COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (3/5)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (3/5)
Seul, je suis enfin seul avec mon petit pompon.
Rapidement je la déshabille et c’est dans notre lit que je fête notre belle nuit de Noël.
Déchaînée, elle est déchaînée, j’ai l’impression, qu’elle me fait l’amour pour la première fois.
Il va de soi que nous faisons tout ce que nous pouvons faire dans l’espace qu’elle ne maîtrise pas toujours.
Tout ce que nous pouvons faire en l’aidant pour qu’elle soit une femme comblée, nous le faisons lors de cette belle nuit.
Notre première belle nuit que je considère comme la nuit une de notre longue vie, du moins je l’espère, un fait récent familial me montre que nous ne maitrisons pas tout.
Dans cette nuit de merveille, je chasse cette idée noire je ne veux que du blanc cette nuit.
Pas de barre ni de pouf pour pimenter mes pénétrations.
Elle sur le ventre, la tête dans l’oreiller et ma verge entre ses cuisses.
Je les écarte pour la prendre par-derrière, la comblant parfaitement lorsque ma verge déclenche le premier orgasme de notre nuit d’amour.
L’imagination n’a pas de limites lorsque deux êtres ont décidé d’être tout l’un pour l’autre.
Je l’aide à la retourner.
Attention, je réfute de dire qu’à cause de son problème, je me serve de ma petite comme une poupée de chiffon.
Nous sommes fusionnelles, mais dans la limite de ce que la nature a fait d’une partie de son corps.
Épuisé, vidé, ma petite a eu ma peau.
J’éteins la lumière, mes paupières sont si lourdes de tant d’émotion, que je dors déjà en appuyant sur le bouton.
Une louve, ce sont ses lèvres autour de mon sexe qui me réveille dans la nuit.
Je m’étais endormi au bout de mes forces, je crois l’avoir prouvé depuis le réveil de ma libido, elle est assez grande sans être pour autant phénoménale.
Cette bague qu’elle porte fièrement à son doigt serait-elle le déclenchement en elle une certaine nymphomanie ?
Va-t-elle me vider du matin au soir de ma substance vitale ?
Rien de tout cela bien sûr, elle m’aime et je l’aime tout simplement.
Je bande fort après le traitement qu’elle m’applique.
Ma bite est sucée sur son gland, léché jusqu’aux couilles et pompé sur toute sa longueur.
Je dois reconnaître que si je l’ai défloré, il y a peu, les pratiques sexuelles entre deux personnes qui s’aiment ne lui sont plus étrangères.
Nous avons faim.
Dès qu’il fait jour, j’appelle la réception pour avoir le petit déjeuner.
Le temps que le service arrive, nous ne nous rendons pas compte et nous nous assoupissons.
Nous sommes nus lorsque Christine et Lisa nous réveillent.
Lisa voulait personnellement nous monter le petit déjeuner, ne s’attendant pas à ce que nous soyons toujours couchés, les fesses à l’air.
Je nous recouvre d’un drap.
J’ai le temps de remarquer le regard gourmand de la belle Italienne portée sur ma virilité bien épuisée, il est vrai pour le moment.
Ma bite ressemble plus à une limace qu’à un mât de cocagne qu’elle a été toute cette nuit, je rectifie, une grande partie de la fin de nuit.
Nous nous installons autour de la table et les plateaux, qu’elles ont apportée.
Il y a largement de quoi nourrir un régiment de marine.
J’ai juste passé un sous-vêtement sur ma nudité et Pat a mis la nuisette qu’elle avait prévue mais qui n’a jamais servi.
Elle était restée sagement au pied du lit se sentant inutile dans ces moments rares de nos vies.
Insidieusement Mona-Lisa, qui est assise à mon côté autour de la table où nous nous installons, caresse par deux fois ma jambe.
Difficile de tenter une approche, comment réagira Christine ?
Il faut être patient, le train et la demeure de Christine peuvent être des terrains de chasse sans risque.
Je laisse les femmes seules et je vais me doucher, idem pour Pat.
Les deux amoureuses retournent comme nous préparer les bagages, les services de l’orient express doivent venir les enlever avant midi.
Pour notre part, nous avons encore du temps pour visiter une autre île de Venise.
Nous sommes dans le canot en direction de chez Christophe et Jacqueline.
Ils sont sur le quai et nous attendent.
Muzio est d’humeur exécrable depuis qu’il a su que Mona-Lisa avait donné son compte et le quitte avec nous.
Je le comprends plus qu’un peu, comment serais-je ce matin si Patou, repliant son doigt m’avait clairement fait comprendre de passer mon chemin ?
On pourrait penser que je jouais sur du velours, l’ayant révélé à sa vie de femme.
Mais, combien d’amoureux au monde, même au milieu de la place San Marco de Venise, ont eu la mauvaise surprise d’avoir un « NON ».
Serviable, il vient aider Jacqueline à monter, elle fait, un faux mouvement met son pied de travers et se tord la cheville.
Elle pousse un grand cri, que je trouve peu naturel.
Tous s’affairent pour masser la jambe de la dame qu’il a aidé à s’assoir sur le siège à l’arrière.
C’est dans le quartier Dorso douro au quai du canal San Trovaso que Mona va nous faire visiter une fabrique et un atelier de réparation de gondole.
Jacqueline ne veut pas descendre, elle a trop mal au pied.
Pat remarque que le sol est très hostile à son fauteuil, reste avec elle et Muzio.
Je la vois prendre son carnet et commencer à croquer.
J’ai là encore une pensée pour cette nuit, le carnet s’est trouvé abandonné comme la nuisette.
Elle au pied du lit et lui sur la table avec son crayon.
J’aide Lisa à descendre et Christine est aidée par mon pote Christ.
Christine semble bien aimer mon camarade.
La façon dont il la fait rire augure de bonnes choses pour lui.
J’ai toujours entendu dire que « femme qui rit, femme surement dans votre lit. »
Un coussin dans une gondole, oui, un lit dans ces ateliers doit être rare à trouver.
Arrivé devant l’atelier, nous avons perdu nos amis entre les ruelles formées par de vieux hangars en ruine.
L’escapade de mes amis m’ouvre des portes pour entreprendre Mona-Lisa.
L’artisan nous reçoit et mon guide traduit les étapes de la fabrication.
Un an de travail pour obtenir ces embarcations uniques au monde.
Nous avançons entre les gondoles neuves et celles qu’ils réparent.
À un croisement, entre deux gondoles, elle se trompe de chemin et c’est ma main sur ces fesses qui la ramènent vers nous.
• Excuse moi ?
• Le plaisir a été pour moi.
Direct en me regardant dans les yeux.
Le fabricant est tellement passionné parce qu’il nous raconte qu’il ne remarque pas mon Jean tendu plus que normal par mon sexe qui réclame sa pitance.
J’étais épuisé avant leur arrivée pour le petit déjeuner, ses jolies mappemondes réveilleraient un mort.
Nous avons fait la moitié de la visite lorsque les deux nouveaux amants nous rejoignent.
Je m’avance, est-ce mon cerveau toujours tourné vers le sexe, ou le temps suffisant qui s’est écoulé et surtout la connaissance de Christine si elle aime les chattes, sait très bien se satisfaire d’un homme.
J’en suis le parfait exemple.
J’en ai fait l’expérience pour mon plus grand plaisir, n’est-ce pas par ce biais que j’ai connu la femme de ma vie.
Ils suivent les explications sans donner l’impression d’avoir loupé presque toute la visite.
J’entraînerai bien Lisa, mais qui traduira les propos à nos amis ?
La visite terminée, nous retournons au canot ou Jacqueline qui ne nous a pas vu saute à bord sans se soucier de sa cheville foulée.
Si, Jacqueline a fait semblant d’être blessé, c’est surement qu’elle avait une idée derrière la tête.
Muzio n’est-il pas pour quelque chose dans le stratagème que la belle a échafaudé pour rester avec lui.
Patricia est restée aussi, le beau gosse a-t-il profité des deux femmes pour se venger de ces Français qui lui enlèvent celle qu’il convoitait.
Si Patricia m’a trompé, je vais être obligé à lui donner la fesser !
Son carnet posé devant elle, le dernier dessin qu’elle semble avoir fait représente une forme à genoux dans un encadrement qui pourrait être l’entrée du poste de pilotage du canot.
J’ai confirmation que Jacqueline a su profiter de son temps pendant notre visite des ateliers.
Pat tenant le crayon et qui pouvait s’agenouiller dans ce poste de pilotage ?
La seule chose dont je suis satisfait, c’est que par ce rapport sexuel, le couple, Christophe attendant que Jacqueline se fasse baiser équilibre les rapports dans leur union.
Chacun vient de baiser ou de se faire baiser sans la présence de l’autre.
Hélas, il faut nous en retourner, je fais la promesse à mon bouchon que nous reviendrons en voyage de noces, mais dans une période plus longue.
J’ai vu dans des boutiques de souvenirs des pièces magnifiques en verre qui seraient fabriquées sur l’île de Murano.
Paris ne s’est pas fait en un jour, pourquoi Venise échapperait à cette règle ?
Sur le quai de l’orient express Pedro est là.
Il tient à porter personnellement celle qui l’a sucé et aller la déposer dans sa cabine.
Lorsqu’elle est pendue à son cou, elle lui montre sa bague.
• Attention Pedro, je suis officiellement fiancé.
Ce beau gosse qui est derrière nous est là pour me protéger maintenant et regarde comme il a de gros bras.
Pour qui me fait-elle passer, mais le tout ponctué d’un rire.
Christine semble avoir des connaissances partout, elle a réussi à ce que nous soyons dans trois compartiments contigus.
Elle nous a fait placer au milieu des deux autres.
Qui est avec qui jusqu'à Paris, les serveurs ne savent plus comment faire leur service.
Il apporte du café, il fallait du thé.
Il faudrait de la bière, ils amènent du vin, Italien.
Mais la bonne humeur est là et le paysage est toujours aussi beau.
Patou voyant le paysage d’un autre œil et continue à faire des croquis.
Je l’ai vu travailler, je me demande ce qui va pouvoir sortir de tous ces traits de crayons couchés sur le papier…
Rapidement je la déshabille et c’est dans notre lit que je fête notre belle nuit de Noël.
Déchaînée, elle est déchaînée, j’ai l’impression, qu’elle me fait l’amour pour la première fois.
Il va de soi que nous faisons tout ce que nous pouvons faire dans l’espace qu’elle ne maîtrise pas toujours.
Tout ce que nous pouvons faire en l’aidant pour qu’elle soit une femme comblée, nous le faisons lors de cette belle nuit.
Notre première belle nuit que je considère comme la nuit une de notre longue vie, du moins je l’espère, un fait récent familial me montre que nous ne maitrisons pas tout.
Dans cette nuit de merveille, je chasse cette idée noire je ne veux que du blanc cette nuit.
Pas de barre ni de pouf pour pimenter mes pénétrations.
Elle sur le ventre, la tête dans l’oreiller et ma verge entre ses cuisses.
Je les écarte pour la prendre par-derrière, la comblant parfaitement lorsque ma verge déclenche le premier orgasme de notre nuit d’amour.
L’imagination n’a pas de limites lorsque deux êtres ont décidé d’être tout l’un pour l’autre.
Je l’aide à la retourner.
Attention, je réfute de dire qu’à cause de son problème, je me serve de ma petite comme une poupée de chiffon.
Nous sommes fusionnelles, mais dans la limite de ce que la nature a fait d’une partie de son corps.
Épuisé, vidé, ma petite a eu ma peau.
J’éteins la lumière, mes paupières sont si lourdes de tant d’émotion, que je dors déjà en appuyant sur le bouton.
Une louve, ce sont ses lèvres autour de mon sexe qui me réveille dans la nuit.
Je m’étais endormi au bout de mes forces, je crois l’avoir prouvé depuis le réveil de ma libido, elle est assez grande sans être pour autant phénoménale.
Cette bague qu’elle porte fièrement à son doigt serait-elle le déclenchement en elle une certaine nymphomanie ?
Va-t-elle me vider du matin au soir de ma substance vitale ?
Rien de tout cela bien sûr, elle m’aime et je l’aime tout simplement.
Je bande fort après le traitement qu’elle m’applique.
Ma bite est sucée sur son gland, léché jusqu’aux couilles et pompé sur toute sa longueur.
Je dois reconnaître que si je l’ai défloré, il y a peu, les pratiques sexuelles entre deux personnes qui s’aiment ne lui sont plus étrangères.
Nous avons faim.
Dès qu’il fait jour, j’appelle la réception pour avoir le petit déjeuner.
Le temps que le service arrive, nous ne nous rendons pas compte et nous nous assoupissons.
Nous sommes nus lorsque Christine et Lisa nous réveillent.
Lisa voulait personnellement nous monter le petit déjeuner, ne s’attendant pas à ce que nous soyons toujours couchés, les fesses à l’air.
Je nous recouvre d’un drap.
J’ai le temps de remarquer le regard gourmand de la belle Italienne portée sur ma virilité bien épuisée, il est vrai pour le moment.
Ma bite ressemble plus à une limace qu’à un mât de cocagne qu’elle a été toute cette nuit, je rectifie, une grande partie de la fin de nuit.
Nous nous installons autour de la table et les plateaux, qu’elles ont apportée.
Il y a largement de quoi nourrir un régiment de marine.
J’ai juste passé un sous-vêtement sur ma nudité et Pat a mis la nuisette qu’elle avait prévue mais qui n’a jamais servi.
Elle était restée sagement au pied du lit se sentant inutile dans ces moments rares de nos vies.
Insidieusement Mona-Lisa, qui est assise à mon côté autour de la table où nous nous installons, caresse par deux fois ma jambe.
Difficile de tenter une approche, comment réagira Christine ?
Il faut être patient, le train et la demeure de Christine peuvent être des terrains de chasse sans risque.
Je laisse les femmes seules et je vais me doucher, idem pour Pat.
Les deux amoureuses retournent comme nous préparer les bagages, les services de l’orient express doivent venir les enlever avant midi.
Pour notre part, nous avons encore du temps pour visiter une autre île de Venise.
Nous sommes dans le canot en direction de chez Christophe et Jacqueline.
Ils sont sur le quai et nous attendent.
Muzio est d’humeur exécrable depuis qu’il a su que Mona-Lisa avait donné son compte et le quitte avec nous.
Je le comprends plus qu’un peu, comment serais-je ce matin si Patou, repliant son doigt m’avait clairement fait comprendre de passer mon chemin ?
On pourrait penser que je jouais sur du velours, l’ayant révélé à sa vie de femme.
Mais, combien d’amoureux au monde, même au milieu de la place San Marco de Venise, ont eu la mauvaise surprise d’avoir un « NON ».
Serviable, il vient aider Jacqueline à monter, elle fait, un faux mouvement met son pied de travers et se tord la cheville.
Elle pousse un grand cri, que je trouve peu naturel.
Tous s’affairent pour masser la jambe de la dame qu’il a aidé à s’assoir sur le siège à l’arrière.
C’est dans le quartier Dorso douro au quai du canal San Trovaso que Mona va nous faire visiter une fabrique et un atelier de réparation de gondole.
Jacqueline ne veut pas descendre, elle a trop mal au pied.
Pat remarque que le sol est très hostile à son fauteuil, reste avec elle et Muzio.
Je la vois prendre son carnet et commencer à croquer.
J’ai là encore une pensée pour cette nuit, le carnet s’est trouvé abandonné comme la nuisette.
Elle au pied du lit et lui sur la table avec son crayon.
J’aide Lisa à descendre et Christine est aidée par mon pote Christ.
Christine semble bien aimer mon camarade.
La façon dont il la fait rire augure de bonnes choses pour lui.
J’ai toujours entendu dire que « femme qui rit, femme surement dans votre lit. »
Un coussin dans une gondole, oui, un lit dans ces ateliers doit être rare à trouver.
Arrivé devant l’atelier, nous avons perdu nos amis entre les ruelles formées par de vieux hangars en ruine.
L’escapade de mes amis m’ouvre des portes pour entreprendre Mona-Lisa.
L’artisan nous reçoit et mon guide traduit les étapes de la fabrication.
Un an de travail pour obtenir ces embarcations uniques au monde.
Nous avançons entre les gondoles neuves et celles qu’ils réparent.
À un croisement, entre deux gondoles, elle se trompe de chemin et c’est ma main sur ces fesses qui la ramènent vers nous.
• Excuse moi ?
• Le plaisir a été pour moi.
Direct en me regardant dans les yeux.
Le fabricant est tellement passionné parce qu’il nous raconte qu’il ne remarque pas mon Jean tendu plus que normal par mon sexe qui réclame sa pitance.
J’étais épuisé avant leur arrivée pour le petit déjeuner, ses jolies mappemondes réveilleraient un mort.
Nous avons fait la moitié de la visite lorsque les deux nouveaux amants nous rejoignent.
Je m’avance, est-ce mon cerveau toujours tourné vers le sexe, ou le temps suffisant qui s’est écoulé et surtout la connaissance de Christine si elle aime les chattes, sait très bien se satisfaire d’un homme.
J’en suis le parfait exemple.
J’en ai fait l’expérience pour mon plus grand plaisir, n’est-ce pas par ce biais que j’ai connu la femme de ma vie.
Ils suivent les explications sans donner l’impression d’avoir loupé presque toute la visite.
J’entraînerai bien Lisa, mais qui traduira les propos à nos amis ?
La visite terminée, nous retournons au canot ou Jacqueline qui ne nous a pas vu saute à bord sans se soucier de sa cheville foulée.
Si, Jacqueline a fait semblant d’être blessé, c’est surement qu’elle avait une idée derrière la tête.
Muzio n’est-il pas pour quelque chose dans le stratagème que la belle a échafaudé pour rester avec lui.
Patricia est restée aussi, le beau gosse a-t-il profité des deux femmes pour se venger de ces Français qui lui enlèvent celle qu’il convoitait.
Si Patricia m’a trompé, je vais être obligé à lui donner la fesser !
Son carnet posé devant elle, le dernier dessin qu’elle semble avoir fait représente une forme à genoux dans un encadrement qui pourrait être l’entrée du poste de pilotage du canot.
J’ai confirmation que Jacqueline a su profiter de son temps pendant notre visite des ateliers.
Pat tenant le crayon et qui pouvait s’agenouiller dans ce poste de pilotage ?
La seule chose dont je suis satisfait, c’est que par ce rapport sexuel, le couple, Christophe attendant que Jacqueline se fasse baiser équilibre les rapports dans leur union.
Chacun vient de baiser ou de se faire baiser sans la présence de l’autre.
Hélas, il faut nous en retourner, je fais la promesse à mon bouchon que nous reviendrons en voyage de noces, mais dans une période plus longue.
J’ai vu dans des boutiques de souvenirs des pièces magnifiques en verre qui seraient fabriquées sur l’île de Murano.
Paris ne s’est pas fait en un jour, pourquoi Venise échapperait à cette règle ?
Sur le quai de l’orient express Pedro est là.
Il tient à porter personnellement celle qui l’a sucé et aller la déposer dans sa cabine.
Lorsqu’elle est pendue à son cou, elle lui montre sa bague.
• Attention Pedro, je suis officiellement fiancé.
Ce beau gosse qui est derrière nous est là pour me protéger maintenant et regarde comme il a de gros bras.
Pour qui me fait-elle passer, mais le tout ponctué d’un rire.
Christine semble avoir des connaissances partout, elle a réussi à ce que nous soyons dans trois compartiments contigus.
Elle nous a fait placer au milieu des deux autres.
Qui est avec qui jusqu'à Paris, les serveurs ne savent plus comment faire leur service.
Il apporte du café, il fallait du thé.
Il faudrait de la bière, ils amènent du vin, Italien.
Mais la bonne humeur est là et le paysage est toujours aussi beau.
Patou voyant le paysage d’un autre œil et continue à faire des croquis.
Je l’ai vu travailler, je me demande ce qui va pouvoir sortir de tous ces traits de crayons couchés sur le papier…
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci mon ami une nouvelle fois
Histoire toujours aussi bien bâtie. J’aime ce genre de texte qui nous fait voyager et Venise les gondoles et l’orient express.merci Chris pour cette balade. Daniel

