COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (6/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (6/10)
Un tas de sable bloque le passage devant l’entrée du garage, empêchant que nous passions avec le fauteuil de Patou.
Je réussis avec le chauffeur à la faire passer en la soulevant chacun de notre côté.
La manœuvre réussit au prix d’un bras appuyant fortement du côté du chauffeur de taxi sur son sein, j’ouvre la porte.
Nous sommes dans l’obligation de constater que tout est complètement sans dessous dessus.
Patou semble prendre ombrage de mon initiative de construire une piscine afin qu’elle puisse retrouver une certaine liberté de mouvement dans l’eau.
L’idée m’est venue la voyant dans la baignoire de chez Chantal et maintenant accompagnée de Malaurie ou il nous a été difficile de la faire sortir tellement, l’eau l’aidant à flotter, elle s’éclatait.
Mon aimée n’a d’yeux que pour ses hortensias qui il est vrai donnait une note de fraicheur à ce petit jardin d’intérieur avec les immeubles voisins.
• Oui, mais c’est Christine ta marraine, qui est en relation avec l’entreprise.
Je te fais construire une piscine chauffée dont une partie sera découverte l’été.
J’ai commandé à ta marraine après la signature qu’elle s’occupe des débuts de travaux pendant notre absence.
J’avais complètement oublié tes hortensias.
Non, regarde, tu as tort, tu peux voir, les ouvriers les ont mis dans des pots sur le côté des travaux.
Ils doivent avoir une idée pour les replanter, on leur demandera lors de leur retour demain.
• Mon cœur vient dans mes bras que je t’embrasse, je n’aurais jamais pensé couvrir tout cet espace vide par cette piscine.
Tu dois avoir raison pour mes hortensias, attendons pour voir.
Mais dis-moi as-tu pensé comment je vais entrer dans l’eau ?
Je la conduis au bord de ce qui sera son lieu de repos et d’amusement.
• À la partie haute qui va dans le jardin, tu auras 90 cm d’eau et les 10 derniers mètres seront en pente douce jusqu’à un siège.
Une barre sera placée pour que tu puisses sortir ou entrer comme dans notre lit.
Tu seras autonome et tu pourras nager comme tu la fais chez nos amies dans leur baignoire de 4 m².
Ici tu auras 4 m sur 6 soit 24 m² pour t’amuser et surtout faire travailler un maximum tes muscles.
J’espère que ce sera bénéfique pour ceux qui te posent des soucis depuis que tu es petite et que Viki ta belle kiné vient faire travailler tous les jours.
J’en ai parlé avec elle, en plus de te détendre cette piscine lui servira dans son travail sur ton corps.
Elle a déjà prévu un maillot qu’elle enlèvera pour continuer sa tourner vers ses autres clients.
Je vais te dire une chose que j’ai pensé, nul doute que chaque fois qu’elle enlèvera sa blouse, je serais là pour admirer ses seins et sa jolie chatte.
• Tu es incorrigible, dès que tu vois un petit cul, ton sang s’enflamme.
Viens que je te fasse retomber ta tension, tu vas me faire un arrêt cardiaque.
Avance-toi que je t’embrasse.
Je comprends mieux pourquoi la marine t’a classé P40.
• Fou oui, mais pas P40, je suis P4 c’est déjà suffisant.
Dans le train avec Jacqueline et maintenant, j’embrasse une nouvelle fois mon petit démon, son baiser est si profond, que c’est moi qui finis par m’écarter pour reprendre mon souffle.
Je reprends son fauteuil, l’électrique étant lui aussi sous un drap et je la dirige vers la table de la partie cuisine.
Christine a mis des draps un peu partout et surtout sur les toiles terminées ainsi que le lit et la commode ou elle range ses petites culottes.
Nous abordons le problème de son travail.
Les travaux risquent de durer avant la mise en eau.
Comme je l’ai dit, son atelier est recouvert de drap pour tous protéger, ses toiles et son matériel.
• C’est tout simple, trois jours sans peindre et je deviens à mon tour P4.
Il y en aura assez d’un ici, tu es d’accord mon chéri.
Alors dans la journée, tu me conduiras chez Christine avant d’aller travailler et je dormirai sur le canapé toute la journée.
Le soir, nous reviendrons, tu enlèveras ce qu’ils me gênent et je travaillerai toute la nuit.
J’ai souvent l’habitude de le faire, mon esprit est plus clair.
• Nous ferons l’amour quand ?
• À la fin des travaux mon cœur, tu feras un nœud à ta bite, ça la reposera !
Je fais la moue.
• Bêta, tu me rejoindras au petit matin.
Quand je crée, mon énergie est décuplée.
Avant de te connaître, mon corps se tordait d’envie qu’un homme est le courage de me faire ce que tu m’as fait subir.
Nous ferons une vraie bacchanale jusqu’à quelques minutes de l’arrivée des ouvriers.
• On arrêtera un peu avant pour tous ranger et nous habiller !
• Non, je resterai nue, cela les excitera et ils travailleront mieux pour me faire plaisir.
• Pauvre chérie arrête de fantasmer, si tu fais ça, ils seront tellement attentionnés à te matter que les travaux dureront de nombreux jours voire des semaines supplémentaires.
• Je ne suis pas pauvre, j’ai une bague que mon fiancé m’a offert qui est magnifique et qui fait de moi une femme riche de son amour.
Mais dit moi, comment allons nous faire, tu as invité la terre entière pour finaliser notre future union ?
Allons-nous recevoir ta maman et son amante, dans ce foutoir ?
Regarde, la Rolls-royce le joyau de ce garage est recouvert de poussière.
• Ma chérie, tu te trompes, s’il y a un joyau ici, c’est toi mon amour.
Tu as tellement affronté de chose désagréable dans ta vie, qu’il aurait été normal qu’à un moment tu baisses les bras.
• Merci mon amour, tu cherches à ce que je te pardonne du bordel que tu as mis avec ton idée merveilleuse da sacrifier mes hortensias pour y mette une piscine.
Soit on reporte, soit on fait cette fête ailleurs, chez marraine par exemple, je suis sûr que si je lui téléphone, elle sera enchantée de tous nous recevoir.
• Ton idée est bonne en ce qui concerne le repas et de nouveau me demander de t’épouser !
Mais je connais maman, je suis sorti de son ventre, ce qui l’intéresse, c’est le lieu réel où son fils habite et voir l’endroit où tes toiles sont peintes.
J’ignore les moyens d’Iris, je connais ceux de notre famille, mais je pense que l’une comme l’autre sont dans l’impossibilité de débourser le quart d’une de tes toiles à ce que j’en sais !
• Pour qui me prends-tu, crois-tu que je ne pense qu’au fric ?
• Je vais te parler de Gaëtan le fils d’un ami de marraine, ils sont riches à millions !
Principalement en dollars australiens, ils ont de nombreuses affaires de l’autre côté de la terre.
Je l’ai plusieurs fois éconduit, je sentais intérieurement qu’il était incapable de faire ce que tu as fait avec moi.
Trouver des innovations comme le pouf et autres façons de me baiser, j’ai nettement compris qu’avec lui, je ferais ceinture sur le sexe.
Tout ceci avant mes premières ventes où je galérais un peu.
Je serais devenue la cocue merveilleuse peignant des toiles pendant que mon mari irais aux putes au bois de Boulogne.
• En plus d’être con, il est de la jaquette !
• Tu vas me prendre pour une demeurée, que veut dire « de la jaquette » !
• Un phoque, une tente, un pédé, pardon, pédéraste tu sais ce que veut dire ce mot.
• À c’est ça « de la jaquette » et pourquoi s’il va au bois de Boulogne en est-il un ?
J’y suis passé en taxi l’année où je suis allée à Roland Garros, il y avait de belles filles, dix fois, cent fois, mille fois plus belles que moi !
Et sur leurs longues jambes, elles !
• Tu as raison, elles sont belles, mets ta main là, que sens-tu ?
• Ta verge qui grossit à mon contact, mais chéri, tu bandes ?
• Eux aussi, ils bandent, la partie de leur corps visible, chevelures, maquillage, seins et m^me leurs jambes effilées sortant de leur courte jupe.
Ce sont des femmes, mais entre leurs jambes, elles ont un sexe plus gros que le mien.
Ce sont des travestis Brésiliens le plus souvent qui cherchent à gagner du fric afin de se faire opérer et de devenir entièrement femme.
Une fois que leurs attributs leur sont enlevés, elles retournent au pays pour y fonder une famille.
• Ils se font couper les couilles, quelle horreur, c’est un peu comme moi !
J’ai perdu l’usage de mes jambes comme tu le sais et à l’hôpital un chirurgien voulait me les couper.
C’est Christine ma marraine qui s’est interposée et m’a ainsi permis de les garder.
Sans elle, tu aurais demandé en mariage une demi femme, une femme tronc.
• Ma chérie, je suis enchanté que tu sois restée en un seul morceau grâce à elle, mais pour la femme tronc, il faudrait que tu n’aies ni jambes ni bras.
Met tes bras autour de mon cou, ta main a réveillé mon instinct animal et je vais te faire subir les derniers outrages.
Une nouvelle fois, je l’emporte jusqu’à notre lit, sans enlever le drap couvert lui aussi de poussière.
Patou retrouve ses habitudes et il ne nous faut pas longtemps pour qu’elle se serve de sa barre pour venir mettre sa fente devant mon pieu qu’elle a sortie de sa cachette.
Elle n’a pas travaillé toute la nuit et même si ce n’est pas une bacchanale à qui je fais l’amour, c’est une femme aimante et que j’aime qui se donne à moi.
Comme je sais si bien le faire avec mon petit pompon, surtout ce soir pour la première fois chez nous depuis qu’elle m’a tendu son annulaire, je la fais jouir et ses cris emplissent le garage.
Je m’épanche satisfait une nouvelle fois, d’avoir amené mon aimée jusqu’au plaisir.
Si les draps sont couverts de poussière, l’un comme l’autre après cette bonne séance de sexe, il faut aller nous doucher.
Je sors du lit, je la reprends dans mes bras et je la porte jusqu’à son siège spécial douche, j’en ai déjà parlé.
A un moment de nos ébats, je l’ai aidé à se retourner, son nez a dû frotter sur le drap, il est maculé de poudre ni blanche, ni grise.
Je tire sur la chaine ouvrant la pomme de douche.
N’oublions pas que nous sommes en décembre, même si le soir de Noël nous étions place San Marco à Venise, ses cris réveilleraient tous les morts du quartier…
Je réussis avec le chauffeur à la faire passer en la soulevant chacun de notre côté.
La manœuvre réussit au prix d’un bras appuyant fortement du côté du chauffeur de taxi sur son sein, j’ouvre la porte.
Nous sommes dans l’obligation de constater que tout est complètement sans dessous dessus.
Patou semble prendre ombrage de mon initiative de construire une piscine afin qu’elle puisse retrouver une certaine liberté de mouvement dans l’eau.
L’idée m’est venue la voyant dans la baignoire de chez Chantal et maintenant accompagnée de Malaurie ou il nous a été difficile de la faire sortir tellement, l’eau l’aidant à flotter, elle s’éclatait.
Mon aimée n’a d’yeux que pour ses hortensias qui il est vrai donnait une note de fraicheur à ce petit jardin d’intérieur avec les immeubles voisins.
• Oui, mais c’est Christine ta marraine, qui est en relation avec l’entreprise.
Je te fais construire une piscine chauffée dont une partie sera découverte l’été.
J’ai commandé à ta marraine après la signature qu’elle s’occupe des débuts de travaux pendant notre absence.
J’avais complètement oublié tes hortensias.
Non, regarde, tu as tort, tu peux voir, les ouvriers les ont mis dans des pots sur le côté des travaux.
Ils doivent avoir une idée pour les replanter, on leur demandera lors de leur retour demain.
• Mon cœur vient dans mes bras que je t’embrasse, je n’aurais jamais pensé couvrir tout cet espace vide par cette piscine.
Tu dois avoir raison pour mes hortensias, attendons pour voir.
Mais dis-moi as-tu pensé comment je vais entrer dans l’eau ?
Je la conduis au bord de ce qui sera son lieu de repos et d’amusement.
• À la partie haute qui va dans le jardin, tu auras 90 cm d’eau et les 10 derniers mètres seront en pente douce jusqu’à un siège.
Une barre sera placée pour que tu puisses sortir ou entrer comme dans notre lit.
Tu seras autonome et tu pourras nager comme tu la fais chez nos amies dans leur baignoire de 4 m².
Ici tu auras 4 m sur 6 soit 24 m² pour t’amuser et surtout faire travailler un maximum tes muscles.
J’espère que ce sera bénéfique pour ceux qui te posent des soucis depuis que tu es petite et que Viki ta belle kiné vient faire travailler tous les jours.
J’en ai parlé avec elle, en plus de te détendre cette piscine lui servira dans son travail sur ton corps.
Elle a déjà prévu un maillot qu’elle enlèvera pour continuer sa tourner vers ses autres clients.
Je vais te dire une chose que j’ai pensé, nul doute que chaque fois qu’elle enlèvera sa blouse, je serais là pour admirer ses seins et sa jolie chatte.
• Tu es incorrigible, dès que tu vois un petit cul, ton sang s’enflamme.
Viens que je te fasse retomber ta tension, tu vas me faire un arrêt cardiaque.
Avance-toi que je t’embrasse.
Je comprends mieux pourquoi la marine t’a classé P40.
• Fou oui, mais pas P40, je suis P4 c’est déjà suffisant.
Dans le train avec Jacqueline et maintenant, j’embrasse une nouvelle fois mon petit démon, son baiser est si profond, que c’est moi qui finis par m’écarter pour reprendre mon souffle.
Je reprends son fauteuil, l’électrique étant lui aussi sous un drap et je la dirige vers la table de la partie cuisine.
Christine a mis des draps un peu partout et surtout sur les toiles terminées ainsi que le lit et la commode ou elle range ses petites culottes.
Nous abordons le problème de son travail.
Les travaux risquent de durer avant la mise en eau.
Comme je l’ai dit, son atelier est recouvert de drap pour tous protéger, ses toiles et son matériel.
• C’est tout simple, trois jours sans peindre et je deviens à mon tour P4.
Il y en aura assez d’un ici, tu es d’accord mon chéri.
Alors dans la journée, tu me conduiras chez Christine avant d’aller travailler et je dormirai sur le canapé toute la journée.
Le soir, nous reviendrons, tu enlèveras ce qu’ils me gênent et je travaillerai toute la nuit.
J’ai souvent l’habitude de le faire, mon esprit est plus clair.
• Nous ferons l’amour quand ?
• À la fin des travaux mon cœur, tu feras un nœud à ta bite, ça la reposera !
Je fais la moue.
• Bêta, tu me rejoindras au petit matin.
Quand je crée, mon énergie est décuplée.
Avant de te connaître, mon corps se tordait d’envie qu’un homme est le courage de me faire ce que tu m’as fait subir.
Nous ferons une vraie bacchanale jusqu’à quelques minutes de l’arrivée des ouvriers.
• On arrêtera un peu avant pour tous ranger et nous habiller !
• Non, je resterai nue, cela les excitera et ils travailleront mieux pour me faire plaisir.
• Pauvre chérie arrête de fantasmer, si tu fais ça, ils seront tellement attentionnés à te matter que les travaux dureront de nombreux jours voire des semaines supplémentaires.
• Je ne suis pas pauvre, j’ai une bague que mon fiancé m’a offert qui est magnifique et qui fait de moi une femme riche de son amour.
Mais dit moi, comment allons nous faire, tu as invité la terre entière pour finaliser notre future union ?
Allons-nous recevoir ta maman et son amante, dans ce foutoir ?
Regarde, la Rolls-royce le joyau de ce garage est recouvert de poussière.
• Ma chérie, tu te trompes, s’il y a un joyau ici, c’est toi mon amour.
Tu as tellement affronté de chose désagréable dans ta vie, qu’il aurait été normal qu’à un moment tu baisses les bras.
• Merci mon amour, tu cherches à ce que je te pardonne du bordel que tu as mis avec ton idée merveilleuse da sacrifier mes hortensias pour y mette une piscine.
Soit on reporte, soit on fait cette fête ailleurs, chez marraine par exemple, je suis sûr que si je lui téléphone, elle sera enchantée de tous nous recevoir.
• Ton idée est bonne en ce qui concerne le repas et de nouveau me demander de t’épouser !
Mais je connais maman, je suis sorti de son ventre, ce qui l’intéresse, c’est le lieu réel où son fils habite et voir l’endroit où tes toiles sont peintes.
J’ignore les moyens d’Iris, je connais ceux de notre famille, mais je pense que l’une comme l’autre sont dans l’impossibilité de débourser le quart d’une de tes toiles à ce que j’en sais !
• Pour qui me prends-tu, crois-tu que je ne pense qu’au fric ?
• Je vais te parler de Gaëtan le fils d’un ami de marraine, ils sont riches à millions !
Principalement en dollars australiens, ils ont de nombreuses affaires de l’autre côté de la terre.
Je l’ai plusieurs fois éconduit, je sentais intérieurement qu’il était incapable de faire ce que tu as fait avec moi.
Trouver des innovations comme le pouf et autres façons de me baiser, j’ai nettement compris qu’avec lui, je ferais ceinture sur le sexe.
Tout ceci avant mes premières ventes où je galérais un peu.
Je serais devenue la cocue merveilleuse peignant des toiles pendant que mon mari irais aux putes au bois de Boulogne.
• En plus d’être con, il est de la jaquette !
• Tu vas me prendre pour une demeurée, que veut dire « de la jaquette » !
• Un phoque, une tente, un pédé, pardon, pédéraste tu sais ce que veut dire ce mot.
• À c’est ça « de la jaquette » et pourquoi s’il va au bois de Boulogne en est-il un ?
J’y suis passé en taxi l’année où je suis allée à Roland Garros, il y avait de belles filles, dix fois, cent fois, mille fois plus belles que moi !
Et sur leurs longues jambes, elles !
• Tu as raison, elles sont belles, mets ta main là, que sens-tu ?
• Ta verge qui grossit à mon contact, mais chéri, tu bandes ?
• Eux aussi, ils bandent, la partie de leur corps visible, chevelures, maquillage, seins et m^me leurs jambes effilées sortant de leur courte jupe.
Ce sont des femmes, mais entre leurs jambes, elles ont un sexe plus gros que le mien.
Ce sont des travestis Brésiliens le plus souvent qui cherchent à gagner du fric afin de se faire opérer et de devenir entièrement femme.
Une fois que leurs attributs leur sont enlevés, elles retournent au pays pour y fonder une famille.
• Ils se font couper les couilles, quelle horreur, c’est un peu comme moi !
J’ai perdu l’usage de mes jambes comme tu le sais et à l’hôpital un chirurgien voulait me les couper.
C’est Christine ma marraine qui s’est interposée et m’a ainsi permis de les garder.
Sans elle, tu aurais demandé en mariage une demi femme, une femme tronc.
• Ma chérie, je suis enchanté que tu sois restée en un seul morceau grâce à elle, mais pour la femme tronc, il faudrait que tu n’aies ni jambes ni bras.
Met tes bras autour de mon cou, ta main a réveillé mon instinct animal et je vais te faire subir les derniers outrages.
Une nouvelle fois, je l’emporte jusqu’à notre lit, sans enlever le drap couvert lui aussi de poussière.
Patou retrouve ses habitudes et il ne nous faut pas longtemps pour qu’elle se serve de sa barre pour venir mettre sa fente devant mon pieu qu’elle a sortie de sa cachette.
Elle n’a pas travaillé toute la nuit et même si ce n’est pas une bacchanale à qui je fais l’amour, c’est une femme aimante et que j’aime qui se donne à moi.
Comme je sais si bien le faire avec mon petit pompon, surtout ce soir pour la première fois chez nous depuis qu’elle m’a tendu son annulaire, je la fais jouir et ses cris emplissent le garage.
Je m’épanche satisfait une nouvelle fois, d’avoir amené mon aimée jusqu’au plaisir.
Si les draps sont couverts de poussière, l’un comme l’autre après cette bonne séance de sexe, il faut aller nous doucher.
Je sors du lit, je la reprends dans mes bras et je la porte jusqu’à son siège spécial douche, j’en ai déjà parlé.
A un moment de nos ébats, je l’ai aidé à se retourner, son nez a dû frotter sur le drap, il est maculé de poudre ni blanche, ni grise.
Je tire sur la chaine ouvrant la pomme de douche.
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