COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (18/18)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (18/18)
Eh oui, je me cultive, l’armée, du moins un médecin de la marine nationale m’a classifié P4.
Je sais le sens général de ce terme, mais je regarde « Petit Robert » pour avoir l’avis de cette bible de l’intelligence fraichement sortie des presses d’une maison d’édition.
Chez ma grand-mère, que je n’ai que très peu connue, elle est décédée, j’avais juste 8 ans, elle s’était fait avoir par un colporteur qui lui avait vendu une encyclopédie en X volume.
Il y en avait un grand nombre sur le meuble de la salle à manger.
Je me souviens bien, ils tenaient debout coincés par des serre-livres en faux marbre, j’en ai su le nom, le « stup » je crois.
C’était des sortes de dragons avec la langue sortant de leur bouche qui me faisait flipper.
J’aurais pu m’instruire faisant de moi un autre homme que celui que je pense être, mais je n’ai jamais osé m’en approcher à moins de deux ou trois mètres.
À sa mort, ils ont été dispersés ou bien récoltés par l’une des personnes de notre famille et je n’en ai jamais plus entendu parler, ainsi que les dragons.
Heureusement, le Robert même petit, semble condenser toutes ses connaissances, un peu comme le Formica.
Ça s’appelle le modernisme et j’espère être un homme moderne, tourner vers l’amour de celle qui m’a dit « oui » mais pas encore pour la vie.
« L'auteur suggère qu'il a consulté ce dictionnaire pour interpréter ou confirmer ce que signifie « P4 », prêtant à cette classification une connotation imagée et exagérée.
Ce jeu de langage illustre une appropriation personnelle et décalée d'un terme institutionnel sérieux, créant un contraste entre les réalités du lexique militaire et la manière dont il est perçu dans une narration plus intime ou dramatique. »
(Je dois être franc, écrire une histoire en 2025 alors que l’action se passe maintenant depuis quelques heures en 1968, ça oblige à des manipulations intellectuelles.
Ces quelques lignes écrites entre guillemets ont été écrites avec une intelligence artificielle, que certains avaient peut-être prédite en leur temps, mais ce sont certainement les mêmes qui pressentaient qu’en 2000 les taxis voleraient.
25 ans après on en parle de nouveau, avec la solution pour éviter des catastrophes gigantesques dans le ciel parisien.
La vérité sur ces lignes entre guillemets, n’aimant pas tricher.
Que dis-je à la petite jeune femme de l’accueil, non, je vous vois venir, ma queue se met-elle à frétiller devant ce petit bijou de fille, certainement vietnamien ou autre pays d’Asie ?
• Je vois que tu bloques sur ce « P4, » Ingrid.
En langage militaire ça veut dire complètement zinzin.
• Merci de ce compliment ma chérie, je n’en attendais pas moins de toi.
• Ingrid, finissez votre coupe et retournée à votre poste, je passerais vous voir tout à l’heure.
La manière dont Maggy prononce ces mots étant pleins de sous-entendus.
Pat m’a dit qu’elle l’avait aidé à lui donner du plaisir, nul doute que si le temps lui permet dans ce service d’urgence, elle saura lever ces sous-entendus.
• Quant à vous, mes amis, disparaissez, avec Sonia je m’occupe de ramener Patricia à sa chambre, je suis assez forte pour la mettre dans ce fauteuil roulant.
Avec Christine, nous embrassons tout le monde, moi, surtout Patou qu’une nouvelle fois nous allons quitter jusqu’à demain en début d’après-midi.
Le magasin est fermé pour trois jours, le 1er férié et le 2, Amélie son employée faisant l’inventaire annuel.
Cet inventaire est nécessaire pour déclarer principalement le chiffre des vols, trop fréquent, même sur les Champs-Élysées.
Christine m’emmène dans sa voiture avec laquelle nous sommes venus avec ce petit cadeau pour Ingrid.
Je me souviens, étant présent dans sa chambre, du coup de fil de Pat à l’accueil.
Elle a demandé à Vanille de venir la voir et l’échange entre mon amour et cette jeune fille sur la possession d’un de ces tableaux hors de prix.
• Christine, toi qui connais du monde, peux-tu voir si…
Je fais une demande, à la marraine de ma petite, elle va s’occuper de ma demande dès le 2.
• Christine, toi qui connais du monde, peux-tu voir si…
Je fais une deuxième demande à Christine, elle va s’en occuper dès le 2 janvier 1968.
• Christophe, me permets-tu de venir finir la nuit chez toi ?
• Marraine, chez moi, « non ! »
Chez ta filleule, « oui, » je n’ai aucun droit de prétendre être chez moi !
• Avec ta proposition de mariage accepté par Patou, tu as gagné le droit de dire « chez toi ».
Je comprends que ta différence de moyen et surtout financier te préoccupe.
C’est tout à ton honneur, mais j’ai nettement appris à te connaitre dans d’autres circonstances que le sexe, tu sauras trouver ta voie auprès de celle que tu aimes.
Je te demande de m’héberger car Madeleine reçoit quelques amis anciens légionnaires à la maison, j’avais prévu d’aller finir ma nuit sur mon lit dans ma boutique.
Mais les fêtards parisiens vont faire péter des bouchons et des pétards toute la nuit et m’empêcher de dormir.
Je sais que nous nous sommes promis de cesser nos relations intimes maintenant que tu vas épouser ma filleule.
Qui a dit un jour, jamais au grand jamais.
Sur la table de l’atelier, nous faisons péter le bouchon d’une bouteille de roteuse sortie juste à température du frigo.
Du brut, comme les légionnaires, on n’est pas des tapettes.
Présentement nous sommes dans la partie hiver de la piscine.
Le 5 de cette nouvelle année, Christine me prévient que notre assureur a convoqué l’entreprise Blanc pour une confrontation.
Certains éléments du dossier leur seraient apparus et ils voudraient que la société Blanc s’explique.
Christine, elle monte et elle descend sur ma verge de nouveau prête au combat, vous savez celle de l’impuissant décrété par Amélie à qui je réserve un chien de ma chienne dans les plus brefs délais.
Étrange nuit de cette nouvelle année, ou je fais jouir la marraine de ma future, comme jamais elle n’a joui dans mes bras.
Tard le matin, je me réveille, j’ai la gueule de bois, ma queue est flasque, et une bonne douche est la bienvenue.
Christine est partie certainement rentrée chez elle.
Madeleine, a-t-elle bien profité de ces cinq bites, moi qui la prenais pour une vierge inconsolable.
J’ai déjà assisté au défilé du quatorze juillet avec à la fin les sapeurs de la légion étrangère au pas si spécial.
Cinq sapeurs avec leur hache et leur barbe gigantesque, la cochonne si elle s’est faite les cinq ne doit pas être belle à voir ce matin, du moins en fin de matinée.
Marraine, n’en a-t-elle pas eu assez avec moi ?
Elle aussi belle cochonne s’il en est, a-t-elle voulu aller prolonger nos ébats en finissant d’assécher les verges de ces hommes de tout pays.
J’allais aller prendre une douche, mais pourquoi laisser seul l’endroit ou hier, j’ai baisé, encore une fois pour la dernière fois, ma patronne sans oublier aussi ma maîtresse.
J’évite de toucher à l’amas de poutres et de câbles, je suis dans l’eau à température idéale.
D’où je suis-je vois le coin atelier de Pat, il est bien délaissé depuis que nous sommes revenus de Venise.
Je vois même les carnets de croquis, qu’elle avait déposé après notre retour et qui est resté lettre morte.
Une fois baigné, je sors de l’eau, je fais de l’exercice, je trouve que mes abdos même s’ils se dessinent encore bien, ont tendance à se relâcher.
Je fais plus de sport avec ma bite, qu’avec les muscles de mon corps, même si je sais que ma verge est un muscle qu’il faut savoir l’entretenir, Émilie en est la preuve.
Une fois j’ai vu Pat, prendre une boîte sous l’établi, un peu énervé, ou ses pinceaux et ses tubes de couleurs l’attendaient, pestant car il lui manquait du rouge vermillon.
Il faut reconnaitre que l’œuvre qu’elle créait avait comme base cette couleur.
Elle a ouvert la boîte et j’ai vu qu’il y avait tout le nécessaire pour peindre une toile vierge que je choisis dans les moins d’un mètre sur quatre-vingts.
Je l’ai souvent vu faire des toiles de ce format qu’elle semble particulièrement apprécier.
Une idée idiote me vient à l’esprit, les femmes aussi ont leur préférence, certaines aiment les petites et grosses.
D’autres les fines et longues, bref il y en a pour tous les genres et tous les goûts.
Il n’y a qu’à se remémorer celle de Noa, petite et courte et laissant insatisfaite Vanille qui s’est tournée vers moi.
Vers nous, car Pat m’a aidé à remettre le couvert dans sa chambre de misère passagère.
La reverrais-je, une fois engrossée, le couple va-t-il prendre la poudre d’escampette et garder précieusement pour eux, ma fille ou mon fils.
Je n’ose pas imaginer que ce pourrait être des jumeaux, me frustrant doublement.
• Chérie, que m’amènes-tu, mais tu es fou tu as transporté dans le bus, ma boîte de secours et une toile au format que je préfère travailler.
Je vais être franche, j’aimais les toiles deux mètres sur deux, il faut énormément de temps pour en peindre une et le ratio, temps et rapport financiers est loin d’être rentable.
Il faut être pragmatique dans la vie, elle est si courte, j’en sais quelque chose et le succès est souvent effet de mode.
Dans si mois une petite pétasse trouvera une autre manière de peindre et je serais à ranger dans les peintres célèbres et ringards.
Je sens le réalisme de Patou dans ces propos, ne devrais-je pas être en train de préparer mes bagages pour Toulon !
• Chéri, tu as oublié le chevalet, mais je vais me contenter de ce que tu m’as apporté.
Tu as de la chance, j’ai un croquis de Venise en tête et Venise, la base est bleue, car c’est l’endroit de notre amour révélé.
• Si tu parles du rouge vermillon, j’ai contrôlé, il manquait dans la série, tu en as fait livrer et j’en ai remis un tube de ta réserve.
• Tu penses à tout, tu es comme mon majordome, ça me démangeait de peindre, mais avant je veux te faire voir les progrès que j’ai fait ce matin dans la salle avec Fabien.
Assieds-toi sur ce fauteuil mais avant sort ta queue.
Attends, je te masturbe pour que tu sois bien tendu mon bel étalon de banlieue.
Je fais comme elle dit, sortir ma bite, c’est comme un jeu d’enfant, surtout que dès qu’elle me touche je bande dure.
Et c’est à cet instant que je réalise les progrès que fait ma petite.
• Attention, je pose mon pied parterre après avoir enlevé ma petite culotte et mon débardeur.
Regarde et sens, elle est trempée, soit sans crainte Maggy est de service depuis 13 heures, elle piste que nous ne soyons pas dérangées.
• Eh ça t’a couté quoi, cette garde de notre nid d’amours !
• Arrête Christophe, tu me connais trop, oui j’ai été mise à l’amende pour le temps de cette surveillance.
J’étais assise à ta place, elle a soulevé sa blouse blanche et m’a présenté sa chatte nue, je lui ai sucé le clito, jusqu’à la faire jouir, à nous d’en profiter.
Patou prête, se servant de son point d’appui de son premier pied au sol, pivote sur elle-même et vient s’empaler sur ma verge.
Elle est encore un peu faible, malgré ces magnifiques progrès et retombe lourdement s’empalant jusqu’à mes couilles.
C’est aussi là que le miracle à lieu.
Ses jambes inertent lorsque nous nous sommes rencontrés lui permettant de monter et descendre le long de ma tige, que son abricot doré épouse comme si mon pieu et sa chatte avait été façonner l’un pour l’autre.
Une nouvelle fois, c’est ma bouche qui étouffe ses cris de jouissance, Pat vient de franchir un grand vers sa rédemption…
Je sais le sens général de ce terme, mais je regarde « Petit Robert » pour avoir l’avis de cette bible de l’intelligence fraichement sortie des presses d’une maison d’édition.
Chez ma grand-mère, que je n’ai que très peu connue, elle est décédée, j’avais juste 8 ans, elle s’était fait avoir par un colporteur qui lui avait vendu une encyclopédie en X volume.
Il y en avait un grand nombre sur le meuble de la salle à manger.
Je me souviens bien, ils tenaient debout coincés par des serre-livres en faux marbre, j’en ai su le nom, le « stup » je crois.
C’était des sortes de dragons avec la langue sortant de leur bouche qui me faisait flipper.
J’aurais pu m’instruire faisant de moi un autre homme que celui que je pense être, mais je n’ai jamais osé m’en approcher à moins de deux ou trois mètres.
À sa mort, ils ont été dispersés ou bien récoltés par l’une des personnes de notre famille et je n’en ai jamais plus entendu parler, ainsi que les dragons.
Heureusement, le Robert même petit, semble condenser toutes ses connaissances, un peu comme le Formica.
Ça s’appelle le modernisme et j’espère être un homme moderne, tourner vers l’amour de celle qui m’a dit « oui » mais pas encore pour la vie.
« L'auteur suggère qu'il a consulté ce dictionnaire pour interpréter ou confirmer ce que signifie « P4 », prêtant à cette classification une connotation imagée et exagérée.
Ce jeu de langage illustre une appropriation personnelle et décalée d'un terme institutionnel sérieux, créant un contraste entre les réalités du lexique militaire et la manière dont il est perçu dans une narration plus intime ou dramatique. »
(Je dois être franc, écrire une histoire en 2025 alors que l’action se passe maintenant depuis quelques heures en 1968, ça oblige à des manipulations intellectuelles.
Ces quelques lignes écrites entre guillemets ont été écrites avec une intelligence artificielle, que certains avaient peut-être prédite en leur temps, mais ce sont certainement les mêmes qui pressentaient qu’en 2000 les taxis voleraient.
25 ans après on en parle de nouveau, avec la solution pour éviter des catastrophes gigantesques dans le ciel parisien.
La vérité sur ces lignes entre guillemets, n’aimant pas tricher.
Que dis-je à la petite jeune femme de l’accueil, non, je vous vois venir, ma queue se met-elle à frétiller devant ce petit bijou de fille, certainement vietnamien ou autre pays d’Asie ?
• Je vois que tu bloques sur ce « P4, » Ingrid.
En langage militaire ça veut dire complètement zinzin.
• Merci de ce compliment ma chérie, je n’en attendais pas moins de toi.
• Ingrid, finissez votre coupe et retournée à votre poste, je passerais vous voir tout à l’heure.
La manière dont Maggy prononce ces mots étant pleins de sous-entendus.
Pat m’a dit qu’elle l’avait aidé à lui donner du plaisir, nul doute que si le temps lui permet dans ce service d’urgence, elle saura lever ces sous-entendus.
• Quant à vous, mes amis, disparaissez, avec Sonia je m’occupe de ramener Patricia à sa chambre, je suis assez forte pour la mettre dans ce fauteuil roulant.
Avec Christine, nous embrassons tout le monde, moi, surtout Patou qu’une nouvelle fois nous allons quitter jusqu’à demain en début d’après-midi.
Le magasin est fermé pour trois jours, le 1er férié et le 2, Amélie son employée faisant l’inventaire annuel.
Cet inventaire est nécessaire pour déclarer principalement le chiffre des vols, trop fréquent, même sur les Champs-Élysées.
Christine m’emmène dans sa voiture avec laquelle nous sommes venus avec ce petit cadeau pour Ingrid.
Je me souviens, étant présent dans sa chambre, du coup de fil de Pat à l’accueil.
Elle a demandé à Vanille de venir la voir et l’échange entre mon amour et cette jeune fille sur la possession d’un de ces tableaux hors de prix.
• Christine, toi qui connais du monde, peux-tu voir si…
Je fais une demande, à la marraine de ma petite, elle va s’occuper de ma demande dès le 2.
• Christine, toi qui connais du monde, peux-tu voir si…
Je fais une deuxième demande à Christine, elle va s’en occuper dès le 2 janvier 1968.
• Christophe, me permets-tu de venir finir la nuit chez toi ?
• Marraine, chez moi, « non ! »
Chez ta filleule, « oui, » je n’ai aucun droit de prétendre être chez moi !
• Avec ta proposition de mariage accepté par Patou, tu as gagné le droit de dire « chez toi ».
Je comprends que ta différence de moyen et surtout financier te préoccupe.
C’est tout à ton honneur, mais j’ai nettement appris à te connaitre dans d’autres circonstances que le sexe, tu sauras trouver ta voie auprès de celle que tu aimes.
Je te demande de m’héberger car Madeleine reçoit quelques amis anciens légionnaires à la maison, j’avais prévu d’aller finir ma nuit sur mon lit dans ma boutique.
Mais les fêtards parisiens vont faire péter des bouchons et des pétards toute la nuit et m’empêcher de dormir.
Je sais que nous nous sommes promis de cesser nos relations intimes maintenant que tu vas épouser ma filleule.
Qui a dit un jour, jamais au grand jamais.
Sur la table de l’atelier, nous faisons péter le bouchon d’une bouteille de roteuse sortie juste à température du frigo.
Du brut, comme les légionnaires, on n’est pas des tapettes.
Présentement nous sommes dans la partie hiver de la piscine.
Le 5 de cette nouvelle année, Christine me prévient que notre assureur a convoqué l’entreprise Blanc pour une confrontation.
Certains éléments du dossier leur seraient apparus et ils voudraient que la société Blanc s’explique.
Christine, elle monte et elle descend sur ma verge de nouveau prête au combat, vous savez celle de l’impuissant décrété par Amélie à qui je réserve un chien de ma chienne dans les plus brefs délais.
Étrange nuit de cette nouvelle année, ou je fais jouir la marraine de ma future, comme jamais elle n’a joui dans mes bras.
Tard le matin, je me réveille, j’ai la gueule de bois, ma queue est flasque, et une bonne douche est la bienvenue.
Christine est partie certainement rentrée chez elle.
Madeleine, a-t-elle bien profité de ces cinq bites, moi qui la prenais pour une vierge inconsolable.
J’ai déjà assisté au défilé du quatorze juillet avec à la fin les sapeurs de la légion étrangère au pas si spécial.
Cinq sapeurs avec leur hache et leur barbe gigantesque, la cochonne si elle s’est faite les cinq ne doit pas être belle à voir ce matin, du moins en fin de matinée.
Marraine, n’en a-t-elle pas eu assez avec moi ?
Elle aussi belle cochonne s’il en est, a-t-elle voulu aller prolonger nos ébats en finissant d’assécher les verges de ces hommes de tout pays.
J’allais aller prendre une douche, mais pourquoi laisser seul l’endroit ou hier, j’ai baisé, encore une fois pour la dernière fois, ma patronne sans oublier aussi ma maîtresse.
J’évite de toucher à l’amas de poutres et de câbles, je suis dans l’eau à température idéale.
D’où je suis-je vois le coin atelier de Pat, il est bien délaissé depuis que nous sommes revenus de Venise.
Je vois même les carnets de croquis, qu’elle avait déposé après notre retour et qui est resté lettre morte.
Une fois baigné, je sors de l’eau, je fais de l’exercice, je trouve que mes abdos même s’ils se dessinent encore bien, ont tendance à se relâcher.
Je fais plus de sport avec ma bite, qu’avec les muscles de mon corps, même si je sais que ma verge est un muscle qu’il faut savoir l’entretenir, Émilie en est la preuve.
Une fois j’ai vu Pat, prendre une boîte sous l’établi, un peu énervé, ou ses pinceaux et ses tubes de couleurs l’attendaient, pestant car il lui manquait du rouge vermillon.
Il faut reconnaitre que l’œuvre qu’elle créait avait comme base cette couleur.
Elle a ouvert la boîte et j’ai vu qu’il y avait tout le nécessaire pour peindre une toile vierge que je choisis dans les moins d’un mètre sur quatre-vingts.
Je l’ai souvent vu faire des toiles de ce format qu’elle semble particulièrement apprécier.
Une idée idiote me vient à l’esprit, les femmes aussi ont leur préférence, certaines aiment les petites et grosses.
D’autres les fines et longues, bref il y en a pour tous les genres et tous les goûts.
Il n’y a qu’à se remémorer celle de Noa, petite et courte et laissant insatisfaite Vanille qui s’est tournée vers moi.
Vers nous, car Pat m’a aidé à remettre le couvert dans sa chambre de misère passagère.
La reverrais-je, une fois engrossée, le couple va-t-il prendre la poudre d’escampette et garder précieusement pour eux, ma fille ou mon fils.
Je n’ose pas imaginer que ce pourrait être des jumeaux, me frustrant doublement.
• Chérie, que m’amènes-tu, mais tu es fou tu as transporté dans le bus, ma boîte de secours et une toile au format que je préfère travailler.
Je vais être franche, j’aimais les toiles deux mètres sur deux, il faut énormément de temps pour en peindre une et le ratio, temps et rapport financiers est loin d’être rentable.
Il faut être pragmatique dans la vie, elle est si courte, j’en sais quelque chose et le succès est souvent effet de mode.
Dans si mois une petite pétasse trouvera une autre manière de peindre et je serais à ranger dans les peintres célèbres et ringards.
Je sens le réalisme de Patou dans ces propos, ne devrais-je pas être en train de préparer mes bagages pour Toulon !
• Chéri, tu as oublié le chevalet, mais je vais me contenter de ce que tu m’as apporté.
Tu as de la chance, j’ai un croquis de Venise en tête et Venise, la base est bleue, car c’est l’endroit de notre amour révélé.
• Si tu parles du rouge vermillon, j’ai contrôlé, il manquait dans la série, tu en as fait livrer et j’en ai remis un tube de ta réserve.
• Tu penses à tout, tu es comme mon majordome, ça me démangeait de peindre, mais avant je veux te faire voir les progrès que j’ai fait ce matin dans la salle avec Fabien.
Assieds-toi sur ce fauteuil mais avant sort ta queue.
Attends, je te masturbe pour que tu sois bien tendu mon bel étalon de banlieue.
Je fais comme elle dit, sortir ma bite, c’est comme un jeu d’enfant, surtout que dès qu’elle me touche je bande dure.
Et c’est à cet instant que je réalise les progrès que fait ma petite.
• Attention, je pose mon pied parterre après avoir enlevé ma petite culotte et mon débardeur.
Regarde et sens, elle est trempée, soit sans crainte Maggy est de service depuis 13 heures, elle piste que nous ne soyons pas dérangées.
• Eh ça t’a couté quoi, cette garde de notre nid d’amours !
• Arrête Christophe, tu me connais trop, oui j’ai été mise à l’amende pour le temps de cette surveillance.
J’étais assise à ta place, elle a soulevé sa blouse blanche et m’a présenté sa chatte nue, je lui ai sucé le clito, jusqu’à la faire jouir, à nous d’en profiter.
Patou prête, se servant de son point d’appui de son premier pied au sol, pivote sur elle-même et vient s’empaler sur ma verge.
Elle est encore un peu faible, malgré ces magnifiques progrès et retombe lourdement s’empalant jusqu’à mes couilles.
C’est aussi là que le miracle à lieu.
Ses jambes inertent lorsque nous nous sommes rencontrés lui permettant de monter et descendre le long de ma tige, que son abricot doré épouse comme si mon pieu et sa chatte avait été façonner l’un pour l’autre.
Une nouvelle fois, c’est ma bouche qui étouffe ses cris de jouissance, Pat vient de franchir un grand vers sa rédemption…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Si les 3 points d'interrogation sont liés au chapitre 18/18 c'est une saga qu j'écris au fuez zr a mesre et que publi de 3 en 3 chapitres
Déjà programmé jusqu'en aout je suis au chaitre 27
Déjà programmé jusqu'en aout je suis au chaitre 27
???

