COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison III (10/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison III (10/12)
- Tu te rends compte Isabelle, je viens de recevoir deux coups de téléphone.
Maman m’annonce qu’elle divorce.
Mon beau-père semble avoir une autre femme dans sa vie.
Elle viendra me voir à Dieppe où nous nous arrêtons.
J’ai aussi reçu un coup de fil de Jean-Marc, je pensais qu’il m’annonçait sa venue mais c’était tout autre chose.
Il me laisse aussi me donnant 1 million d’euros et 5 000 chaque mois jusqu’à sa retraite.
Ouf ça a marché sans avoir à tirer des photos d’un appareil où il n’y en a plus.
Le Touquet, triomphe, Dieppe triomphe et où je fais la connaissance de Linda.
Nous allons repartir pour Deauville quand elle sert sa fille sur son cœur.
Elle repart au Brésil finir sa vie bien qu’elle soit encore jeune.
La seule chose qu’elle cache à sa fille c’est le million dont elle oublie de parler.
Il est vrai qu’hier dans ce restaurant où elle nous a appris son départ, il aurait été mal venu que je parle de cet argent.
La tournée se prolonge jusqu'aux plages de Lorient hors de la ville et où la séance de 17 heures est annulée à cause d’une tempête.
Pas de scène à monter le vent est trop fort.
Pour arranger les choses impossibles d’aller à la plage comme nous aimons le faire.
Entretenir notre bronzage et être payé pour ça, quelle belle situation.
En plus on voit du pays.
- Claire que dirais-tu si nous allions voir les hommes ?
- Les hommes ?
- Oui, les bites, les verges, les pieux !
- Et ici à Lorient tu en connais ?
- Oui, deux et non loin de nous depuis le départ même s’il travaille avant que nous nous produisions.
- Tu as déjà eu des rapports avec Luis et Robin les machinistes.
- Luis oui, nous avons couché dans la loge de Cécilia avant notre départ.
Avec l’annulation ils sont de repos aujourd’hui, ils partiront vers Quiberon dans la soirée.
- Je subissais mon beau-père, j’aimerais voir comment les choses se passe avec un homme que nous choisirons.
Robin, oui, il est mignon, j’aime surtout ses gros bras.
Dans son travail c’est nécessaire.
Luis, j’en ai parlé.
Robin homme plus discret dans ses regards mais bel homme d’une trentaine d’années.
Il est en tee-shirt et Jean toute l’année avec des chaussures de sécurité à cause des pièces lourdes qu’il a apprises à monter et démonter seulement à deux.
Ajouté à ça la conduite et vous avez un homme, un vrai, un tatoué.
Ses bras costauds comme je l’ai dit, entièrement recouverts de tatouages.
J’ignore combien et où.
Claire verra bien, même si avec un peu de chance nous pourrons les échanger.
Quand je dis que je deviens maîtresse de nos jeux.
- Oui.
- Vous nous faite entrer.
- Salut les filles, nous profitions de la coupure pour recharger nos batteries.
Attendez, je vais vous aider à monter dans le camion.
C’est Robin qui ouvre, il semble avoir mis son jean en urgence car il est pieds nus avec son seul pantalon dont la braguette est restée ouverte montrant une touffe de poils noirs.
Les tatouages il en a sur le torse, une magnifique sirène.
C’est marrant les tatoués, bien souvent, comme Robin, ils ont de gros muscles et un cœur de midinettes.
C’est la main aux fesses que nous entrons dans leur lieu de vie.
L’arrière pour leur matériel et un petit atelier leur permettant de faire de menues réparations.
J’ai même vu Luis soudé un jour après avoir vérifié une suspension.
À l’avant un nid douillet comme la cabine d’un camping-car.
Un lit pour deux.
Luis est allongé dessus nu sans tatouage lui, mais j’avais déjà vérifié.
Sa bite repose mollement sur sa cuisse.
- Asseyez-vous, on vous offre un verre.
Le verre nous le buvons jusqu’au moment où prestement Luis saute du lit.
Dans le même temps Robin enlève le peut remis.
- Je pense que vous êtes venues pour ça !
Bien sûr, qu’on est là pour sucer les morceaux qu’ils présentent à nos yeux.
Claire a bien été formée par ses amants même le con qui lui a donné assez d’argent pour vivre tranquille une petite partie de sa vie.
Masturbation, fellation semble être une pratique courante dans ses jeux amoureux.
- On change Robin.
- On change.
La bite de Luis bien bandé m’échappe pour mieux finir le travail commencé par Claire sur Robin.
Ils sont nus, nous avons nos robes personnelles.
Quand nous nous sommes préparées, je savais déjà où j’avais envie de me rendre et pour quoi y faire.
Juste une robe et un mini-slip.
Et encore le slip c’est pour éviter d’effaroucher Claire ignorant où elle en est dans ses rapports amoureux.
C’est bon, ils évoluent, elle s’est renversée et lui est déjà en elle.
La culotte, elle est là mais Luis l’a simplement écartée pour aller plus vite.
J’aime mes aises alors je me soulève pour l’ôter.
D’un seul coup, Robin me tire, entrant facilement tellement le sexe mâle me manquait.
Depuis que nous avons piégé le souteneur de ma petite salope se faisant défoncer près de moi criant déjà son plaisir c’est le premier sexe qui m’est offert.
Je lève mes jambes au ciel pour qu’il aille plus loin en moi.
Rapidement je sens que je pars.
Luis baisait bien.
La masse de muscles dans lesquelles je suis, me broie littéralement mais que c’est bon.
Alors moi aussi je jouis jusqu’à son éjaculation, gueulant notre plaisir réciproque.
Nous testons la douche, trop étroite pour la prendre à deux.
Mais dès que Luis en sort, je le reprends en main.
Je veux faire un petit plaisir à ma copine qui est à son tour sous l’eau.
Robin étant passé le premier, je suis au milieu d’eux et alternativement je leur fais une fellation.
Je suis face à la douche, Claire en sort et s’essuie consciencieusement.
- Les garçons, je suis surtout venu pour faire un petit cadeau à mon amie.
J’aimerais que vous vous occupiez d’elle tous les deux.
- Tu veux que.
- Oui, que.
- Mais on va la massacrer, elle est si fluette.
Tu es sûr qu’elle va supporter une double.
- Que voulez-vous dire par double ?
- Euh !
Comment lui dire ce que je mijote pour sa chatte et son cul ?
C’est peut-être car j’aimerais moi-même le faire mais qu’une certaine crainte me retient.
- Nous parlions de double plaisir ma chérie.
- Et c’est quoi le double plaisir ?
Je me redresse libérant les hommes.
- Les garçons montrés à mon amie ce qu’est une double.
- De quoi parles-tu Isabelle ?
- Rien, je disais à nos amis que j’étais un peu fatiguée mais que j’étais certaine que toi tu étais capable d’assurer.
Si tu es d’accord, je vais me contenter de vous regarder.
J’aime regarder les autres faire l’amour.
Luis s’avance, prends Claire dans ses bras et la dirige vers le lit.
J’ignore s’ils sont homos couchant dans le même lit comme nous avec Claire sans oublier Nat et Aline qui sont dans l’hôtel que la production nous a réservé.
- Suce-moi petite salope, regarde, je viens de me nettoyer la queue elle brille comme un sous neuf.
Très littéraire Robin, mais le principal c’est que mon amie se laisse faire et que les deux garçons s’occupent d’elle.
Pendant qu’elle suce Robin, je me suis installée sur l’un des deux tabourets de bar dans le réduit leur servant de cuisine.
Si nous nous sommes logés dans des hôtels où souvent les repas nous sont servis, eux sont autonomes.
Même si le confort est spartiate, voyager comme chez soi doit avoir des avantages simplement les valises qu’il faut refaire tous les jours.
Claire se retrouve sur le lit et Luis vient lui bouffer la chatte.
Je le vois pointé sa langue dans l’anus de ma copine qui semble aimer.
Il est vrai qu’une langue comparée au gode que son beau-père lui enfilait ça doit être plus facile à supporter.
Tient qu’est devenu celui que j’ai fait acheter à Aline et qui a définitivement convaincu le notaire de s’arrêter d’emmerder celle qui vient s’empaler sur le sexe de Robin s’étant couché l’entraînant dans sa luxure.
Une verge dans sa chatte, l’autre se présentant à l’oeillet bien humidifié et j’assiste pour la première fois de ma vie à une jolie petite chienne se faisant prendre en double pénétration.
- Tient bouffe salope, tu crois que tu es la seule à avoir le besoin de jouir.
Celle qui prononce cette phrase, c’est moi.
J’ai sauté de mon tabouret pour sauter sur le lit et écartant mes grandes lèvres, je viens lui mettre mon clito sous les dents.
Je la connais assez pour savoir que même pendant son plaisir, elle saura se maîtriser et que ma petite boule n’aura rien à craindre.
Au moment où les quatre nous nous éclatons une fraction de seconde le frisson qui traverse mon échine me rappelle que pour elle aussi cette jouissance issue des deux verges la perforant m’a fait prendre des risques.
- Merde, Robin, t’as vu l’heure, il y a une demi-heure que nous devrions rouler.
Mesdemoiselles, nous vous aimons bien mais sauf si vous voulez dormir pendant que l’on roule, on se retrouve demain à Quiberon notre prochaine étape.
- Nous viendrions bien, mais nos instruments sont dans notre chambre à l’hôtel.
- Nous nos instruments ont les à toujours à portée de main.
- Il est vrai que vos instruments vous en jouez comme de vrais virtuoses.
Repus de jouissance, nous laissons les garçons pour retourner dans l’hôtel où nous dormons d’un sommeil réparateur.
Demain, de nouvelles aventures vers la pointe de Quiberon…
Maman m’annonce qu’elle divorce.
Mon beau-père semble avoir une autre femme dans sa vie.
Elle viendra me voir à Dieppe où nous nous arrêtons.
J’ai aussi reçu un coup de fil de Jean-Marc, je pensais qu’il m’annonçait sa venue mais c’était tout autre chose.
Il me laisse aussi me donnant 1 million d’euros et 5 000 chaque mois jusqu’à sa retraite.
Ouf ça a marché sans avoir à tirer des photos d’un appareil où il n’y en a plus.
Le Touquet, triomphe, Dieppe triomphe et où je fais la connaissance de Linda.
Nous allons repartir pour Deauville quand elle sert sa fille sur son cœur.
Elle repart au Brésil finir sa vie bien qu’elle soit encore jeune.
La seule chose qu’elle cache à sa fille c’est le million dont elle oublie de parler.
Il est vrai qu’hier dans ce restaurant où elle nous a appris son départ, il aurait été mal venu que je parle de cet argent.
La tournée se prolonge jusqu'aux plages de Lorient hors de la ville et où la séance de 17 heures est annulée à cause d’une tempête.
Pas de scène à monter le vent est trop fort.
Pour arranger les choses impossibles d’aller à la plage comme nous aimons le faire.
Entretenir notre bronzage et être payé pour ça, quelle belle situation.
En plus on voit du pays.
- Claire que dirais-tu si nous allions voir les hommes ?
- Les hommes ?
- Oui, les bites, les verges, les pieux !
- Et ici à Lorient tu en connais ?
- Oui, deux et non loin de nous depuis le départ même s’il travaille avant que nous nous produisions.
- Tu as déjà eu des rapports avec Luis et Robin les machinistes.
- Luis oui, nous avons couché dans la loge de Cécilia avant notre départ.
Avec l’annulation ils sont de repos aujourd’hui, ils partiront vers Quiberon dans la soirée.
- Je subissais mon beau-père, j’aimerais voir comment les choses se passe avec un homme que nous choisirons.
Robin, oui, il est mignon, j’aime surtout ses gros bras.
Dans son travail c’est nécessaire.
Luis, j’en ai parlé.
Robin homme plus discret dans ses regards mais bel homme d’une trentaine d’années.
Il est en tee-shirt et Jean toute l’année avec des chaussures de sécurité à cause des pièces lourdes qu’il a apprises à monter et démonter seulement à deux.
Ajouté à ça la conduite et vous avez un homme, un vrai, un tatoué.
Ses bras costauds comme je l’ai dit, entièrement recouverts de tatouages.
J’ignore combien et où.
Claire verra bien, même si avec un peu de chance nous pourrons les échanger.
Quand je dis que je deviens maîtresse de nos jeux.
- Oui.
- Vous nous faite entrer.
- Salut les filles, nous profitions de la coupure pour recharger nos batteries.
Attendez, je vais vous aider à monter dans le camion.
C’est Robin qui ouvre, il semble avoir mis son jean en urgence car il est pieds nus avec son seul pantalon dont la braguette est restée ouverte montrant une touffe de poils noirs.
Les tatouages il en a sur le torse, une magnifique sirène.
C’est marrant les tatoués, bien souvent, comme Robin, ils ont de gros muscles et un cœur de midinettes.
C’est la main aux fesses que nous entrons dans leur lieu de vie.
L’arrière pour leur matériel et un petit atelier leur permettant de faire de menues réparations.
J’ai même vu Luis soudé un jour après avoir vérifié une suspension.
À l’avant un nid douillet comme la cabine d’un camping-car.
Un lit pour deux.
Luis est allongé dessus nu sans tatouage lui, mais j’avais déjà vérifié.
Sa bite repose mollement sur sa cuisse.
- Asseyez-vous, on vous offre un verre.
Le verre nous le buvons jusqu’au moment où prestement Luis saute du lit.
Dans le même temps Robin enlève le peut remis.
- Je pense que vous êtes venues pour ça !
Bien sûr, qu’on est là pour sucer les morceaux qu’ils présentent à nos yeux.
Claire a bien été formée par ses amants même le con qui lui a donné assez d’argent pour vivre tranquille une petite partie de sa vie.
Masturbation, fellation semble être une pratique courante dans ses jeux amoureux.
- On change Robin.
- On change.
La bite de Luis bien bandé m’échappe pour mieux finir le travail commencé par Claire sur Robin.
Ils sont nus, nous avons nos robes personnelles.
Quand nous nous sommes préparées, je savais déjà où j’avais envie de me rendre et pour quoi y faire.
Juste une robe et un mini-slip.
Et encore le slip c’est pour éviter d’effaroucher Claire ignorant où elle en est dans ses rapports amoureux.
C’est bon, ils évoluent, elle s’est renversée et lui est déjà en elle.
La culotte, elle est là mais Luis l’a simplement écartée pour aller plus vite.
J’aime mes aises alors je me soulève pour l’ôter.
D’un seul coup, Robin me tire, entrant facilement tellement le sexe mâle me manquait.
Depuis que nous avons piégé le souteneur de ma petite salope se faisant défoncer près de moi criant déjà son plaisir c’est le premier sexe qui m’est offert.
Je lève mes jambes au ciel pour qu’il aille plus loin en moi.
Rapidement je sens que je pars.
Luis baisait bien.
La masse de muscles dans lesquelles je suis, me broie littéralement mais que c’est bon.
Alors moi aussi je jouis jusqu’à son éjaculation, gueulant notre plaisir réciproque.
Nous testons la douche, trop étroite pour la prendre à deux.
Mais dès que Luis en sort, je le reprends en main.
Je veux faire un petit plaisir à ma copine qui est à son tour sous l’eau.
Robin étant passé le premier, je suis au milieu d’eux et alternativement je leur fais une fellation.
Je suis face à la douche, Claire en sort et s’essuie consciencieusement.
- Les garçons, je suis surtout venu pour faire un petit cadeau à mon amie.
J’aimerais que vous vous occupiez d’elle tous les deux.
- Tu veux que.
- Oui, que.
- Mais on va la massacrer, elle est si fluette.
Tu es sûr qu’elle va supporter une double.
- Que voulez-vous dire par double ?
- Euh !
Comment lui dire ce que je mijote pour sa chatte et son cul ?
C’est peut-être car j’aimerais moi-même le faire mais qu’une certaine crainte me retient.
- Nous parlions de double plaisir ma chérie.
- Et c’est quoi le double plaisir ?
Je me redresse libérant les hommes.
- Les garçons montrés à mon amie ce qu’est une double.
- De quoi parles-tu Isabelle ?
- Rien, je disais à nos amis que j’étais un peu fatiguée mais que j’étais certaine que toi tu étais capable d’assurer.
Si tu es d’accord, je vais me contenter de vous regarder.
J’aime regarder les autres faire l’amour.
Luis s’avance, prends Claire dans ses bras et la dirige vers le lit.
J’ignore s’ils sont homos couchant dans le même lit comme nous avec Claire sans oublier Nat et Aline qui sont dans l’hôtel que la production nous a réservé.
- Suce-moi petite salope, regarde, je viens de me nettoyer la queue elle brille comme un sous neuf.
Très littéraire Robin, mais le principal c’est que mon amie se laisse faire et que les deux garçons s’occupent d’elle.
Pendant qu’elle suce Robin, je me suis installée sur l’un des deux tabourets de bar dans le réduit leur servant de cuisine.
Si nous nous sommes logés dans des hôtels où souvent les repas nous sont servis, eux sont autonomes.
Même si le confort est spartiate, voyager comme chez soi doit avoir des avantages simplement les valises qu’il faut refaire tous les jours.
Claire se retrouve sur le lit et Luis vient lui bouffer la chatte.
Je le vois pointé sa langue dans l’anus de ma copine qui semble aimer.
Il est vrai qu’une langue comparée au gode que son beau-père lui enfilait ça doit être plus facile à supporter.
Tient qu’est devenu celui que j’ai fait acheter à Aline et qui a définitivement convaincu le notaire de s’arrêter d’emmerder celle qui vient s’empaler sur le sexe de Robin s’étant couché l’entraînant dans sa luxure.
Une verge dans sa chatte, l’autre se présentant à l’oeillet bien humidifié et j’assiste pour la première fois de ma vie à une jolie petite chienne se faisant prendre en double pénétration.
- Tient bouffe salope, tu crois que tu es la seule à avoir le besoin de jouir.
Celle qui prononce cette phrase, c’est moi.
J’ai sauté de mon tabouret pour sauter sur le lit et écartant mes grandes lèvres, je viens lui mettre mon clito sous les dents.
Je la connais assez pour savoir que même pendant son plaisir, elle saura se maîtriser et que ma petite boule n’aura rien à craindre.
Au moment où les quatre nous nous éclatons une fraction de seconde le frisson qui traverse mon échine me rappelle que pour elle aussi cette jouissance issue des deux verges la perforant m’a fait prendre des risques.
- Merde, Robin, t’as vu l’heure, il y a une demi-heure que nous devrions rouler.
Mesdemoiselles, nous vous aimons bien mais sauf si vous voulez dormir pendant que l’on roule, on se retrouve demain à Quiberon notre prochaine étape.
- Nous viendrions bien, mais nos instruments sont dans notre chambre à l’hôtel.
- Nous nos instruments ont les à toujours à portée de main.
- Il est vrai que vos instruments vous en jouez comme de vrais virtuoses.
Repus de jouissance, nous laissons les garçons pour retourner dans l’hôtel où nous dormons d’un sommeil réparateur.
Demain, de nouvelles aventures vers la pointe de Quiberon…
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