COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (9/10) - histoire érotique

• Merci ma chérie, pour tous ses éloges, elles me vont droit au cœur.
Red, aidez Patou à sortir de son bain et venez près de moi, je sais comment lui faire durer son plaisir et nous satisfaire l’un et l’autre !

Eh oui, je tiens à me servir de la situation que Patou a créée en voulant se servir de sa piscine sans attendre officiellement ma présence, moi le concepteur de ce cadeau de fiançailles.
Même si c’est avec ses sous que grâce à Christine elle est réalisée.

• Que fais-tu là, je n’ai pas entendu entré !
Même le bruit de la pompe de ma nouvelle piscine, ne serait pas caché le bruit de grincement que la porte de l’atelier fait lorsque quelqu’un cherche à l’ouvrir !
• J’ignore dans l’état où j’étais, hier au soir, mais je me suis réveillé sur le siège de la Rolls-royce sur le pont où elle est placée.
• Nous nous sommes croisées à un moment mon cher, tu étais passablement éméché et tu voulais que malgré l’étiquette d’interdictions, me déshabiller pour aller me baiser dans la piscine.
Nous as-tu entendus de ce que nous nous sommes dit et de ce que nous avons commencé à faire ?
• Quelle question, j’ai décuité et mes oreilles comme mes yeux étaient bien en face de mes trous et c’est pourquoi je suis intervenu.
Red, t’appelles-tu bien Red à ce que j’ai pu entendre ?
• Oui monsieur !
Lorsque vous verrez mon patron, je voudrais que vous évitiez de lui dire ce que votre femme m’a fait, il me virerait sans la moindre indemnité et au pays je ne pourrais pas racheter l’épicerie ou travail Radia !
• Sois sans crainte Red, ton secret sera bien gardé surtout que je veux faire plaisir à Pat et tu vas m’y aider.
Je vais te raconter une anecdote, que j’ai apprise de Luc un copain.
Loubna, c’est bien un prénom de filles de ton pays !
• Mon chéri de qui parles-tu, Loubna, une de tes maîtresses, après tu me feras des reproches d’avoir remercié Red de m’avoir construit une piscine.
• Oui, monsieur c’est un prénom de fille au Maroc, mais aussi de tout le Maghreb !

J’ignore où se trouve le Magreb, j’ignore même comment ça s’écrit.
Ça fait partie de mon inculture.
Il est temps que je lise le livre de Simone, vous vous souvenez le Goncourt, placé sur l’étagère avec les livres de culs que Pat m’a dit lire dans la collection bleue.

• Je vais répondre à ta demande, en continuant mon histoire, espérant bien que ce sera la seule fois où tu m’interrompras.
Dans ton pays, vous êtes bien de confession musulmane comme nous ici nous sommes chrétiens !
• Oui, nous sommes en majorité des musulmans, moi-même, je fais toutes mes prières chaque jour et je fais le ramadan chaque fois que nécessaire.

« Ramadan, » qu’est-ce que sait, encore une chose que j’espère trouver dans le petit Robert.
Inutile de passer pour un con et montrer mon inculture à ce garçon la trentaine, ou au moins le manque de culture, inutile d’être trop dur avec toi.

• Luc m’a demandé si je voulais sauter une salope dans la cave d’un immeuble de Champigny !
Il croyait que j’étais puceau comme la plupart de mes copains !
Pat, tu sais déjà que mon pucelage, je l’avais perdu avec Chantal notre amie dans le Doubs.
Mais, je me suis bien gardé de lui dire, j’attendais la suite.
Je n’ai pas été déçu, il m’a expliqué qu’elle voulait rester vierge pour son mari le jour de ses noces, alors il fallait l’enculer.
• Je connais ce genre de situation, Nadia voulait rester vierge et comme cette Loubna, je m’occupais de son anus jusqu’au jour de notre mariage.
Son père l’aurait tué s’il savait qu’elle s’était laissé baiser avant qu’elle ait sa bague au doigt.
• Chéri, veux-tu que Red m’encule ?
Je suis d’accord si nous le faisons comme nous l’avons fait avec Christophe à Venise.
• J’ai entendu que tu voulais garder ta chatte à ma disposition après la bague que je t’ai offerte, je vais te prendre et Red viendra t’enculer, à toi de choisir.
• Monsieur Christophe, Charles Martel nous a stoppé à Poitiers.
Il serait mal venu que je conquière directement Paris en faisant un enfant à cette magnifique femme enfant.

C’est très drôle la réaction d’une femme qui comprend ma proposition.
Quant à Charles, je connais celui aux grandes oreilles, celui de Poitiers fait partie de ce que je dénonçais plus avant.
En histoire, deux dates !
Charlemagne l’empereur à la barbe blanche, l’an 800, c’est facile année ronde et celui à cause de qui, j’ai été obligé d’aller à l’école.
Et, 1515 Marigniant, je crois que c’est François 1er sans savoir si c’est une victoire ou une défaite.
Petit Robert lorsque tu nous tiens, je devrais en faire mon livre de chevet.

• Red, sortons de cette piscine et emmène-moi sur le lit de jardin, vous allez me prendre en double, mon fiancé à raison, j’aime jouir de ce genre de situation.

Le lit de jardin, je l’avais oublié celui-là !
Lorsque la piscine a été presque terminée, nous avons reçu des livreurs d’un magasin de design d’espace espaces verts nous livrant ce lit en rotin avec un matelas épais comme le bras de Patou.
C’était le cadeau de Christine à sa filleule et à son mâle dominant en vue de l’inauguration de notre piscine.
Le schéma rapide que j’avais fait de l’idée d’une piscine, avec mon accord avant le départ a été modifié après la venue d’un architecte spécialiste de ce genre d’aménagement.
Extérieurement plus de pelouse de toute façon très mal entretenue, j’aurais pu le faire, mais j’étais trop attentionné à satisfaire ma petite maîtresse devenue depuis ma petite fiancée.
Plus de pelouse, mais un plan carrelé ou l’été je pourrais sortir ce lit et profiter des rayons du soleil les quelques heures ou les immeubles voisins évitent de nous le cacher.
Pour l’hiver, il a fait supprimer un établi servant un peu de four tout avec l’espace où les mécaniciens devaient entrer les véhicules à réparer.
Été – hiver, le principe est respecté et il nous tend les bras pour satisfaire la petite salope qui je le vois à son regard, joui déjà à nous appartenir en double pénétration comme nous l’avons fait avec Christophe.
Mais revenons à Red et ses confidences sur son épouse se morfondant au pays, à moins que notre maçon soit cocu comme cochon et qu’elle baise à tour de bras pendant qu’il travaille pour lui payer son épicerie.

• Je sais que Radia fantasme sur ces situations, elle l’a dit à Wenda sa copine lors de mes dernières vacances, mais c’est difficile de trouver un autre homme pour la satisfaire.
Je dois ajouter que si je me comparais à toi, je serais jaloux que ma femme jouisse grâce à la bite d’un autre homme.

Je vois que Patou me fait voir son impatience, Red fini par la sortir et vient la poser près de moi.
J’ai déjà ôté mes vêtements, mais la trique que j’avais dans la Rolls à allumer ce brave travailleur marocain, mais c’est mal connaitre ma petite garce qui m’a déjà repris en main et qui me pompe divinement.
Deux minutes et je suis en état de la satisfaire, la pompe gonflant ma verge travaillant fond la caisse.

• Chérie, je suis prêt, veux-tu réellement qu’avec ce beau jeune homme, nous te donnions du plaisir ?
• Si je te fais rebander, c’est pour cela mon cœur, j’ai beaucoup aimé le faire avec Christophe à Venise, Red, aide-moi à m’empaler sur mon salopard de fiancé.

Qu’ai-je fait en dévergondant Pat, une vraie salope, mais je me rassure, mai 68 arrive et je suis simplement un peu en avance en ce début de janvier ?
Faites l’amour, pas la guerre, ce sera le slogan déferlant dans les rues, mais pour confirmer cela, il faudrait être voyant, mais faire l’amour à Patou, comme les boy-scouts, toujours prêt.
Red, avec sa verge plus imposante que la mienne, doit avoir pratiqué avec de vieilles connaissances en France ou dans son pays, la sodomie.
C’est tout en douceur que je le sens se glisser dans l’anus de notre petite maîtresse.
Je la sens bien en place, je suis bien au fond de sa chatte qui dégouline sur ma verge de sécrétions délivrées par ses parties intimes.
Elle m’embrasse goulument, comme jamais à ce jour elle me l’a fait.
Une nouvelle fois au travers de son périnée, je sens celui qui devient mon copain de baise, sa queue frottée la mienne.
Je suis à deux doigts de décharger, mais son regard au-dessus du mien me montre qu’en plus de la position qu’il doit adopter, il lutte lui aussi pour faire jouir la coquine avant de lui remplir le fondement.
Après tous ces efforts, c’est Patou qui craque, elle explose de jouissance pour notre plus grand plaisir.
Mais surtout le mien, je suis satisfait, que ma future soit sans le moindre tabou comme moi je le suis, les chapitres précédents nous l’ayant démontré.

Le calme revient dans le garage après la tempête.
Je regarde ma petite qui récupère entre nous deux.
Je me fais du souci et surtout des interrogations, comment une si jolie jeune fille à tel vécu sans ses jambes depuis de si nombreuses années.
Bien sûr elle a sa peinture, sa marraine et depuis peu moi, mais lorsque je vois son petit nez fripon se plisser lorsque par jeu je lui souffle dessus.
C’est à ce moment que je me rends compte que Red lui aussi est redescendu sur terre et appuyé sur son bras regarde Patou dormir, c’est dans un souffle certainement pour éviter de la réveiller qu’il me dit.

• Monsieur Christophe, vous avez beaucoup de chance de vous être fiancé avec cette jolie demoiselle, Radia est loin d’être aussi avancé sexuellement, je vais m’en retourner rempli d’images.
• Red, veux-tu la baiser dans sa chatte, je suis prêt à te la prêter ?
• Non monsieur Christophe préservez sa chatte, que diriez-vous si j’étais le père de l’enfant qui venait au monde après que je l’ai rempli de mon sperme chaud !
• J’entends ce que vous dites !
Red a raison, il existe depuis peu la possibilité de prendre un médicament permettant d’éviter d’avoir des enfants.
Mais dans Paris les médecins sont réticents à le prescrire.
• Tu nous as entendus, bébé, j’ai vu ça chez mes parents aux informations, il appelait ça « la pilule contraceptive, » moi aussi j’ignore où on peut se la procurer.
• Tout ceci est gentil, me prêter la chatte de Pat me va droit au cœur, mais Léon mon patron m’attend pour finir un autre chantier.
Mademoiselle, levons-nous afin que je vous montre comment fonctionne le siège vous permettant dès maintenant d’être autonome pour rejoindre l’eau.

C’est beau l’époque que nous vivons, le modernisme nous rattrape à grands pas.
La pilule, même si c’est un médicament va libérer la femme de la crainte de la grossesse intempestive.
Du fauteuil roulant qu’elle a récupéré et placé à côté de celui commandé, comment pourrais-je dire, un palan électrique.
Elle s’élève suffisamment sans avoir à forcer pour faire manoeuvrer l’ensemble vers la droite et ainsi arriver vers l’eau et pouvoir partir en flottant.
Patou manœuvre bien, le système que j’ai pensé et dessillé, s’avère efficace, mais lorsque l’ensemble passe au-dessus du mur et du carrelage de la piscine j’entends un grand bruit de craquement.
La tête est projetée sur le béton avant que je n’aie pu faire quoi que ce soit…