COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (38/39)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (38/39)
• À la tienne, Julius, t’es sûr qu’ils ne l’ont pas séquestré pour éviter de lui payer ses 2 millions de francs ?
• Vous êtes pessimiste Pat, ici, c’est une maison sérieuse, à la vôtre !
• Tiens, le voilà, chéri, Julius est super, il est vraiment trop marrant, on dirait qu’il a un balai dans le cul, mais c’est parce qu’il était colonel dans l’armée.
À la tienne, putain, il fait soif ici.
Pat semble plus qu’éméché, je suis parti plus d’une heure dans les bureaux et dans la poche de ma veste, j’ai mon chèque de 2 millions, je n’ai jamais été personnellement aussi riche.
Sur le bar, il y a deux bouteilles de champagne, la deuxième, presque aussi vide que la première.
• Christophe, je me présente, le comte Julius de Brie de Meaux.
Colonel de réserve de l’armée française.
Avec la petite Patou, nous avons signé un armistice.
Quelques coupes de ce divin breuvage, nous ont bien aidés !
Si Julius, quel étrange prénom, a bu autant que ma fiancée, il tient très bien la bouteille.
Il est vrai que dans son smoking, il ne laisse rien paraitre.
Lorsque j’étais à ses côtés après qu’il avait laissé Pat s’asseoir à la table de la roulette en service.
J’avais remarqué sa posture rigide dans son smoking noir.
Je m’étais fait la réflexion intérieurement que ce devait être un Anglais qui était en France pour dépenser son pognon.
• Jacques, une bouteille, c’est Christophe qui régale, tu vas bien trinquer avec mon ami, si tu savais ce que j’ai découvert…
Patou se pend à mon cou d’un bras, l’autre tenant sa canne.
Cette dernière, préalablement prévue pour assurer son équilibre après qu’elle a, avec beaucoup de chance, retrouvé l’usage de ses jambes, lui sert dans son état d’ébriété.
• Julou, il crèche au même hôtel que le nôtre à Royan.
Putain que j’ai soif, elle vient cette bouteille, merde, il faut que j’aille la chercher à Reims !
Je retrouve là, ma petite, capable de tous les excès lorsqu’elle lâche les vannes.
Le serveur fait péter un bouchon et ayant mis une coupe supplémentaire nous sert.
Sa canne d’une main, elle lâche mon cou et, comme bon nombre d’ivrognes devant leur verre, elle avale le sien d’un coup sans en faire tomber la moindre goutte.
• Julou, vient là que je me tienne, mince, j’ai même pas trinqué à ta victoire, Christophe.
Jacques, une autre avant qu’on rentre, Christophe, tu vas bien nous conduire !
Moi, en plus de ne pas savoir le faire, je n’ai plus les yeux en face des trous.
Jules, merde, comment tu t’appelles déjà, Julou, je me trompe, à non, Julius.
Ta mère, la comtesse, elle avait dû fêter la naissance avant l’heure d’un fils pour te donner un prénom aussi débile.
Mais bon, je t’aime bien comme voisin de chambre à Royan.
Christophe, tu te rends compte, il regardait comme nous la tempête, pendant que tu me baisais sur la moquette devant la fenêtre.
• Monsieur, que reste-t-il à payer ?
Je vais ramener me fiancer dans son lit.
Julius, vous pouvez m’aider, il va de soi que je vous ramène si vous avez décidé de rentrer à notre hôtel !
Par chance, la Rolls est tout près de l’entrée après mon petit voyage jusqu’à la gare pour reconduire Alain qui n’a pas eu la même chance que moi, même si je récupère une fiancée bourrée.
J’ai réglé la dernière bouteille, que Pat tient dans sa main, s’attachant à cette dernière comme un naufragé à la bouée de secours que les sauveteurs lui ont envoyé.
Je retrouve la situation que j’avais connue lors de notre voyage pour venir ici avec Azalée.
Dans mon rétro, je vois Patou, boire un coup et s’attaquer à la braguette de notre colonel.
Si l’armée quelques fois, bas en retraite, lui, est bien au garde-à-vous, comme un militaire sait le faire, même s’il est de réserve.
• Excusez, Christophe, votre fiancée sait très bien y faire.
• Julius, laissez-vous faire, lorsque Patou lâche les vannes.
Même moi, je suis incapable de la réfréner, si vous saviez par où elle est passée !
J’ignore, s’il sait par où elle est passée, mais je suis pressé d’arriver à l’hôtel.
Il a beau être plus de minuit, il y a de la lumière dans les rues et des gens de cette ville côtière sont encore dehors.
De plus, je sens que Patou en plus de sucer Julius, est prêt à se foutre à poil.
Je gare la voiture devant l’hôtel, même s’il est tard.
Un chasseur est encore là pour aller la garer et nous amenons prestement mon aimée vers notre chambre.
Dans la glace de l’ascenseur, je vois que Julius a rangé sa queue sans fermer sa braguette.
• Vous avez été super, Christophe, on va baiser ensemble comme nous l’avions fait avec Christophe à Venise.
J’ai une soif, la bibine, ça assèche la gorge…
Patou, en sortant de la voiture, a récupéré sa bouteille.
De toute manière, en passant devant l’accueil, elle a commandé qu’on nous monte une bouteille.
• Maintenant que je vous ai aidé à ramener votre amie, je vais vous laisser !
Je m’excuse encore auprès de vous, Patou et de vous, Christophe, d’avoir fait allusion à votre fidélité !
Encore félicitation pour votre coup de maître à la roulette !
Je pourrais dire que j’étais là lorsqu’un numéro est sorti trois fois de suite avec un joueur ayant laissé sa mise initiale !
Christophe, excusez-moi aussi d’avoir laissé votre amie me sucer dans la voiture pendant que vous conduisiez.
J’ai manqué à tous mes devoirs d’officier, mais votre fiancée est si jolie !
Je m’assois dans l’un des deux fauteuils mis à notre disposition dans le coin salon de la suite que nous occupons depuis le début de notre séjour.
• Julius, je connais trop ma petite lorsqu’elle se lâche, assieds-toi dans l’autre fauteuil.
Elle va nous faire un effeuillage digne des plus grandes strip-teaseuses que tu pourrais voir à Pigalle.
Pendant que j’étais dans les bureaux, elle a dû te dire pourquoi elle se sert d’une canne.
Je vais t’avouer quelque chose !
Depuis que je la connais, c’est la première fois que je la vois dans une robe et je sais les sous-vêtements que je l’ai vu mettre avant de nous rendre au casino.
Patou, je la connais.
Si tu retournes dans ta chambre, elle va tambouriner à ta porte, jusqu’à ce que tu lui ouvres et que tu la baises.
• Oui, mon beau militaire en smoking, j’ai envie que tu me baises.
Mais si tu le fais, il te sera impossible de dire que Christophe est cocu, car c’est lui qui me demande de te baiser.
Allez assis et que le spectacle commence.
Patou pousse Julius sur le deuxième fauteuil et me donne sa canne.
Sans musique commence un effeuillage, qui rapidement me fait bander.
De toute façon, dès que Patou se lâche, elle me fait bander.
Elle s’appuie sur l’accoudoir du fauteuil de Julius et lui passe une main là où j’ai déjà vu sa bite dans le rétroviseur.
Je sens bien qu’elle est encore un peu en équilibre instable sur ses jambes, car elle nous fait un numéro en restant le plus possible avec un point d’appui.
Surtout que la bouteille qu’elle a dans son autre main, ne l’aide pas à trouver son équilibre.
Elle finit par en boire une gorgée avant de la mettre dans les mains de notre hôte qui semble intéressé par ces évènements certainement nouveaux pour lui.
Et pour moi donc, j’ai vu Patou prendre ce genre d’initiative depuis que je l’ai dépucelé, mais toujours dans des lits ou au minimum dans son fauteuil.
Une de ses mains libérées, elle s’allonge sur ses genoux.
Notre invité comprend qu’elle souhaite qu’il fasse glisser le Zip que j’ai moi-même remonté lorsqu’elle s’est préparée à sortir.
Elle tourne sur elle-même à deux doigts de se retrouver les fesses parterre, l’alcool plus que son handicap lui jouant quelques tours.
Elle se rétablit et arrive à se redresser, faisant d’un coup tomber sa robe à ses pieds.
Je vois qu’elle a déclenché une érection chez les deux mâles qui la suivent du regard, ne perdant pas une miette de ce spectacle hors du commun pour une amateur.
Elle nous apparait comme je savais qu’elle serait.
Certainement des sous-vêtements achetés chez sa marraine au bas de la plus belle avenue du monde.
Si cette avenue, est la plus belle, Patou n’a rien à lui envier, du moins à mes yeux.
Soutien-gorge pigeonnant, petite culotte épousant son petit cul, que je sais très ferme.
Sans oublier son porte-jarretelles, lui aussi rose, comme l’ensemble de ses sous-vêtements qu’elle portait ce soir.
Bas noirs, tendus par les jarretelles sur des petites ballerines.
Je pense qu’avec des talons, cela aurait été prématuré, surtout que j’ai parlé de son équilibre instable suite à l’abus de champagne, lorsqu’elle reprend une gorgée, ayant récupéré sa bouteille.
N’oublions pas sa jeunesse et sa vie hors de son fauteuil, qu’elle commence à dominer.
Elle essaye de poser son pied sur la braguette de Julius.
J’avais anticipé ce geste que je savais limite, voire impossible pour elle.
J’avais posé la canne au sol près de moi et je la rattrape lorsqu’elle commence à faire un soleil.
• Merci mon cœur, j’ai failli me casser la gu…
J’allais dire un gros mot.
Tu sais, je crois que je suis un peu saoul, mais pas assez pour arrêter de faire mon spectacle.
Elle me roule une pelle, avant de se pencher et d’en faire de même avec Julius.
Il joue le jeu et défait une à une les jarretelles soutenant ses bas.
Je me rassois, je ne vois pas ses yeux, mais elle doit regarder notre invité avec ceux de biche, qui me font craquer chaque fois qu’elle me les fait.
Elle s’assied sur mes genoux et lève sa jambe pour qu’il lui enlève l’une de ses ballerines avant de tirer sur le bas.
Ça laisse apparaitre sa jambe, encore manquant un peu de muscle.
La deuxième suit, elle est devant notre ami qui n’en perd pas une miette.
Elle doit exposer sa fente et sa toison qui doit dépasser de son bout de tissu, à Julius.
Je vois nettement que ce dernier hésite à répondre à l’invite.
Un signe de tête de ma part, lui montre le chemin à suivre pour satisfaire notre petite salope.
Julius se lève et je vois sa langue sortir de sa bouche, lorsqu’il commence à lécher Patou, là où ça doit lui faire du bien.
Je suis aux premières loges et sa langue léchant consciencieusement la chatte de celle qui commence à gémir de plaisir, alors que j’ai une vue plongeante sur ses seins reposant sur leurs demi-lunes.
Je sens que ce soir, même si c’est moi qui ai gagné deux millions, Patou va gagner deux mecs en rut pour l’aider à passer une bonne nuit…
• Vous êtes pessimiste Pat, ici, c’est une maison sérieuse, à la vôtre !
• Tiens, le voilà, chéri, Julius est super, il est vraiment trop marrant, on dirait qu’il a un balai dans le cul, mais c’est parce qu’il était colonel dans l’armée.
À la tienne, putain, il fait soif ici.
Pat semble plus qu’éméché, je suis parti plus d’une heure dans les bureaux et dans la poche de ma veste, j’ai mon chèque de 2 millions, je n’ai jamais été personnellement aussi riche.
Sur le bar, il y a deux bouteilles de champagne, la deuxième, presque aussi vide que la première.
• Christophe, je me présente, le comte Julius de Brie de Meaux.
Colonel de réserve de l’armée française.
Avec la petite Patou, nous avons signé un armistice.
Quelques coupes de ce divin breuvage, nous ont bien aidés !
Si Julius, quel étrange prénom, a bu autant que ma fiancée, il tient très bien la bouteille.
Il est vrai que dans son smoking, il ne laisse rien paraitre.
Lorsque j’étais à ses côtés après qu’il avait laissé Pat s’asseoir à la table de la roulette en service.
J’avais remarqué sa posture rigide dans son smoking noir.
Je m’étais fait la réflexion intérieurement que ce devait être un Anglais qui était en France pour dépenser son pognon.
• Jacques, une bouteille, c’est Christophe qui régale, tu vas bien trinquer avec mon ami, si tu savais ce que j’ai découvert…
Patou se pend à mon cou d’un bras, l’autre tenant sa canne.
Cette dernière, préalablement prévue pour assurer son équilibre après qu’elle a, avec beaucoup de chance, retrouvé l’usage de ses jambes, lui sert dans son état d’ébriété.
• Julou, il crèche au même hôtel que le nôtre à Royan.
Putain que j’ai soif, elle vient cette bouteille, merde, il faut que j’aille la chercher à Reims !
Je retrouve là, ma petite, capable de tous les excès lorsqu’elle lâche les vannes.
Le serveur fait péter un bouchon et ayant mis une coupe supplémentaire nous sert.
Sa canne d’une main, elle lâche mon cou et, comme bon nombre d’ivrognes devant leur verre, elle avale le sien d’un coup sans en faire tomber la moindre goutte.
• Julou, vient là que je me tienne, mince, j’ai même pas trinqué à ta victoire, Christophe.
Jacques, une autre avant qu’on rentre, Christophe, tu vas bien nous conduire !
Moi, en plus de ne pas savoir le faire, je n’ai plus les yeux en face des trous.
Jules, merde, comment tu t’appelles déjà, Julou, je me trompe, à non, Julius.
Ta mère, la comtesse, elle avait dû fêter la naissance avant l’heure d’un fils pour te donner un prénom aussi débile.
Mais bon, je t’aime bien comme voisin de chambre à Royan.
Christophe, tu te rends compte, il regardait comme nous la tempête, pendant que tu me baisais sur la moquette devant la fenêtre.
• Monsieur, que reste-t-il à payer ?
Je vais ramener me fiancer dans son lit.
Julius, vous pouvez m’aider, il va de soi que je vous ramène si vous avez décidé de rentrer à notre hôtel !
Par chance, la Rolls est tout près de l’entrée après mon petit voyage jusqu’à la gare pour reconduire Alain qui n’a pas eu la même chance que moi, même si je récupère une fiancée bourrée.
J’ai réglé la dernière bouteille, que Pat tient dans sa main, s’attachant à cette dernière comme un naufragé à la bouée de secours que les sauveteurs lui ont envoyé.
Je retrouve la situation que j’avais connue lors de notre voyage pour venir ici avec Azalée.
Dans mon rétro, je vois Patou, boire un coup et s’attaquer à la braguette de notre colonel.
Si l’armée quelques fois, bas en retraite, lui, est bien au garde-à-vous, comme un militaire sait le faire, même s’il est de réserve.
• Excusez, Christophe, votre fiancée sait très bien y faire.
• Julius, laissez-vous faire, lorsque Patou lâche les vannes.
Même moi, je suis incapable de la réfréner, si vous saviez par où elle est passée !
J’ignore, s’il sait par où elle est passée, mais je suis pressé d’arriver à l’hôtel.
Il a beau être plus de minuit, il y a de la lumière dans les rues et des gens de cette ville côtière sont encore dehors.
De plus, je sens que Patou en plus de sucer Julius, est prêt à se foutre à poil.
Je gare la voiture devant l’hôtel, même s’il est tard.
Un chasseur est encore là pour aller la garer et nous amenons prestement mon aimée vers notre chambre.
Dans la glace de l’ascenseur, je vois que Julius a rangé sa queue sans fermer sa braguette.
• Vous avez été super, Christophe, on va baiser ensemble comme nous l’avions fait avec Christophe à Venise.
J’ai une soif, la bibine, ça assèche la gorge…
Patou, en sortant de la voiture, a récupéré sa bouteille.
De toute manière, en passant devant l’accueil, elle a commandé qu’on nous monte une bouteille.
• Maintenant que je vous ai aidé à ramener votre amie, je vais vous laisser !
Je m’excuse encore auprès de vous, Patou et de vous, Christophe, d’avoir fait allusion à votre fidélité !
Encore félicitation pour votre coup de maître à la roulette !
Je pourrais dire que j’étais là lorsqu’un numéro est sorti trois fois de suite avec un joueur ayant laissé sa mise initiale !
Christophe, excusez-moi aussi d’avoir laissé votre amie me sucer dans la voiture pendant que vous conduisiez.
J’ai manqué à tous mes devoirs d’officier, mais votre fiancée est si jolie !
Je m’assois dans l’un des deux fauteuils mis à notre disposition dans le coin salon de la suite que nous occupons depuis le début de notre séjour.
• Julius, je connais trop ma petite lorsqu’elle se lâche, assieds-toi dans l’autre fauteuil.
Elle va nous faire un effeuillage digne des plus grandes strip-teaseuses que tu pourrais voir à Pigalle.
Pendant que j’étais dans les bureaux, elle a dû te dire pourquoi elle se sert d’une canne.
Je vais t’avouer quelque chose !
Depuis que je la connais, c’est la première fois que je la vois dans une robe et je sais les sous-vêtements que je l’ai vu mettre avant de nous rendre au casino.
Patou, je la connais.
Si tu retournes dans ta chambre, elle va tambouriner à ta porte, jusqu’à ce que tu lui ouvres et que tu la baises.
• Oui, mon beau militaire en smoking, j’ai envie que tu me baises.
Mais si tu le fais, il te sera impossible de dire que Christophe est cocu, car c’est lui qui me demande de te baiser.
Allez assis et que le spectacle commence.
Patou pousse Julius sur le deuxième fauteuil et me donne sa canne.
Sans musique commence un effeuillage, qui rapidement me fait bander.
De toute façon, dès que Patou se lâche, elle me fait bander.
Elle s’appuie sur l’accoudoir du fauteuil de Julius et lui passe une main là où j’ai déjà vu sa bite dans le rétroviseur.
Je sens bien qu’elle est encore un peu en équilibre instable sur ses jambes, car elle nous fait un numéro en restant le plus possible avec un point d’appui.
Surtout que la bouteille qu’elle a dans son autre main, ne l’aide pas à trouver son équilibre.
Elle finit par en boire une gorgée avant de la mettre dans les mains de notre hôte qui semble intéressé par ces évènements certainement nouveaux pour lui.
Et pour moi donc, j’ai vu Patou prendre ce genre d’initiative depuis que je l’ai dépucelé, mais toujours dans des lits ou au minimum dans son fauteuil.
Une de ses mains libérées, elle s’allonge sur ses genoux.
Notre invité comprend qu’elle souhaite qu’il fasse glisser le Zip que j’ai moi-même remonté lorsqu’elle s’est préparée à sortir.
Elle tourne sur elle-même à deux doigts de se retrouver les fesses parterre, l’alcool plus que son handicap lui jouant quelques tours.
Elle se rétablit et arrive à se redresser, faisant d’un coup tomber sa robe à ses pieds.
Je vois qu’elle a déclenché une érection chez les deux mâles qui la suivent du regard, ne perdant pas une miette de ce spectacle hors du commun pour une amateur.
Elle nous apparait comme je savais qu’elle serait.
Certainement des sous-vêtements achetés chez sa marraine au bas de la plus belle avenue du monde.
Si cette avenue, est la plus belle, Patou n’a rien à lui envier, du moins à mes yeux.
Soutien-gorge pigeonnant, petite culotte épousant son petit cul, que je sais très ferme.
Sans oublier son porte-jarretelles, lui aussi rose, comme l’ensemble de ses sous-vêtements qu’elle portait ce soir.
Bas noirs, tendus par les jarretelles sur des petites ballerines.
Je pense qu’avec des talons, cela aurait été prématuré, surtout que j’ai parlé de son équilibre instable suite à l’abus de champagne, lorsqu’elle reprend une gorgée, ayant récupéré sa bouteille.
N’oublions pas sa jeunesse et sa vie hors de son fauteuil, qu’elle commence à dominer.
Elle essaye de poser son pied sur la braguette de Julius.
J’avais anticipé ce geste que je savais limite, voire impossible pour elle.
J’avais posé la canne au sol près de moi et je la rattrape lorsqu’elle commence à faire un soleil.
• Merci mon cœur, j’ai failli me casser la gu…
J’allais dire un gros mot.
Tu sais, je crois que je suis un peu saoul, mais pas assez pour arrêter de faire mon spectacle.
Elle me roule une pelle, avant de se pencher et d’en faire de même avec Julius.
Il joue le jeu et défait une à une les jarretelles soutenant ses bas.
Je me rassois, je ne vois pas ses yeux, mais elle doit regarder notre invité avec ceux de biche, qui me font craquer chaque fois qu’elle me les fait.
Elle s’assied sur mes genoux et lève sa jambe pour qu’il lui enlève l’une de ses ballerines avant de tirer sur le bas.
Ça laisse apparaitre sa jambe, encore manquant un peu de muscle.
La deuxième suit, elle est devant notre ami qui n’en perd pas une miette.
Elle doit exposer sa fente et sa toison qui doit dépasser de son bout de tissu, à Julius.
Je vois nettement que ce dernier hésite à répondre à l’invite.
Un signe de tête de ma part, lui montre le chemin à suivre pour satisfaire notre petite salope.
Julius se lève et je vois sa langue sortir de sa bouche, lorsqu’il commence à lécher Patou, là où ça doit lui faire du bien.
Je suis aux premières loges et sa langue léchant consciencieusement la chatte de celle qui commence à gémir de plaisir, alors que j’ai une vue plongeante sur ses seins reposant sur leurs demi-lunes.
Je sens que ce soir, même si c’est moi qui ai gagné deux millions, Patou va gagner deux mecs en rut pour l’aider à passer une bonne nuit…
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