COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (4/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (4/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (4/5)
Hélas, il faut retourner à Paris, Venise c’est magnifique, mais pour moi venu de la banlieue, j’ai tellement de choses à découvrir.
Dans ma jeunesse, mon principal plaisir, s’était d’aller pêcher à la ligne dans la Marne.
J’ai d’ailleurs une jolie anecdote.
Une journée pendant mes vacances d’été ou comme d’habitude, aucun poisson n’est venu se suicider au bout de mon hameçon et l’asticot susceptible de les attirer.
Je devais avoir huit ans et m’ennuyant, j’étais dans une barque et je promenais le bas de ma ligne en la tenant au bout de mes doigts.
J’ai eu la frousse de ma vie, lorsque sorti d’algues ou de plantes aquatiques, un gros poisson a bondi pour l’attraper.
J’ai la frousse de ma jeune vie et j’ai tiré mon fil vers moi, ferrant d’une main de maître la première prise de ma vie.
Le soir, maman me l’a fait frire, je me suis senti obligé de le manger, quelle déception, même si certains se régalent d’une bonne friture.
J’ai continué à pêcher.
Un jour un pécheur à qui j’avais pris la place ayant amorcé la veille, c’est ce monsieur qui m’a montré à monter un bas de ligne, le mien était couvert de nœuds et des plombs bien moins équilibrés.
Les filles ont remplacé mes cannes à pêche, mais avant ce moment, j’ai fait de jolies pêches.
Parenthèse refermée revenons à notre voyage de retour vers la capitale ;

Après avoir dîné tous ensemble, Christophe et moi prenons le chemin du wagon piano-bar.
Même piano, même bar et même comtesse.
Je m’approche d’elle et je lui offre un verre.
Je pense que nous sommes deux, surtout que les consommations sont enregistrées sur notre numéro de wagon et de compartiment, je suis venu les mains dans les poches.
La dame accepte et nous discutons un bon moment.
Elle finit par ce souvenir de nous au voyage aller.
Je lui propose d’aller boire une bouteille dans son compartiment.
Bizarre, à l’aller, c’était 1 000 francs, je crois me souvenir, là elle ne me demande pas d’argent.
Dès que nous entrons suivis du serveur apportant la bouteille de champagne.
J’ai envie de lui poser des questions, mais s’est-elle qui prend les devants.

• Chers messieurs, nous savons pourquoi nous sommes là, inutile de se poser des questions !

Elle défait son chemisier faisant apparaître des seins que ma main qui est la plus prête a plaisir à caresser.
Cette caresse la cabre, la dame est très sensible des mamelons.
Christophe, l’embrasse puis, enlève sa ceinture.
En parfaite experte en fellation, la comtesse me dégrafe et plonge sur ma verge pour l’amener au fond de sa gorge.
Elle arrive à lui faire passer sa glotte et elle se trouve aspirée jusqu’à mes couilles.
De la main, elle me les masse.
Christophe lui présente la sienne en la tenant par la main.
Elle me quitte pour engamer la sienne.
Gorge profonde pour lui aussi.
Sa bouche est assez grande lorsqu’elle l’ouvre pour tout avaler, Jacqueline présente la même similitude comparée à Christine, qui doit plus lécher que d’avaler.
Au cours de ses diverses aventures dans l’orient express la dame a pris de l’expérience avec ses différents partenaires qui ont su la façonner au fil des kilomètres qu’elle a parcouru.
Intérieurement je compare, les kilomètres de chemin de fer aux kilomètres de bites lorsque pour punir son mari elle faisait la pute auprès des voyageurs.
Pendant qu’elle suce le copain, je dégrafe sa jupe qui tombe au sol.
Après ma petite, avant-hier, c’est la deuxième femme qu’avec mon ami, nous allons l’honorer ensemble.
Je ne sais pas jusqu’où elle acceptera et où nos deux sexes, qu’elle a réussi à tendre au maximum, vont la prendre pour qu’elle ait du plaisir.
Je dis bien « plaisir » car je ne conçois pas les rapports sexuels avec une dame sans que je la fasse monter au rideau, fusse ceux de l’Orient exprès.
Nos deux sexes, qui je sens vont souvent se trouver dans la même situation car la connivence entre nous est de plus en plus fréquente.
Nous sommes prêts tous les trois à faire avancer nos rapports.
C’est d’elle-même qu’elle se place en levrette sur sa couchette.
Je suis le pieu placé pour la prendre par son sexe alors que Christophe s’occupe de sa bouche.
Je me présente près de sa chatte et alors que je vais entrer, elle glisse sa main, prend ma verge et la place sur son anus.
La sodomie, c’est ce que semble pratiquer notre comtesse pour se venger de son mari qui l’a trompé, même si elle a cessé de demander du fric.
Je respecte son choix, bien décidé avant la fin de la nuit à la faire évoluer dans sa façon d’aborder la sexualité, sa sexualité.
Nous nous regardons avec Christophe ayant l’expérience de ce que nous avons fait avec ma petite.
Je ne veux pas monopoliser le fondement de cette dame avec mon complice de sexe, je la libère.
Christophe s’assoit sur la banquette et place, la comtesse sur son vit.
Elle est en position pour être prise par sa rondelle qu’elle m’offre alors que j’avais mal compris auparavant, voulant la baiser par sa chatte.
Je m’avance vers elle, elle avance sa bouche pour me sucer.
Je me baisse légèrement et c’est sa chatte que je veux pénétrer.

• Non !

C’est un ordre ferme mais pas sec.

• Libérez-vous Comtesse !

En lui disant ces deux mots, je plonge en elle.
Une fraction de seconde interloquée le « non » se transforme en un « oui » et même !

• « Oh, oui »

Je la regarde les yeux dans les yeux, pendant que nos sexes vont en elle.
Moins de deux minutes et elle atteint un bel orgasme.
Deux même.
Si ce n’était la position qu’elle est obligée de quitter, elle serait partie une troisième fois.
Christophe est comme moi, nous laissons retomber notre tension pour mieux honorer notre partenaire, un peu plus tard dans la soirée, plutôt la nuit.

• Comtesse excusez-moi d’avoir forcé votre sexe.
Il faut savoir pardonner.
• Jamais, jamais je ne lui pardonnerai d’avoir trompé ma confiance.
J’ai déjà fait un effort, avant pour être la pute qu’il voulait que je sois, je vous avais demandé de me payer.
Mais s’il aime le sexe, j’ai moi aussi découvert que je suis capable d’être une comtesse très salope.
• Cela, je peux l’entendre, mais c’est vous que vous punissez, je ne peux l’admettre. Votre corps vous appartient et nous venons de voir qu’il avait envie d’avoir du plaisir.
• Vous avez raison, vous venez de me libérer.
• Acceptez-vous de devenir notre amie à Paris ?
• Vous êtes mes amis messieurs.

Nous nous servons du champagne, ce qui nous revigore.

• Comtesse, j’ai une proposition à vous faire.
Si vous voulez punir votre homme sans être obligé de vous punir vous-mêmes !
Je vous propose de venir chez deux de mes amies qui ont une structure où vous pourriez le conduire et où elles sauraient vous apporter une grande satisfaction.
• Donnez-moi leur adresse, votre proposition m’intéresse.

Verre de champagne terminé, nous reprenons nos jeux érotiques.
La dame jouit de nombreuses fois tout au long de la nuit.
Nous comblons toutes ses envies frustrées depuis qu’elle pratique l’Orient express.
Nous-mêmes éjaculons une nouvelle fois simultanément.
De vrais jumeaux.
Affalés l’un sur l’autre nous nous reposons et dormons quelques heures.
À l’heure du petit déjeuner, les serveurs qui doivent se rencontrer vers les cuisines doivent être prêts à démissionner.
Une idée vient à Christophe nos femmes n’ayant pas encore été servi.

• Pedro est-il là ?
• Oui.
• Pouvez-vous lui demander de venir ?
• Vous-même c’est vous qui êtes au service de la comtesse ?
• Oui, veut-elle du champagne ?
• Oui, bonne idée, allez chercher une bouteille et rejoignez-moi devant sa cabine.

Je l’attends et lorsqu’il arrive, je frappe et je n’attends pas l’autorisation de notre amie et j’entre.

• Comtesse, nous allons aller rejoindre nos dames, mais j’aimerais que vous montriez que vous vous êtes bien libéré des turpitudes de votre mari.
• Vous connaissez ce garçon.
• Oui, c’est Alfredo qui est à mon service depuis le premier jour où j’ai commencé à me venger dans ce train.
• Alfredo depuis le premier jour bande pour vous.
Il aimerait, vous le prouvez.
Acceptez-vous que je me retire en fermant la porte et qu’il vous honore dans tous les sens du terme.
• Fermez la porte, la patience de ce jeune homme va être récompensée.

Je sors satisfait d’avoir réussi à sortir cette belle dame du piège où elle s’était elle-même enfermée.

Alfredo a prévenu Pedro qui arrive et qui est d’accord pour que nous apportions leurs plateaux à nos dames pour nous faire pardonner de les avoir abandonnés la nuit entière.
Première cabine, Christine et Mona-Lisa sont absentes.
Au milieu, deux plateaux ne suffisent pas, les quatre femmes sont ensemble à papoter.
Les plateaux que nous apportons suivis de ceux que nos stewards apportent arrêtent leurs questions la faim comme nous les tenaillant.

Pour leur prouver notre grand cœur, je leur explique que nous avons permis à la comtesse de se libérer de la servitude qu’elle s’imposait dans ce train.
Je leur explique qu’elles adhèrent à ma proposition d’envoyer son mari chez Chantal et Malaurie mais elles souhaitent voir les filles sans notre présence.
Une fois de plus, minoritaire avec Christophe, nous acceptons et je dois donner à Patou leur numéro que je suis le seul à avoir.
À la fin du petit déjeuner que je prends debout toutes les places près de la table étant accaparée par nos conjointes.

• Christophe et si tu l’invitais à te joindre à nous et maman pour fêter nos fiançailles dimanche prochain !...

Les avis des lecteurs

Merci Daniel mais ce soir le clavier est au repos,allez le PSG
à jamais les premiers dans cette nouvelle formule...

Histoire Erotique
Belle suite explicative avec rappel de chapitres précédents à lire doucement et deux fois pour bien s’y retrouver c’est du Chris. Daniel



Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (4/5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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