COLLECTION HOMME FEMME. Tornade en Louisiane (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Tornade en Louisiane (2/3)
C’est lors de mon voyage aux USA, que cette aventure m’arrive.
C’est sur son lit de mort que j’accepte de louer un camping-car pour partir de New York faire ce périple qui doit me conduire à Bâton rouge en Louisiane.
C’est lors de cette étape que je vais essayer de savoir ce qu’est devenue une dénommée Dee Edward.
C’était une jeune femme qu’il a rencontrée lors d’une escale avec le navire-école des officiers français, Jeanne d’Arc.
Il était tombé amoureux, mais, hélas, il avait fallu rentrer en France ou alors déserter. Mais c’était en pleine guerre du Vietnam et il aurait fallu pouvoir démontrer que l’on avait fait cinq ans d’armer dans son propre pays.
Il en avait que quatre et risquait de se retrouver avec les Viets aux fesses.
Courageux, oui, mais peu téméraire, on l’aurait été à moins, ils avaient correspondu jusqu’à ce qu’il rencontre ma grand-mère.
Dans ses yeux, je voyais qu’il était au bord des larmes, ce devait être un amour éternel.
Bâton Rouge, étape décevante, car un ouragan avait dévasté le quartier qu’il m’avait décrit.
J’ai donc repris ma route en direction de Los Angeles voulant passer par Las Vegas, même si c’est dans l’intérieur des terres.
C’est à la sortie de Lafayette qu’une tornade nous rattrape et que j’ai le temps de sauver une américaine, bon ton, d’une quarantaine d’années et de faire d’elle ma maîtresse.
Les tornades étant fréquentes en ces lieux, les paysans ont creusé une fosse fermée par des battants de ferraille.
Un trou, une planche pour s’assoir et une bombonne d’eau que je sauve de mon camping-car.
À son âge, elle devrait tout m’apprendre, mais c’est moi le jeunot qui la fait grimper au rideau lui apprenant à embrasser avec la langue et me faire une sucette.
Je suis jeune, la moitié de son âge, mais une fellation, c’est la première qu’elle pratique sur la bite d’un homme.
La tempête passée, j’essaye de rouvrir la trappe qui semble bloquée.
• Merde, il nous est impossible de sortir.
• Nous allons mourir, je te dis que nous allons crever dans ce trou à rats.
J’allume mon propre portable, la jeune femme dont j’ignore le nom à défaut de connaître la chaleur de sa chatte semble tétaniser.
Je sens qu’elle me démarre une crise de nerfs.
Je lui assène une paire de baffes la faisant suffoquer.
Elle tombe à genoux et dans la lueur, je réagis par instinct naturel.
J’ignorais que dans de telles circonstances, j’étais capable de bander.
Alors qu’elle recherche son souffle, ma verge la prend sauvagement.
Je pense que ma réaction est identique à la sienne et c’est pour ça que notre étreinte est à la limite de la bestialité, mais si bonne quand une nouvelle fois nous avons un orgasme simultané.
Je me suis demandé comment des hommes pouvaient bander en violentant une femme.
J’ai une partie de ma réponse, la peur déclenche dans le corps d’un être humain des poussées lui permettant de faire des choses improbables.
C’est lové sur cette terre battue que la jouissance ayant été si forte que nous devons nous endormir.
Je me réveille, nous sommes de nouveau dans le noir, la batterie de mon portable est coupée, je me redresse et j’essaye de soulever la trappe.
• Excuse-moi d’avoir paniqué, comment penses-tu que nous allons pouvoir sortir.
• Quand nous.
• Faisions l’amour, c’est ce que tu voulais dire.
• Oui, m^me si j’ai été un peu brutal !
• Brutal, c’est peu dire, tu m’as carrément violenté, mais ça a été si bon que tu es pardonné.
Nous papotons comme un vieux couple après l’amour alors que la situation est pathétique.
• Allume ton portable, le mien est sûr, batterie faible, j’ai senti un caillou sus mes genoux, cherche-le.
• Je l’ai.
• Bien éteint, regarde, il fait jour et avant de te faire magnifiquement l’amour, j’avais réussi à soulever suffisamment la plaque pour te permets de caler le caillou qui nous permettra de voir la situation.
Je pousse, plus de jour et le caillou mis en place fait son effet.
Par sécurité je lui emprunte son portable et je cherche une autre pierre que je place à l’opposé de la première.
On a de la clarté et surtout on respire mieux, car dans ce trou, l’air a du mal à se renouveler par l’intersite des plaques.
• Fait moi voir, j’ai compris, le peu que l’on voit, c’est le coffre de ma voiture, elle est retournée, je reconnais la couleur.
Elle est retombée sur la trappe et nous bloque.
• Je serais Mac Gyver, je déchirerais ta robe, j’en ferais une corde.
Nous éclatons de rire, ça détend dans la situation où nous nous trouvons.
• Vous aussi vous regardez ce feuilleton cousu de fil blanc.
• Attends, appel ton mari avec ton portable.
Elle le récupère et fait un numéro.
• C’est foutu pas de réseau, les émetteurs ont dû être détruits.
• Ton mari savait où tu allais !
Je la sens gênée !
• Chez une amie à quelques kilomètres d’ici, quand la tornade est arrivée j’essayais de rejoindre sa maison.
Abby et Paul son mari ont, eux aussi un abri, mais bien mieux aménagé pour plusieurs jours.
• Alors, ils vont te rechercher.
Nous avons de l’eau, c’est une source de survie si nous savons l’économiser.
Tient entend, un hélico passe non loin d’ici.
Quant à la route elle doit être coupée, dès qu’ils l’auront dégagé et réparé, ils verront ta voiture sur le toit• Help, help, on est là, venez nous sauver.
• Inutile de crier, c’est impossible que l’on t’entende.
Elle s’époumone pour rien bien qu’ils soient fort beaux quand je les regarde au-dessus de moi m’étant rassis sur le banc.
• J’ai une idée.
Avant que je réagisse, elle attrape son soutif sur le banc où elle est montée, le glisse dans la fente et le jette le plus loin qu’elle peut.
• Si l’hélico repasse, ils le verront et ils viendront nous sauver.
Laisse-moi prendre ma petite culotte, je vais la jeter aussi.
J’attrape sa main, inutile de se démunir de ses petites protections, depuis un hélico, ça semble désuait.
Ce faisant, elle perd l’équilibre et je la reçois dans mes bras.
Elle tombe assez pour que sa figure soit à la hauteur de ma bite.
Si un peu plus tôt, j’ai eu l’impression de la violer pour son plus grand plaisir, là je présente pavillon bas.
Elle apprend vite, car elle me prend dans ses mains et sa bouche viennent compléter la bonne fellation qu’elle pratique sur moi.
Je suis un bon étalon.
C’est normal à deux pas du Texas où j’espérais voir des cow-boys et des Indiens.
Hélas, tout ceci est bien compromis dans le trou où nous nous trouvons.
Elle était novice en sucette à notre arrivée, sans être une experte, comme Susy la suceuse que j’ai pratiquée, il y a quelques mois, elle se défend bien.
Si je lui faisais passer un examen, sans être à la hauteur de ma copine parisienne, je lui donnerais sept avec le commentaire.
« Dois encore s’améliorer »
Non, une seconde, huit sur dix quand j’éjacule et qu’elle avale tout mon sperme.
• J’ai soif.
Je prends la bonbonne, fait sauter le système de fermeture qui permet de la retourner sur la fontaine à eau avec difficulté, mais j’y arrive.
Je lui présente dans sa bouche, de l’eau gicle partout.
La bonbonne est lourde, il y a douze litres d’eau, à ce rythme, rapidement nous serons à sec.
Mac Gyver, je prends sa petite culotte que je déchire pour en faire une sorte de mèche que je trempe dans le liquide.
Je la récupère, bien imbibé et c’est avec délice que je la suce.
En la brisant et en suçant, je tombe sur la partie ayant touché sa chatte.
Ça adoucit le goût de l’eau, c’est assez agréable.
Au fil du temps qui passe lentement, ce goût, j’ai envie de le retrouver.
Il fait nuit.
Je la caresse, elle réagit.
C’est moi qui me mets entre ses cuisses qu’elle écarte.
Je trouve sa fente qui mouille et ces poils, car elle garde sa toison.
Elle me met ses mains sur ma tête.
Dort-elle, je l’ignore ?
• Oh oui, Abby, tu me fais du bien !...
C’est sur son lit de mort que j’accepte de louer un camping-car pour partir de New York faire ce périple qui doit me conduire à Bâton rouge en Louisiane.
C’est lors de cette étape que je vais essayer de savoir ce qu’est devenue une dénommée Dee Edward.
C’était une jeune femme qu’il a rencontrée lors d’une escale avec le navire-école des officiers français, Jeanne d’Arc.
Il était tombé amoureux, mais, hélas, il avait fallu rentrer en France ou alors déserter. Mais c’était en pleine guerre du Vietnam et il aurait fallu pouvoir démontrer que l’on avait fait cinq ans d’armer dans son propre pays.
Il en avait que quatre et risquait de se retrouver avec les Viets aux fesses.
Courageux, oui, mais peu téméraire, on l’aurait été à moins, ils avaient correspondu jusqu’à ce qu’il rencontre ma grand-mère.
Dans ses yeux, je voyais qu’il était au bord des larmes, ce devait être un amour éternel.
Bâton Rouge, étape décevante, car un ouragan avait dévasté le quartier qu’il m’avait décrit.
J’ai donc repris ma route en direction de Los Angeles voulant passer par Las Vegas, même si c’est dans l’intérieur des terres.
C’est à la sortie de Lafayette qu’une tornade nous rattrape et que j’ai le temps de sauver une américaine, bon ton, d’une quarantaine d’années et de faire d’elle ma maîtresse.
Les tornades étant fréquentes en ces lieux, les paysans ont creusé une fosse fermée par des battants de ferraille.
Un trou, une planche pour s’assoir et une bombonne d’eau que je sauve de mon camping-car.
À son âge, elle devrait tout m’apprendre, mais c’est moi le jeunot qui la fait grimper au rideau lui apprenant à embrasser avec la langue et me faire une sucette.
Je suis jeune, la moitié de son âge, mais une fellation, c’est la première qu’elle pratique sur la bite d’un homme.
La tempête passée, j’essaye de rouvrir la trappe qui semble bloquée.
• Merde, il nous est impossible de sortir.
• Nous allons mourir, je te dis que nous allons crever dans ce trou à rats.
J’allume mon propre portable, la jeune femme dont j’ignore le nom à défaut de connaître la chaleur de sa chatte semble tétaniser.
Je sens qu’elle me démarre une crise de nerfs.
Je lui assène une paire de baffes la faisant suffoquer.
Elle tombe à genoux et dans la lueur, je réagis par instinct naturel.
J’ignorais que dans de telles circonstances, j’étais capable de bander.
Alors qu’elle recherche son souffle, ma verge la prend sauvagement.
Je pense que ma réaction est identique à la sienne et c’est pour ça que notre étreinte est à la limite de la bestialité, mais si bonne quand une nouvelle fois nous avons un orgasme simultané.
Je me suis demandé comment des hommes pouvaient bander en violentant une femme.
J’ai une partie de ma réponse, la peur déclenche dans le corps d’un être humain des poussées lui permettant de faire des choses improbables.
C’est lové sur cette terre battue que la jouissance ayant été si forte que nous devons nous endormir.
Je me réveille, nous sommes de nouveau dans le noir, la batterie de mon portable est coupée, je me redresse et j’essaye de soulever la trappe.
• Excuse-moi d’avoir paniqué, comment penses-tu que nous allons pouvoir sortir.
• Quand nous.
• Faisions l’amour, c’est ce que tu voulais dire.
• Oui, m^me si j’ai été un peu brutal !
• Brutal, c’est peu dire, tu m’as carrément violenté, mais ça a été si bon que tu es pardonné.
Nous papotons comme un vieux couple après l’amour alors que la situation est pathétique.
• Allume ton portable, le mien est sûr, batterie faible, j’ai senti un caillou sus mes genoux, cherche-le.
• Je l’ai.
• Bien éteint, regarde, il fait jour et avant de te faire magnifiquement l’amour, j’avais réussi à soulever suffisamment la plaque pour te permets de caler le caillou qui nous permettra de voir la situation.
Je pousse, plus de jour et le caillou mis en place fait son effet.
Par sécurité je lui emprunte son portable et je cherche une autre pierre que je place à l’opposé de la première.
On a de la clarté et surtout on respire mieux, car dans ce trou, l’air a du mal à se renouveler par l’intersite des plaques.
• Fait moi voir, j’ai compris, le peu que l’on voit, c’est le coffre de ma voiture, elle est retournée, je reconnais la couleur.
Elle est retombée sur la trappe et nous bloque.
• Je serais Mac Gyver, je déchirerais ta robe, j’en ferais une corde.
Nous éclatons de rire, ça détend dans la situation où nous nous trouvons.
• Vous aussi vous regardez ce feuilleton cousu de fil blanc.
• Attends, appel ton mari avec ton portable.
Elle le récupère et fait un numéro.
• C’est foutu pas de réseau, les émetteurs ont dû être détruits.
• Ton mari savait où tu allais !
Je la sens gênée !
• Chez une amie à quelques kilomètres d’ici, quand la tornade est arrivée j’essayais de rejoindre sa maison.
Abby et Paul son mari ont, eux aussi un abri, mais bien mieux aménagé pour plusieurs jours.
• Alors, ils vont te rechercher.
Nous avons de l’eau, c’est une source de survie si nous savons l’économiser.
Tient entend, un hélico passe non loin d’ici.
Quant à la route elle doit être coupée, dès qu’ils l’auront dégagé et réparé, ils verront ta voiture sur le toit• Help, help, on est là, venez nous sauver.
• Inutile de crier, c’est impossible que l’on t’entende.
Elle s’époumone pour rien bien qu’ils soient fort beaux quand je les regarde au-dessus de moi m’étant rassis sur le banc.
• J’ai une idée.
Avant que je réagisse, elle attrape son soutif sur le banc où elle est montée, le glisse dans la fente et le jette le plus loin qu’elle peut.
• Si l’hélico repasse, ils le verront et ils viendront nous sauver.
Laisse-moi prendre ma petite culotte, je vais la jeter aussi.
J’attrape sa main, inutile de se démunir de ses petites protections, depuis un hélico, ça semble désuait.
Ce faisant, elle perd l’équilibre et je la reçois dans mes bras.
Elle tombe assez pour que sa figure soit à la hauteur de ma bite.
Si un peu plus tôt, j’ai eu l’impression de la violer pour son plus grand plaisir, là je présente pavillon bas.
Elle apprend vite, car elle me prend dans ses mains et sa bouche viennent compléter la bonne fellation qu’elle pratique sur moi.
Je suis un bon étalon.
C’est normal à deux pas du Texas où j’espérais voir des cow-boys et des Indiens.
Hélas, tout ceci est bien compromis dans le trou où nous nous trouvons.
Elle était novice en sucette à notre arrivée, sans être une experte, comme Susy la suceuse que j’ai pratiquée, il y a quelques mois, elle se défend bien.
Si je lui faisais passer un examen, sans être à la hauteur de ma copine parisienne, je lui donnerais sept avec le commentaire.
« Dois encore s’améliorer »
Non, une seconde, huit sur dix quand j’éjacule et qu’elle avale tout mon sperme.
• J’ai soif.
Je prends la bonbonne, fait sauter le système de fermeture qui permet de la retourner sur la fontaine à eau avec difficulté, mais j’y arrive.
Je lui présente dans sa bouche, de l’eau gicle partout.
La bonbonne est lourde, il y a douze litres d’eau, à ce rythme, rapidement nous serons à sec.
Mac Gyver, je prends sa petite culotte que je déchire pour en faire une sorte de mèche que je trempe dans le liquide.
Je la récupère, bien imbibé et c’est avec délice que je la suce.
En la brisant et en suçant, je tombe sur la partie ayant touché sa chatte.
Ça adoucit le goût de l’eau, c’est assez agréable.
Au fil du temps qui passe lentement, ce goût, j’ai envie de le retrouver.
Il fait nuit.
Je la caresse, elle réagit.
C’est moi qui me mets entre ses cuisses qu’elle écarte.
Je trouve sa fente qui mouille et ces poils, car elle garde sa toison.
Elle me met ses mains sur ma tête.
Dort-elle, je l’ignore ?
• Oh oui, Abby, tu me fais du bien !...
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