COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (29/30)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (29/30)
De mon fidèle poste d’observation, avant je l’espère mieux, de cette belle Rolls-Royce Phantom de 1930, que je rêve de conduire depuis que je l’ai vu sur son pont du garage devenu atelier de Patou.
Surtout depuis mon permis obtenu grâce à Christine et à ses connaissances, sans avoir eu besoin de tourner la clef de contact de marque Simca 1000, voiture de l’auto-école.
Simca 1000 et obtention de ma putain de feuille rose.
La puissance sous le capot de la Porche que marraine Christine m’offre pour mes services rendus depuis que j’ai croisé Patou, j’arrive à maitriser ce monstre de ferraille.
Du haut de mon promontoire, je suis pleinement étonné de cette partouze que je semble avoir déclenchée en organisant nos fiançailles parisiennes avec Patou.
Cette soirée nous a permis et à certains de nos amis, présent et non présent à Venise, d’obtenir un deuxième « oui » de celle qui m’aime.
• Patricia, veux-tu m’épouser ?
C’est un genou sur le sol du garage ou va avoir lieu la soirée.
Deux genoux, en terre, l’un place San Marco et le deuxième ce soir, mais avec une seule bague, elle m’a déjà couté bonbon.
Certains de nos amis découvrant notre lieu de vie, fortement étonné et du lieu et de la partie atelier de celle à qui symboliquement, je repasse donc la bague que j’ai achetée place Vendôme avec Christine.
Lorsqu’elle finit de baiser avec Samy dans notre piscine, la chose la plus étonnante que je peux voir, c’est ma petite remontée vers le plan incliné fraichement mis en place par Léon le maçon.
C’est en remplacement du système que j’avais imaginé pour lui facilité, seule, l’entrée et la sortie dans l’eau depuis son fauteuil roulant qu’ils ont construit une rampe.
Entrée et sortie, seule, là est le terrible drame qui aurait pu avoir lieu si la poulie avait lâché plus tard, lorsqu’elle était « seule. »
C’est la rapidité de mon intervention, vite relayée par les pompiers, Patou se vidant de son sang par cette coupure à la tête qu’elle s’était faite en tapant le rebord en carrelage de la piscine.
Seuls, nous l’aurions retrouvée, morte, vidée de son sang dans la piscine devenue rouge.
Mais bon, tout ce qui en a suivi et surtout le retour du fonctionnement de son cerveau entraînant le fonctionnement de ses jambes est un moindre mal, elle a retrouvé la liberté de ses mouvements.
J’ai un peu de nostalgie, j’adorais la prendre dans mes bras pour la porter dans son fauteuil.
Ce serait mal venu de continuer à la porter, sauf à la date que j’annonce à tous les présents, lorsque je la ferai entrer en femme mariée.
• Mes amis, nous vous avons réuni pour que je renouvelle ma demande de mariage à Patou, devant vous tous.
Je vous informe que j’épouserai cette jeune femme le samedi 11 mai 68 à 11 heures à la mairie du 5e arrondissement.
Vous serez tous conviés, mais des invitations en bonne et due forme vous seront envoyées rapidement.
Je laisse à ma future épouse le soin de choisir les faire-part et la liste de nos invités.
Je sais qu’elle fera cela très bien, aidée de notre très chère Christine, qui sans elle, tout ceci serait très mal organisée.
Pour ma part, la liste de mes invités sera facile, j’ai seulement au monde, ma maman et Isis la femme avec laquelle elle refait sa vie après la mort accidentelle de mon père.
Pour ceux qui l’ignorent, malgré le puritanisme qui sévit en France, ma maman partage sa vie avec une autre femme après ses déboires avec mon père.
Dans certains milieux, l’annonce que ma maman a refait sa vie avec une femme aurait paru scandaleux.
Dans ce milieu artistique et bobo, malgré la restriction des mœurs de notre époque, ça passe comme une lettre à la poste, une femme avec une femme, c’est même en chanson que les artistes contournent la censure.
Patou, sur ces deux pieds dans cette piscine, serait-elle potentiellement considérée comme miraculeuse si je demandais à l’église une béatification de ce miracle qu’elle ait retrouvé l’usage, seule, de ses jambes ?
Sortie de l’eau, séchée avec un linge à sa disposition, elles sont là toutes les deux Ophélie et ma petite trinquent avec un verre de champagne à la main.
Elle trinque, elles s’embrassent et partent toutes les deux vers les douches, ou Madeleine semble en avoir fini avec ses légionnaires, mais brillant par leur absence, peut-être baise-t-il dans un endroit que je ne peux voir.
Madeleine que je pensais genre vieille fille sur le retour s’avérant être une fieffée salope depuis que je sais qu’elle a contaminé avec sa chatte presque un régiment entier de légionnaires en Algérie.
Et Christine, femme du commandant de cette base qui l’a fait soigner avant de la garder comme femme à son service à son retour en France.
Mais revenons aux filles et la manière dont j’ai piégé Amélie, elle aussi petite salope, mais lorsqu’elle m’a traité d’impuissant, car j’avais une extinction des lumières, un instant côté bite.
J’ai parié avec Ingrid qu’elle n’arriverait pas à entraîner Amélie dans cette voiture, lorsque j’ai vu la soirée dégénérée et s’orienter vers une sauterie collective.
• Christophe, cette voiture reste-t-elle toujours à cette hauteur, Amélie voudrait bien la voir de plus prêt.
Ingrid a joué finement, car je fais descendre le pont, je vais même jusqu’à leur ouvrir la portière arrière pour qu’elle s’installe dans tout ce luxe de cuir qui remplit la Rolls-Royce.
Une fois la portière refermée, je m’empresse de faire remonter le pont, plaçant la voiture la plus haute possible sans que pour autant qu’elle ne touche, le toit du garage.
Là, j’ai fait ce que je fais tous les jours depuis que j’ai emménagé chez Patou.
La planche, me redressant avant de monter en voiture à leurs côtés.
• Christophe, descends, nous voulions être seules Ingrid et moi !
• Moi, je veux être seule avec Ingrid, belle enfant !
N’est-ce pas Ingrid !
La petite blonde semble être sans réponse, à mon injonction, mais elle vient dans mes bras comme pour chercher du réconfort.
• Je vais sauter, je te jure Christophe que je vais le faire !
• Tu en es incapable, il ne te reste plus qu’à subir ma colère de m’avoir traité d’impuissant.
On connaît la suite, Amélie coincée, va subir ma terrible vengeance, Ingrid en profitant au passage, je la lamine lui montrant la puissance de ma verge lorsqu’on la sollicite normalement.
Son rugbyman de copain va avoir du mal à remonter la pente, il sera petite bite ou petit joueur avec celle à qui je démontre la puissance de ma verge.
Ma vengeance, tel était mon but, comme l’on boit, le calice jusqu’à la lie, je laisse mes jeunes femelles récupérer, il est temps de rejoindre le plancher des vaches.
J’ai pitié d’elles, surtout d’Amélie n’ayant pas osé sauter lorsque je l’ai sollicité, j’enclenche la descente, la Phantom retrouve elle aussi le plancher des vaches.
• Christophe, nous cherchons quelqu’un à gentiment flageller, nous espérions, que Patou serait notre prochaine victime consentante, mais nous voyons qu’Ophélie semble vouloir l’accaparer !
• J’ai mieux à vous proposer, dans cette voiture, vous trouverez deux jeunes femmes, occupez-vous surtout d’Amélie, c’est celle près de la portière opposée !
Ça, c’est méchant et gratuit, notamment pour Ingrid, mais je fais confiance à mes deux maîtresses femmes connaissant leur affaire pour distinguer qui de l’une ou de l’autre doit être matée.
Face à moi, j’ai parlé de Vanille, parlant avec l’un des trois légionnaires, semble avoir avancé dans ses intentions.
J’ai parlé du lit en rotin, près de la baie vitrée à bascule, permettant de faire entrer la lumière et principalement de pouvoir le sortir par beau temps l’été venu.
Ils sont là tous les deux, Vanille ressemblant à un petit moustique devant la stature de ce gars, si je comprends bien, venu d’Allemagne.
Il est derrière elle, la petite assez souple à une jambe levée et je vois sa verge la pilonner en passant par-derrière.
Je suis un peu éloigné, mais tout de même assez prêt, je parlais de lui avoir fait aimer les bites plus imposantes que celle de son ex, si j’ai bien compris.
Un gland monstrueux, comment l’expliquer, la tête déborde de chaque côté de la verge de presque un centimètre.
Bon, croyez-moi sur parole, inutile de me demander d’aller mesurer, il ne faut pas oublier que c’est un légionnaire français, même s’il est d’origine allemande dont on parle.
Toutes ces baises, se font entendre, principalement de la bouche de Vanille qui hurle presque certainement de plaisir, je n’ose croire que ce soit de douleur vue que ça dure.
• Où étais-tu mon chéri, je crois savoir, dans la voiture, en début de soirée elle était vers le haut et là elle est revenue au niveau du plancher des vaches.
• Oui ma chérie.
Je t’ai admiré te faisant prendre par mon ami Samy, t’a-t-il fait du bien ?
• Chéri, j’ai honte de te le dire, il voulait me prendre ma chatte, mais comme elle t’est réservée, il m’a sodomisé, tu sais que tu m’as fait aimer cela autant par-devant que par-derrière.
Je prends Patou dans mes bras, instinctivement ma queue se tend.
Elle avait placé une grande serviette autour de ses seins, je la fais chuter.
Je saisis Patou sous ses fesses et je la soulève, voulant l’emmener vers notre lit.
Hélas, il m’était caché du haut de mon promontoire, Madeleine est là avec ses deux légionnaires.
Ils la prennent en double pénétration.
Si leurs verges sont du calibre d’Ours celui qui baise Vanille, la doyenne de notre soirée est bien la reine de celle-ci.
J’ai toujours Patou en mains à bonne hauteur, je la fais retomber sur mon pieu, l’empalant comme on empalait les mauvaises personnes au Moyen Âge.
Comme je l’ai dit, il y a là encore peu de temps, ma fiancée est si maigre que je la porte sans paraitre forcée alors que ses pieds ne touchent pas le sol.
• Chérie, je t’aime, j’ai hâte d’être au samedi 11 mai pour t’offrir nos alliances que je vais devoir aller acheter…
Surtout depuis mon permis obtenu grâce à Christine et à ses connaissances, sans avoir eu besoin de tourner la clef de contact de marque Simca 1000, voiture de l’auto-école.
Simca 1000 et obtention de ma putain de feuille rose.
La puissance sous le capot de la Porche que marraine Christine m’offre pour mes services rendus depuis que j’ai croisé Patou, j’arrive à maitriser ce monstre de ferraille.
Du haut de mon promontoire, je suis pleinement étonné de cette partouze que je semble avoir déclenchée en organisant nos fiançailles parisiennes avec Patou.
Cette soirée nous a permis et à certains de nos amis, présent et non présent à Venise, d’obtenir un deuxième « oui » de celle qui m’aime.
• Patricia, veux-tu m’épouser ?
C’est un genou sur le sol du garage ou va avoir lieu la soirée.
Deux genoux, en terre, l’un place San Marco et le deuxième ce soir, mais avec une seule bague, elle m’a déjà couté bonbon.
Certains de nos amis découvrant notre lieu de vie, fortement étonné et du lieu et de la partie atelier de celle à qui symboliquement, je repasse donc la bague que j’ai achetée place Vendôme avec Christine.
Lorsqu’elle finit de baiser avec Samy dans notre piscine, la chose la plus étonnante que je peux voir, c’est ma petite remontée vers le plan incliné fraichement mis en place par Léon le maçon.
C’est en remplacement du système que j’avais imaginé pour lui facilité, seule, l’entrée et la sortie dans l’eau depuis son fauteuil roulant qu’ils ont construit une rampe.
Entrée et sortie, seule, là est le terrible drame qui aurait pu avoir lieu si la poulie avait lâché plus tard, lorsqu’elle était « seule. »
C’est la rapidité de mon intervention, vite relayée par les pompiers, Patou se vidant de son sang par cette coupure à la tête qu’elle s’était faite en tapant le rebord en carrelage de la piscine.
Seuls, nous l’aurions retrouvée, morte, vidée de son sang dans la piscine devenue rouge.
Mais bon, tout ce qui en a suivi et surtout le retour du fonctionnement de son cerveau entraînant le fonctionnement de ses jambes est un moindre mal, elle a retrouvé la liberté de ses mouvements.
J’ai un peu de nostalgie, j’adorais la prendre dans mes bras pour la porter dans son fauteuil.
Ce serait mal venu de continuer à la porter, sauf à la date que j’annonce à tous les présents, lorsque je la ferai entrer en femme mariée.
• Mes amis, nous vous avons réuni pour que je renouvelle ma demande de mariage à Patou, devant vous tous.
Je vous informe que j’épouserai cette jeune femme le samedi 11 mai 68 à 11 heures à la mairie du 5e arrondissement.
Vous serez tous conviés, mais des invitations en bonne et due forme vous seront envoyées rapidement.
Je laisse à ma future épouse le soin de choisir les faire-part et la liste de nos invités.
Je sais qu’elle fera cela très bien, aidée de notre très chère Christine, qui sans elle, tout ceci serait très mal organisée.
Pour ma part, la liste de mes invités sera facile, j’ai seulement au monde, ma maman et Isis la femme avec laquelle elle refait sa vie après la mort accidentelle de mon père.
Pour ceux qui l’ignorent, malgré le puritanisme qui sévit en France, ma maman partage sa vie avec une autre femme après ses déboires avec mon père.
Dans certains milieux, l’annonce que ma maman a refait sa vie avec une femme aurait paru scandaleux.
Dans ce milieu artistique et bobo, malgré la restriction des mœurs de notre époque, ça passe comme une lettre à la poste, une femme avec une femme, c’est même en chanson que les artistes contournent la censure.
Patou, sur ces deux pieds dans cette piscine, serait-elle potentiellement considérée comme miraculeuse si je demandais à l’église une béatification de ce miracle qu’elle ait retrouvé l’usage, seule, de ses jambes ?
Sortie de l’eau, séchée avec un linge à sa disposition, elles sont là toutes les deux Ophélie et ma petite trinquent avec un verre de champagne à la main.
Elle trinque, elles s’embrassent et partent toutes les deux vers les douches, ou Madeleine semble en avoir fini avec ses légionnaires, mais brillant par leur absence, peut-être baise-t-il dans un endroit que je ne peux voir.
Madeleine que je pensais genre vieille fille sur le retour s’avérant être une fieffée salope depuis que je sais qu’elle a contaminé avec sa chatte presque un régiment entier de légionnaires en Algérie.
Et Christine, femme du commandant de cette base qui l’a fait soigner avant de la garder comme femme à son service à son retour en France.
Mais revenons aux filles et la manière dont j’ai piégé Amélie, elle aussi petite salope, mais lorsqu’elle m’a traité d’impuissant, car j’avais une extinction des lumières, un instant côté bite.
J’ai parié avec Ingrid qu’elle n’arriverait pas à entraîner Amélie dans cette voiture, lorsque j’ai vu la soirée dégénérée et s’orienter vers une sauterie collective.
• Christophe, cette voiture reste-t-elle toujours à cette hauteur, Amélie voudrait bien la voir de plus prêt.
Ingrid a joué finement, car je fais descendre le pont, je vais même jusqu’à leur ouvrir la portière arrière pour qu’elle s’installe dans tout ce luxe de cuir qui remplit la Rolls-Royce.
Une fois la portière refermée, je m’empresse de faire remonter le pont, plaçant la voiture la plus haute possible sans que pour autant qu’elle ne touche, le toit du garage.
Là, j’ai fait ce que je fais tous les jours depuis que j’ai emménagé chez Patou.
La planche, me redressant avant de monter en voiture à leurs côtés.
• Christophe, descends, nous voulions être seules Ingrid et moi !
• Moi, je veux être seule avec Ingrid, belle enfant !
N’est-ce pas Ingrid !
La petite blonde semble être sans réponse, à mon injonction, mais elle vient dans mes bras comme pour chercher du réconfort.
• Je vais sauter, je te jure Christophe que je vais le faire !
• Tu en es incapable, il ne te reste plus qu’à subir ma colère de m’avoir traité d’impuissant.
On connaît la suite, Amélie coincée, va subir ma terrible vengeance, Ingrid en profitant au passage, je la lamine lui montrant la puissance de ma verge lorsqu’on la sollicite normalement.
Son rugbyman de copain va avoir du mal à remonter la pente, il sera petite bite ou petit joueur avec celle à qui je démontre la puissance de ma verge.
Ma vengeance, tel était mon but, comme l’on boit, le calice jusqu’à la lie, je laisse mes jeunes femelles récupérer, il est temps de rejoindre le plancher des vaches.
J’ai pitié d’elles, surtout d’Amélie n’ayant pas osé sauter lorsque je l’ai sollicité, j’enclenche la descente, la Phantom retrouve elle aussi le plancher des vaches.
• Christophe, nous cherchons quelqu’un à gentiment flageller, nous espérions, que Patou serait notre prochaine victime consentante, mais nous voyons qu’Ophélie semble vouloir l’accaparer !
• J’ai mieux à vous proposer, dans cette voiture, vous trouverez deux jeunes femmes, occupez-vous surtout d’Amélie, c’est celle près de la portière opposée !
Ça, c’est méchant et gratuit, notamment pour Ingrid, mais je fais confiance à mes deux maîtresses femmes connaissant leur affaire pour distinguer qui de l’une ou de l’autre doit être matée.
Face à moi, j’ai parlé de Vanille, parlant avec l’un des trois légionnaires, semble avoir avancé dans ses intentions.
J’ai parlé du lit en rotin, près de la baie vitrée à bascule, permettant de faire entrer la lumière et principalement de pouvoir le sortir par beau temps l’été venu.
Ils sont là tous les deux, Vanille ressemblant à un petit moustique devant la stature de ce gars, si je comprends bien, venu d’Allemagne.
Il est derrière elle, la petite assez souple à une jambe levée et je vois sa verge la pilonner en passant par-derrière.
Je suis un peu éloigné, mais tout de même assez prêt, je parlais de lui avoir fait aimer les bites plus imposantes que celle de son ex, si j’ai bien compris.
Un gland monstrueux, comment l’expliquer, la tête déborde de chaque côté de la verge de presque un centimètre.
Bon, croyez-moi sur parole, inutile de me demander d’aller mesurer, il ne faut pas oublier que c’est un légionnaire français, même s’il est d’origine allemande dont on parle.
Toutes ces baises, se font entendre, principalement de la bouche de Vanille qui hurle presque certainement de plaisir, je n’ose croire que ce soit de douleur vue que ça dure.
• Où étais-tu mon chéri, je crois savoir, dans la voiture, en début de soirée elle était vers le haut et là elle est revenue au niveau du plancher des vaches.
• Oui ma chérie.
Je t’ai admiré te faisant prendre par mon ami Samy, t’a-t-il fait du bien ?
• Chéri, j’ai honte de te le dire, il voulait me prendre ma chatte, mais comme elle t’est réservée, il m’a sodomisé, tu sais que tu m’as fait aimer cela autant par-devant que par-derrière.
Je prends Patou dans mes bras, instinctivement ma queue se tend.
Elle avait placé une grande serviette autour de ses seins, je la fais chuter.
Je saisis Patou sous ses fesses et je la soulève, voulant l’emmener vers notre lit.
Hélas, il m’était caché du haut de mon promontoire, Madeleine est là avec ses deux légionnaires.
Ils la prennent en double pénétration.
Si leurs verges sont du calibre d’Ours celui qui baise Vanille, la doyenne de notre soirée est bien la reine de celle-ci.
J’ai toujours Patou en mains à bonne hauteur, je la fais retomber sur mon pieu, l’empalant comme on empalait les mauvaises personnes au Moyen Âge.
Comme je l’ai dit, il y a là encore peu de temps, ma fiancée est si maigre que je la porte sans paraitre forcée alors que ses pieds ne touchent pas le sol.
• Chérie, je t’aime, j’ai hâte d’être au samedi 11 mai pour t’offrir nos alliances que je vais devoir aller acheter…
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