COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (35/36)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (35/36)
• Ma chère Aglaé, la mousse au chocolat, nous a permis des jeux bien sympathiques, mais as-tu déjà goûté à la double pénétration ?
Nous avons là à notre disposition deux mâles en rut, qui si je les sollicite serons prêts à te prendre chacun d’un côté chatte et anus.
• Non, c’est la première fois que je suis dans un lit avec deux beaux gosses.
• T’es-tu déjà fait enculer ?
• Gabriel le sait, je lui ai tout avoué au début de notre relation.
• Je…
• Vous, les queues, vous fermez vos grandes bouches, les femmes viennent de prendre le pouvoir dans cette chambre.
Aglaé répond et toi seule, tu as la parole.
J’aime lorsque Patou prend le pouvoir dans nos jeux.
Il est vrai que j’ai beaucoup aimé, et je le pense, Gabriel aussi, de manger la mousse au chocolat au fond des chattes de ces dames.
Nos queues n’étant pas en reste, je dois même admettre que pour la première fois, ma langue a un peu traîné sur la verge de Gabriel sans trop appuyer et insister.
Il ne faudrait pas me prendre pour ce que je ne suis pas.
• Une double pénétration non, jamais !
Gabriel sait que je n’étais pas vierge lors de nos premiers rapports.
J’ai un oncle, le frère de ma maman, qui devait me garder pendant le voyage de renouvellement de leurs vœux de mariage de mes parents.
Il m’a si bien gardé qu’il m’a dépucelé le jour de mes seize ans.
Je ne connaissais rien du sexe, j’ai fini ma nuit d’anniversaire avec toutes les parties de mon corps qu’une femme peut offrir à un homme ayant appris à lui servir !
Attention, c’est moi qui l’ai forcé, j’avais vu un film porno en huit millimètres chez une copine et je voulais m’identifier à l’actrice.
J’ai rencontré Gabriel et j’avais beaucoup aimé de me faire sodomiser.
Je lui ai tout dit, mais cela fait partie du pourquoi je l’avais quitté, il refusait de me donner du plaisir par ce côté de mon corps.
« Je l’avais quitté. »
Bon début, ce « jamais » est une source de reprise si Patou et moi savons ranimer la flamme entre ces deux-là.
Voilà, il est neuf heures lorsque j’ouvre un œil.
On va me dire et la double pénétration !
C’est fait, Patou avait eu ce plaisir avec moi et l’autre Christophe, à Venise.
Aglaé aussi, mais c’est moi qui ai été la tranche de pain refermant le sandwich.
J’avais bien senti du mouvement, mais il me fallait récupérer.
Serais-je vieillissant, non, seulement surmené par les jeux érotiques que Pat m’impose ?
Sans bien me forcer, je dois le reconnaitre.
Le petit déjeuner nous est servi, Aglaé est partie auprès de ses clients pour les lever et Gabriel nous apportant notre petit déjeuner, pris dans notre chambre depuis notre arrivée.
La tempête, c’est calmer, sans pour autant que le beau temps ne s’installe.
Il doit faire froid, les fenêtres de la baie vitrée sont couvertes de givre entre le contraste de la température extérieure et notre chambre, très bien chauffée.
Sans oublier nos jeux de la nuit, ayant surement généré des sources de chaleur tellement ils ont été intenses.
• Ces messieurs dames ont-ils bien dormi ?
Foutage de gueules, Gabriel a le nez comme celui du portrait qu’a peint de moi mon aimé et qui est en vente dans son expo.
Certes, les yeux sont au milieu de sa figure, mais des cernes sont très visibles.
• Madame, je vous ai préparé votre chocolat chaud, est-ce que je peux enlever la table de votre repas d’hier au soir ?
Je vois que vous avez apprécié la mousse au chocolat, façon Cordouan.
Pour ma part, j’en ai aussi mangé, un régal, j’ai failli vous en remettre un peu sur ce plateau !
Gabriel quitte la chambre, fier de sa remarque, n’ayant pas l’air d’y toucher au moment où la responsable des chambres, vient le solliciter, service, service.
• Chéri, j’aimerais aller manger des huitres à Marennes, connais-tu ces fruits de mer ?
• Chez nous, à Noël, nous n’avions pas ou peu d’argent.
Le repas de fête était la dinde aux marrons, je n’en ai jamais mangé.
J’ai le droit à un baiser, pour peut-être se faire pardonner de m’avoir fait penser à mes parents.
Nous avons quitté l’hôtel avec la voiture, nous suivons le bord de mer.
À ma gauche, un casino.
• Chéri, nous sommes à Pontaillac, je vois que tu regardes vers le casino.
J’y suis venue avec marraine et je n’ai pas pu y rentrer, car je n’étais pas majeure.
Que dirais-tu de venir ce soir dépenser quelques billets ?
Attention raisonnablement, le casino est un poison mortel qui a eu la peau de bien des gens croyants avoir des martingales.
Robert, Robert, j’aurais dû t’emmener au lieu d’emporter celui de Simone avec sa dédicace.
J’ai demandé Pat en mariage, réalisant ainsi son rêve, la dédicace à peu d’importance puisque c’est devenu la réalité.
Mais de là à transporter ce machin de trois kilos au moins, bon soyons réaliste, deux kilos, ce n’est déjà pas mal, pour une succession de mots et de formule nous expliquant leur sens.
Autant emporter la série d’encyclopédies en X exemplaires, qu’un voisin de mes parents s’était fait refiler par un colporteur venu faire du porte-à-porte, moyennant finance, ça va de soi.
Le colporteur passait de pavillon de banlieue en pavillon de banlieue.
Heureusement, papa était là, maman avait failli se faire séduire par la beauté de ces livres, vite inutile.
Saint-Palais sur mer, Pat a déjà vu cette ville de plage, déjà bien fréquenté l’été, je me serais bien arrêté pour faire un tour sur la plage, bien plus petite que celle de Royan.
Mais, les huitres risquent de nous attendre, je sens que nous y reviendrons avant la fin de notre séjour.
Nous longeons un zoo.
• Christophe, ce zoo est ici depuis deux ans, la fois où je suis venue avec marraine, il était en construction.
Depuis cette date, 1966, il est devenu l’un des parcs zoologiques les plus réputés de France, accueillant chaque année de nombreux visiteurs venus découvrir sa grande diversité d’animaux et s’engager pour la conservation des espèces.
J’aimerais le visiter, mais il faut des heures et je suis encore en convalescences, nous y reviendrons, je te le promets, j’aime cette région et je pense avoir une idée !
Paris ne s’est pas fait en un jour !
J’aime cette formule pertinente, enfin les parcs à huitres.
Nous sommes un peu déçus, pas par les parcs à huitres, mais par le peu de monde qui s’y trouve.
La serveuse du restaurant du bout du monde, éclate de rire lorsque nous lui posons la question.
• Les huitres, c’est principalement pour Noël et les jours fériés pendant les mois en R.
Nous sommes en mars, donc c’est la période creuse où les ostréiculteurs prennent quelques jours de repos bien mérités.
Vous seriez venus au moment des fêtes, ça grouillait de partout pour servir les quatre coins de la France.
Une douzaine de fines de Claire, chacun, messieurs dames, bon appétit.
Je prends en main un coquillage et j’avale tout cru la première huitre de ma vie.
Patou me regarde en rigolant.
• Qu’ai-je fait qui te rend tout hilare, m’y serai-je mal pris ?
• Non et oui, tu as bien dégagé la partie charnue de cette huitre à la partie qui la relie à sa coquille, avec la petite fourchette.
• Mademoiselle, veut vous faire comprendre, qu’une huitre est un animal vivant.
J’ai l’impression que même Paola, la serveuse aux grands yeux bleus se fiche de moi.
Je dis Paola, parce qu’une petite broche dorée posée sur une poitrine avenante porte ce nom.
• Je vois un certain étonnement de ma réflexion, j’ai beau être étrangère, je sais qu’une huitre, ça se croque d’un coup de dent pour la tuer.
En l’avalant tout cru, vous avez pris le risque que cette huitre, pour se venger, ne se colle dans votre estomac, entraînant des ulcères pouvant vous apporter de gros problèmes.
Il faut la croquer pour la tuer, avant de l’avaler.
Durant que j’y suis, mademoiselle, que vous est-il arrivé, pourquoi marchez-vous avec une canne ?
• Ce serait trop long à vous expliquer, à mon tour de vous poser une question, avec votre accent, de quel pays venez-vous ?
• Je suis ukrainienne, ma fiancée est entrée dans les forces armées et a voulu que je me sauve pour sauver ma peau.
J’ai fait le voyage vers la France, langue que j’ai apprise à kief.
Je vous prie de m’excuser de mon mauvais accent.
• Non, il est très joli et sans faute, ce qui est primordial lorsque l’on parle une langue.
Je me sens rapidement exclu de la conversation, à chaque plat, il n’y en a que pour Patou.
Il faut dire que nous sommes les seuls clients dans le restaurant.
Nous finissons par prendre un café, Paola a disparu.
• Je ne vous attendais pas !
Puis-je me permettre de vous appeler par votre petit nom ?
• Sans le moindre problème, Paola, je me permets d’en faire autant !
• Je vais à Ronce, ça nous embêterait de me déposer chez moi ?
Ce matin, je suis venue avec la patronne, mais elle ne repart pas avant une certaine heure et à pied ça me prendrait plus d’une heure sous le froid et la pluie.
Pour faire du stop d’un nouveau genre, celle-là, je ne l’avais pas vu venir.
Surtout que lorsque je m’installe derrière le volant de la Rolls, les deux femmes montent derrière moi.
Combien, cinquante, cent mètres, avant que mon rétro me permet de voir les deux femmes se prendre dans les bras et s’embrasser à pleine bouche.
• Attend-nous là, je vais montrer mon petit logement à mon amie.
Très peu gonfler l’Ukrainienne, nous sommes vite à Ronce-les bains, ça fait presque une heure qu’elles sont montées me demandant d’attendre.
• Chéri, j’ai rarement vu une brouteuse de minette comme cette Paola, nous rentrons à Royan…
Nous avons là à notre disposition deux mâles en rut, qui si je les sollicite serons prêts à te prendre chacun d’un côté chatte et anus.
• Non, c’est la première fois que je suis dans un lit avec deux beaux gosses.
• T’es-tu déjà fait enculer ?
• Gabriel le sait, je lui ai tout avoué au début de notre relation.
• Je…
• Vous, les queues, vous fermez vos grandes bouches, les femmes viennent de prendre le pouvoir dans cette chambre.
Aglaé répond et toi seule, tu as la parole.
J’aime lorsque Patou prend le pouvoir dans nos jeux.
Il est vrai que j’ai beaucoup aimé, et je le pense, Gabriel aussi, de manger la mousse au chocolat au fond des chattes de ces dames.
Nos queues n’étant pas en reste, je dois même admettre que pour la première fois, ma langue a un peu traîné sur la verge de Gabriel sans trop appuyer et insister.
Il ne faudrait pas me prendre pour ce que je ne suis pas.
• Une double pénétration non, jamais !
Gabriel sait que je n’étais pas vierge lors de nos premiers rapports.
J’ai un oncle, le frère de ma maman, qui devait me garder pendant le voyage de renouvellement de leurs vœux de mariage de mes parents.
Il m’a si bien gardé qu’il m’a dépucelé le jour de mes seize ans.
Je ne connaissais rien du sexe, j’ai fini ma nuit d’anniversaire avec toutes les parties de mon corps qu’une femme peut offrir à un homme ayant appris à lui servir !
Attention, c’est moi qui l’ai forcé, j’avais vu un film porno en huit millimètres chez une copine et je voulais m’identifier à l’actrice.
J’ai rencontré Gabriel et j’avais beaucoup aimé de me faire sodomiser.
Je lui ai tout dit, mais cela fait partie du pourquoi je l’avais quitté, il refusait de me donner du plaisir par ce côté de mon corps.
« Je l’avais quitté. »
Bon début, ce « jamais » est une source de reprise si Patou et moi savons ranimer la flamme entre ces deux-là.
Voilà, il est neuf heures lorsque j’ouvre un œil.
On va me dire et la double pénétration !
C’est fait, Patou avait eu ce plaisir avec moi et l’autre Christophe, à Venise.
Aglaé aussi, mais c’est moi qui ai été la tranche de pain refermant le sandwich.
J’avais bien senti du mouvement, mais il me fallait récupérer.
Serais-je vieillissant, non, seulement surmené par les jeux érotiques que Pat m’impose ?
Sans bien me forcer, je dois le reconnaitre.
Le petit déjeuner nous est servi, Aglaé est partie auprès de ses clients pour les lever et Gabriel nous apportant notre petit déjeuner, pris dans notre chambre depuis notre arrivée.
La tempête, c’est calmer, sans pour autant que le beau temps ne s’installe.
Il doit faire froid, les fenêtres de la baie vitrée sont couvertes de givre entre le contraste de la température extérieure et notre chambre, très bien chauffée.
Sans oublier nos jeux de la nuit, ayant surement généré des sources de chaleur tellement ils ont été intenses.
• Ces messieurs dames ont-ils bien dormi ?
Foutage de gueules, Gabriel a le nez comme celui du portrait qu’a peint de moi mon aimé et qui est en vente dans son expo.
Certes, les yeux sont au milieu de sa figure, mais des cernes sont très visibles.
• Madame, je vous ai préparé votre chocolat chaud, est-ce que je peux enlever la table de votre repas d’hier au soir ?
Je vois que vous avez apprécié la mousse au chocolat, façon Cordouan.
Pour ma part, j’en ai aussi mangé, un régal, j’ai failli vous en remettre un peu sur ce plateau !
Gabriel quitte la chambre, fier de sa remarque, n’ayant pas l’air d’y toucher au moment où la responsable des chambres, vient le solliciter, service, service.
• Chéri, j’aimerais aller manger des huitres à Marennes, connais-tu ces fruits de mer ?
• Chez nous, à Noël, nous n’avions pas ou peu d’argent.
Le repas de fête était la dinde aux marrons, je n’en ai jamais mangé.
J’ai le droit à un baiser, pour peut-être se faire pardonner de m’avoir fait penser à mes parents.
Nous avons quitté l’hôtel avec la voiture, nous suivons le bord de mer.
À ma gauche, un casino.
• Chéri, nous sommes à Pontaillac, je vois que tu regardes vers le casino.
J’y suis venue avec marraine et je n’ai pas pu y rentrer, car je n’étais pas majeure.
Que dirais-tu de venir ce soir dépenser quelques billets ?
Attention raisonnablement, le casino est un poison mortel qui a eu la peau de bien des gens croyants avoir des martingales.
Robert, Robert, j’aurais dû t’emmener au lieu d’emporter celui de Simone avec sa dédicace.
J’ai demandé Pat en mariage, réalisant ainsi son rêve, la dédicace à peu d’importance puisque c’est devenu la réalité.
Mais de là à transporter ce machin de trois kilos au moins, bon soyons réaliste, deux kilos, ce n’est déjà pas mal, pour une succession de mots et de formule nous expliquant leur sens.
Autant emporter la série d’encyclopédies en X exemplaires, qu’un voisin de mes parents s’était fait refiler par un colporteur venu faire du porte-à-porte, moyennant finance, ça va de soi.
Le colporteur passait de pavillon de banlieue en pavillon de banlieue.
Heureusement, papa était là, maman avait failli se faire séduire par la beauté de ces livres, vite inutile.
Saint-Palais sur mer, Pat a déjà vu cette ville de plage, déjà bien fréquenté l’été, je me serais bien arrêté pour faire un tour sur la plage, bien plus petite que celle de Royan.
Mais, les huitres risquent de nous attendre, je sens que nous y reviendrons avant la fin de notre séjour.
Nous longeons un zoo.
• Christophe, ce zoo est ici depuis deux ans, la fois où je suis venue avec marraine, il était en construction.
Depuis cette date, 1966, il est devenu l’un des parcs zoologiques les plus réputés de France, accueillant chaque année de nombreux visiteurs venus découvrir sa grande diversité d’animaux et s’engager pour la conservation des espèces.
J’aimerais le visiter, mais il faut des heures et je suis encore en convalescences, nous y reviendrons, je te le promets, j’aime cette région et je pense avoir une idée !
Paris ne s’est pas fait en un jour !
J’aime cette formule pertinente, enfin les parcs à huitres.
Nous sommes un peu déçus, pas par les parcs à huitres, mais par le peu de monde qui s’y trouve.
La serveuse du restaurant du bout du monde, éclate de rire lorsque nous lui posons la question.
• Les huitres, c’est principalement pour Noël et les jours fériés pendant les mois en R.
Nous sommes en mars, donc c’est la période creuse où les ostréiculteurs prennent quelques jours de repos bien mérités.
Vous seriez venus au moment des fêtes, ça grouillait de partout pour servir les quatre coins de la France.
Une douzaine de fines de Claire, chacun, messieurs dames, bon appétit.
Je prends en main un coquillage et j’avale tout cru la première huitre de ma vie.
Patou me regarde en rigolant.
• Qu’ai-je fait qui te rend tout hilare, m’y serai-je mal pris ?
• Non et oui, tu as bien dégagé la partie charnue de cette huitre à la partie qui la relie à sa coquille, avec la petite fourchette.
• Mademoiselle, veut vous faire comprendre, qu’une huitre est un animal vivant.
J’ai l’impression que même Paola, la serveuse aux grands yeux bleus se fiche de moi.
Je dis Paola, parce qu’une petite broche dorée posée sur une poitrine avenante porte ce nom.
• Je vois un certain étonnement de ma réflexion, j’ai beau être étrangère, je sais qu’une huitre, ça se croque d’un coup de dent pour la tuer.
En l’avalant tout cru, vous avez pris le risque que cette huitre, pour se venger, ne se colle dans votre estomac, entraînant des ulcères pouvant vous apporter de gros problèmes.
Il faut la croquer pour la tuer, avant de l’avaler.
Durant que j’y suis, mademoiselle, que vous est-il arrivé, pourquoi marchez-vous avec une canne ?
• Ce serait trop long à vous expliquer, à mon tour de vous poser une question, avec votre accent, de quel pays venez-vous ?
• Je suis ukrainienne, ma fiancée est entrée dans les forces armées et a voulu que je me sauve pour sauver ma peau.
J’ai fait le voyage vers la France, langue que j’ai apprise à kief.
Je vous prie de m’excuser de mon mauvais accent.
• Non, il est très joli et sans faute, ce qui est primordial lorsque l’on parle une langue.
Je me sens rapidement exclu de la conversation, à chaque plat, il n’y en a que pour Patou.
Il faut dire que nous sommes les seuls clients dans le restaurant.
Nous finissons par prendre un café, Paola a disparu.
• Je ne vous attendais pas !
Puis-je me permettre de vous appeler par votre petit nom ?
• Sans le moindre problème, Paola, je me permets d’en faire autant !
• Je vais à Ronce, ça nous embêterait de me déposer chez moi ?
Ce matin, je suis venue avec la patronne, mais elle ne repart pas avant une certaine heure et à pied ça me prendrait plus d’une heure sous le froid et la pluie.
Pour faire du stop d’un nouveau genre, celle-là, je ne l’avais pas vu venir.
Surtout que lorsque je m’installe derrière le volant de la Rolls, les deux femmes montent derrière moi.
Combien, cinquante, cent mètres, avant que mon rétro me permet de voir les deux femmes se prendre dans les bras et s’embrasser à pleine bouche.
• Attend-nous là, je vais montrer mon petit logement à mon amie.
Très peu gonfler l’Ukrainienne, nous sommes vite à Ronce-les bains, ça fait presque une heure qu’elles sont montées me demandant d’attendre.
• Chéri, j’ai rarement vu une brouteuse de minette comme cette Paola, nous rentrons à Royan…
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