COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (1/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (1/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (1/5)
« Patricia veux-tu être ma femme ? »

Voilà la demande faite par Christophe à Patricia, Patou pour les intimes et même Pat à certains autres.
La suite promise de cette demande par tranche de 5 chapitres.
Voici les cinq premiers.

Place San Marco, Saint Marc en Français, c’est à minuit le soir de Noël que dans un brouhaha impossible, vu le peuple présent que je fais ma demande à Patou, mon petit bouchon dont je suis tombé éperdument amoureux.
Quel va être sa réponse ?
Je suis suspendu à ses lèvres, ses jolies lèvres, moi qui à part ma jolie gueule ne devrais normalement ne rien attendre de ce génie de la peinture, même si moi je n’entrave que dalle à ce qu’elle fait.
Du moins, lorsque j’emploie le mot « génie », ce sont les experts et les amateurs d’art qui le disent, ayant repéré dans cette jeune femme un talent que je suis loin de pouvoir expliquer.
Soyons franc, mon éducation familiale est loin des canons de ce qui est beau ou laid surtout en matière de peinture.
Côté féminin, je crois avoir prouvé que chaque femme, malgré sa beauté ou son âge, ne peut en rien m’arrêter.
Mon parcours depuis que j’ai baisé ma première femme en atteste, mon seul objectif est leur plaisir, c’est d’apporter la jouissance, même l’orgasme à ma partenaire du moment et cela le plus longtemps possible.
Comme l’on dit dans ma sphère familiale : « à plus que c’est long, à plus que c’est bon. »
Combien de mari, éjaculateur précoce loupe le plaisir de leur femme et se retrouve cocu avant d’avoir eu le temps de dire « ouf. »
Patou peint, Patou expose, Patou vend et vend même très cher et très souvent.
Qui suis-je pour dire le contraire moi qui en matière d’art a pour référence Tintin et Milou, 9e art tout de même, à ce que j’ai entendu à la télé.
Paris regorge de musée dont je n’ai jamais franchi la moindre porte.
Je me trompe, j’ai visité le musée des colonies, mais pour descendre aux aquariums voir les poissons.
A l’entrée, est exposé de l’art africain, est-ce suffisant pour ce dire visiteur de musée ?
Mais la petite, malgré la difficulté qu’elle a de se déplacer dans ce Paris des années 70, elle doit presque les avoir tous faite, le Louvre et la Joconde.
Tient en parlant de beauté, un jour je faisais mes devoirs la télé étant allumée, j’ai vu cette dame dans son cadre, un vrai laideron pourtant le monde entier ne tarit pas d’éloges devant elle.
Même le garage où nous habitons en ait un.
Je parle d’oeuvre d’art, surtout avec les aménagements qui ont été faits pour l’aider à vivre de sa passion pour la peinture, même si je dois avoir mon nez à hauteur de je ne sais quelle autre partie de mon corps.
Malgré son handicap, qui serait difficile même impossible de cacher, qui suis-je pour faire cette demande ?
Qu’ai-je d’exceptionnel pour lui faire cette demande ?
Passer pour un con, même un taré devant un médecin de la marine nationale pour éviter de quitter cette jolie femme, je l’ai fait sans le moindre remords.
Patou peut revendiquer une notoriété montante dans le monde de la peinture.
À son âge, elle vend déjà des toiles, même si comme je l’ai déjà dit, mon incurie du monde de la peinture la place en tête de sa génération.
À part les couleurs que j’arrive à comprendre.
Pourquoi du jaune à côté du noir créant un contraste de couleurs, mais dire que c’est moi suivant en cela le croquis qu’elle a fait, il y a un monde qui me passe au-dessus de la tête ?
Le seul exploit que l’on peut m’attribuer, c’est d’avoir fait d’elle la femme qui maintenant s’assume, même si je dois être le cocu de service.
Pour preuve, l’Orient exprès ou notre chef de cabine s’est permis des privautés avec elle, mais heureusement avec son assentiment.
Si je parle de l’avoir fait malgré son handicap, ce sera complètement inconvenant, même si avant moi, nul n’avait pris le temps de lui faire franchir cette étape.
Non, j’assume ce que j’ai ressenti lorsque je l’ai pris dans mes bras pour la porter dans son taxi devant la boutique de Christine sa marraine.
Ce qui peut faire douter de mes sentiments les pisses froids, c’est comme je l’ai aussi dit, le lieu où nous habitons, dans ce garage désaffecté ou même les douches sont toujours celles d’origine.
Il faut reconnaitre que cet espace est bien valorisé même les douches.
Elles lui permettent de se nettoyer avec assez de places pour manœuvrer son fauteuil afin que l’eau lui coule dessus comme elle le désire.
Je finirais par son lit protégé par de simples paravents.
Mais avant, je dois parler du coin repas avec cette rampe lui permettant de cuisiner en étant à la bonne hauteur pour avoir cent pour cent d’autonomie.
Suprême endroit, celui qui lui sert d’atelier où elle peint.
L’aménagement est prévu de manière qu'elle peut elle-même manier ses toiles, certaines mesurant certainement deux mètres sur trois ou quatre.
Le tout sous le regard de la voiture Rolls-Royce Phantom de 1930 véritable pièce de collection trônant en hauteur sur le pont ou des ouvriers devait faire des vidanges pendant de nombreuses années.
Ce garage bien caché dans sa ruelle, a dû connaitre les Années folles d’avant-guerre et le développement de l’automobile, mais bien loin d’être placé là ou il faut pour que les clients se bousculent.
Le lit donc, lui aussi a été aménagé pour qu’elle puisse se placer comme elle le désire, ce qui lui permet de s’empaler sur ma verge en se pendant à cette barre qui le domine.

• Oui mon amour, je suis la femme la plus heureuse au monde en cette nuit de Noël !

Sur cette place, noire de gens se sautant dans les bras, en cette nuit de Noël, je suis enclin de croire que le monde entier s’est donné rendez-vous pour entendre ma demande en mariage à ma poupée.
Mais aussi et surtout sa belle réponse.
Ai-je bien entendu, la foule est si compacte que c’est plus sur ses lèvres que dans mon oreille que je comprends sa réponse ?

Je la prends dans mes bras, elle se pend à mon cou et nous nous mettons à valser.
Le monde m’appartient, nous appartient, pourquoi entrer dans la marine nationale pour la conquérir, maman avait raison quand elle m’a tiré les cartes.

C’est sur la place San Marco à Venise que je viens de demander la main de Patricia, la femme de ma vie.
Dans mon enthousiasme, j’ai failli oublier de lui offrir la bague.
Il va de soi que je me garde bien d’ajouter « au prix qu’elle m’a couté. »
N’est-il pas dit, « lorsque l’on aime, on ne compte pas. »

L’ayant reposé dans son fauteuil, j’ai mis un genou difficilement à terre, manquant de place ayant été à deux doigts de me m’obligé à renoncer ou du moins reporter ma demande.
Mais je suis pugnace et repoussant gentiment certains de ces fêtards, j’y suis arrivé.
Je lui montre la bague que j’ai achetée à Paris et que j’avais sur moi depuis notre départ par l’Orient express.
Je la sors de son écrin et la présente à son doigt.
Le moment crucial et tant attendu arrive qui confirmera que ces lèvres ont prononcé le mot fatidique « oui. ».
Elle me tend l’annulaire de sa main gauche.
Je lui passe ce joli bijou qui vient en une seconde de nous unir, j’en suis sûr pour toujours.
D’un seul coup, je prends conscience qu’autour de nous, les gens applaudissent et les flashs crépitent.
Je soulève de nouveau ma fiancée dans mes bras et nous recommençons à valser sur une musique que nous sommes les seules à entendre.
Combien de temps, restons-nous les yeux dans les yeux ?
Combien de temps, je la porte sans sentir la fatigue ?
Combien de temps, me donne-t-elle ses lèvres dans un baiser montrant la profondeur de notre amour ?

Lorsque j’arrive à retrouver son fauteuil, je la repose.
Des dizaines de personnes inconnues viennent nous féliciter et nous embrasser.
À un moment la personne qui m’embrasse ne m’est pas étrangère.
Surtout le parfum me rappelle celle qui à Paris porte le même.
Christine est là.
Elle saute au cou de sa filleule qui est comme moi fort étonné de la voir.

• Félicitation mes enfants, tous mes vœux de bonheur !
• Comment êtes-vous là ?
• Je savais que Christophe avait décidé de te faire sa demande en mariage.
Il m’était impossible de louper ce moment.
Je suis arrivée en début d’après-midi par avion, mais loin d’être seul, Christophe regarde qui est là.

Christine s’écarte et celles que je vois, me fait monter mes larmes aux yeux, Mona-Lisa, Jacqueline et Christophe bis.

• J’espère que tu es content Christophe, une petite partie de ton petit monde est autour de vous pour ce grand moment de votre jeune vie.
Je voulais te faire la surprise ce soir, mais je n’ai pas pu joindre Mona Lisa.
Vous étiez partie en gondole avec elle et j’ai su tardivement que nous avions assez de place dans cet avion qui nous a amenés à l’heure.

Mon petit monde, non pas tout à fait, il manque maman, fidèle à ce qu’elle ait depuis la mort de papa et son installation chez Iris.
Ce sont deux autres femmes de ma vie sans compter Chantal et Malaurie, que font-elles dans cette nuit de Noël !
Fouettent-elles des adeptes de la soumission où Chantal hors des heures de leur horaire de travail, soumet-elle ma petite prof d’anglais, j’ai bien réussi facilement de le faire ?

• Je dois vous avouer que Mona Lisa était mes yeux pour que tout se passe bien pendant votre séjour.
C’est une amie que j’ai rencontrée lors de mon premier passage dans votre hôtel et qui était le mien lorsque je suis venue.
Je n’aurais pour rien au monde manqué ce moment si important dans ta vie mon cœur et mes amours !

Les deux femmes sont dans les bras l’une de l’autre et pleurent à chaude l’arme.
À ce moment-là, une autre surprise.

• Félicitation vieux frère, tu aurais pu me mettre au parfum.
• J’avais peur de faire une erreur avec ma Patou, à part Christine personne n’était au courant.

Jacqueline qui est pendue à son bras m’embrasse chastement.
Suivi de Mona Lisa qui est là aussi.
Tous embrassent ma fiancée et nous prenons le chemin de notre hôtel pour boire une bouteille de champagne bien français.
C’est dans notre salon, que je sers les verres.
Sauf Pat à qui je refuse le droit de boire, j’accepte tous juste, qu’elle trempe ses lèvres dans le mien.
Certains diront que je fais déjà preuve d’autorité avec ma belle fiancée, une fois déjà j’ai pu constater les ravages que l’alcool faisait sur elle…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Très belle reprise toujours aussi agréable à lire .Merci Chris 71
Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (1/5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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