COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (7/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2559 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 624 883 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 390 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (7/10)
Vu la position que je souhaite occuper dans un futur proche, j’aurais pu penser que pendant notre voyage à Venise, l’eau chaude dans le garage avait été mise en position « arrêt. »
Une douche, une simple douche fait hurler Patricia lorsque assit sur son fauteuil de douche, je tire sur la chaine recevant sur la tête de l’eau glacée comme Patou.
J’aime l’eau froide, mais là on est servi.
Pat, comme moi, nous hurlons de surprise.
Je vais être vache, je vais parler de son handicape, en temps normal si ma chérie avait tous ses moyens c’est en courant qu’elle se serait sauvée hors de l’ancien vestiaire nous servant de salle de bains.
Là, elle doit recevoir l’eau froide stoïquement la surprise passée, il est trop tard pour le remettre en chauffe.
Je suis du genre beau joueur, je pourrais me sauver, mais moi aussi je subis la douche froide qui a comme finalité la circulation de mon sang.
Je finis par m’apercevoir que ma mie grelotte.
Debout derrière elle, je finis de lui laver l’entre jambes ce qu’en temps normal elle fait très bien toute seule.
Mais c’est là le moyen de profiter de sa chatte permettant à mes doigts de glisser à l’intérieur sans la moindre résistance.
Malgré l’eau glacée, ma petite salope mouille encore abondamment.
Je me déplace suffisamment pour attraper une grande serviette et l’entourant avec amour dans un baiser qui nous réchauffe, je la sèche intégralement.
Après avoir pris le temps de récupérer, mes pensées vont vers l’avenir proche.
• Habillons-nous, j’appelle Christine pour savoir ce que l’on fait.
J’ai du mal à trouver le téléphone.
Par chance je sais où se trouve la prise au mur.
Avant notre voyage, je me suis pris les pieds dedans passant de vie à trépas en venant taper sur l’un des pieds de l’élévateur de la Rolls-royce Phantom de 1930 avec ma tête dure.
Je la retrouve, je suis le fil et je trouve le combiné sur le meuble de la salle à manger sous un énième drap, à côté, un répertoire C, pas de Christine.
Je dois aller à F, F…Christine pour trouver le nom avec son prénom.
J’ignore qu’elle sera l’avenir dans le début des années 70, mais comme en 2 000 on nous promet des voitures volantes, j’espère que la téléphonie aura évolué.
Cher Patou déjà, j’ai le plaisir de me servir d’un appareil à touches que l’on appuie au lieu de celui que je connaissais jusqu’alors ou avec votre index vous tourniez un cadran avec des trous.
Le plus dur dans tout ça, c’est lorsque vous manquer comme c’est mon cas i, numéro, vous atterrissiez chez un mal embouché.
• Qu’est-ce que vous m’emmerdez, apprend le numéro sans te gourer, ici tu es au 33 ?
Mal embouché, je devais faire me 32, j’ai fait le 33.
• Monsieur Christophe, madame Christine m’a dit pour la bague que vous avez offerte à Patricia, je vais vous faire un aveu.
Lorsque vous avez été l’acheté, madame Christine me l’a montré, elle est magnifique, je me suis permis de la mettre à mon doigt, pile poil la bonne taille.
Je vais vous faire une confidence, madame l’avait rangé dans le tiroir de son armoire de chambre.
Pendant trois jours, je l’ai mise à mon doigt le temps où madame était partie à sa boutique.
Et dire que j’ai moi aussi en avoir une !
• Je vous sens nostalgique Madeleine, ça sent le drame tout ceci, n’avez-vous jamais été fiancé ?
• Oui et non, il y a des années j’ai fréquenté un jeune homme, Victor, beau comme un dieu.
Du moins à mes yeux, pour d’autres il devait leur apparaitre comme très banal.
• Il vous est parti !
• Oui, en Indochine dans les derniers jours des combats à Diên Biên Phu.
Nous devions nous marier à son retour et dire que je ne l’ai jamais revu.
• Vous avez été fidèle à sa mémoire !
• Je sais par madame Christine, que vous avez fait l’amour avec Patricia.
De mon temps, on couchait le soir de ses noces, je ne vous le reproche pas puisque avec votre demande vous rachetez vos péchés.
Peu de temps après je suis entré au service de madame et le temps a fait son œuvre, surtout que Patricia a échappé à la mort hélas pour son frère, je parle de celui de madame.
Je me suis occupé d’elle, et la vie a passé et je suis toujours à son service.
Je bavache, je bavache, si vous appelez, c’est que vous avez quelque chose à demander à madame !
J’espère qu’il n’est rien arrivé à Patricia, avant de partir elle-même à Venise, madame m’a emmené jusqu’au garage pour que nous recouvrions les meubles principaux et surtout les toiles de mademoiselle.
C’est drôle de dire mademoiselle alors que je sais que je devrais dire madame.
Je crois que je ne me ferais jamais dire madame de mademoiselle, mais la vie est ainsi faite.
Je sens Madeleine au bord des larmes, c’est drôle de découvrir la vie des autres. Lorsque vous les croisez dans la rue, ils vous paraissent comme monsieur tout le monde, alors que certains eux aussi ont eu une vie qu’à vos propres yeux vous trouveriez banal.
Prenez mon cas, qu’elle aurait été ma vie dans ces derniers jours si mon copain n’était pas passé chez mes parents avec son pompon sur ma tête.
Madeleine va me donner le cafard et la larme à l’œil, je refuse de penser que mon père n’aurait pas fait le grand sot si j’avais été plus patient avec lui.
Nul doute à la lumière de ce qu’elle m’a dit, cette femme est vierge et le restera.
Je vois mal, même si pour lui apprendre la vie, coucher avec cette femme qui a élevé celle qu’elle appelle Patricia alors que la plupart d’entre nous disent Pat ou Patou.
Bref, Madeleine nous attend Christine étant allée à son magasin, je raccroche, je prends mon mouchoir et je me mouche.
• Bébé, que t’arrive-t-il, c’est la première fois que je te vois le visage fermé, as-tu appris une mauvaise nouvelle ?
• Non, c’est Madeleine, elle m’a parlé de ta bague qu’elle a porté pendant que Christine la gardait avant de me la donner avant notre voyage.
Elle m’a expliqué pour son fiancé mort au combat en Indochine.
À sa façon de parler j’ai cru comprendre qu’elle est restée vierge dans le souvenir de ce garçon mort trop jeune !
Pat éclate de rire.
• Mon amour, tu te trompes énormément, j’ai moi aussi un jour parlé de Madeleine à marraine, il y a peu, j’avais 16 ans.
Elle m’a expliqué que son fiancé était légionnaire.
À son décès, elle a voulu voir ou il avait vécu lorsqu’il était entré dans la légion, c’était en Algérie à Sidi-Bel-Abbès.
Elle habitait Oran dans ces années-là, elle a eu une relation avec un camarade de combat de son fiancé.
Elle a appris qu’elle avait contracté une maladie vénérienne, une blennorragie !
J’ignore si tu connais, dans l’armée on appelle ça une chaude-pisse.
Tu te rends compte, ces mots, je les ai en horreur.
• Je les ignorais, ça consiste en quoi !
• Chéri, je refuse d’en dire plus, regarde sur cette étagère, il y a un gros livre, « Le petit Robert » c’est la première édition sortie cette année, regarde ça te donnera des idées.
J’ignore ce que Robert vient faire dans notre histoire surtout que c’est sur cette étagère que j’ai mis le Goncourt d’Edmonde Charles-Roux, quel titre déjà.
Je sais qu’il y a le nom d’une ville italienne dans le titre, « Palerme, » mais depuis que je l’ai posé là, combien de fois je l’ai repris en main ?
À l’intérieur, il y a toujours la dédicace d’Edmonde lorsque je me la suis pété en annonçant mon mariage avec Patou.
Même si la réalisation de mon mariage a fortement avancé après notre voyage à Venise, la bague, la bague acceptée et un mariage envisagé.
• Pat, je verrais ça plus tard, qu’est-il arrivé que saches-tu de plus, après cette chaude-pisse ?
Madeleine ignorait qu’il y avait un traitement, elle a confondu avec la petite vérole.
Elle a voulu se venger et a couché avec tous les légionnaires qu’elle pouvait gruger.
C’est là que Christine ma marraine entre en jeu, elle était la femme du commandant de la légion de la base de Sidi-Bel-Abbès.
Sais-tu que la spécificité des légionnaires, c’est de venir de tous les coins du monde ?
Le sien était d’origine polonaise, le comte Wladimir Poutina, lorsqu’elle a su ce qu’elle faisait pour se venger, elle est entrée en contact et lui a fait comprendre qu’elle devait se soigner.
C’est à ce moment que Wladimir Poutana a été victime d’un attentat des opposants Algérien et est décédé faisant de marraine une veuve à son tour.
À la débâcle entre la France et l’Algérie, elles sont rejointes Marseille et après Paris.
Son mari avait des biens en Pologne dont elle a hérité ainsi qu’une assurance-vie et c’est là qu’elle a acheté et la maison où elles vivent et le magasin des Champs.
Elle en a fait sa gouvernante, alors tu vois, que disais-tu, qu’elle était ou qu’elle ait vierge, va demander au gars qu’elle a contaminé, ils te diront comment elle se faisait sauter.
Pat venait de me faire passer pour un con, mais je retiens la leçon, il est vrai que j’avais jugé trop vite sans bien réfléchir.
• Chérie, tout en téléphonant, je regardais le garage dans l’état où il est avec les travaux, j’ai réfléchi, il est impossible de faire venir tous nos amis dans ce capharnaüm.
Regarde, tu ne peux même pas te servir de ton fauteuil électrique, lundi nous demanderons au responsable du chantier, le temps qu’il pense leur sera nécessaire pour que tout redevienne normal.
• Et ta maman ?
• Je vais l’appeler et c’est nous qui irons leur montrer ta bague, la seule chose que nous allons accepter de faire, c’est de faire ce que nous avons décidé de dormir chez marraine !
La seule chose que je vais faire, avec la pelle qui est près de l’armature de béton de la piscine, c’est de faire un passage avec le sable.
Tu pourras entrer et sortir et essayer de travailler sur tes toiles, mais avant j’ai faim, voyant ce qu’il y a dans le frigo…
Une douche, une simple douche fait hurler Patricia lorsque assit sur son fauteuil de douche, je tire sur la chaine recevant sur la tête de l’eau glacée comme Patou.
J’aime l’eau froide, mais là on est servi.
Pat, comme moi, nous hurlons de surprise.
Je vais être vache, je vais parler de son handicape, en temps normal si ma chérie avait tous ses moyens c’est en courant qu’elle se serait sauvée hors de l’ancien vestiaire nous servant de salle de bains.
Là, elle doit recevoir l’eau froide stoïquement la surprise passée, il est trop tard pour le remettre en chauffe.
Je suis du genre beau joueur, je pourrais me sauver, mais moi aussi je subis la douche froide qui a comme finalité la circulation de mon sang.
Je finis par m’apercevoir que ma mie grelotte.
Debout derrière elle, je finis de lui laver l’entre jambes ce qu’en temps normal elle fait très bien toute seule.
Mais c’est là le moyen de profiter de sa chatte permettant à mes doigts de glisser à l’intérieur sans la moindre résistance.
Malgré l’eau glacée, ma petite salope mouille encore abondamment.
Je me déplace suffisamment pour attraper une grande serviette et l’entourant avec amour dans un baiser qui nous réchauffe, je la sèche intégralement.
Après avoir pris le temps de récupérer, mes pensées vont vers l’avenir proche.
• Habillons-nous, j’appelle Christine pour savoir ce que l’on fait.
J’ai du mal à trouver le téléphone.
Par chance je sais où se trouve la prise au mur.
Avant notre voyage, je me suis pris les pieds dedans passant de vie à trépas en venant taper sur l’un des pieds de l’élévateur de la Rolls-royce Phantom de 1930 avec ma tête dure.
Je la retrouve, je suis le fil et je trouve le combiné sur le meuble de la salle à manger sous un énième drap, à côté, un répertoire C, pas de Christine.
Je dois aller à F, F…Christine pour trouver le nom avec son prénom.
J’ignore qu’elle sera l’avenir dans le début des années 70, mais comme en 2 000 on nous promet des voitures volantes, j’espère que la téléphonie aura évolué.
Cher Patou déjà, j’ai le plaisir de me servir d’un appareil à touches que l’on appuie au lieu de celui que je connaissais jusqu’alors ou avec votre index vous tourniez un cadran avec des trous.
Le plus dur dans tout ça, c’est lorsque vous manquer comme c’est mon cas i, numéro, vous atterrissiez chez un mal embouché.
• Qu’est-ce que vous m’emmerdez, apprend le numéro sans te gourer, ici tu es au 33 ?
Mal embouché, je devais faire me 32, j’ai fait le 33.
• Monsieur Christophe, madame Christine m’a dit pour la bague que vous avez offerte à Patricia, je vais vous faire un aveu.
Lorsque vous avez été l’acheté, madame Christine me l’a montré, elle est magnifique, je me suis permis de la mettre à mon doigt, pile poil la bonne taille.
Je vais vous faire une confidence, madame l’avait rangé dans le tiroir de son armoire de chambre.
Pendant trois jours, je l’ai mise à mon doigt le temps où madame était partie à sa boutique.
Et dire que j’ai moi aussi en avoir une !
• Je vous sens nostalgique Madeleine, ça sent le drame tout ceci, n’avez-vous jamais été fiancé ?
• Oui et non, il y a des années j’ai fréquenté un jeune homme, Victor, beau comme un dieu.
Du moins à mes yeux, pour d’autres il devait leur apparaitre comme très banal.
• Il vous est parti !
• Oui, en Indochine dans les derniers jours des combats à Diên Biên Phu.
Nous devions nous marier à son retour et dire que je ne l’ai jamais revu.
• Vous avez été fidèle à sa mémoire !
• Je sais par madame Christine, que vous avez fait l’amour avec Patricia.
De mon temps, on couchait le soir de ses noces, je ne vous le reproche pas puisque avec votre demande vous rachetez vos péchés.
Peu de temps après je suis entré au service de madame et le temps a fait son œuvre, surtout que Patricia a échappé à la mort hélas pour son frère, je parle de celui de madame.
Je me suis occupé d’elle, et la vie a passé et je suis toujours à son service.
Je bavache, je bavache, si vous appelez, c’est que vous avez quelque chose à demander à madame !
J’espère qu’il n’est rien arrivé à Patricia, avant de partir elle-même à Venise, madame m’a emmené jusqu’au garage pour que nous recouvrions les meubles principaux et surtout les toiles de mademoiselle.
C’est drôle de dire mademoiselle alors que je sais que je devrais dire madame.
Je crois que je ne me ferais jamais dire madame de mademoiselle, mais la vie est ainsi faite.
Je sens Madeleine au bord des larmes, c’est drôle de découvrir la vie des autres. Lorsque vous les croisez dans la rue, ils vous paraissent comme monsieur tout le monde, alors que certains eux aussi ont eu une vie qu’à vos propres yeux vous trouveriez banal.
Prenez mon cas, qu’elle aurait été ma vie dans ces derniers jours si mon copain n’était pas passé chez mes parents avec son pompon sur ma tête.
Madeleine va me donner le cafard et la larme à l’œil, je refuse de penser que mon père n’aurait pas fait le grand sot si j’avais été plus patient avec lui.
Nul doute à la lumière de ce qu’elle m’a dit, cette femme est vierge et le restera.
Je vois mal, même si pour lui apprendre la vie, coucher avec cette femme qui a élevé celle qu’elle appelle Patricia alors que la plupart d’entre nous disent Pat ou Patou.
Bref, Madeleine nous attend Christine étant allée à son magasin, je raccroche, je prends mon mouchoir et je me mouche.
• Bébé, que t’arrive-t-il, c’est la première fois que je te vois le visage fermé, as-tu appris une mauvaise nouvelle ?
• Non, c’est Madeleine, elle m’a parlé de ta bague qu’elle a porté pendant que Christine la gardait avant de me la donner avant notre voyage.
Elle m’a expliqué pour son fiancé mort au combat en Indochine.
À sa façon de parler j’ai cru comprendre qu’elle est restée vierge dans le souvenir de ce garçon mort trop jeune !
Pat éclate de rire.
• Mon amour, tu te trompes énormément, j’ai moi aussi un jour parlé de Madeleine à marraine, il y a peu, j’avais 16 ans.
Elle m’a expliqué que son fiancé était légionnaire.
À son décès, elle a voulu voir ou il avait vécu lorsqu’il était entré dans la légion, c’était en Algérie à Sidi-Bel-Abbès.
Elle habitait Oran dans ces années-là, elle a eu une relation avec un camarade de combat de son fiancé.
Elle a appris qu’elle avait contracté une maladie vénérienne, une blennorragie !
J’ignore si tu connais, dans l’armée on appelle ça une chaude-pisse.
Tu te rends compte, ces mots, je les ai en horreur.
• Je les ignorais, ça consiste en quoi !
• Chéri, je refuse d’en dire plus, regarde sur cette étagère, il y a un gros livre, « Le petit Robert » c’est la première édition sortie cette année, regarde ça te donnera des idées.
J’ignore ce que Robert vient faire dans notre histoire surtout que c’est sur cette étagère que j’ai mis le Goncourt d’Edmonde Charles-Roux, quel titre déjà.
Je sais qu’il y a le nom d’une ville italienne dans le titre, « Palerme, » mais depuis que je l’ai posé là, combien de fois je l’ai repris en main ?
À l’intérieur, il y a toujours la dédicace d’Edmonde lorsque je me la suis pété en annonçant mon mariage avec Patou.
Même si la réalisation de mon mariage a fortement avancé après notre voyage à Venise, la bague, la bague acceptée et un mariage envisagé.
• Pat, je verrais ça plus tard, qu’est-il arrivé que saches-tu de plus, après cette chaude-pisse ?
Madeleine ignorait qu’il y avait un traitement, elle a confondu avec la petite vérole.
Elle a voulu se venger et a couché avec tous les légionnaires qu’elle pouvait gruger.
C’est là que Christine ma marraine entre en jeu, elle était la femme du commandant de la légion de la base de Sidi-Bel-Abbès.
Sais-tu que la spécificité des légionnaires, c’est de venir de tous les coins du monde ?
Le sien était d’origine polonaise, le comte Wladimir Poutina, lorsqu’elle a su ce qu’elle faisait pour se venger, elle est entrée en contact et lui a fait comprendre qu’elle devait se soigner.
C’est à ce moment que Wladimir Poutana a été victime d’un attentat des opposants Algérien et est décédé faisant de marraine une veuve à son tour.
À la débâcle entre la France et l’Algérie, elles sont rejointes Marseille et après Paris.
Son mari avait des biens en Pologne dont elle a hérité ainsi qu’une assurance-vie et c’est là qu’elle a acheté et la maison où elles vivent et le magasin des Champs.
Elle en a fait sa gouvernante, alors tu vois, que disais-tu, qu’elle était ou qu’elle ait vierge, va demander au gars qu’elle a contaminé, ils te diront comment elle se faisait sauter.
Pat venait de me faire passer pour un con, mais je retiens la leçon, il est vrai que j’avais jugé trop vite sans bien réfléchir.
• Chérie, tout en téléphonant, je regardais le garage dans l’état où il est avec les travaux, j’ai réfléchi, il est impossible de faire venir tous nos amis dans ce capharnaüm.
Regarde, tu ne peux même pas te servir de ton fauteuil électrique, lundi nous demanderons au responsable du chantier, le temps qu’il pense leur sera nécessaire pour que tout redevienne normal.
• Et ta maman ?
• Je vais l’appeler et c’est nous qui irons leur montrer ta bague, la seule chose que nous allons accepter de faire, c’est de faire ce que nous avons décidé de dormir chez marraine !
La seule chose que je vais faire, avec la pelle qui est près de l’armature de béton de la piscine, c’est de faire un passage avec le sable.
Tu pourras entrer et sortir et essayer de travailler sur tes toiles, mais avant j’ai faim, voyant ce qu’il y a dans le frigo…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

