COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (10/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (10/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (10/10)
• Non, c’est impossible !
• J’avais bien dit à monsieur Léon que de mettre cette poulie récupérée avec 30 % de remise, ça allait nous attirer des ennuis.

Cette phrase prononcée par Red alors que Patou git dans l’eau, son sang remplissant la piscine, me passe au-dessus de ma propre tête, il faut agir et vite sinon je la perds et si c’était le cas j’en mourrais.

• Les pompiers, venez vite ma chérie se vide de son sang.

Heureusement que j’ai dû chercher le téléphone dans ce capharnaüm de meubles recouvert de drap dans le garage il y a quelques jours.
Je voulais appeler maman pour reporter leurs venues avec Iris pour visiter dans l’état où le garage se trouve.
J’ai suivi la prise derrière le pont ou se trouve la Rolls et je sais ou il se cache.
J’y cours directement, je soulève le drap.
Deuxièmement, le modernisme est en marche sur bien des points, chez la voisine avant que nous ayons nous-mêmes un combiné, il nous fallait tourner un cadran pour composer nos numéros et avoir nos correspondants.
Ce cadran avait des trous où je plaçais l’un de mes doigts et qui me permettait d’atteindre mon correspondant, souvent mon doigt glissait et il fallait recommencer.
Ce jour-là, je découvrais des touches à enfoncer, je passerais la couleur grise pour les modèles anciens, crème ou bruns pour la nouvelle génération.
Un dernier point en ma faveur, là où j’avais trouvé le téléphone, sur le mur, une pancarte avec le numéro des pompiers à composer.
Patou aidé de Christine, lorsqu’elle a fait transformer ce garage en atelier de vie et de peinture a laissé cette pancarte qui devait servir aux mécaniciens en cas du moindre problème.
Par chance, donc, sachant déjà tout ça, je compose le numéro gagnant un temps précieux afin que la piscine déborde du sang de ma petite.
Je sais, je plaisante dans ces moments de grande tension où la moindre seconde compte, mais c’est ma façon d’éviter d’éclater en sanglots de peur de perdre Patou.

Combien de temps avant qu’ils arrivent, sorte Patricia de son enchevêtrement de câbles et palan ?
Je l’ignore une fois les pompiers appelés, j’ai sauté dans l’eau afin de lui maintenir sa tête ensanglantée hors de l’eau.
Red m’a jeté mon polo afin que j’appuie sur sa plaie espérant arrêter l’hémorragie.
Ces yeux sont fermés, la peur me monte au ventre de la perdre tellement ça coule.

• Lionel, Hugo, sortez là de l’eau que j’intervienne la jeune femme est en état de choc.
Monsieur laissez faire mes hommes, sortez-vous aussi et couvrez-vous !

Et ta sœur, elle bat le beurre…
On connaît la suite, mais si je pense à battre autre chose, je me tais et je laisse faire les pompiers.
Le médecin accompagnant les pompiers et qui m’a donné ses ordres la prend avec son équipe en charge, l’allongeant sur un brancard et nous emmenant dans l’ambulance vers l’hôpital le plus proche.
Lorsque nous y arrivons, elle est toujours dans le coma.

• Christine, c’est Christophe, Pat a eu un accident dans la piscine, nous sommes à l’hôpital Cauchin !
Lorsque les pompiers l’ont laissé au personnel soignant, elle était toujours inconsciente avec une plaie à la tête.

Temps d’attente, Christine arrive courant dans le hall de l’hôpital et me rejoignant.
Je passe le flot de questions qu’elle me pose, je n’en entends pas la moitié, mais je pense qu’elle veut tout savoir en même temps.
Ou, comment, pourquoi et encore comment.
Bref, je lui passe l’épisode sur le lit matelas du lit en rotin avec Red, même si les pompiers l’ont transféré au service médical, nu comme un ver.
Je parle simplement d’essai du siège pour la porter dans l’eau qui aurait cédé sous son poids, je ne sais où, au moment où elle passait le mur en béton de la piscine.
Red est resté pour fermer ignorant qu’avec ma petite nous étions là.
Du moins au départ elle était là sans savoir que je dormais dans la voiture.

• Monsieur, madame, tout va pour le mieux après ce que les pompiers m’ont parlé de ce qu’ils avaient constaté.
La demoiselle est encore dans le coma, nous pensons qu’elle en sortira dans les heures prochaines, du moins le médecin le pense.
Elle a eu de la chance, sa tête a frappé sur la partie haute, ça saigne toujours beaucoup à cet endroit ce qui est impressionnant pour de néofites comme vous.
Vous pouvez attendre, qu’elle se réveille, mais elle va devoir subir des contrôles supplémentaires suite à son accident il y a quelques années, nous allons faire des examens plus approfondis.

Que faire, je décide de rester au moins jusqu’au lendemain matin ?
Christine doit s’occuper de diverses dispositions dont j’ignore la teneure !
Je lui ai rapporté les propos de Red sur une poulie ayant cédé et l’employé de monsieur Léon étant resté seul.
Des heures, des heures en position assise sur une chaise dans le hall d’entrer.
Des heures en buvant du café offert par Maggy, c’est le nom de l’infirmière aux yeux bleus ayant pris pitié de moi.

• Monsieur Christophe, vous pouvez entrer vous reposer, votre amie n’a pas encore repris connaissance et je vous promets de vous appeler au numéro que vous nous avez donné s’il y a une évolution de l’état de votre fiancé.

Je décide de prendre un bus et de m’en retourner vers le garage.
Lorsque j’arrive, tout le long du trajet je sais ce que je vais faire, j’ai fait une connerie en pensant cette piscine qui aurait pu être fatale à Patou.
Par chance, Christine est au téléphone, elle me fait un signe qui dans mon état je ne comprends pas.
J’entre dans une remise ou je sais pouvoir trouver ce qui va m’être nécessaire et j’en ressors avec une grosse masse.

• Sans problème, nous vous attendons dans deux heures, nous laissons tout en l’état !
Christophe, que fais-tu avec ce gros marteau !
• Je vais démolir cette piscine que je n’aurais jamais dû te demander de construire, Patou va peut-être y rester.
• Pose-moi ça tout de suite, je vais d’avoir l’assureur, après l’accident et la découverte du talent de ma filleule, j’ai pris une assurance accident et décès.
• Ils sont prêts à payer, mais ils veulent voir les circonstances ou l’accident à ou lieu.
Je leur avais signalé l’ouverture des travaux, ils sont étonnés lorsque j’ai parlé de ce que tu m’as dit, concernant une poulie achetée au rabais et ayant cédé.

Pendant qu’elle me parle, je pose la masse et je m’approche d’elle.
C’est littéralement dans mes bras qu’elle tombe en sanglotant.

• Christophe, tu vas me trouver ignoble, mais baise-moi, je crois que je vais faire une crise de nerfs.
Serait-il possible que je revive ce que j’ai vécu à la mort de mon frère et de l’accident de ma petite chérie ?
Je ne le supporterais pas.

On va me prendre moi aussi pour un garçon ignoble, mais moi aussi je suis au bout du rouleau et ce n’est pas comme si je baisais Christine pour la première fois.
Sa main cherchant ma queue, la trouve ce qui me fait bander comme un malade.
Elle s’agenouille et comment résister à sa jolie bouche, c’est bien au fond de la gorge que je prends conscience de ce que nous faisons.
Christine se relève et veut me tirer vers le lit de jardin ou avec Red nous avons baisé Pat en double péné.
Je sens que je vais débander irrémédiablement si je fais ça sur ce lit de rotin.

Je la prends dans mes bras, je l’assieds sur la table, je lui relève sa jupe, dans le même mouvement je lui arrache son morceau de tissu et je la plante littéralement comme un cheval en rut le ferait.
Baise animale ou baise de survie, mais plutôt baise de maintien en vie comme pour l’un comme pour l’autre.
Les cris emplissant le garage me montrent le niveau de stress sir nous avons atteint.
Ma bouche se pose sur son sein après que j’ai littéralement arraché chemisier et soustient nibars.
Je mords littéralement sa fraise, me maitrisant quand je sens que je risque de le sectionner.
J’en ai envoyé déjà une à l’hôpital se vidant de son sang, je me vois mal rappeler les services d’urgence finissant par passer pour un vampire assoiffé de sang.

• Oui, Christophe, défonce-moi, sinon je vais devenir folle.

Folle, elle l’est déjà, je sens qu’elle en veut plus, je la retourne lui faisant reposer ses jambes au sol, et d’une seule poussée, je l’encule sans la moindre précaution.
Bestialement, c’est bestialement que je la sodomise, sans plus de retenue.
Je sens qu’au Fouquet’s lors de mon examen de passage, je l’avais impressionné, là sur ses tables ses seins posés dessus, le sommet du plaisir qu’elle semble atteindre dépasse tous les entendements.
Christine est une salope et a fait de moi un soudard, je me soulage les couilles, hurlant à l’unisson mon plaisir autant que le sien.

• Christophe, je m’excuse d’avoir abusé de toi, j’en avais réellement besoin, je vais retourner à la maison me changer.
Mes sous-vêtements n’ont pas résisté à notre folie, tu resteras pour moi un beau moment de ma vie, pour le bien de Patou.
Lorsqu’elle reviendra parmi nous, nous oublierons ce moment de plaisir réciproque, du moins je le crois, nous nous tenons au courant.

Je serais le soudard que certains ou certaines doivent penser, je dirais.
« Une de perdue, dix de retrouvée » mais malgré que je comprends que ce sera la dernière fois que j’aurais à ma disposition son petit cul, je me dirige de mon côté sous la douche pour finir de refroidir mes ardeurs.

J’entends la porte grincer une première fois, il faudra que je la graisse dès que j’aurais cinq minutes.
Dans le local où j’ai trouvé la masse, qu’il va falloir que je range, Christine m’ayant convaincu de laisser tout en place, il y a des boîtes de graisse qui feront largement l’affaire.

L’eau me coule dessus, lorsqu’à nouveau j’entends la porte grincer, comme le dit la chanson.
« Qui vient dîner ce soir ? »…

Certes, c’est en 1973 que Claude François à chanter « je viens dîner ce soir. »
J’ai déjà démontré que je dois avoir des dons visionnaires en ce mois de janvier 1968.
Qui vient ?
Quelques petites histoires et nous saurons, qui vient me rencontrer sous ma douche alors que je suis nu ?
Christine aurait-elle des goûts de « Revenez y ? »

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Histoire sexe : Une rose rouge
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