi chez eux !
• Dormi c’est un grand mot, nous avons dansé et nous nous sommes endormis dans les fauteuils.
• Ta copine est rentrée de son côté !
• Non, notre copain l’a raccompagné !
• Tu n’as pas peur qu’il devienne entreprenant !
• D’abord il faudrait que je sois jaloux.
Il est clair entre Malaurie sait que je pars en mars, notre couple est loin d’être fait pour durer.

J’ai beau être complice avec elle, je ne vais pas lui raconter que j’ai poussé Malaurie à se prostituer avec notre copine dans le bois de Vincennes.
Pourquoi lui dire que chez elle j’ai fini la nuit en enculant la femme que nous venions de rencontrer quelques heures plus tôt devant son mari, pendant qu’il besognait mon amie !
Maman a beau avoir un cœur gros comme cela, depuis que je suis en âge de raison, je n’ai aucun doute sur sa fidélité envers mon père.
Pour lui, depuis hier, c’est plus aléatoire, pour se rendre à son travail, il traverse le bois de Vincennes et dans ce bois, je sais ce qu’il s’y passe.
Prendrait-il la contre allée pour atterrir au pied d’un réverbère ou il se passe des choses que la morale réprouve.
Mais c’est leur affaire, à maman et à lui, j’ai assez à penser de ma relation avec Malaurie, que j’aide plus en plus de mal à envisager la coupure dans trois mois.

• Maman, je me douche et je me change, je prends quelques affaires, car il est possible que je reste dormir chez Malaurie, je te téléphonerais.
• N’oublie pas ton pyjama, je t’en ai acheté un neuf, il est dans ta commode.
• Maman, je te rappelle que je vais chez ma copine, a-t-on le temps de mettre un pyjama même neuf.
• Je suis bête, lorsque avec ton père, nous étions encore seuls, nous aimions beaucoup être nus, inutiles à ton âge de te faire un dessin comment un jour j’ai su que je t’attendais.
• Maman, votre sexualité vous regarde, sauf si par le fait du hasard, vous m’avez conçu la machine à laver en marche, il parait que cela apporte des sensations.

Nous éclatons de rire, c’est ainsi avec maman que se vit notre complicité.
Papa aurait été présent, il aurait été impossible d’avoir les mêmes centres d’intérêt, il est légèrement plus austère.

• Lorsque tu seras près, je t’emmènerais, ton père n’a pas rentré la voiture et j’ai des courses à faire.
• Je me dépêche, dix minutes et tu me déposes au pied de l’immeuble de ma maîtresse, maîtresse dans tous les sens du terme puisque papa me demande de rester à l’école jusqu’à mon incorporation.

J’aime lorsque maman me conduit, je suis gauché et lorsqu’ils ont passé leur permis ensemble, maman a découvert que c’était un gauché contrarié.
Lorsque le moniteur lui disait « à droite, » il m’était son clignotant à gauche.
Maman a demandé à ma grand-mère encore vivante à cette époque, elle a reconnu lui avoir fait prendre sa belle main.
Plus tard, j’ai compris pourquoi elle est descendue sur le paletot de ma première maîtresse d’école, celle-là, lorsque rentrant de l’école je lui ai dit qu’elle voulait que moi aussi je prenne ma belle main.

• Tu vois maman, Malaurie habite au deuxième étage de ce petit immeuble.

Je descends et je la regarde partir.
De retour dans la chambre Malaurie est dénudé, elle me dénude et m’entraîne sous la douche.
L’eau qui ruisselle sur nous me sort de ma torpeur.
Une bouche sur ma queue me revigore définitivement, elle s’est accroupie devant moi et commence à me lécher tout le long de mon membre en avalant une à une mes couilles.
J’aime de plus en plus bander à la limite de la jouissance sans jamais l’atteindre.
Je suis de plus en plus le maître de ma bite, comme je suis le maître du corps de Malaurie.
Essayez de prostituer votre petite amie, surtout prof des écoles, vous verrez si vous arrivez à ma hauteur.
Malaurie, le sait, pas moins qu’hier ou sa laisse que j’ai dans ma poche l’ayant cachée à maman, lui a labouré son si joli fessier.
J’ai vu que des hommes avaient le fantasme des pieds, moi c’est celui du cul de Malaurie.
La répétition des moments où je bande et les moments de repos augmentent ma jouissance lorsque je décide de donner à ma partenaire la totalité de mon foutre accumulée dans mes bourses.
J’atteins ce point et je relève ma belle salope.
L’eau fermée, je la laisse essuyer nos corps, elle s’attarde sur l’objet de ses envies qui repart à la hausse.
Elle m’entraîne dans la chambre, se glisse sur le lit en appuie sur les coudes, jambes impudiquement écartées, elle me tend les bras.

• Viens me baiser mon petit coq.

Fidèle à mon principe, au lieu de lui planter mon pieu, je viens à genoux à la hauteur de sa fourche.
En la regardant dans les yeux je lui caresse la fente qui me donne tellement de plaisirs.
Je martyrise son bouton qui malgré les légers pincements infligés approuve.
Je n’ai pas quitté ses yeux, elle ne cherche même pas à lutter avec moi, se souvenant de ses cuisantes défaites en classe.
Ça l’a certainement aidé dans sa reddition sans la moindre concession de ma part et entièrement acquise à mes gestes surtout lorsqu’ils lui procurent son plaisir.
Ils se troublent surtout lorsque je la pénètre avec un quatrième doigt, seul mon pouce est en dehors de sa chatte.
Je leur fais coulisser de plus en plus rapidement de plus en plus de liquide sort de la vulve de Malaurie.
D’un coup son corps ouvre les vannes, des jets sont éjectés autour de ma main, atteignant même ma figure.
Elle est trempée ainsi que les draps qui une fois de plus vont être à changer.
Mon petit chaton joui tellement intensément qu’en plus des râles de plaisir ses bras ne la soutiennent plus et elle s’écroule sur le lit.
Un temps de repos et insatiable, elle revient à la charge sur ma bite.

• Je veux que tu me prennes, ma chatte a soif de ta bite.
J’aime tellement quand tu me la mets bien profondément en moi.
• Dit-moi que tu es une salope !
• Je suis ta salope !
• Dis-moi que tu es ma pute !
• Je suis ta pute, je te l’ai prouvé hier !

Nous éclatons de rire, ça fait du bien dans ce monde de brutes, d’avoir des moments de relâchement.
Seuls les draps doivent apprécier un peu moins, à ce rythme ils vont passer leur vie dans la machine à laver.

Elle se met en levrette et me demande de venir.
Je viens derrière elle et au lieu de la saillir, je lui applique une grande claque sur son séant qui immédiatement rougi.
Seul un « Oh ! » de surprise sort de sa bouche.
La fesse droite a reçu ma visite, d’un revers, j’égalise sur la fesse gauche.
Un « Oh ! Oh ! » arrive à mes oreilles.
Je m’arrête là, plus, serais pernicieux et je tiens à rester dans une certaine mesure maîtresse de mes gestes.

• Oui, fesse-moi, j’ai été une vilaine fille qui s'est prostituée cette nuit et qui a sucé des bites pour quelques billets.
• Non, mon cœur, inutile d’insister je ne serais pas ton tortionnaire.
J’ai l’impression que j’y prends goût et toi aussi, le plaisir tue le plaisir !
• Tu n’es qu’un impuissant, tu ne veux même pas me donner du plaisir !
• Un impuissant, tu vas la sentir passer.

Sans aucune préparation préalable, je l’encule d’un seul mouvement et je la besogne comme jamais je ne me la suis farci.
Elle jouit par le cul et exprime son plaisir par des cris qui doivent réveiller les voisins en ce dimanche matin.

Nous nous écroulons et nous reprenons quelques forces, je pense bien mériter.
Nous passons l’après-midi à baisoter et à manger directement dans le lit.
Au matin ayant bien récupéré, je me réveille à cause de croûtes de pain qui ont glissé sous mon postérieur.
Je me prépare et je laisse dormir Malaurie, elle n’a cour qu’à 10 heures.
Arrivé au collège, le pion me demande d’aller chez le proviseur.
Je frappe et il me fait entrer.

• Où étiez-vous vendredi après midi ?
• Même si cela peut paraitre inexact, chez ma maîtresse, monsieur !
• Ne vous fichez pas de moi.
• Vous voyez, j’avais raison vous semblez être jaloux !

Je rêve un moment de lui dire que ma maîtresse est la prof d’anglais du collège.
Par respect pour Malaurie afin d’éviter des problèmes à celle qui m’a donné en quelques jours plus qu’une femme ne l’a fait, même Chantal, j’arrête là notre confrontation.

• Petit impertinent, pour la peine, je vous inflige trois jours de mise à pied à partir de demain.
J’en aviserais vos parents, vos professeurs et principalement votre professeur d’anglais qui est votre prof principal.
Disparaissez jusqu’à lundi !...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Les choses se corsent dans ce quatrième volet...
Vivement la suite


Cyrille



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (4,1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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