COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (39/39)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (39/39) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (39/39)
Ma jolie fiancée est toujours pleine de surprises pour moi.
C’est le cas, de nouveau, lorsque je la retrouve après avoir récupéré le chèque de la grosse somme gagnée à la roulette du casino dans le département 17 où nous sommes venus passer quelques jours de vacances.

Patou semble savoir ce qu’elle fait, refusant de prendre son pied simplement par la langue de celui que j’appellerais le colonel.
Elle le fait se relever et à quelques centimètres de mes yeux, elle défait les passants de la ceinture de notre invité.
D’un coup sec, elle laisse glisser le pantalon et les sous-vêtements et prend sa queue en main.
À quelques centimètres, mes propres yeux voient cette queue entrer dans la bouche de ma Patou, qui, une fois qu’elle l’a bien au fond, le branle.
Je suis hypnotisé par ce que je vois, ses mains le masturbant et sa bouche active qui sort sa verge pour sauter sur ses boules.
Je suis à deux doigts, d’être le jaloux de service, non pas qu’elle le suce !
Mais, c’est souvent qu’elle me le fait, avalant mes boules l’une après l’autre assez facilement.
Là, elle y arrive, mais après un effort pour distendre sa bouche jusqu’à les faire entrer.
J’arrive à ne rien laisser paraître, après un effort aidé par ma main, qui va rejoindre sa chatte gonflée par la cyprine qui ne demande qu’à jaillir.
Malaurie, ma première maîtresse, dans tous les sens du terme, était femme fontaine.
J’ai assez été obligé de changer les draps.
Je suis à deux doigts de penser qu’il serait facile de faire de Pat, elle aussi, une fontaine.
Étant, certainement, à deux doigts d’éjaculer, le colonel récupère sa queue.
Il sort de sa veste de smoking un étui que je connais bien, même si avec Pat, nous avons décidé de nous en passer.
Une capote qu’il se met et recule jusqu’à tomber dans le fauteuil qu’il a quitté pour venir la brouter avant de se faire sucer.
Patou semble être dégrisé à la vue de cette verge qui lui est offerte.
C’est elle qui me quitte pour venir s’empaler.
La vue de son petit cul me fait envie.
Je les rejoins, mais avant, je descends mon pantalon.
Elle s’avance au mieux qu’elle peut pour que je puisse entrer.
C’est ce que je finis par arriver à faire.
Mais la sensation de glisser sur du caoutchouc me fait penser que c’est en double vaginal que nous lui faisons l’amour.
Par chance, notre voisin de chambre est ici, ce qui évite qu’il n’appelle la conciergerie pour leur dire qu’on égorge sa voisine dans la chambre à côté.
De toute façon, si c’était le cas, j’aime que ce soit avec plaisir que nous la faisons passer de vie à trépas.
Plusieurs fois dans la nuit, l’un ou l’autre, nous la faisons jouir jusqu’à plus soif.
Enfin, lorsque je dis « jusqu’à plus soif », c’est en partie vrai, car le service d’étage doit renouveler les bouteilles que nous buvons autant de fois que nous nous séparons après l’avoir baisé.
À un moment de nos ébats, nous avons pris Pat, moi, dans sa chatte, le colonel se faisant pomper.
Ma belle salope est déchainée, je l’ai rarement vue comme cela.
Elle m’offre son intimité tout en pompant mon partenaire, c’est la première fois que je le vois nettement décharger sur la figure.
On aurait dit qu’il prenait un malin plaisir pour un homme de sa prestance à éjaculer sur son visage.
J’aurais pu m’offusquer qu’il la traite comme une pute, mais ma petite semble y prendre tellement de plaisir que je laisse faire.
Quelques minutes après, il était de nouveau en pleine forme, prêt à prendre ma place dans sa chatte.
J’ignore quelle réserve de capote le colonel emporte avec lui !
Mais chaque fois que sa bite entre dans le vagin de ma petite, immanquablement, elle est recouverte de son capuchon.
Comme avec Christophe, mon coéquipier de Venise, lorsqu’il l’encule ou qu’après cette double pénétration vaginale, il la monte avec moi en double pénétration, sa queue est libre de toutes entraves.
Si Patou a beaucoup bu, fêtant par anticipation ses vingt ans, demain, elle peut dire qu’elle a été à la fête, étant notre jolie maîtresse, pour le colonel, d’un soir.
Connaissant ma fiancée et le retard qu’elle se doit d’avoir sur la vie.
Surtout après son accident de jeunesse l’ayant privé d’une grande partie de ce que les jeunes font au moment de la révélation de leur sexualité.
En une soirée, avant de s’écrouler sur notre lit, elle a rattrapé presque la totalité de ce que font les jeunes filles de son âge.
Enfin, plutôt la plupart, il existe en 1968, dans ce mois de mars, des rosières qui sont fêtées dans les villages comme le sont les conscrits, bien que la page de l’Algérie soit définitivement tournée.
Où en est l’envolé du grand Charles, les bras en croix disant fortement « Algérie française ».
À la radio, on a parlé de mouvement de protestation sur bien des sujets envers lui, même si c’est l’homme de la libération de la France.
Il va falloir que je m’intéresse de plus prêt à la politique, il serait con, de passer à côté de quelque chose.
À ce que certains disent, la révolution couve en France.
Est-ce ce que m’a confirmé Christine, qui représente le deuxième point de mes demandes auprès d’elle ?
Le premier était mon permis de conduire et le deuxième, la date de notre mariage, le samedi 11 mai 1968, qui va faire de moi un homme responsable.
Il est presque midi lorsque je réveille Patou, le colonel a rejoint sa chambre et doit récupérer lui aussi.
J’ai préparé quelques affaires et j’attends que l’on nous monte notre café très chaud.

J’ai ouvert la malle que Pat a fait livrer avant notre venue.
J’y ai trouvé des affaires qu’elle a dû acheter sans me le dire avant notre départ.
Ou comme d’habitude, Christine, s’est occupée de tous !
Je la réveille d’un baiser.
Pouah, son visage est couvert de foutre.
Avec le colonel, nous l’avons une dernière fois aspergé à sa demande avec le peu de spermes qui nous restaient.
Je finis par employer les grands moyens, elle a repris du poli de la bête depuis qu’elle marche avec Franck, son kiné, photographié par un paparazzi à l’hôpital Cochin.
Mais elle est encore assez légère pour que je la soulève comme une plume et que je la porte dans la salle de bains.
Les cris qu’elle pousse dès qu’un jet froid l’atteint en plein visage ne sont rien comparés à ses cris de plaisir à plusieurs reprises dans cette nuit de débauche.
Cela a pour intérêt, en plus de la nettoyer du sperme sur sa figure, de lui permettre de revenir sur terre.
J’ai pitié d’elle, je tourne le robinet d’eau chaude et je lui lave jusqu’à sa petite chatte et son anus.
Lorsque mes doigts l’effleurent, même avec le savon, à ces deux endroits, elle a un petit cri, certainement de douleur, d’avoir été trop pénétrée, quelques fois, par deux verges en simultané.
Tout semble rentrer dans l’ordre et je peux l’aider à sortir et à l’essuyer sans plus de jeu érotique.
J’ai fait réserver une table au restaurant « L’océan » sur la promenade de Royan, avec à la clef un gâteau d’anniversaire.
Comme on dit, n’ai-je pas les moyens, j’avais 1 000 francs, moins 100 donnés à Alain.
Tiens, oui, où est-il à ce moment, a-t-il bien pris son train pour Paris ?
Enlevez la première mise de 50 francs, entrainant un gain de plus de 2 millions.
Le reste des boissons que j’ai payées avant de quitter le casino, contrairement au joueur convulsif, j’ai largement de quoi gâter ma fiancée pour ses 20 ans.

C’est à ce moment que le téléphone nous ramène à la réalité.
Terminé le monde de la luxure consentie entre adultes.
Je suis le plus près du combiné.
Patou enfile des sous-vêtements aussi sexy que ceux d’hier, mais de couleur fuchsia lui donnant une allure différente.
Les bas, ballerines et tailleurs avec une minijupe sont tous de couleur blanche.
Un vrai sucre d’orge que je sucerais bien si nous avions le temps.

• Bonjour Christophe, j’avais peur de vous avoir loupé.
Je voudrais parler à ma filleule pour lui souhaiter ses 20 ans !
J’espère qu’elle a été sage hier, je sais qu’elle a horreur de son anniversaire, et je sais qu’elle est capable de tout faire pour oublier cette date.
• Christine, je vais te la passer, mais j’ignore si la cuite qu’elle a prise hier soir au casino que tu connais était préméditée pour oublier cet évènement !
Mais la rencontre et la nuit qui ont suivi me font penser qu’il n’en a rien été.
Nous fêtions aussi les 2 millions que j’ai gagnés à la roulette.
• 2 millions à la roulette, Christophe, tu as une chance de cocu, chaque fois que j’y suis allée, je suis revenue plumer.
• Te connaissant comme je te connais, tu as dû compenser cette perte dans les bras d’un beau brun ou blond si tu préfères, comme nous avons fêté mes gains avec le colonel.
Pardons, Julius, comte de Brie de Meaux, un peu raide lorsque l’on ne le connaît pas, mais bon baiseur lorsqu’il se lâche.
• Vous avez rencontré Julius le colonel, ne me dit pas que ma filleule a baisé avec lui !
• À l’intonation de ta voie, aurait-il sauté la tante et la nièce ?
Si c’est le cas, c’est sans le savoir, je n’ai donc pas eu une chance de cocu puisque tu nous connais, nous étions tous consentants.
• Marraine, appelle la police, ils m’ont violé.
La police trouvera sur mon corps, après examen, toutes les traces des sévices que ces deux enfoirés m’ont fait subir !
• Je vais m’empresser de les appeler, mais dis-moi, qu’as-tu préféré dans ces moments de plaisir avec deux hommes aussi virils que Julius et Christophe.
• Marraine, tu es indécrottable, tu trouves toujours les mots justes.
• Tu as raison, mon amour, mais ne serait-ce pas une certaine Patricia, peintre d’œuvre d’art, qui pleurait sur mon épaule ?
Elle pleurait parce qu’à son âge et sa situation dans un fauteuil, les garçons détournaient les yeux pour ne pas voir son handicap.
Veux-tu vraiment que j’appelle la police et que Christophe aille en prison ?
• Marraine, à bien y réfléchir, je crois que Christophe a téléphoné à la réception pour réserver une table dans un restaurant.
Inutile de repousser cette réservation.
Je viens d’enfiler mes sous-vêtements fuchsia offerts pour mes dix-neuf ans.
Bon, je te les avais un peu empruntés en oubliant de te les rendre.
Je suis une affreuse voleuse, dans une boutique des Champs-Élysées.
C’est moi qui devrais aller en prison.
• Et tu serais privée de la bonne queue, qui elle a su faire de toi une femme, ma chérie.
• Marraine, à bien y réfléchir, je crois bien que je vais te demander d’attendre un peu avant d’appeler la police !
• Je le crois aussi, une dernière chose avant de vous laisser partir vers votre restaurant, la galerie m’a prévenu que le tableau que tu avais fait avec un modèle s’appelant Christophe, a été vendu pour un million.
• Vous verrez comme il fait bien dans mon salon, Madeleine vient de demander à un de ses amis légionnaires de l’accrocher dans mon salon.
Il a passé sa nuit avec elle.

Un million, ma tronche en biais vaut un million, Patou a une chance de cocue…

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