COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (5/5) - histoire érotique

Tchou-Tchou, c’est le bruit de la loco à charbon qui hélas nous ramène à Paris par l’Orient exprès, comme nous l’avons fait à l’aller.
Dans les années 70 les locos étaient encore un grand nombre à être à charbon.
L’électrification commencée les locos deviennent elles-mêmes électriques et évitent le nombre d’arrêt interminable pour remplir le tanker de charbon ou d’eau, susceptible de faire fonctionner la machine à vapeur.
Terminé les longs coups de sifflet lorsque le machiniste tirait sur la soupape pour faire évacuer le trop-plein de vapeur.

De retour dans notre compartiment ayant passé la nuit avec Christophe auprès de la comtesse, celle qui se voulait pute à notre voyage aller.
C’est debout que je prends une tasse de café revigorante après la nuit de débauche que cette femme nous a fait passer et ces dames installées autour du coin-repas.
C’est ainsi que j’apprends que toutes doivent tout organiser cette semaine en vue de nos fiançailles officielles, Christine et Mona Lisa, s’occupant de tout organiser.
Nous serons les invités d’honneur avec mon petit pompon.

Je propose d’ajouter trois invités après leur accord et celui de Christine qui doit inviter Samy et Ophélie ainsi que la grande Anglaise sans son mari si elle est disponible. Comme ce sont des clientes de Christine, elle se charge de les appeler, vu les chaudes du cul, j’ai un peu peur que maman ne soit offusquée du milieu dans lequel je vais entrer.
Bien sûres, si certaines choses lui déplaisaient, j’aurais beau jeu de lui rappeler qu’en se gouinant avec Iris, elle a elle aussi transgressé bien des règles.
Mais je sais maman assez fine pour éviter ce genre de situation, même si les deux femmes ont été loin d’empêcher mon père de faire son saut fatidique.

Ça peut paraître bizarre, dans ce lieu clos qu’est un train filant au petit matin, vers la fin de ces moments de rêves.
Il se trouve des moments ou par chance, du moins je le crois, vous vous retrouvez seule avec votre compagne.
Je pourrais ajouter un peu dépité, je me rends compte qu’une nuit entière j’ai baisé avec Christophe la comtesse sans qu’à aucun moment le regard si gracieux de Patou m’ait apparu.
D’ailleurs, c’est elle qui me le rappelle.

• Chérie, j’ai failli mourir cette nuit, j’ai même envoyé Jacqueline voire où vous étiez.
C’est Pedro qui lui a dit que vous aviez été accaparé par la comtesse, tu la trouves mieux que moi, voudrais-tu que je te rende ta bague ?

Pas dans la merde le Christophe.
Que puis-je répondre à ma petite, je dois bien reconnaitre qu’une nouvelle fois, je l’ai abandonné au profit d’une autre chatte, pouvant même ajouter un petit trou du cul ?
Petit, vu le nombre de voyages que la comtesse a fait se faisant sauter la rosette pour garder sa chatte dans l’état ou son mari l’avait trouvée le jour de leurs noces, ce mot « petit » est peut-être un peu incongru.
Je m’approche d’elle, je la prends dans mes bras et je la couche sur notre lit qui aurait pu nous servir, si j’avais pensé à venir la rejoindre au lieu de convaincre la comtesse de revenir dans le droit chemin.

• Va te laver, tu sens la chatte de cette vieille morue, si je la vois, je lui arrache les yeux.
• Mais chérie, je me suis lavé la queue dans le petit cabinet de son compartiment, crois-tu que je te ferais l’amour sans avoir la moindre hygiène.
Embrasse-moi, tu vas voir que j’ai encore quelques réserves pour te satisfaire mon amour.

En tombant sur le lit, la robe de chambre que Patou porte sur elle, s’ouvre, permettant à ma main de lui caresser le sein droit.
Pat est sur le côté pour la première fois, mais ses jambes inertes m’empêchent de la prendre par-derrière, le passage vers sa foune étant trop étroit.
Je sens que de la sodomiser serais réalisable, mais après l’avoir trompée, c’est sa chatte que je veux posséder.
Les amoureux, surtout ceux comme moi qui ont bien des choses à se faire pardonner, ont certaines fois de la chance.
On frappe et comme je l’avais fait chez la comtesse pour amener le taureau Alfredo à la vieille vache, la comtesse, on entre et Jacqueline est là un peu penaude de nous trouver dans la situation où nous sommes.

• Pardon, j’aurais dû attendre, mais avec le bruit des roues sur les rails, j’étais dans l’incapacité de vous entendre, je reviendrais.
• Non, Jacqueline, tu vas m’aider, c’est la première fois que Christophe allait me prendre par-derrière, ma jambe est trop inerte et l’empêche de passer.
Serais-tu assez aimable de la soulever le temps que mon fiancé me prenne comme une femme le fait et que tu dois connaitre ?

Je suis un peu gêné, non de bander devant Jaqueline, dès l’allée nous avons allègrement franchi cette situation devenant de même de parfait amant.
Mais comme je dis souvent, « ce que femme désir ! »
Jacqueline prend la jambe de Pat la soulève me libérant le passage.
Son peignoir me gêne, je tire dessus déchirant sans problème créant le passage, la soie naturelle manquant de résistance.
Ce qu’un homme veut, même un peignoir fût en soie naturelle, il l’obtient.
Je plonge ma verge sans la chatte de ma petite, elle mouille tellement que comme certains pourraient dire, je pénètre la motte de beurre d’une simple poussée.
Patou se met à vagir, quand je parlais de taureau saillant la vieille comtesse, la seule chose qui compte, c’est que ma petite jouisse, jouisse et jouisse encore.
Dans le même temps, j’ai passé ma main sous la robe de Jacqueline, l’une jouie de ma verge, la deuxième en fait de même mais grâce à mes trois doigts que sans problème, j’ai réussi à glisser en elle.
Jacqueline, sous la décharge, laisse tomber la jambe de Patou qui se referme sur ma verge, je lâche la purée dans l’impossibilité de me retenir.
C’est à mon tour de me joindre aux vocalisations copulatoires de mes deux salopes que j’ai satisfaites à moi tout seul.
Vocalisation copulatoire, c’est Malaurie en tant que prof principal de notre classe qui nous en à parler.
Enfin lorsque je dis nous en a parlé, dans les cours d’éducation qu’elle a dû nous apprendre, elle a répondu à une question d’un élève très turbulent et voulant épater ses copains.
À part moi qui pourrais être ce garçon ?

• Madame, lorsque vous jouissez et que vous dites des mots comme « au oui », « au oui » ou « encore et encore, » comment s’appellent-ils ?

Malaurie avait piqué un far, mais m’avait répondu par ces deux mots « vocalisations copulatoires. »
J’avais compris plus tard pourquoi elle était devenue pivoine, pas les blanches, les rouges, son pucelage et ses premières vocalisations copulatoires, c’est au bout de ma bite qu’elle les prononce.
Chez Chantal, quel chemin parcouru par ma prof d’anglais venue de Dijon pour conquérir Paris.

À midi nous nous retrouvons tous à la voiture-restaurant, la comtesse ayant fini de satisfaire Alfredo qui est aux petits soins pour elle.
Elle offre des bouteilles de champagne pour fêter sa liberté sexuelle retrouvée.
L’après-midi danse au piano-bar.

Arrivé à Paris, avec regret nous nous séparons.
C’est très fatigué que nous quittons notre wagon qui aurait fini en vrai lupanar.
Les taxis conduisent les uns et les autres vers leurs quotidiens avec des rendez-vous pour les uns ou les autres dans les heures et jours prochains.
Christine comme à son habitude a tout prévu.
Le taxi qui nous attend, hors de la file interminable des gens ayant quitté le train surtout que dans le même temps, un autre train venant de Marseille a déposé son propre flot de voyageur.
Heureusement comme à notre arrivée à Venise, que nos bagages soient partis avant nous, nous pouvons monter à quatre dans ce taxi le fauteuil étant rentré dans le coffre.
Je reconnais là le conducteur du début de mon aventure avec Patricia, ça s’appelle un taxi maître ne faisant des courses que sur réservation, mais qui une nouvelle fois se paye très chère.
Direction la maison de Christine devenant celle de Mona Lisa, nous les déposons et je me retrouve pour la première fois seule depuis des jours avec ma petite.

• Regarder la jolie bague que mon fiancé m’a offerte, il m’a demandée en mariage.

J’étais devant lorsqu’il y avait les trois femmes, j’ai rejoint Patou dès que sa marraine et sa petite amie sont descendues.
Je vois le chauffeur me regarder dans son rétro me faisant un clin d’œil.
Je suis à deux doigts de me fâcher, que veut dire cette œillade, connaissant le compte en banque de ma petite, me montre-t-il que j’ai été opportunisme, vu ma classe sociale.
Patou a-t-elle remarqué le geste du chauffeur, le baiser toute langue déployée mouche le conducteur de notre taxi.

Lorsque le taxi nous dépose avec Pat devant le garage, la panique me prend.
Christine a oublié de me dire que la société qui doit installer la piscine a déjà commencé les travaux.
Depuis trois jours que nous sommes partis, ils ont déjà déposé un tas de sable à côté des vieilles pompes à essence désaffectées.

Dès que je comprends que les travaux doivent avoir commencé, je suis rassuré, mais mon petit pompon doit être anxieux.

• Christophe, qui s’est permis de mettre ce tas de sable devant notre entrée, comment je fais avec mon fauteuil ?
• Laisse nous faire chérie, avec le chauffeur, nous allons t’assoir dans ton fauteuil et en le portant chacun d’un côté nous allons te déposer devant la porte, c’est une surprise qui t’attend.

Aussitôt dit, aussitôt fait, le chauffeur la tient d’un côté du dossier et de l’autre sur la partie ou ses fesses reposent.
Je vois bien son bras le long du sein, tout mignon de Patou, mais si c’est son seul plaisir, pourquoi l’en priver.
Tant que la dame reste stoïque, pourquoi se prendre la tête.
Dans le train, c’est bien moi et nul autre qui l’ai fait crier de plaisir la prenant pour la première fois alors que j’étais placé par-derrière.

• Je vous laisse, je dois aller chercher Jean Duplat chez lui pour le conduire à la Comédie française, ce grand acteur joue le malade imaginaire de Molière.
Je le conduit tous les soirs sauf le lundi, jour de relâche depuis Neuilly et je le ramène dès la séance terminée.

Taxi maitre, c’est bien ce que je disais.
J’ouvre la porte et près du jardin, le terrassement de la piscine est commencé.
Les coffrages sont placés et le béton est déjà coulé sur un côté.

• Christophe, c’est toi.
Qu’est-ce que tu as fait à mon jardin, ou sont mes hortensias ?...