COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (8/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (8/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (8/10)
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (8/10)


C’est en sueur malgré le froid que je finis de déplacer le tas de sable devant la porte du garage, suffisamment, pour que le fauteuil de Pat puisse passer.
Le camion des ouvriers arrive lorsque je termine.
Ils sont trois, a l’avant qui descende et qui me salut.

• Êtes-vous le chef du chantier ?
• Oui, je m’appelle Léon Blanc, c’est marqué sur le camion-benne.
Mes ouvriers, Luigi, Italien et Red marocain.
Vous auriez dû attendre notre arrivée, j’aurais demandé à mes gars de faire un passage, nous ignorions que vous rentriez en cette fin de week-end !
• Pouvez-vous me dire dans combien de temps vous pensez terminer le chantier, afin que nous adaptation notre rythme au vôtre ?
• Nous avons fini le gros œuvre, le béton va finir de sécher, le plombier doit intervenir dans deux jours pour relier la température de l’eau au système de chauffage du garage.
Après le carrelage, ça c’est nous qui le faisons, là encore il faut qu’il sèche avant la mise en eau.
Je vais vous faire une confidence, voyez la bouche à incendie au coin de la rue.
J’ai le matériel nécessaire pour y brancher des gros tuyaux et la remplir en quelques minutes ni vu ni connu, vous économiserez environ 20 mètres cubes d’eau.
Le système de filtration et la pompe de circulation c’est le plombier qui l’installe.
Je peux vous promettre que vendredi dans deux semaines, nous aurons terminé.
Même les hortensias que nous avons placés dans des pots, seront replantés dans l’espace que nous venons aujourd’hui de construire avec le petit solarium ou l’été vous pourrez vous et votre femme vous faire bronzer.
Vous avez de la chance, vous pourrez même bronzer nu, les immeubles sans fenêtres vous protégeront des regards indiscrets.
• À ça c’est bien, j’avais peur que mes hortensias ne soient fichus.
Ce sont mes amis qui me les ont offerts lors de l’inauguration de mon atelier, c’est gentil d’y avoir pensé.

C’est la belle Patou, venant à son tour sur son fauteuil manuel qui parle à Léon.

• Ma chérie, tu vas prendre froid, rentre finir de te préparer.

La belle a sur son dos un slip et un débardeur qui dans la position ou elle est comme c’est fréquent lorsque nous sommes seules et sans sa blouse maculée de peinture sur le dos montre un de ses mignons seins.
Luigi et Red le regarde comme moi je regarde les œuvres d’art que Patou peint.
C’est le seul moment où un incident de ce type survient, jusqu’au vendredi où nous venons prendre possession des lieux.
Le soir, nous prenons un verre, pardon, nous prenons une bouteille, enfin nous buvons un coup avec Christine et Lisa, Madeleine a refusé de venir, Ophélie et Sami, Chantal et Malaurie.
C’est pour mon anniversaire, alors pourquoi et comment je me retrouve à dormir sur le siège arrière de la Rolls-royce Phantom de 1930, elle-même toujours sur le pont de vidange comme elle est à l’accoutumer.
Je sais qu’une fois étant bourrée, j’ai fait une démonstration de ce que font les pompiers de Paris à l’entrainement.
Mon cousin Robert, m’a fait visiter une partie de la caserne Champerret.
Dont la salle de sport où il m’a montré la planche ou tous les matins, ils doivent pouvoir se hisser avec seulement les avants bras sinon ils sont inaptes au service.
J’en ai fait de même avec le plancher en fer où la voiture roule et j’ai pu m’assoir à son volant, hélas sans la démarrer permis de conduire oblige.
J’ai dû faire la même bêtise et j’ai dormi cette fois sur le siège arrière.
C’est la seule explication plausible que je trouve.
J’entends du bruit près de l’endroit où je semble m’être caché.

• Nous avions invité quelques amis et je ne sais pas où mon fiancé est passé, certainement rentré se coucher chez ma marraine à deux pas d’ici.
J’étais en train de peindre, lorsque j’ai entendu que vous ouvriez la porte du garage, que venez-vous faire, je croyais que le chantier était terminé !
• Léon mon patron m’a demandé de passer pour mettre en place le système vous permettant d’entrer dans la piscine, il veut que je vérifie la sécurité du système.
Nous n’avons pas réussi à contrôler ce point important pour éviter de vous blessiez, la garantie est en jeu !

Tout en parlant, ils doivent avancer car je finis par les voir arrivant près de la piscine.
La veille, j’espérais, avant de boire, que nous pourrions nous baigner.
Hélas, près de la piscine, une feuille de papier « ne pas se baigner » nous en a empêché, je sais maintenant pourquoi elle a été apposée là.
Patou a sa blouse ce qui me rassure, pourquoi je reste caché, comme on le dit, « nul ne le sait et il n’est pas bavard. »
Je crois au fond de moi jusqu’à où ma fiancée est prête à prendre des initiatives.
Le voyage dans l’Orient express m’a montré quelques facettes des initiatives qu’elle a commencé à prendre.

• L’eau est chaude, le système isolant la partie hiver et été est en place, elle fume près de la fenêtre à cause de la différence de température.
• Oui, mais je suis là pour l’enlever et quand vous le voudrez vous pourrez vous baigner.

Avant d’avoir dit « ouf, » Patou enlève sa blouse et nous apparait nue.
Là encore il me suffirait d’ouvrir la portière arrière de la Roll et dire « coucou je suis là. »
Nous avons entrepris la comtesse avec Christophe bis, j’en ai pris l’initiative, pourquoi refuserais-je à Patou d’avoir elle aussi des fantasmes ?
Dès le premier jour où ils se sont croisés lorsqu’elle est sortie du garage un sein à l’air, j’ai senti que le regard de ce Marocain fasciné en voyant ma tendre et chère.
Nous sommes venues voir les travaux tout au long du processus, chaque fois j’ai vu que l’un comme l’autre ayant de l’intérêt pour l’autre.
J’aurais pu interrompe le processus de séduction par un « pas touche ma chérie » !
Mais j’en ai rien fait, alors pourquoi maintenant, elle comme lui sait que je lui ai offert une bague, elle la montre à tous ceux qui passent près d’elle.

• Vous pouvez enlever votre pull et votre pantalon et me porter dans l’eau, je voudrais l’essayer, comme vous dites qu’une fois cette étiquette retirée nous pouvons aller dans l’eau !
• J’ai un pantalon mais pas de sous-vêtements !
• Qu’importe, on est entre adulte et vous me voyez nue, mon copain serait là, c’est lui qui me porterait dans l’eau, il m’aide chaque fois que j’ai besoin de lui.

Une nouvelle fois, avant que je puisse ouvrir la bouche pour prévenir le couple que je suis là au-dessus d’eux, Red enlève son pull et fait tomber son pantalon.
Abdos bien mieux dessinés que les miens et lorsqu’il fait un mouvement pour se rapprocher de ma promise, une verge bien supérieure à la mienne au repos de plus de 8 à 10 centimètres.
Je calcule à vue d’œil, je me vois mal sortir de la boîte à outils, un mètre pour aller la mesurer.
Avant que je comprenne, il empoigne Pat sous ses jambes et dans son dos et la porte vers la piscine où il entre sans forcer.
J’ai le temps de voir sa verge se redresser au frottement du bas du dos de ma petite salope.

• Faites la planche je vous tiens.

Il l’a posée sur l’eau, mais surement surprise, elle coule et doit boire une tasse.
Il la rattrape et elle passe ses bras autour de son cou.
Nul doute que sa chatte est en contact avec cette verge qui doit complètement se redresser.
Elle tousse, mais ce que j’entends une fois son souffle repris me fait rester dans ma cachette.

• Il y a longtemps que tu es seul en France ou ta femme est ici à Paris !
Je sens que ta verge a réagi au quart de tour, comme un homme en manque !
• Tu as vu mon alliance, Nadia ma femme est à Meknès, ville marocaine où nous sommes nés et où nous habitons.
A la fin de l’année, je rentre définitivement au pays, j’ai gagné assez d’argent pour acheter la vieille épicerie où elle travaille, le vieil Amadou prend sa retraite et nous vend sa boutique.
Depuis la fin de mes vacances en aout, je suis séparé d’elle, tu dois le sentir.

Pour sentir, elle doit le sentir, car contre toute attente, elle se sépare de son cou et plonge sous l’eau.
Il voulait qu’elle fasse la planche sur le dos, je vois son corps remonter alors qu’elle est sur le ventre.
J’ai prévu une pente douce pour que le système de poulies et de câbles, lui permettant de se servir de la piscine seule.
Sa tête réapparaît suffisamment pour de ma position, voire ses mains entourer le pieu entièrement redressé.
Sa bouche est sur le gland et elle commence une fellation sur la bite à sa disposition.
Regarder Patou faire une pipe au travailleur marocain, comment pourrais-je, moi qui baise tout ce qui bouge, l’interrompt même si entre les femmes que je baise et elle, l’amour est passé par là.
Elle reprend son souffle, qu’elle réussisse ça, c’est à la limite de me rendre fière.

• Viens, je vais t’aider à sortir, tu me fais envie, malgré ma femme.

Je vois le corps de ma petite repartir vers le bas, s’accrochant à ce mat de cocaïne seul point lui évitant de retourner vers le fond.

• Non Red, tu es sympa, mais je vais me marier, ma chatte depuis le soir de Noël ou Christophe a fait sa demande lui est réservé.
Si tu savais la joie que j’ai eu qu’il me fasse sa demande, je n’aurais jamais cru cela possible.
Je vais te sucer jusqu’à ce que tu éclates dans ma bouche, ça fera retomber la pression et lorsque tu retrouveras ta femme, ça évitera que tu ne lui sautes à la gorge pour te vider en elle.
Tu la prendras tendrement, la plupart des femmes aiment que cela dure, Christophe sait très bien y faire, je peux m’en féliciter, j’ai trouvé l’amant parfait.

Je sens qu’il est le moment d’intervenir, j’ouvre la portière et je saute au sol comme le ferait un chat.

• Merci ma chérie, pour tous ses éloges, elles me vont droit au cœur.
Red, aidez Patou à sortir de son bain et venez près de moi, je sais comment lui faire durer son plaisir et nous satisfaire l’un et l’autre…

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Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (8/10)
Histoire sexe : Une rose rouge
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