COLLECTION HOMME FEMME. Vierge à 66 ANS. (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2018 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION HOMME FEMME. Vierge à 66 ANS. (2/2)
Les vicissitudes de la vie ont fait qu’arriver à soixante-six ans, je suis une retraitée encore vierge.
Dans le parc Montsouris près de Montrouge où j’habite, je fais la connaissance d’un jeune homme qui me demande une chose impossible à satisfaire pour moi.
Il semble me prendre pour sa Doudou qui vient de mourir et il souhaite avoir des rapports sexuels avec moi.
À cet effet, si je continue à me refuser, il me promet de la rejoindre en ce passant la corde au cou.
Je suis assise sur mon banc à donner à manger aux pigeons lorsqu’il arrive me donnant des preuves indiscutables que, la nuit dernière, il était sur mon paillasson pour dormir comme il le fait d’après lui depuis plusieurs soirs.
• Thierry, je veux te proposer quelque chose.
• Je dis oui d’avance.
• Soir sérieux, je vais faire une chose complètement insensée pour une femme de mon âge, j’accepte que tu viennes dormir chez moi.
• Je savais que tu avais du cœur.
• Attention, tu coucheras dans ma salle à manger où j’ai un fauteuil-lit une place.
Hors de question que tu passes la porte de ma chambre, sinon j’appelle la police qui te renverra à la rue.
• Je t’ai dit oui d’avance.
J’ai pris le temps de donner le pain aux pigeons espérant avec ma décision que le pigeon est sur le gravier et pas sur le banc.
Un homme comme lui, dans la force de ses trente ans, doit bien manger, aussi, je passe à la charcuterie voisine pour acheter de quoi le nourrir.
Arrivé devant la porte, il tape le code me prouvant qu’il le connaît bien.
• Entre, tu peux faire le tour de mes deux-pièces sauf bien sûr ma chambre.
• Doudou, c’est une vraie bonbonnière, tu as toujours vingt ans, c’est toi la jeunette et moi le vieux.
En disant cela, il se rapproche dangereusement de moi.
Par une pirouette, je vais vers ma chambre, que je lui ai interdite et où je me change tous les jours en revenant du parc.
J’ôte mes vêtements que je range soigneusement sur une chaise comme une vieille fille bloquée par ses maniaqueries.
Je mets sur mon dos ma robe d’intérieur gardant ma petite culotte.
J’ouvre ma porte pour aller à la cuisine où je lui prépare notre premier dîner en tête-à-tête.
Si je regarde autour de loi, il a raison, au fil du temps, j’ai refusé de voir que ma vie s’était arrêtée et mon décor était tel qu’il était lorsque le balancier de la vie est venu me broyer.
Il m’a suivi dans la cuisine.
• Assieds-toi là, j’ai l’habitude de m’asseoir sur l’autre chaise.
En lui disant ces mots, je prends conscience que j’ai des manies de vieilles moi qui comme il me l'a dit pense avoir toujours vingt ans.
• Je me disais que, depuis longtemps, j’avais envie de tout refaire, l’argent est à ta disposition pour acheter tout ce qu’il te faut pour tout faire à neuf, ce sera ta contribution à notre vie d’un moment.
• Non, pas questions d’acheter quoi que ce soit sans que les choix soient en harmonie entre nous deux, je suis persuadé que ton appartement sera prochainement le nid de nos amours.
• Tu recommences, je vais appeler la police.
Je me serai offert à lui le ton que je prends montrant le peu d’empressement à mettre mon ordre à exécution et le fait que mon appartement est vide de tous téléphones marque le début de notre complicité.
Tout le long du repas que je lui sers, je rigole à ses mimiques, ses vicissitudes, finissant à la fin du repas d’être les complices de nos rires.
C’est peut-être la bouteille de Mercurey Chante flûté de dix ans d’âges qu’une amie de travail m’a fait cadeau lors de mon départ à la retraite qui est peut-être pour quelque chose.
Elle espérait que j’en achèterais lorsqu’elle me l’a offert, mais moi et le vin.
Le vin qui pourtant dans ma jeunesse a tenu une grande place, car mon grand-père avait des vignes sur Parizeau et j’allais souvent l’aider dans ses vignes, même si j’étais plutôt embêtante pour lui qu’utile.
Il y avait son chai ou la récolte faite, il transformait ses raisins en vin et où nous faisions des parties de cache-cache avec des copines qui l’exaspéraient, mais tout a disparu de mon patrimoine familial.
Alors que je passe près de lui pour ranger un paquet dans le placard, il me saisit la main et m’assoit sur ses genoux.
• La chambre m’est interdite, mais ici aucune promesse.
Avant que j’aie le temps de réagir, j’ai sa langue dans sa bouche et sa bite qui entre dans le bas de mon corps tellement, il est déjà tendu.
Deux choses extraordinaires m’arrivent.
J’ai une bite qui m’agresse mes parties intimes et une main qui vient se poser sur ma chatte.
La bite et la main, car avec Henri, jamais, il se serait permis de m’asseoir sur ses genoux surtout s’il bandait et de me glisser la main entre les jambes.
Il faut dire que sans m’en rendre compte, j’ai pris des risques en mettant ma robe d’intérieur qui comme un peignoir retenu par une ceinture du même tissu et qui, lorsqu’il l’enlève, lui offre ma culotte et par conséquent ma chatte et mes seins.
Boudiou que c’est bon, surtout lorsque ses doigts écartent l’élastique de ma culotte et viennent caresser ma vulve.
Plus de quarante années où elle est restée entièrement sèche alors que, maintenant elle dégouline.
Soixante-six ans et je me surprends tout en continuant à l’embrasser de me relever pour faire tomber mon vêtement et que parce qu’il a sorti sa queue, je le fais passer à côté de l’élastique et que pour la première fois un pieu entre en moi.
Suis-je bien consciente que la vieille femme que je suis vient de perdre sa virginité ?
La vitesse où je monte et où je fais redescendre ma vulve sur son pieu m’apporte rapidement ce que quelques femmes cherchent désespérément dans des aventures sans lendemain, je jouis et avant qu’il décharge en moi un orgasme doit faire penser aux voisins du dessus qu’un problème est survenu à leur vieille voisine.
• Tu vois Doudou, c’était facile et je dois dire que tu fais partie des salopes qui dès la première fois prennent leurs pieds.
• Tu crois que je suis devenue une salope.
• Pas devenue, tu es une salope, mais j’adore cela, tu vas voir, je vais te faire rattraper le temps perdu.
Tout en me disant cela, je remarque qu’il est toujours bandé en moi et je tiens à lui faire cracher son sperme au fond de ma chatte.
• Viens sur ton fauteuil se transformant en canapé que j’ai déplié, je vais t’apprendre d’autres positions.
À regret, je sors ma vulve de son sexe et il m’entraîne vers ma salle.
• Ici.
C’est la porte de ma chambre que je lui ouvre, mon premier amant a bien le droit de venir sur ma couche surtout pour me placer à quatre pattes en levrette et de me pilonner de nouveau par la chatte.
Encore un orgasme me déchire deux fois même lorsqu’il passe sa main sous moi et qu’il m’agresse le clitoris.
Clito, levrette si jusqu’à ce jour, j’étais vierge de la pratique de tous ces mots des nombreuses lectures des classiques de l’érotisme, m’évite d’être en plus de mon handicap une nunuche.
• Chéri rempli-moi, laisse partir tes traits de spermes dans mon corps, ou préfères-tu que j’avale tout.
J’y suis prête, déchire-moi le corps, c’est si bon.
Je me fais honte et heureusement qu’aucun enfant ou petit enfant ne compose ma famille, j’aurais honte de me représenter devant eux.
Mais quelle bonne honte surtout que, lorsqu’il s’allonge sur mon lit que, bizarrement, j’ai prévu à deux places étant seul, je lui prends la queue dans ma main aimant la texture très douce du beau morceau que mon amant m’a mis dans la foune faisant enfin de moi une femme.
Dans la main et dans la bouche, car je la suce consciencieusement pour lui redonner comme un sou neuf.
Redonné pas tout de suite, il faut encore que je la fasse redescendre pour qu’il puisse la remettre dans son pantalon, le traitement que ma bouche lui a infligé a redonné sa rigidité.
C’est moi qui prends l’initiative après avoir retiré ma culotte que nos deux étreintes étaient si intenses qu’elle est restée sans nous gêner, je ne vois pas la nuit se terminer, au matin, je l’entraîne dans la baignoire après avoir mis Roméo et Juliette de Berlioz sur ma platine.
Après avoir mangé, j’ai de nouveau envie de son sexe, la veuve a presque cinquante ans à rattraper.
• Doudou arrête d’être gloutonne, même si j’adore, voir ma queue avec ton sang on fait de moi le plus heureux des hommes, mais les pigeons ne seraient pas contents si nous ne venions pas les nourrir.
Il a raison même si j’ignore combien de temps mon nouveau bonheur durera, ce qu’il y a de certain, c’est que je vais lui léguer mon logement pour qu’à ma mort, il ne retrouve pas la rue et chercher un arbre ou se pendre.
Dans le parc Montsouris près de Montrouge où j’habite, je fais la connaissance d’un jeune homme qui me demande une chose impossible à satisfaire pour moi.
Il semble me prendre pour sa Doudou qui vient de mourir et il souhaite avoir des rapports sexuels avec moi.
À cet effet, si je continue à me refuser, il me promet de la rejoindre en ce passant la corde au cou.
Je suis assise sur mon banc à donner à manger aux pigeons lorsqu’il arrive me donnant des preuves indiscutables que, la nuit dernière, il était sur mon paillasson pour dormir comme il le fait d’après lui depuis plusieurs soirs.
• Thierry, je veux te proposer quelque chose.
• Je dis oui d’avance.
• Soir sérieux, je vais faire une chose complètement insensée pour une femme de mon âge, j’accepte que tu viennes dormir chez moi.
• Je savais que tu avais du cœur.
• Attention, tu coucheras dans ma salle à manger où j’ai un fauteuil-lit une place.
Hors de question que tu passes la porte de ma chambre, sinon j’appelle la police qui te renverra à la rue.
• Je t’ai dit oui d’avance.
J’ai pris le temps de donner le pain aux pigeons espérant avec ma décision que le pigeon est sur le gravier et pas sur le banc.
Un homme comme lui, dans la force de ses trente ans, doit bien manger, aussi, je passe à la charcuterie voisine pour acheter de quoi le nourrir.
Arrivé devant la porte, il tape le code me prouvant qu’il le connaît bien.
• Entre, tu peux faire le tour de mes deux-pièces sauf bien sûr ma chambre.
• Doudou, c’est une vraie bonbonnière, tu as toujours vingt ans, c’est toi la jeunette et moi le vieux.
En disant cela, il se rapproche dangereusement de moi.
Par une pirouette, je vais vers ma chambre, que je lui ai interdite et où je me change tous les jours en revenant du parc.
J’ôte mes vêtements que je range soigneusement sur une chaise comme une vieille fille bloquée par ses maniaqueries.
Je mets sur mon dos ma robe d’intérieur gardant ma petite culotte.
J’ouvre ma porte pour aller à la cuisine où je lui prépare notre premier dîner en tête-à-tête.
Si je regarde autour de loi, il a raison, au fil du temps, j’ai refusé de voir que ma vie s’était arrêtée et mon décor était tel qu’il était lorsque le balancier de la vie est venu me broyer.
Il m’a suivi dans la cuisine.
• Assieds-toi là, j’ai l’habitude de m’asseoir sur l’autre chaise.
En lui disant ces mots, je prends conscience que j’ai des manies de vieilles moi qui comme il me l'a dit pense avoir toujours vingt ans.
• Je me disais que, depuis longtemps, j’avais envie de tout refaire, l’argent est à ta disposition pour acheter tout ce qu’il te faut pour tout faire à neuf, ce sera ta contribution à notre vie d’un moment.
• Non, pas questions d’acheter quoi que ce soit sans que les choix soient en harmonie entre nous deux, je suis persuadé que ton appartement sera prochainement le nid de nos amours.
• Tu recommences, je vais appeler la police.
Je me serai offert à lui le ton que je prends montrant le peu d’empressement à mettre mon ordre à exécution et le fait que mon appartement est vide de tous téléphones marque le début de notre complicité.
Tout le long du repas que je lui sers, je rigole à ses mimiques, ses vicissitudes, finissant à la fin du repas d’être les complices de nos rires.
C’est peut-être la bouteille de Mercurey Chante flûté de dix ans d’âges qu’une amie de travail m’a fait cadeau lors de mon départ à la retraite qui est peut-être pour quelque chose.
Elle espérait que j’en achèterais lorsqu’elle me l’a offert, mais moi et le vin.
Le vin qui pourtant dans ma jeunesse a tenu une grande place, car mon grand-père avait des vignes sur Parizeau et j’allais souvent l’aider dans ses vignes, même si j’étais plutôt embêtante pour lui qu’utile.
Il y avait son chai ou la récolte faite, il transformait ses raisins en vin et où nous faisions des parties de cache-cache avec des copines qui l’exaspéraient, mais tout a disparu de mon patrimoine familial.
Alors que je passe près de lui pour ranger un paquet dans le placard, il me saisit la main et m’assoit sur ses genoux.
• La chambre m’est interdite, mais ici aucune promesse.
Avant que j’aie le temps de réagir, j’ai sa langue dans sa bouche et sa bite qui entre dans le bas de mon corps tellement, il est déjà tendu.
Deux choses extraordinaires m’arrivent.
J’ai une bite qui m’agresse mes parties intimes et une main qui vient se poser sur ma chatte.
La bite et la main, car avec Henri, jamais, il se serait permis de m’asseoir sur ses genoux surtout s’il bandait et de me glisser la main entre les jambes.
Il faut dire que sans m’en rendre compte, j’ai pris des risques en mettant ma robe d’intérieur qui comme un peignoir retenu par une ceinture du même tissu et qui, lorsqu’il l’enlève, lui offre ma culotte et par conséquent ma chatte et mes seins.
Boudiou que c’est bon, surtout lorsque ses doigts écartent l’élastique de ma culotte et viennent caresser ma vulve.
Plus de quarante années où elle est restée entièrement sèche alors que, maintenant elle dégouline.
Soixante-six ans et je me surprends tout en continuant à l’embrasser de me relever pour faire tomber mon vêtement et que parce qu’il a sorti sa queue, je le fais passer à côté de l’élastique et que pour la première fois un pieu entre en moi.
Suis-je bien consciente que la vieille femme que je suis vient de perdre sa virginité ?
La vitesse où je monte et où je fais redescendre ma vulve sur son pieu m’apporte rapidement ce que quelques femmes cherchent désespérément dans des aventures sans lendemain, je jouis et avant qu’il décharge en moi un orgasme doit faire penser aux voisins du dessus qu’un problème est survenu à leur vieille voisine.
• Tu vois Doudou, c’était facile et je dois dire que tu fais partie des salopes qui dès la première fois prennent leurs pieds.
• Tu crois que je suis devenue une salope.
• Pas devenue, tu es une salope, mais j’adore cela, tu vas voir, je vais te faire rattraper le temps perdu.
Tout en me disant cela, je remarque qu’il est toujours bandé en moi et je tiens à lui faire cracher son sperme au fond de ma chatte.
• Viens sur ton fauteuil se transformant en canapé que j’ai déplié, je vais t’apprendre d’autres positions.
À regret, je sors ma vulve de son sexe et il m’entraîne vers ma salle.
• Ici.
C’est la porte de ma chambre que je lui ouvre, mon premier amant a bien le droit de venir sur ma couche surtout pour me placer à quatre pattes en levrette et de me pilonner de nouveau par la chatte.
Encore un orgasme me déchire deux fois même lorsqu’il passe sa main sous moi et qu’il m’agresse le clitoris.
Clito, levrette si jusqu’à ce jour, j’étais vierge de la pratique de tous ces mots des nombreuses lectures des classiques de l’érotisme, m’évite d’être en plus de mon handicap une nunuche.
• Chéri rempli-moi, laisse partir tes traits de spermes dans mon corps, ou préfères-tu que j’avale tout.
J’y suis prête, déchire-moi le corps, c’est si bon.
Je me fais honte et heureusement qu’aucun enfant ou petit enfant ne compose ma famille, j’aurais honte de me représenter devant eux.
Mais quelle bonne honte surtout que, lorsqu’il s’allonge sur mon lit que, bizarrement, j’ai prévu à deux places étant seul, je lui prends la queue dans ma main aimant la texture très douce du beau morceau que mon amant m’a mis dans la foune faisant enfin de moi une femme.
Dans la main et dans la bouche, car je la suce consciencieusement pour lui redonner comme un sou neuf.
Redonné pas tout de suite, il faut encore que je la fasse redescendre pour qu’il puisse la remettre dans son pantalon, le traitement que ma bouche lui a infligé a redonné sa rigidité.
C’est moi qui prends l’initiative après avoir retiré ma culotte que nos deux étreintes étaient si intenses qu’elle est restée sans nous gêner, je ne vois pas la nuit se terminer, au matin, je l’entraîne dans la baignoire après avoir mis Roméo et Juliette de Berlioz sur ma platine.
Après avoir mangé, j’ai de nouveau envie de son sexe, la veuve a presque cinquante ans à rattraper.
• Doudou arrête d’être gloutonne, même si j’adore, voir ma queue avec ton sang on fait de moi le plus heureux des hommes, mais les pigeons ne seraient pas contents si nous ne venions pas les nourrir.
Il a raison même si j’ignore combien de temps mon nouveau bonheur durera, ce qu’il y a de certain, c’est que je vais lui léguer mon logement pour qu’à ma mort, il ne retrouve pas la rue et chercher un arbre ou se pendre.
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