COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (28/30)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (28/30)
Enfin Patou est de retour, elle a retrouvé ses bonnes habitudes, il semblerait que son repos forcé à l’hôpital Cochin ait entraîné une période créative hors du commun.
Ça fait plusieurs jours que rien d’autre que sa peinture ne puisse la ramener à une vie normale.
Même Léon et son ouvrier venu enlever les poulies et les câbles de l’installation ont été susceptibles de la troubler.
Ils travaillaient de leur côté et elle, du sien.
Bien sûr, je me suis occupé de ces messieurs, qui portaient deux cartons de six bouteilles de champagne de Reims, pour nous remercier de ne pas avoir fait couler leur boîte.
Ils ont fait un ciment qui en deux jours sèche avant la réception que j’organise sans qu’elle paraisse être gênée de mes allées et retours.
Il y a ses toiles et rien d’autre, même mon sexe doit faire repos.
D’un côté, ce n’est pas pour me déplaire, j’ai été un peu surmené ces temps derniers !
J’ai même peur lorsqu’elle retire sa blouse maculée de peinture qu’elle ne fasse retour vers Cochin, car même la plus petite parcelle de nourriture lui semble interdite dans ses moments de création.
Après son accident, même si elle a été choyée comme un coq en pâte à l’hôpital, elle a déjà un peu décollé, là, c’est à la limite de l’anorexique.
J’ai prouvé sans en être spécialement que je suis ignare, mais si je connais l’anorexie, c’est par l’intermédiaire de ma cousine germaine étant touchée.
Elle a été à deux pas de rejoindre une tombe.
Elle l’a évité en étant placée en psychiatrie, maintenant il faut la surveiller afin d’éviter qu’elle ne recommence à se faire vomir, dès qu’elle a avalé deux bouchers d’aliments.
• Christophe, pourquoi ces tables, avec ces verres et ces coupes posées les unes sur les autres.
Pat est assise à la table, elle a ouvert le frigo et sorti presque tout ce qui se mange et qui se boit.
Même une bouteille de bière est de la partie lorsqu’elle se goinfre, mangeant même avec ses mains et ses doigts.
Tout ceci terminé, semblant ne pas me voir et même aussi l’installation par le traiteur Fauchon de la réception de samedi soir, sans attendre ma réponse sur les coupes en forme de pyramides.
Elle se dirige vers les douches, fait couler l’eau et seulement tenue par une canne, sans se sécher, elle part vers notre lit et s’écroule en son travers.
Lorsque j’approche, ayant peur qu’elle n’ait fait un malaise, c’est un gazouillis que j’entends, elle dort.
• Chérie, réveille-toi, le traiteur va arriver dans une heure et tu dors nue sur notre lit depuis presque deux jours.
Eh ! oui, la fête va pouvoir commencer, un à un ou en couple, voir à plusieurs nos invités arrivent.
Il y a même, comme je l’ai dit à Patou des surprises parmi eux, avant qu’elle ne tombe de fatigue.
C’est, de mon point de vue, déjà utilisé, à savoir la Rolls sur le pont sur lequel elle attend que je la conduise et que j’observe le comportement de nos invités.
La soirée, certains diront qu’elle dégénère, si l’on considère les uns et les autres étant pour la plupart nus, certains ayant même des rapports physiques avec les autres.
Mon poste d’observation me permet de voir, à tout seigneur tout honneur, Patou.
Je dirais plutôt la reine de la soirée.
Elle est dans la piscine dans sa plus belle nudité et appuyée sur le bord, se fait prendre par Samy.
Samy, le mari d’Ophélie, le chef d’entreprise, le couple habitant Saint-Maur dans un immeuble moderne de l’autre côté de la marne et de la maison qui a été celle de mes parents et de ma jeunesse.
Ophélie, elle-même aux mains de Christophe, le mari de Jacqueline, presque les dernières connaissances que nous avons faites avec Patou, à Venise et surtout dans l’Orient Express.
Le monde est petit, sans se connaitre avant ce soir, Ophélie baise avec Christophe sur la table au même endroit où j’ai baisé Patou à notre retour de Cochin.
La pyramide des coupes de champagne, c’est en début de soirée lorsque chacun était encore sobre et normalement vêtu qu’elles ont été remplies par le responsable de chez Fauchon.
Il a apporté un escabeau et c’est à son sommet qu’il a commencé à verser.
Il était en gants blancs et costume à queue de pie, on aurait dit un pingouin venu de sa banquise.
Ce n’est pas moi qui en aie émis l’idée, c’est Christophe, l’autre celui de Jacqueline toujours à la merci d’un bon jeu de mots.
Le champagne versé en haut sur la dernière coupe a ruisselé vers le bas et toutes les coupes ont été remplies sous les applaudissements de nos invités.
Je vois même Ophélie, alors qu’elle se fait prendre en levrette, tendre la main, récupérer une coupe, et s’en délecter, baiser ou se faire baiser, semblant lui donner soif.
Sous moi, venant de la partie chambre, d’autres invités se dirigent vers les douches.
Lorsque je l’ai invité, Madeleine, je l’ai fait par principe, lui disant même qu’elle pouvait venir avec ses légionnaires.
Ils sont venus à trois, les deux autres étant trop loin, avec leur grande barbe, mais sans leur tablier et leur hache, comme ils le font lorsqu’ils défilent au 14 juillet, passant devant la boutique de Christine.
Malgré son âge, certainement la plus âgée de notre réunion de baiseurs, elle est nue et deux barbues aussi.
Ils la suivent dans les douches, d’où je suis, je vois un peu de la salle d’eau.
Elle est à genoux et les pompes alternativement l’un et l’autre.
À oui, l’invité d’honneur, Muzio, le gondolier amoureux de Mona-Lisa.
Il est arrivé hier d’Orly, je suis allé le chercher avec Mona et Christine.
C’est en chemin que j’ai appris que les deux femmes l’avaient fait venir pour me remplacer comme gigolo à la boutique et améliorer son français.
J’aurais pu en rendre ombrage, mais j’ai assez de rencontres, sans oublier surtout Patou dont je sens que sa liberté de mouvement retrouvée va beaucoup me solliciter.
Mais, j’ai une nouvelle idée sur mon avenir, il faut que, dans ma tête, je la finalise avant de la sortir de mon cerveau.
Ce soir, dans le garage, Jacqueline le connaissant et parlant l’italien, est déjà en train de ce l’accaparer.
Mona-Lisa et Christine semblent s’en amuser en dégustant des petits fours qui sont sur la table, près des coupes et Ophélie, qui ayant pris son pied, s’est séparée de Christophe, l’autre.
Lui aussi paraît avoir soif, c’est possible, il a baisé Ophélie comme un mort de faim.
Comme je connais Ophélie, ne crachant jamais sur le morceau et ayant vu que la fin de leur coït, préalablement, elle a dû le sucer intensément.
Vanille est venue, sans Noa, je n’ai pas tout compris, mais elle parait vouloir se séparer de la petite bite de son mari.
Elle parle avec le troisième légionnaire que Madeleine a amené.
Elle lui parle, car avant que je monte sur mon pont panoramique, il lui disait qu’il était d’origine allemande et qu’il avait été cantonné à la Réunion.
Elle le tire par la queue puis, s’accrochant à son cou, il la porte pour l’amener dans la piscine.
Elle parle à Patou avant de se mettre sur le bord comme elle et de se faire prendre par-derrière, la petite est nettement plus salope que je ne le pensais.
Ça me fait plaisir, est-ce moi qui lui aurais donné l’envie de bite plus grosse que celle qu’elle avait épousée ?
Chantal et Malaurie sont là aussi, en tenue de dominatrice ce qui a étonné de nombreux invités ignorant les plaisirs de la soumission.
Elle semble chercher quelqu’un, serait-ce moi, mais avec les cravaches qu’elles ont en main, il est hors de question que je leur laisse le plaisir, de me flageller.
Patou en a terminé avec Samy, elle sort de l’eau, prend un drap de bain, l’un de ceux que j’ai placés là, n’est-ce pas l’inauguration de cette maudite, mais si belle piscine ?
N’est-ce pas l’inauguration de la nouvelle vie de Patou ?
J’avais invité maman et Isis, mais par chance, elles sont sur la côte ou la compagne de ma maman a une villa et elle profite du soleil de ce début mars.
D’un autre côté, ce n’est pas moi qui ai déclenché ce moment de luxure dès que les serveurs sont partis, car je me ferais mal maman nue et batifolant avec divers invités.
Voir Madeleine nue et se faisant baiser par ces armoires à glace, me fait voir le travail qu’il me reste à faire dans ce monde nouveau pour moi.
Je dois reconnaitre que tout ceci m’était parfaitement inconnu, comment aurais-je pu connaitre la moindre parcelle de ce monde que je découvre.
• Christophe, arrête de me baiser, tu nous as épuisés avec Ingrid, je m’excuse de t’avoir traité d’impuissant, tu nous as éclaté !
C’est Amélie la serveuse de Christine, qui à moitié endormie rend les armes devant ma queue qui l’a défoncé.
• Oui, Christophe, baise-nous, nous sommes tes petites chiennes !
Là, c’est Ingrid, la jeune réceptionniste de l’hôpital Cochin, adepte des tableaux de Patou au point d’en possédé un.
C’est Patou qui l’a invité, renforçant par là même mes soupçons qu’elles ont baisés ensemble, le temps du séjour de mon amour.
L’usage de ses jambes retrouvées, avec l’aide de ses cannes, elle se promenait souvent de son étage jusqu’à l’extérieur.
Elle passait obligatoirement vers Ingrid qui a dû lui prodiguer ses remerciements pour ce cadeau incroyable pour une fille à salaire certainement minimal.
Comment, me suis-je retrouvé là sur ce pont dans la Rolls surtout à cette hauteur ?
Les filles sont-elles montées comme moi à une telle hauteur ?
Deux sportives, deux athlètes comme je le suis, faisant régulièrement cette gymnastique, comme le fond les pompiers de Paris en pratiquant la planche chaque matin.
Non, c’est Ingrid qui m’a donné le coup de main après discussion avec elle.
Nous venions de terminer les offrandes de cadeau, oh ! très peu de chose pour moi, seul Christophe, toujours égal à lui-même, m’en a fait un.
Je l’ai ouvert, c’était une casquette de lieutenant de Marine.
• Christophe, tu voulais entrer dans la marine, jusqu’au moment où tu as décidé de rester avec cette magnifique jeune fille que nous fêtons aujourd’hui.
Jacqueline et moi sommes honorés que vous nous comptiez maintenant comme vos amis.
Je sais, tu voulais être matelot avec le pompon, mais dans le restaurant où nous étions il y a quelques jours, seul un officier de marine était présent.
Il doit encore chercher son couvre-chef, en lui piquant, j’espère que je ne lui ai pas fait prendre des jours de tôles.
Tous ont applaudi lorsque je l’ai mise sur ma tête, par chance, pile-poil ma taille, j’ai une idée à quoi elle va me servir.
Elle aussi est posée sur la table près des coupes à champagne…
Ça fait plusieurs jours que rien d’autre que sa peinture ne puisse la ramener à une vie normale.
Même Léon et son ouvrier venu enlever les poulies et les câbles de l’installation ont été susceptibles de la troubler.
Ils travaillaient de leur côté et elle, du sien.
Bien sûr, je me suis occupé de ces messieurs, qui portaient deux cartons de six bouteilles de champagne de Reims, pour nous remercier de ne pas avoir fait couler leur boîte.
Ils ont fait un ciment qui en deux jours sèche avant la réception que j’organise sans qu’elle paraisse être gênée de mes allées et retours.
Il y a ses toiles et rien d’autre, même mon sexe doit faire repos.
D’un côté, ce n’est pas pour me déplaire, j’ai été un peu surmené ces temps derniers !
J’ai même peur lorsqu’elle retire sa blouse maculée de peinture qu’elle ne fasse retour vers Cochin, car même la plus petite parcelle de nourriture lui semble interdite dans ses moments de création.
Après son accident, même si elle a été choyée comme un coq en pâte à l’hôpital, elle a déjà un peu décollé, là, c’est à la limite de l’anorexique.
J’ai prouvé sans en être spécialement que je suis ignare, mais si je connais l’anorexie, c’est par l’intermédiaire de ma cousine germaine étant touchée.
Elle a été à deux pas de rejoindre une tombe.
Elle l’a évité en étant placée en psychiatrie, maintenant il faut la surveiller afin d’éviter qu’elle ne recommence à se faire vomir, dès qu’elle a avalé deux bouchers d’aliments.
• Christophe, pourquoi ces tables, avec ces verres et ces coupes posées les unes sur les autres.
Pat est assise à la table, elle a ouvert le frigo et sorti presque tout ce qui se mange et qui se boit.
Même une bouteille de bière est de la partie lorsqu’elle se goinfre, mangeant même avec ses mains et ses doigts.
Tout ceci terminé, semblant ne pas me voir et même aussi l’installation par le traiteur Fauchon de la réception de samedi soir, sans attendre ma réponse sur les coupes en forme de pyramides.
Elle se dirige vers les douches, fait couler l’eau et seulement tenue par une canne, sans se sécher, elle part vers notre lit et s’écroule en son travers.
Lorsque j’approche, ayant peur qu’elle n’ait fait un malaise, c’est un gazouillis que j’entends, elle dort.
• Chérie, réveille-toi, le traiteur va arriver dans une heure et tu dors nue sur notre lit depuis presque deux jours.
Eh ! oui, la fête va pouvoir commencer, un à un ou en couple, voir à plusieurs nos invités arrivent.
Il y a même, comme je l’ai dit à Patou des surprises parmi eux, avant qu’elle ne tombe de fatigue.
C’est, de mon point de vue, déjà utilisé, à savoir la Rolls sur le pont sur lequel elle attend que je la conduise et que j’observe le comportement de nos invités.
La soirée, certains diront qu’elle dégénère, si l’on considère les uns et les autres étant pour la plupart nus, certains ayant même des rapports physiques avec les autres.
Mon poste d’observation me permet de voir, à tout seigneur tout honneur, Patou.
Je dirais plutôt la reine de la soirée.
Elle est dans la piscine dans sa plus belle nudité et appuyée sur le bord, se fait prendre par Samy.
Samy, le mari d’Ophélie, le chef d’entreprise, le couple habitant Saint-Maur dans un immeuble moderne de l’autre côté de la marne et de la maison qui a été celle de mes parents et de ma jeunesse.
Ophélie, elle-même aux mains de Christophe, le mari de Jacqueline, presque les dernières connaissances que nous avons faites avec Patou, à Venise et surtout dans l’Orient Express.
Le monde est petit, sans se connaitre avant ce soir, Ophélie baise avec Christophe sur la table au même endroit où j’ai baisé Patou à notre retour de Cochin.
La pyramide des coupes de champagne, c’est en début de soirée lorsque chacun était encore sobre et normalement vêtu qu’elles ont été remplies par le responsable de chez Fauchon.
Il a apporté un escabeau et c’est à son sommet qu’il a commencé à verser.
Il était en gants blancs et costume à queue de pie, on aurait dit un pingouin venu de sa banquise.
Ce n’est pas moi qui en aie émis l’idée, c’est Christophe, l’autre celui de Jacqueline toujours à la merci d’un bon jeu de mots.
Le champagne versé en haut sur la dernière coupe a ruisselé vers le bas et toutes les coupes ont été remplies sous les applaudissements de nos invités.
Je vois même Ophélie, alors qu’elle se fait prendre en levrette, tendre la main, récupérer une coupe, et s’en délecter, baiser ou se faire baiser, semblant lui donner soif.
Sous moi, venant de la partie chambre, d’autres invités se dirigent vers les douches.
Lorsque je l’ai invité, Madeleine, je l’ai fait par principe, lui disant même qu’elle pouvait venir avec ses légionnaires.
Ils sont venus à trois, les deux autres étant trop loin, avec leur grande barbe, mais sans leur tablier et leur hache, comme ils le font lorsqu’ils défilent au 14 juillet, passant devant la boutique de Christine.
Malgré son âge, certainement la plus âgée de notre réunion de baiseurs, elle est nue et deux barbues aussi.
Ils la suivent dans les douches, d’où je suis, je vois un peu de la salle d’eau.
Elle est à genoux et les pompes alternativement l’un et l’autre.
À oui, l’invité d’honneur, Muzio, le gondolier amoureux de Mona-Lisa.
Il est arrivé hier d’Orly, je suis allé le chercher avec Mona et Christine.
C’est en chemin que j’ai appris que les deux femmes l’avaient fait venir pour me remplacer comme gigolo à la boutique et améliorer son français.
J’aurais pu en rendre ombrage, mais j’ai assez de rencontres, sans oublier surtout Patou dont je sens que sa liberté de mouvement retrouvée va beaucoup me solliciter.
Mais, j’ai une nouvelle idée sur mon avenir, il faut que, dans ma tête, je la finalise avant de la sortir de mon cerveau.
Ce soir, dans le garage, Jacqueline le connaissant et parlant l’italien, est déjà en train de ce l’accaparer.
Mona-Lisa et Christine semblent s’en amuser en dégustant des petits fours qui sont sur la table, près des coupes et Ophélie, qui ayant pris son pied, s’est séparée de Christophe, l’autre.
Lui aussi paraît avoir soif, c’est possible, il a baisé Ophélie comme un mort de faim.
Comme je connais Ophélie, ne crachant jamais sur le morceau et ayant vu que la fin de leur coït, préalablement, elle a dû le sucer intensément.
Vanille est venue, sans Noa, je n’ai pas tout compris, mais elle parait vouloir se séparer de la petite bite de son mari.
Elle parle avec le troisième légionnaire que Madeleine a amené.
Elle lui parle, car avant que je monte sur mon pont panoramique, il lui disait qu’il était d’origine allemande et qu’il avait été cantonné à la Réunion.
Elle le tire par la queue puis, s’accrochant à son cou, il la porte pour l’amener dans la piscine.
Elle parle à Patou avant de se mettre sur le bord comme elle et de se faire prendre par-derrière, la petite est nettement plus salope que je ne le pensais.
Ça me fait plaisir, est-ce moi qui lui aurais donné l’envie de bite plus grosse que celle qu’elle avait épousée ?
Chantal et Malaurie sont là aussi, en tenue de dominatrice ce qui a étonné de nombreux invités ignorant les plaisirs de la soumission.
Elle semble chercher quelqu’un, serait-ce moi, mais avec les cravaches qu’elles ont en main, il est hors de question que je leur laisse le plaisir, de me flageller.
Patou en a terminé avec Samy, elle sort de l’eau, prend un drap de bain, l’un de ceux que j’ai placés là, n’est-ce pas l’inauguration de cette maudite, mais si belle piscine ?
N’est-ce pas l’inauguration de la nouvelle vie de Patou ?
J’avais invité maman et Isis, mais par chance, elles sont sur la côte ou la compagne de ma maman a une villa et elle profite du soleil de ce début mars.
D’un autre côté, ce n’est pas moi qui ai déclenché ce moment de luxure dès que les serveurs sont partis, car je me ferais mal maman nue et batifolant avec divers invités.
Voir Madeleine nue et se faisant baiser par ces armoires à glace, me fait voir le travail qu’il me reste à faire dans ce monde nouveau pour moi.
Je dois reconnaitre que tout ceci m’était parfaitement inconnu, comment aurais-je pu connaitre la moindre parcelle de ce monde que je découvre.
• Christophe, arrête de me baiser, tu nous as épuisés avec Ingrid, je m’excuse de t’avoir traité d’impuissant, tu nous as éclaté !
C’est Amélie la serveuse de Christine, qui à moitié endormie rend les armes devant ma queue qui l’a défoncé.
• Oui, Christophe, baise-nous, nous sommes tes petites chiennes !
Là, c’est Ingrid, la jeune réceptionniste de l’hôpital Cochin, adepte des tableaux de Patou au point d’en possédé un.
C’est Patou qui l’a invité, renforçant par là même mes soupçons qu’elles ont baisés ensemble, le temps du séjour de mon amour.
L’usage de ses jambes retrouvées, avec l’aide de ses cannes, elle se promenait souvent de son étage jusqu’à l’extérieur.
Elle passait obligatoirement vers Ingrid qui a dû lui prodiguer ses remerciements pour ce cadeau incroyable pour une fille à salaire certainement minimal.
Comment, me suis-je retrouvé là sur ce pont dans la Rolls surtout à cette hauteur ?
Les filles sont-elles montées comme moi à une telle hauteur ?
Deux sportives, deux athlètes comme je le suis, faisant régulièrement cette gymnastique, comme le fond les pompiers de Paris en pratiquant la planche chaque matin.
Non, c’est Ingrid qui m’a donné le coup de main après discussion avec elle.
Nous venions de terminer les offrandes de cadeau, oh ! très peu de chose pour moi, seul Christophe, toujours égal à lui-même, m’en a fait un.
Je l’ai ouvert, c’était une casquette de lieutenant de Marine.
• Christophe, tu voulais entrer dans la marine, jusqu’au moment où tu as décidé de rester avec cette magnifique jeune fille que nous fêtons aujourd’hui.
Jacqueline et moi sommes honorés que vous nous comptiez maintenant comme vos amis.
Je sais, tu voulais être matelot avec le pompon, mais dans le restaurant où nous étions il y a quelques jours, seul un officier de marine était présent.
Il doit encore chercher son couvre-chef, en lui piquant, j’espère que je ne lui ai pas fait prendre des jours de tôles.
Tous ont applaudi lorsque je l’ai mise sur ma tête, par chance, pile-poil ma taille, j’ai une idée à quoi elle va me servir.
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