COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (19/21)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (19/21) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (19/21)
C’est incroyable, non, c’est bien réel, même si je me pince.
Enfin, pourquoi me faire mal, surtout que pour la première fois, Patou dirige notre moment d’amour.
Monter et descendre le long de ma bite bien implantée en elle, peut paraitre chose facile, pour le commun des mortels.
Mais monter et descendre en se servant des muscles de ses jambes après des années où elles ont été inertes, là réside l’exploit.
Ça c’était hier, aujourd’hui un monde nouveau s’ouvre à moi, celui de ma petite qui a toutes ses chances de retrouver l’usage de ses jambes.
C’est dingue, rester des années, se déplaçant principalement dans des fauteuils, l’un classique qu’elle pousse, j’espère dire « poussait » avec ses mains.
L’autre, l’électrique que j’ai mis sur « charge » après avoir voulu l’essayer et me rendant compte que sa batterie s’était déchargée pendant tout le temps de notre voyage à Venise.
Tout ceci aurait pu être évité contre un coup sur sa tête remettant tout en place bien plus tôt dans sa vie.
Bien sûr cette pensée farfelu, je la chasse de mon cerveau, en faisant une telle chose, le risque que Patou devienne un légume, cela aurait pu devenir envisageable.
Certes un joli légume, mais un légume tout de même.

C’est un peu le bordel dans le garage, certes je fais ce que je peux pour l’entretenir, mais je dois reconnaitre que pour le ménage ce n’est pas ma tartine de pain.
Comment saurais-je faire, depuis ma naissance, du moins depuis le moment où l’on dit que j’ai atteint « l’âge de raison, » maman a toujours fait ces tâches ménagères sans jamais se plaindre ?
On voit où ça la conduit, dans le lit d’Iris entrainant le décès de mon père.
Ce dernier n’ayant certainement pas admis l’atteinte à sa virilité apprenant que sa femme préférait la chatte d’Iris plutôt que sa verge.
Moi, sans l’avoir prémédité, je suis tranquille sur ce sujet, elle est bissexuelle et broute autant qu’elle se fait brouter, acceptant de se faire des bites chaque fois que dans nos jeux, un autre Christophe, sait l’intéresser.
Et dire que je suis celui qui a permis tout cela en lui faisant l’amour la première fois, là où d’autres, sans les nommés ont refusé ce défi.
Dans nos années, la société nous inculque la règle que les hommes ramènent le pognon et que les femmes torchent les gosses et surtout entretiennent la maison.
Un simple exemple, notre lit, depuis combien de temps, les draps n’ont-ils pas été changés ?
Ça c’est ici dans cet atelier, mais chez mes parents, je sentais que maman avait changé les draps par leur fraicheur et leurs odeurs de fleurs des champs.

Et la porte, quand vais-je me décider à mettre de la graisse, certes les portes coulissantes resteront clause, tant que je n’aurais pas mon permis.
La Rolls-Royce à part sa sortie pour son entretien reste sagement à attendre que l’on veuille la conduire.
Un autre point de ma vie d’avant tous ces évènements, c’est mon père qui s’occupait de l’entretien de la maison.
Tout juste, faisais-je un peu de bêchage l’hiver ou un coup de pinceau sur les volets, m’amusant comme un fou à les dévisser à une dizaine de mètres de hauteur.
C’était ceux de leur chambre, debout sur le rebord de la fenêtre avec un creux vertigineux, mais qu’à mon âge je dominais sans me poser de question.
Je vais chercher de la graisse, je l’ai dit un ancien garage, en cherchant bien on y trouve tout ce dont on a besoin.
Je fais coulisser les grandes portes, sans problème, de la graisse est nécessaire, j’en applique sur le rail, mais c’est à ce moment que je vois la difficulté de certaines tâches.
Les portes sont si lourdes et hautes, que je mets de la graisse sur le rail inférieur sans pouvoir atteindre celui de la partie supérieure.
Je cherche bien, impossible de trouver de quoi m’élever, je fais le moitié du travail entendant maman dire à papa.
« Tu fais toujours le travail à moitié. »
Maintenant quand j’y repense en me contentant de graisser les gonds du portillon permettant d’entrer sans tout ouvrir, n’était-ce pas un appel au secours.
Le travail à moitié le faisait-il aussi dans leur lit.
Je suis de la génération d’après-guerre, grâce à Patou et à son entourage, suis-je en avance sur mon temps en vivant une vie libre surtout sexuellement ?
Sans entrer dans les détails, brouter régulièrement la chatte de ma future et celles de mes maîtresses, papa en faisait-il de même avec la chatte d’où j’étais venu au monde !
Cette question restera toujours sans réponse, si je suis sûr qu’Iris le fait, sans avoir été dans leur chambre, je me vois moi demander à maman.

« Mon daron te broutait-il le pistil ? »

Ce serait déplacé de la part d’un fils.
Il en aurait été de même avant le grand plongeon de papa.

« Dit moi, je bouffe la chatte de Patou, en fais-tu de même avec ma daronne ! »

• Bonjour Christophe, je vois que tu es un homme plein de ressource, je peux t’aider, depuis que je suis arrivée avec Christine, c’est moi qui lorsque je le peux, fais le bricolage avec Madeleine.

Mona Lisa, oui, ou était-elle passée celle-là, Christine était, bref, on sait ou était Christine.
Madeleine se faisant ses légionnaires, Christine m’a dit que si je ne l’hébergeais pas, elle avait pensé aller dormir à sa boutique sur le lit de repos dans la salle attenante au magasin.

• Je veux bien que tu m’aides, je vais soulever la porte et tu places cette cale afin que je mette de la graisse sans risquer de me faire couper les doigts.

Voilà c’est fait, au moins les grandes portes à moitié et le portillon, à droite, à gauche, plusieurs fois.
Le résultat est parfait, plus le moindre grincement intempestif, mais qui avait son intérêt, nous savions lorsque quelqu’un arrivait.
Un travail engendre un autre travail, les volets, une fois, je venais de dévisser une charnière lorsque j’ai constaté qu’elle était cassée dans sa partie haute.
Le volet risquait de se retrouver dans l’allée du garage en contrebas, mais moi avec, évitant la chute par ma souplesse.
Patou se sert de fauteuils, si j’avais fait ce grand sot, si j’en avais réchappé, la descente étant en béton, avec de la chance, c’est un même fauteuil qui m’était promis.
Mais sans la moindre chance d’avoir dépucelé Patou et de vivre cette vie devenue passionnante.

• Mona-Lisa, vient te laver les mains, avant de boire un verre !

Nous faisons ce que je propose et j’ouvre deux bouteilles de Coca, j’ai assez bu d’alcool pendant ces fêtes.
Lendemain de fête, lendemain des grandes résolutions, aimer de plus en plus Patou, ça c’est enfantin et facile à tenir.
Recommencer à aimer de plus en plus Patou et sans oublier aimer Patou de plus en plus.
Non, ça c’est trop facile, je ne fume pas, je fais du sport, certes en chambre, mais aussi en faisant des tractions en me servant du pont de la voiture.
L’alcool c’est facile, c’est ce que je choisis, le goût du Coca, étant un parfait palliatif de cette prise de décision irrévocable, du moins pendant quinze jours.
Les grandes résolutions ça tient quinze jours, comme je le dis, après le laxisme revient à grands pas.

• Mona-Lisa ou étais-tu pendant ces fêtes, j’ai vu Christine auprès de Pat, mais toi tu étais absente ?
• Je vais t’étonner, comme Madeleine la gouvernante de Christine réveillonnais avec d’anciens amis de son fiancé qui, hélas, est décédé.
Comme Christine allait à l’hôpital pour être au plus près de sa filleule et de toi, j’ai passé une partie du réveillon dans l’avenue près de sa boutique.
Il y avait des gens de tous les pays, qui finissaient la nuit en buvant et en chantant, j’ai rencontré des Italiens, nous avons sympathisé.

Elle s’arrête là dans ses explications.
Je me garde bien de la relancer pour savoir, si ces Italiens étaient des hommes ou des femmes et surtout des femmes, ça m’évite de lui apprendre que je l’ai cocufié en baisant avec Christine.

• As-tu vu la presse de ce matin, regarde Paris-Match, Patou fait la une de ce journal ?
Je passais Faubourg Saint-Germain devant un kiosk à journaux lorsque j’ai vu la photo de ta fiancée en couverture.
J’en ai acheté un, regarde, on parle des premiers pas de la petite entre les barres du local où le kiné de l’hôpital Cochin répare les blessés surtout de la route.

Un instant, j’ai peur de voir des photos dans la chambre de Patou lorsqu’elle s’est empalée sur ma bite.
J’ai entendu parler de photographes qui planquaient pendant des heures pour faire une simple photo qu’ils vendront des milliers de francs Français.
Moins qu’un tableau de Pat, mais c’est le Graal pour celui qui réussit ce genre de cliché.
Ouf la photo la montre en short et en débardeur avec des chaussons que j’ai déjà vus à ses pieds lorsqu’elle peint dans son atelier.

• Christophe, je te résume l’article, un journaliste de Paris-Match, fait une chute en moto près de l’hôpital Cochin.
La police le conduit dans cet hôpital vu la douleur à sa cheville.
Il est reçu par un médecin qui l’ausculte et lui suggère de descendre chez le kiné pour prendre rendez-vous pour des séances de remise en état.
La chance du pro, il a avec lui son appareil de photo, il revenait d’un reportage.
Il attendait le retour du kiné parti chercher une patiente dans les étages.
Lorsqu’il l’a vu arriver avec sa patiente, il n’a pas reconnu Patou.
Il l’avait vue seulement une seule fois à un vernissage dans son fauteuil roulant.
La jeune fille qui était devant lui, l’était aussi, mais dans une tenue sportive alors qu’au vernissage elle était en robe de soir.
Christophe, il y a quelquefois des faits changeant votre vie.
• À qui le dis-tu Mona, ma rencontre avec Patou, la connerie que j’ai faite de faire fabriquer un système ayant presque tuée mon amour, mais le déclenchement dans son cerveau d’un retour du fonctionnement de ces jambes.
Ne sont-ils pas des faits qui risquent de changer ma vie, notre vie, tu y es impliquée en étant venue vivre avec sa marraine.
• Oui, tu es dans le vrai, Christophe.
C’est Franck le kiné qui a dit le nom de « Patricia » et c’est là que le journaliste a pris conscience qu’il avait devant lui l’égérie de la nouvelle vague de la peinture française.
Son instinct professionnel lui a fait sortir son réflex et prendre la photo lorsque le kiné l’a aidé à se mettre debout et commencé à marcher entre les barres parallèles qu’elle tenait juste dans ses mains.
• C’est connard, je vais aller de ce pas leur casser leur petite gueule, de quel droit, trahisse-t-il l’intimité de ma fiancée sans j’en suis sur son accord.
Tu as parlé de « reflex, » que veut dire ce mot, c’est la première fois que je l’entends, tu sais Mona, ça c’est mon inculture…

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