COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (16/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (16/18)
Je viens une deuxième fois de prendre Vanille afin de la féconder afin qu’avec son mari, ils aient une descendance et ceci dans la chambre d’hôpital de mon bébé d’amour que j’ai été à deux doigts de tuer.
En effet, j’ai voulu lui faire une surprise pendant notre voyage à Venise par l’Orient Exprès en lui faisant construire une piscine dans la partie de son garage et atelier où elle peint ses magnifiques toiles.
Ceci même si je n’y connais rien en voyant mon nez qu’elle me met à la place de l’œil.
Le problème a été le système que j’avais imaginé pour permettre à une personne à mobilité réduite de pouvoir se baigner en entrant seule dans l’eau.
• Ma chérie, tu m’as fait jouir divinement en me léchant la chatte.
J’ai une dernière requête à ta faire !
Christophe m’a dit que vous en êtes arrivé à chercher un père fécondeur, car vous êtes très croyant.
Le divorce pour vous représenterait comme un tsunami avec vos parents réunionnais !
Je me trompe ou suis-je dans le vrai ?
• Oui, nous sommes très croyants, à la limite du fanatisme, mais je crois comprendre ce que vous souhaitez !
• Non, pas « vous, » mais tu.
Nous sommes liées maintenant et j’aimerais que Christophe et moi soyons les parrains et marraines de notre enfant.
Petite chérie, j’ignore si un jour Christophe pourra m’offrir un enfant, comme tu le constates, je suis clouée sur ce lit et c’est moi qui suis le problème.
Je sens plein de nostalgie dans les propos de ma petite chérie, je remonte ma culotte mettant celle de Vanille dans ma poche et j’embrasse celle qui vient de me montrer une si grande preuve d’amour.
Je suis indécrottable, ma main glisse le long de son corps et je lui caresse la chatte dénudée bien mouillée après le passage de la langue de Vanille.
Je sens que je rebande, près d’être à deux doigts de remonter sur son lit pour la planter à nouveau.
Vanille nous fait un petit geste de la main.
• J’ai une dernière demande à vous faire !
Est-ce que je peux prendre l’un de ces pompons de marins ?
J’ignore pourquoi ils sont dans ta chambre Patou, mais tout ce que je sais c’est qu’ils portent bonheur à ceux qui en ont un sur eux.
Ma sœur en a eu un à la Réunion, un bateau de la marine de guerre passant par notre île.
À bord du bateau « Jeanne d’Arc, » il y avait un bel élève officier.
Elle lui a fait visiter notre île, sans rentrer dans les détails, je n’étais pas présente, mais à ce qu’elle m’en a dit, ils ont passé des moments de rêves ensemble.
Je sens l’arnaque, pas pour le pompon, je sais ou je peux demander pour m’approvisionner.
Mais prenant la décision de rentrer dans la marine, justement à la vue du pompon de mon pote d’école.
J’ai pris des rancards des voyages que les marins font et le navire école « Jeanne d’Arc » est un porte-hélicoptère qui emmène à travers le monde des officiers et non pas des hommes d’équipage, ces officiers portant une casquette et non un bachi.
Ice mec a dû récupérer un pompon, pour frimer devant les filles comme moi je frime en en offrant à celle que je séduis.
Patou n’a pas fait exception à la règle, bien que ma queue m’ait grandement aidé à la séduire en la faisant devenir femme.
Vanille s’éclipse son pompon en main en s’en retourant à ses listes de dépense et à ses équilibres financiers qui m’ont permis de baiser avec cet oiseau des îles, même si au départ c’était devant Noa son mari.
Qui l’eût cru lorsque je l’ai croisé à l’arrêt de bus recroquevillé dans son manteau transi par le froid sous cette neige qui commençait à tomber.
Pouvais-je imaginer que quelques minutes après, je serais l’étalon qui la prendrait pour faire d’elle et de lui, une femme comblée ?
Et comment maintenant, Patou me demandant de mettre le couvert pour que notre petite gousse de Vanille, s’épanouisse pleinement dans la maternité, du moins je l’espère puisque ma femme me le permet ?
• Christophe, j’ai quelque chose à te dire, avant la venue de mon médecin et du kiné.
Mon coup à la tête a dû me rendre amnésique, mais combien de bâtard vas-tu faire à ta reine comme les rois le faisaient avec que l’on décide, nous le peuple de te couper la tête !
Je sais de quoi, parle Patou, car chaque année l’on fête le 14 Juillet, la prise de la Bastille et des bals à la même date.
• En quoi ta mémoire t’est-elle revenue, explique-moi ?
• Chantal et Malaurie, ça te dit quelque chose !
• Oui, ce sont mes amies et aussi les tiennes.
D’ailleurs c’est un peu de leur faute si tu te retrouves dans cette chambre d’hôpital avec un turban comme les Hindous autour de ta tête.
Tu étais dans leur baignoir où je t’ai vu barboter.
Ça a fait germer l’idée de te construire une piscine dans le bas de ton atelier.
Le petit jardin et l’espace disponible, Christine m’a dit que tu t’y rendais rarement tellement tu aimais être dans ton espace peinture à confectionner tes œuvres.
Mon Dieu, que je suis bête, tu as raison, j’avais oublié que tu avais donné ton accord pour que je sois le père de leurs enfants.
Je devais aller les honorer après notre retour de Venise.
Deux femmes entre elles, on n’en a jamais vu avoir des enfants.
Tu as accepté que je leur offre mon sperme car elles veulent que ce soit moi le père et toi la marraine.
On pourrait croire que la vie est dure !
Quel choix cornélien, si choix il y a !
Patou, elle a accepté de devenir mon épouse et qui dit épouse, il y a de fortes chances qu’il y ait enfants.
Moi je le souhaite, Patou aussi, elle a évoqué cette possibilité avec Vanille, sachant qu’elle risque d’avoir des déconvenues après son accident de jeunesse ayant hélas emporté son papa.
Je viens de perdre le mien, mais je suis majeur et depuis peux vacciner.
Elle était encore enfant et il a dû être très dur de comprendre que celui qui vous a élevé et chéri depuis votre naissance, vous ne le reverrez jamais plus au grand jamais.
La surprise permet de surpasser le malaise que vous avez créé sans pour autant le vouloir.
Je pratique cette sorte de surprise.
• Patricia chérie, embrasse-moi, ça me donnera du courage pour prononcer ces mots que je prononce dans ma tête même si j’ai honoré une autre femme.
Patricia chérie, veux-tu que nous arrêtions la date de notre mariage ?
Les mots sont lâchés, seront-ils portés par le vent qui souffle au-dehors la tempête de neige redoublant d’intensité.
Depuis que j’ai pris ma décision de rentrer dans la marine, c’est la deuxième fois et chaque fois avec une décision qui est liée à mon amour, que je tremble sur mes jambes.
Qui suis-je lorsque l’on regarde bien ma vie d’avant et maintenant ma vie de maintenant.
• Chérie, j’aurais bien voulu que nous devenions mari et femme pour la date où tu devais me quitter pour recevoir ce pompon, entre parentaise que je me fais piquer chaque fois que l’on vient dans ma chambre.
• Mais je vais te demander d’être patient, le docteur doit passer et j’espère que ce que Maggi a constaté lorsque nous faisions l’amour.
Il semblerait que j’aurais décollé mes jambes vers ta taille est vraie, je serais heureuse d’être ta femme debout sur mes deux jambes.
• Je comprends mon cœur, sais-tu à quelle heure il passe, je pourrais l’attendre et voir ce qu’il en ait.
• Je t’aime, tu viens encore de me le prouver.
Même si je n’ai pas d’enfants, tu auras fait tellement de bâtards que l’argent que je gagne avec mes toiles, ne suffira pas pour leur faire à tous des cadeaux.
J’ai bien une idée, je pourrais me vendre et gagner de l’argent comme péripatéticienne, pute si tu préfères, il y aura bien des P4 comme toi pour baiser une femme clouée sur son lit.
Tu leur passeras le pouf pour qu’il me prenne en levrette, ça les émoustillera et ils déchargeront plus vite, je pourrais faire entre le client suivant juste le temps de me laver la chatte dans les douches de mon garage.
Je cherche, que puis-je lui balancer pour la faire taire de cette ignominie.
Je préfèrerais faire le gigolo à temps plein avec des vieilles et même des très très vieilles que de voir ma petite chérie se prostituer pour gagner notre pitance.
Je sais, on va me dire que c’est facile de dire cela avec les beaux billets quelle gagne avec la vente de ses toiles.
Je dois dire, pour ma défense, que même si par l’intermédiaire de Christine, ça bague, c’est elle qui me fait crédit !
Et que dire de la piscine où le moindre franc ne sortira de ma poche, j’ignore à combien elle se monte.
Il y a peu, le facteur ayant déposé le courrier, je l’ai apporté à Patou qui lavait ses pinceaux méticuleusement, comme toute pro le fait avec ses outils de travail.
J’ai joué au foot pendant six mois, j’étais allé acheter des chaussures à crampons avec papa, persuadé que je deviendrais pro.
Quel jeune, chaussant ce genre de chaussures, même si la télé retransmettant ce genre d’événements est rare.
La chaine n°1, les matchs de l’équipe de France, Gondet, Eon, De Michel les héros de cette année 67/
Enfin ces derniers jours, l’accident de Patou m’a fait oublier que demain c’est la nuit de la Saint Sylvestre et le passage à 1968.
Pour le championnat, il y a les rares émissions de sport sur les 3 chaines qui sont à notre disposition à la télé.
Mais, je m’étale, à côté de son lit, sur le fauteuil où ils la lèvent pour qu’elle se repose de son lit, il y a un coussin que je lui balance à la figure.
Dans la fraction de seconde, je pense à la connerie que je viens de faire, elle a un turban à cause de la chute qu’elle a faite, entièrement de ma faute.
Le coin du coussin vient exactement frapper là où il y a la plaie, heureusement recouvert d’un bandeau.
• Assassin, venez à mon secours, ce garçon a failli avoir ma peau, une première fois avec sa bizarre idée de piscine, il vient de récidiver, enfermez-le, c’est un malade !
• Que vous arrive-t-il Patou, vous avez un souci !
Je vous ai entendu depuis la salle des infirmières où nous buvions le café en attendant le médecin…
En effet, j’ai voulu lui faire une surprise pendant notre voyage à Venise par l’Orient Exprès en lui faisant construire une piscine dans la partie de son garage et atelier où elle peint ses magnifiques toiles.
Ceci même si je n’y connais rien en voyant mon nez qu’elle me met à la place de l’œil.
Le problème a été le système que j’avais imaginé pour permettre à une personne à mobilité réduite de pouvoir se baigner en entrant seule dans l’eau.
• Ma chérie, tu m’as fait jouir divinement en me léchant la chatte.
J’ai une dernière requête à ta faire !
Christophe m’a dit que vous en êtes arrivé à chercher un père fécondeur, car vous êtes très croyant.
Le divorce pour vous représenterait comme un tsunami avec vos parents réunionnais !
Je me trompe ou suis-je dans le vrai ?
• Oui, nous sommes très croyants, à la limite du fanatisme, mais je crois comprendre ce que vous souhaitez !
• Non, pas « vous, » mais tu.
Nous sommes liées maintenant et j’aimerais que Christophe et moi soyons les parrains et marraines de notre enfant.
Petite chérie, j’ignore si un jour Christophe pourra m’offrir un enfant, comme tu le constates, je suis clouée sur ce lit et c’est moi qui suis le problème.
Je sens plein de nostalgie dans les propos de ma petite chérie, je remonte ma culotte mettant celle de Vanille dans ma poche et j’embrasse celle qui vient de me montrer une si grande preuve d’amour.
Je suis indécrottable, ma main glisse le long de son corps et je lui caresse la chatte dénudée bien mouillée après le passage de la langue de Vanille.
Je sens que je rebande, près d’être à deux doigts de remonter sur son lit pour la planter à nouveau.
Vanille nous fait un petit geste de la main.
• J’ai une dernière demande à vous faire !
Est-ce que je peux prendre l’un de ces pompons de marins ?
J’ignore pourquoi ils sont dans ta chambre Patou, mais tout ce que je sais c’est qu’ils portent bonheur à ceux qui en ont un sur eux.
Ma sœur en a eu un à la Réunion, un bateau de la marine de guerre passant par notre île.
À bord du bateau « Jeanne d’Arc, » il y avait un bel élève officier.
Elle lui a fait visiter notre île, sans rentrer dans les détails, je n’étais pas présente, mais à ce qu’elle m’en a dit, ils ont passé des moments de rêves ensemble.
Je sens l’arnaque, pas pour le pompon, je sais ou je peux demander pour m’approvisionner.
Mais prenant la décision de rentrer dans la marine, justement à la vue du pompon de mon pote d’école.
J’ai pris des rancards des voyages que les marins font et le navire école « Jeanne d’Arc » est un porte-hélicoptère qui emmène à travers le monde des officiers et non pas des hommes d’équipage, ces officiers portant une casquette et non un bachi.
Ice mec a dû récupérer un pompon, pour frimer devant les filles comme moi je frime en en offrant à celle que je séduis.
Patou n’a pas fait exception à la règle, bien que ma queue m’ait grandement aidé à la séduire en la faisant devenir femme.
Vanille s’éclipse son pompon en main en s’en retourant à ses listes de dépense et à ses équilibres financiers qui m’ont permis de baiser avec cet oiseau des îles, même si au départ c’était devant Noa son mari.
Qui l’eût cru lorsque je l’ai croisé à l’arrêt de bus recroquevillé dans son manteau transi par le froid sous cette neige qui commençait à tomber.
Pouvais-je imaginer que quelques minutes après, je serais l’étalon qui la prendrait pour faire d’elle et de lui, une femme comblée ?
Et comment maintenant, Patou me demandant de mettre le couvert pour que notre petite gousse de Vanille, s’épanouisse pleinement dans la maternité, du moins je l’espère puisque ma femme me le permet ?
• Christophe, j’ai quelque chose à te dire, avant la venue de mon médecin et du kiné.
Mon coup à la tête a dû me rendre amnésique, mais combien de bâtard vas-tu faire à ta reine comme les rois le faisaient avec que l’on décide, nous le peuple de te couper la tête !
Je sais de quoi, parle Patou, car chaque année l’on fête le 14 Juillet, la prise de la Bastille et des bals à la même date.
• En quoi ta mémoire t’est-elle revenue, explique-moi ?
• Chantal et Malaurie, ça te dit quelque chose !
• Oui, ce sont mes amies et aussi les tiennes.
D’ailleurs c’est un peu de leur faute si tu te retrouves dans cette chambre d’hôpital avec un turban comme les Hindous autour de ta tête.
Tu étais dans leur baignoir où je t’ai vu barboter.
Ça a fait germer l’idée de te construire une piscine dans le bas de ton atelier.
Le petit jardin et l’espace disponible, Christine m’a dit que tu t’y rendais rarement tellement tu aimais être dans ton espace peinture à confectionner tes œuvres.
Mon Dieu, que je suis bête, tu as raison, j’avais oublié que tu avais donné ton accord pour que je sois le père de leurs enfants.
Je devais aller les honorer après notre retour de Venise.
Deux femmes entre elles, on n’en a jamais vu avoir des enfants.
Tu as accepté que je leur offre mon sperme car elles veulent que ce soit moi le père et toi la marraine.
On pourrait croire que la vie est dure !
Quel choix cornélien, si choix il y a !
Patou, elle a accepté de devenir mon épouse et qui dit épouse, il y a de fortes chances qu’il y ait enfants.
Moi je le souhaite, Patou aussi, elle a évoqué cette possibilité avec Vanille, sachant qu’elle risque d’avoir des déconvenues après son accident de jeunesse ayant hélas emporté son papa.
Je viens de perdre le mien, mais je suis majeur et depuis peux vacciner.
Elle était encore enfant et il a dû être très dur de comprendre que celui qui vous a élevé et chéri depuis votre naissance, vous ne le reverrez jamais plus au grand jamais.
La surprise permet de surpasser le malaise que vous avez créé sans pour autant le vouloir.
Je pratique cette sorte de surprise.
• Patricia chérie, embrasse-moi, ça me donnera du courage pour prononcer ces mots que je prononce dans ma tête même si j’ai honoré une autre femme.
Patricia chérie, veux-tu que nous arrêtions la date de notre mariage ?
Les mots sont lâchés, seront-ils portés par le vent qui souffle au-dehors la tempête de neige redoublant d’intensité.
Depuis que j’ai pris ma décision de rentrer dans la marine, c’est la deuxième fois et chaque fois avec une décision qui est liée à mon amour, que je tremble sur mes jambes.
Qui suis-je lorsque l’on regarde bien ma vie d’avant et maintenant ma vie de maintenant.
• Chérie, j’aurais bien voulu que nous devenions mari et femme pour la date où tu devais me quitter pour recevoir ce pompon, entre parentaise que je me fais piquer chaque fois que l’on vient dans ma chambre.
• Mais je vais te demander d’être patient, le docteur doit passer et j’espère que ce que Maggi a constaté lorsque nous faisions l’amour.
Il semblerait que j’aurais décollé mes jambes vers ta taille est vraie, je serais heureuse d’être ta femme debout sur mes deux jambes.
• Je comprends mon cœur, sais-tu à quelle heure il passe, je pourrais l’attendre et voir ce qu’il en ait.
• Je t’aime, tu viens encore de me le prouver.
Même si je n’ai pas d’enfants, tu auras fait tellement de bâtards que l’argent que je gagne avec mes toiles, ne suffira pas pour leur faire à tous des cadeaux.
J’ai bien une idée, je pourrais me vendre et gagner de l’argent comme péripatéticienne, pute si tu préfères, il y aura bien des P4 comme toi pour baiser une femme clouée sur son lit.
Tu leur passeras le pouf pour qu’il me prenne en levrette, ça les émoustillera et ils déchargeront plus vite, je pourrais faire entre le client suivant juste le temps de me laver la chatte dans les douches de mon garage.
Je cherche, que puis-je lui balancer pour la faire taire de cette ignominie.
Je préfèrerais faire le gigolo à temps plein avec des vieilles et même des très très vieilles que de voir ma petite chérie se prostituer pour gagner notre pitance.
Je sais, on va me dire que c’est facile de dire cela avec les beaux billets quelle gagne avec la vente de ses toiles.
Je dois dire, pour ma défense, que même si par l’intermédiaire de Christine, ça bague, c’est elle qui me fait crédit !
Et que dire de la piscine où le moindre franc ne sortira de ma poche, j’ignore à combien elle se monte.
Il y a peu, le facteur ayant déposé le courrier, je l’ai apporté à Patou qui lavait ses pinceaux méticuleusement, comme toute pro le fait avec ses outils de travail.
J’ai joué au foot pendant six mois, j’étais allé acheter des chaussures à crampons avec papa, persuadé que je deviendrais pro.
Quel jeune, chaussant ce genre de chaussures, même si la télé retransmettant ce genre d’événements est rare.
La chaine n°1, les matchs de l’équipe de France, Gondet, Eon, De Michel les héros de cette année 67/
Enfin ces derniers jours, l’accident de Patou m’a fait oublier que demain c’est la nuit de la Saint Sylvestre et le passage à 1968.
Pour le championnat, il y a les rares émissions de sport sur les 3 chaines qui sont à notre disposition à la télé.
Mais, je m’étale, à côté de son lit, sur le fauteuil où ils la lèvent pour qu’elle se repose de son lit, il y a un coussin que je lui balance à la figure.
Dans la fraction de seconde, je pense à la connerie que je viens de faire, elle a un turban à cause de la chute qu’elle a faite, entièrement de ma faute.
Le coin du coussin vient exactement frapper là où il y a la plaie, heureusement recouvert d’un bandeau.
• Assassin, venez à mon secours, ce garçon a failli avoir ma peau, une première fois avec sa bizarre idée de piscine, il vient de récidiver, enfermez-le, c’est un malade !
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