COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (36/36)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (36/36) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (36/36)
• Tu boudes, Christophe, c’est la première fois que je te vois faire cette tête depuis que nos cœurs ont fait tilt !
• Oui et non, oui, car j’ai l’impression d’être simplement devenu le chauffeur de madame !
Eh non, puisque depuis que ça a fait tilt comme tu le dis, je t’aime de plus en plus.
C’était drôle de jouer au chauffeur à la sortie de Paris, tu dormais et Azalée m’apportait de la compagnie.
• Alors, tu ne veux pas que je te raconte, ce que j’ai fait avec Paola ?
• Je l’imagine facilement, tu lui as sucé la chatte et elle en a fait de même pour toi.
Je t’ai vu dans ta chambre à l’hôpital, lorsque tu as convoqué Vanille, sa langue était très agile pendant que je la baisais !
• C’est vrai que si tu avais été dans cette chambre, même en te contentant de regarder, mon plaisir aurait été encore plus fort.
Paola a sorti un gode sur lequel il y avait un gland, à chaque extrémité.
On se l’est enfilé et là, j’ai pensé à toi.
Ton gland est plus imposant que celui qu’elle m’offrait.
Tiens, prend ça, en faisant attention en conduisant.
Elle m’a offert ce boitier qui commande une boule qu’elle m’a mise dans ma chatte.
Tu vois, on a pensé à toi.

Patou me passe un boitier avec un petit variateur.
Je connais les variateurs, car mes parents, à la foire de Paris, où nous allions tous les ans, ont eu la drôle d’idée d’acheter un lampadaire avec variateur pour tamiser la lumière.
C’était du temps où ils étaient un couple avant que maman ne rencontre Isis et que lui ne plonge dans l’eau de la marne avec notre voiture.
Je le portais dans le métro, j’avais l’air d’un con avec ce grand machin, mais j’ai réussi à le ramener jusqu’à notre salle à manger, mais plutôt dans le salon.
Un soir où j’étais descendue pour vider ma vessie, ils avaient tamisé la lumière.
C’est la première fois que, dans une glace bien placée, j’ai vu mon père baiser ma mère en levrette.
Cette vision a dû conditionner ma manière de baiser, j’adore prendre ces dames en levrette.
D’un coup Patou se tortille sur son siège, tout en roulant, je viens de tourner la petite molette du variateur sans me rendre compte que je l’ai mis au maxi.

• Ralentit ce machin, ah ! ahhhhhhhhhhh.

Ko, avec simplement une petite molette, je viens de me venger de cette petite peste.
Elle ouvre son pantalon, je manque de rater un virage.
Elle en sort une ficelle avec au bout un petit objet long comme un suppositoire et deux fois plus gros.
C’est beau le monde moderne aux cours duquel nous vivons, nous inventons de ces choses inutiles, mais apportant bien du plaisir.
J’ai même l’une des rares fois ou j’ai écouté les infos que c’est la lutte entre les Russes et les Américains pour savoir qui seront les premiers à marcher sur la Lune !
La lune, je les ai pris de vitesse en tapant dans celle de Patou.

• Tu voulais me tuer, je dois reconnaitre que je préfère ta bite à ce machin diabolique.

Devant nous, un croisement, une estafette de la gendarmerie, l’un d’eux me fait signe de m’arrêter.

• Contrôle de police, veuillez…
Mais c’est vous à qui j’ai donné des conseils ce matin lors de la sortie de route d’un conducteur.
Je reconnais la voiture…

Pauvre con, une Rolls, tu en vois tous les jours, lorsque tu emmerdes le monde à ton carrefour, patate.
Bon, je suis d’une nature excessive, lorsque je suis de mauvaise foi.

• Mademoiselle, je vous ai conseillé d’avoir une tenue plus conforme aux bonnes mœurs, vous pourriez remonter votre pantalon !
• Monsieur l’agent, je vais vous faire un cadeau, vous l’offrirez à votre femme.
Je viens de le remettre dans sa boîte, il y a une notice d’utilisation.
• Eh bien, merci, faite attention et passez une bonne soirée.

Je redémarre, le gendarme me faisant le passage, sa boîte dans la main.

• Tu es folle, pourquoi lui as-tu donné ton jouet extraordinaire ?
• Parce que je préfère l’original à la copie et mon original à moi, c’est ce que tu as là.

Patou sort ma verge et se penchant sous mon bras commence une bonne fellation.

• Mon cœur, le gendarme nous a dit de faire attention.
• Depuis quand, c’est la maréchaussée qui nous donne des ordres.
Quels risques, il y a, la route est libre et ça m’étonnerait qu’il y ait plus de deux estafettes de gendarmerie sur cette route, un mois de mars.

Nous arrivons indemnes à notre chambre, sauf ma bite, car Pat a avalé tout mon sperme lorsque je lui ai déchargé dans sa bouche.
Nous nous douchons, nous aidant l’un l’autre, mais nous restons sages, le Casino nous attend.

• Christophe, combien as-tu sur toi ?
• Je ne sais pas, 2 000 ou 3 000.
• Marraine, m’a donné une règle d’or, ne jamais jouer plus que tu ne possèdes.
Je viens de vendre plusieurs toiles, tu pourrais te permettre de perdre tout ce que tu as, mais je trouve raisonnable que tu n’emmènes que 1 000 francs, j’en fais de même pour moi.
Lorsque nous rentrerons et que tu auras tout perdu, tu me remercieras pour ce bon conseil que je te donne et que je m’applique à moi-même.

Aux femmes et leur éternel sens de la mesure, c’est pour ça qu’on les aime.
Nous récupérons la voiture, Patou marche sans sa canne, c’est mon bras qui lui sert de canne.
C’est la première fois que je vois mon cœur en robe avec dessous une paire de bas noir comme sa robe, tenue par des jarretières.
Dans la chambre, lorsqu’elle les a mis, j’ai failli lui sauter dessus.

• Patou, je t’aime deux fois plus qu’hier et bien moins que demain.

On pourrait dire que ces mots formant une phrase, c’est un ou une autre qui les a alignées avant moi.
Je certifie qu’à la vue de Patou en robe, elle, que je n’ai connue qu’avec des pantalons, c’est moi qui la découvre.

• Chéri, tu te prends pour Rosemonde Gérard, cette phrase, elle l’a écrite dans son poème « L’éternelle chanson. » Publié dans les années 1890.
Mais si tu penses que c’est toi qui l’as trouvé, elle me va droit au cœur mon amour.
• Si c’est une autre qui l’a écrite dans un poème, j’ai dû l’entendre, mais toi comment connais-tu cela ?
• Lorsque j’étais plus petite, après mon accident, comme tu le sais, c’est Christine, aidée de Madeleine qui m’ont élevé.
Je dévorais les livres qu’elle m’apportait de la bibliothèque avant de trouver ma voie dans la peinture.
J’adorais la poésie et j’ai lu certains de ses écrits, « l’éternelle chanson » en faisait partie.

Je rappelle que de nombreuses fois, j’ai évoqué moi aussi ma passion pour la lecture, mais en remplacement la poésie par Tintin et Milou.
Patou est-elle capable, au lieu d’une seule phrase retenue, de réciter l’intégralité de « Tintin au Congo. »
Oh, je sais, j’ai aussi entendu aux infos, qu’il était dit que Tintin au Congo, c’était raciste, comme l’aurait été Hergé.
Autre temps autres mœurs, mais ça, c’est de la politique.

La route se fait rapidement, surtout en début de soirée entre notre hôtel et l’entrée du Casino.
Mais nous sommes en mars et à part quelques personnes obligées de travailler, les vacanciers comme nous ne sommes pas légion.
Ce qui est surprenant, c’est le Casino, presque toutes les voitures dans un secteur de quelques kilomètres, il est déjà presque plein.

Je suis dans l’obligation d’aller me garer à l’arrière tout près des poubelles ou je vois un homme qui a dû les sortir et perdre quelque chose dans l’une d’elles.
Je viens d’allumer les phares de mon bolide, lorsque je me rends compte que c’est autre chose que je viens quasiment de prendre dans leur halo.
Un clodo, un clochard cherchant de la pitance dans ces bennes à ordures.
À sa main, je vois nettement une poignée d’épluchure de pommes de terre qu’il porte à sa bouche.
Je coupe les phares et je sors comme le fait Patou.

• Mec t’as pas dix balles, j’ai une martingale infaillible, mais je suis un peu à court de cash.
Madame, vous êtes aussi belle que ma fiancée avec laquelle je suis venue en août et qui m’a lâchement laissé tomber.
Si tu me donnes dix balles, je vais pouvoir me refaire et retourner chez moi les poches pleines.
Mec, tu marches dans ma combine, elle est infaillible.

La voix, malgré la barbe que portent souvent les clodos sous les ponts de Seine, j’ai l’impression de connaitre celui qui est derrière.

• Christophe, c’est toi, tu vas pouvoir m’aider, je te dis que tu as une chance grâce à ma martingale, c’est moi Alain, ton voisin de Champigny.

Pour ceux qui pourraient avoir oublié Alain, c’est celui dont je parlais dans l’un des chapitres, premiers de la classe dans ma jeunesse et que je prédisposais à devenir député, voire ministre.
Patou aurait-elle raison, sur le démon du jeu, et a bien fait de limiter la somme que j’ai apportée à mille francs.
Mon copain d’enfance, semblant tombé dans la déchéance, se contentait de dix francs, espérant se refaire !…

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