COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Début de la saison VI (22/26)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Début de la saison VI (22/26)
Le périple se poursuit ainsi que mes turpitudes.
Je viens de me venger de la trahison par SMS de celui que j’avais espéré devenir son épouse à mon corps défendant.
- Vous avez de l’eau, j’ai soif.
À quelle heure arrive-t-on aux Saintes Maries ?
Ce sont les propos que je tiens devant maman, Claire et Nat alors que je sens les trépidations du car roulant vers notre prochaine étape dans notre tournée des plages.
C’est avec la jeune vedette Cecilia que nous la faisons et elle se terminera dans quatre jours sur la plage de Nice devant le Négresco.
À cette occasion, une grande fête aura lieu où nous aurons les honneurs des politiques de la ville avant de partir le lendemain vers nos destins les uns des autres.
Pour ma part, je remets les pieds sur terre repensant à la façon cavalière qu’a eu Daniel, l’homme que j’espérais épouser par un simple SMS scellant notre rupture.
Je suis allongée sur la banquette arrière et j’ai mal partout.
- Passez-lui la cuvette, elle va encore dégueuler.
Isabelle qu’est-ce qui t’a pris d’avoir une boulimie de sexe et d’alcool dans ce club libertin.
Les Saintes-Maries-de-la-mer, c’était hier nous roulons vers la Grande-Motte où nous jouons ce soir.
J’ai des nausées, mais je tiens le choc.
Je sens mon estomac vide et j’ai des courbatures partout.
- C’est Claire qui a appelé Nat à la rescousse.
Elle était dépassée par les événements.
Quand je suis arrivée dans le club où tu étais, après que Nat m’a prévenu à mon tour, tu étais cernée par dix ou douze garçons leur queue à la main qui attendait pour te baiser.
Nat a fait le coup de poing avant de te prendre dans ses bras et de t’emmener à l’extérieur.
Les garçons te baisaient alors qu’un autre te verser du champagne dans ta bouche et partout sur ton corps.
Tu étais une vraie partouze à toi toute seule.
On aurait dit que tu te faisais un gang bang au milieu de tous ces hommes.
Je m’assieds reprenant un peu mes esprits.
La dernière chose dont je me souvienne s’était, certes, le champagne que je demandais pour que l'on me baise et les deux bellâtres qui me prenaient en double pénétration.
Après c’est le trou noir jusqu’à maintenant où je retrouve, maman et mes amies.
- C’est de la faute à Daniel.
- Le fils d’Émilie et de David.
- Pourquoi il a été incorrect avec moi ?
Comment ça !
- Il m’a largué par un SMS, tient mon portable est là regardé.
- Merde, c’est moi qui lui ai donné ton numéro.
- Mon numéro ?
- Oui, j’étais dans un bar non loin de l’hôtel, Nat était en visite chez une vieille copine.
J’ai vu arriver Daniel et Franck dans ce café.
Ils m’ont offert un verre et c’est là qu’il m’a demandé si j’avais ton numéro.
Je l’ai vu s’éloigner avec son portable ignorant qu’il t’envoyait ce SMS.
- Maman dit moi que tu as passé la nuit avec l’homme que j’aimais et qui je l’espérais me déclarerait sa flamme.
- Ma pauvre fille ce genre de garçon fort beau gosse au demeurant nous prennent comme de vulgaires mouchoirs en papier.
Fais-toi à la vie, profite du temps présent comme j’en ai profité en finissant la soirée chez Franck.
Ça y est ça recommence, elle a trouvé moyen de me piquer l’amour de ma vie bien qu’elle ait simplement donné mon numéro de portable avant d’aller se faire tringler.
Pendant que je me faisais baiser par tous les mecs du cap d’Agde, elle se farcissait mon amant et son copain.
- Tu es ma fille, je t’ai eu dans ce genre de soirée où on baise à tout va ignorant qui était ton père.
Je t’ai élevé et comme tu avais du goût pour la musique, je t’ai payé le meilleur professeur de violoncelle de la place de Paris.
C’était mon amant depuis de nombreuses années et quand je suis allée t’écouter pour ton concours final, je dois reconnaître que j’ai eu un petit goût de revenez-y dans son bureau.
- J’ai mal à la tête maman.
- Tient, j’avais prévu que ce serait le cas, un verre d’eau et un paracétamol, tu te sentiras mieux dans quelques minutes.
- Merci Nat, maman vous m’avez menti avec papa quand vous m’avez dit que j’étais votre enfant issu de votre amour.
- C’est à moitié vrai, mais nous avons toujours été d’accord pour éviter les tests ADN.
C’était possible, je vais souvent dans des pays où ils sont légaux.
- À moitié, si mon père était noir, je pourrais être à moitié blanche et à moitié black.
- Je vois que ton humour est de retour malgré la petite tête que tu nous montres.
À moitié car ton père était dans la boulimie de sexe m’ayant apporté un magnifique petit bébé.
Il m’a épousé et t’a reconnu comme ta fille jusqu’à ce qu’il rencontre sa nouvelle compagne et que, d'un commun accord, nous nous séparions.
- Merci maman, d’avoir été franche depuis que j’ai l’âge de comprendre.
- La dernière fois que j’ai vu ton père, on a parlé de te dire la vérité.
Il a eu peur de te perdre et souhaite que nous te le disions quand tu auras 20 ans.
Un autre point dont je désirerais parler pour que tout soi claire entre nous, à Paris ton prof Lucien. Je suis allée dans son bureau et il m’a sauté comme tu l’as très bien compris.
J’ai aussi compris qu’il était ton amant.
Crois-tu que je t’aurais laissé continuer avec lui s’il avait été ton père !
Quand j’étais dans l’orchestre symphonique de Paris, on m’avait demandé d’être jurée au concours que tu as passé.
Je suis devenue sa maîtresse, tu avais cinq ans, avant aucun risque que ce soit ton père.
Quand je suis allée dans son bureau, j’ignorais que Lucien t’avait dépucelé.
J’ai eu une explication directe avec lui, car il aurait dû me prévenir de votre liaison.
Tu as vu que j’étais capable d’un certain emportement quand je sens de l’injustice.
Tu l’as vu à Montalivet quand avec Nat nous avons perdu notre sang-froid.
Il doit encore avoir mes cinq doigts marqués sur sa joue.
Quant à hier, j’étais persuadé que ton histoire avec Daniel était terminée à ce qu’il m’en a dit.
Certes, j’ai passé une nuit comme je les aime, ce serait drôle que tu m’en veuilles.
À ce que nous en a dit Claire, en une soirée tu as eu plus d’amant que moi dans toute ma vie même si j’aime partouzer comme avec Émilie et David.
Étant bisexuelle comme toi à ce que je le sache, en une soirée tu as pris de nombreuses longueurs d'avance.
- Merci maman de ta franchise, je vais appeler papa pour lui dire que je t’aime et que certaines circonstances ont fait que j’ai appris la vérité sur ma naissance.
- Je crois que tu le soulageras, tu sais, les hommes tu apprendras qu’à part leur bite étant le centre du monde, ils sont pleutres devant les choses simples de la vie.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre.
D’un coup même si je suis encore au bord du vomissent, un grand poids vient de sortir de ma poitrine.
Je vais pouvoir rêver à l’homme qui est réellement mon père.
D’un coup l’aventure de maman me revient à l’esprit.
Je suis partie si précipitamment me faire prendre par tous les hommes qui voulaient de moi moyennant une coupe, avais-je bien pris ma contraception.
Mon sac est près de moi, je l’ouvre, merde, j’en ai une de trop.
- Je vois que tu regardes ta plaquette de pilules.
Soit tranquille, je l’avais fait moi-même.
La pilule que tu as de trop, c’est celle d’hier ou tu étais loin d’être en état de la prendre.
Claire m’a donné le nom de la boîte où vous étiez allée.
Je les ai appelés hier soir pendant que tu récupérais, ils se souvenaient très bien de toi, la consommation de champagne dans leur club avait fait un bond en avant lors de cette soirée.
La règle d’or, c’est rester couvert.
Ils ont des surveillants par vidéo et toute la soirée tu as été placé sous surveillance personnelle.
Tous tes partenaires étaient couverts, ils savent que s’ils avaient enfreint cette règle, ils seraient virés dans toutes les boîtes du cap.
Cent pour cent sont des accrocs du sexe et ils auraient trop à perdre.
Je pense que ce soir, tu en feras de même à la Grande-Motte, tu dois récupérer.
Hier Claire t’a très bien remplacé surtout dans ton solo.
Elle en fera de même ce soir, tu resteras à l’hôtel, j’ai déjà prévenu Christian.
Il a marmonné, mais il est d’accord.
Je me retourne et je me remets à dormir jusque devant l’hôtel de cette étape…
Je viens de me venger de la trahison par SMS de celui que j’avais espéré devenir son épouse à mon corps défendant.
- Vous avez de l’eau, j’ai soif.
À quelle heure arrive-t-on aux Saintes Maries ?
Ce sont les propos que je tiens devant maman, Claire et Nat alors que je sens les trépidations du car roulant vers notre prochaine étape dans notre tournée des plages.
C’est avec la jeune vedette Cecilia que nous la faisons et elle se terminera dans quatre jours sur la plage de Nice devant le Négresco.
À cette occasion, une grande fête aura lieu où nous aurons les honneurs des politiques de la ville avant de partir le lendemain vers nos destins les uns des autres.
Pour ma part, je remets les pieds sur terre repensant à la façon cavalière qu’a eu Daniel, l’homme que j’espérais épouser par un simple SMS scellant notre rupture.
Je suis allongée sur la banquette arrière et j’ai mal partout.
- Passez-lui la cuvette, elle va encore dégueuler.
Isabelle qu’est-ce qui t’a pris d’avoir une boulimie de sexe et d’alcool dans ce club libertin.
Les Saintes-Maries-de-la-mer, c’était hier nous roulons vers la Grande-Motte où nous jouons ce soir.
J’ai des nausées, mais je tiens le choc.
Je sens mon estomac vide et j’ai des courbatures partout.
- C’est Claire qui a appelé Nat à la rescousse.
Elle était dépassée par les événements.
Quand je suis arrivée dans le club où tu étais, après que Nat m’a prévenu à mon tour, tu étais cernée par dix ou douze garçons leur queue à la main qui attendait pour te baiser.
Nat a fait le coup de poing avant de te prendre dans ses bras et de t’emmener à l’extérieur.
Les garçons te baisaient alors qu’un autre te verser du champagne dans ta bouche et partout sur ton corps.
Tu étais une vraie partouze à toi toute seule.
On aurait dit que tu te faisais un gang bang au milieu de tous ces hommes.
Je m’assieds reprenant un peu mes esprits.
La dernière chose dont je me souvienne s’était, certes, le champagne que je demandais pour que l'on me baise et les deux bellâtres qui me prenaient en double pénétration.
Après c’est le trou noir jusqu’à maintenant où je retrouve, maman et mes amies.
- C’est de la faute à Daniel.
- Le fils d’Émilie et de David.
- Pourquoi il a été incorrect avec moi ?
Comment ça !
- Il m’a largué par un SMS, tient mon portable est là regardé.
- Merde, c’est moi qui lui ai donné ton numéro.
- Mon numéro ?
- Oui, j’étais dans un bar non loin de l’hôtel, Nat était en visite chez une vieille copine.
J’ai vu arriver Daniel et Franck dans ce café.
Ils m’ont offert un verre et c’est là qu’il m’a demandé si j’avais ton numéro.
Je l’ai vu s’éloigner avec son portable ignorant qu’il t’envoyait ce SMS.
- Maman dit moi que tu as passé la nuit avec l’homme que j’aimais et qui je l’espérais me déclarerait sa flamme.
- Ma pauvre fille ce genre de garçon fort beau gosse au demeurant nous prennent comme de vulgaires mouchoirs en papier.
Fais-toi à la vie, profite du temps présent comme j’en ai profité en finissant la soirée chez Franck.
Ça y est ça recommence, elle a trouvé moyen de me piquer l’amour de ma vie bien qu’elle ait simplement donné mon numéro de portable avant d’aller se faire tringler.
Pendant que je me faisais baiser par tous les mecs du cap d’Agde, elle se farcissait mon amant et son copain.
- Tu es ma fille, je t’ai eu dans ce genre de soirée où on baise à tout va ignorant qui était ton père.
Je t’ai élevé et comme tu avais du goût pour la musique, je t’ai payé le meilleur professeur de violoncelle de la place de Paris.
C’était mon amant depuis de nombreuses années et quand je suis allée t’écouter pour ton concours final, je dois reconnaître que j’ai eu un petit goût de revenez-y dans son bureau.
- J’ai mal à la tête maman.
- Tient, j’avais prévu que ce serait le cas, un verre d’eau et un paracétamol, tu te sentiras mieux dans quelques minutes.
- Merci Nat, maman vous m’avez menti avec papa quand vous m’avez dit que j’étais votre enfant issu de votre amour.
- C’est à moitié vrai, mais nous avons toujours été d’accord pour éviter les tests ADN.
C’était possible, je vais souvent dans des pays où ils sont légaux.
- À moitié, si mon père était noir, je pourrais être à moitié blanche et à moitié black.
- Je vois que ton humour est de retour malgré la petite tête que tu nous montres.
À moitié car ton père était dans la boulimie de sexe m’ayant apporté un magnifique petit bébé.
Il m’a épousé et t’a reconnu comme ta fille jusqu’à ce qu’il rencontre sa nouvelle compagne et que, d'un commun accord, nous nous séparions.
- Merci maman, d’avoir été franche depuis que j’ai l’âge de comprendre.
- La dernière fois que j’ai vu ton père, on a parlé de te dire la vérité.
Il a eu peur de te perdre et souhaite que nous te le disions quand tu auras 20 ans.
Un autre point dont je désirerais parler pour que tout soi claire entre nous, à Paris ton prof Lucien. Je suis allée dans son bureau et il m’a sauté comme tu l’as très bien compris.
J’ai aussi compris qu’il était ton amant.
Crois-tu que je t’aurais laissé continuer avec lui s’il avait été ton père !
Quand j’étais dans l’orchestre symphonique de Paris, on m’avait demandé d’être jurée au concours que tu as passé.
Je suis devenue sa maîtresse, tu avais cinq ans, avant aucun risque que ce soit ton père.
Quand je suis allée dans son bureau, j’ignorais que Lucien t’avait dépucelé.
J’ai eu une explication directe avec lui, car il aurait dû me prévenir de votre liaison.
Tu as vu que j’étais capable d’un certain emportement quand je sens de l’injustice.
Tu l’as vu à Montalivet quand avec Nat nous avons perdu notre sang-froid.
Il doit encore avoir mes cinq doigts marqués sur sa joue.
Quant à hier, j’étais persuadé que ton histoire avec Daniel était terminée à ce qu’il m’en a dit.
Certes, j’ai passé une nuit comme je les aime, ce serait drôle que tu m’en veuilles.
À ce que nous en a dit Claire, en une soirée tu as eu plus d’amant que moi dans toute ma vie même si j’aime partouzer comme avec Émilie et David.
Étant bisexuelle comme toi à ce que je le sache, en une soirée tu as pris de nombreuses longueurs d'avance.
- Merci maman de ta franchise, je vais appeler papa pour lui dire que je t’aime et que certaines circonstances ont fait que j’ai appris la vérité sur ma naissance.
- Je crois que tu le soulageras, tu sais, les hommes tu apprendras qu’à part leur bite étant le centre du monde, ils sont pleutres devant les choses simples de la vie.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre.
D’un coup même si je suis encore au bord du vomissent, un grand poids vient de sortir de ma poitrine.
Je vais pouvoir rêver à l’homme qui est réellement mon père.
D’un coup l’aventure de maman me revient à l’esprit.
Je suis partie si précipitamment me faire prendre par tous les hommes qui voulaient de moi moyennant une coupe, avais-je bien pris ma contraception.
Mon sac est près de moi, je l’ouvre, merde, j’en ai une de trop.
- Je vois que tu regardes ta plaquette de pilules.
Soit tranquille, je l’avais fait moi-même.
La pilule que tu as de trop, c’est celle d’hier ou tu étais loin d’être en état de la prendre.
Claire m’a donné le nom de la boîte où vous étiez allée.
Je les ai appelés hier soir pendant que tu récupérais, ils se souvenaient très bien de toi, la consommation de champagne dans leur club avait fait un bond en avant lors de cette soirée.
La règle d’or, c’est rester couvert.
Ils ont des surveillants par vidéo et toute la soirée tu as été placé sous surveillance personnelle.
Tous tes partenaires étaient couverts, ils savent que s’ils avaient enfreint cette règle, ils seraient virés dans toutes les boîtes du cap.
Cent pour cent sont des accrocs du sexe et ils auraient trop à perdre.
Je pense que ce soir, tu en feras de même à la Grande-Motte, tu dois récupérer.
Hier Claire t’a très bien remplacé surtout dans ton solo.
Elle en fera de même ce soir, tu resteras à l’hôtel, j’ai déjà prévenu Christian.
Il a marmonné, mais il est d’accord.
Je me retourne et je me remets à dormir jusque devant l’hôtel de cette étape…
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