COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison VI (23/26) - histoire érotique

Je viens d’émerger de mon comma élitique dans le car où la troupe se dirige vers La Grande-Motte alors que je pensais aller vers les Saintes-Maries-de-la-mer.
C’est Nat qui m’aide à rejoindre notre chambre.

Je prends un bain.
Pardon, elle me donne un bain me passant le savon sur tout mon corps.
Dans ce qui reste de mon brouillard, je comprends qu’elle m’a pris sous son aile et que Claire va dormir avec maman.
C’est drôle de dire maman.
J’avais pris l’habitude de dire « Mère ».
Comment a-t-elle dit, elle est bisexuelle comme moi.
Claire après la fille elle aussi risque d’avoir la maman.
Cette histoire m’a appris qu’il fallait juger sur des faits réels non sur des impressions furtives.

Quand je me réveille, il est presque 17 heures, je me sens en pleine forme.
J’entends les premières notes du concert qui débute.
Je me lève, je fais une toilette de Hamster et je m’habille.
Je suis guidée par la musique quand j’arrive près du podium.
Je suis trop petite, impossible de voir.

- John toi qui est plus grand, elle est là ce soir.
- Merde, encore loupé, il y a la grande chèvre qui a fait un solo de violon et sa copine qui a fait le solo de violoncelle.
Elle a peut-être quitté le groupe en cours de tournée.

Je me marre, je suis à côté d’eux et il me cherche sur scène.

- Bonjour, vous le cherchez !
- Mince, j’ai l’air d’un con, que faite vous ici !
- Un petit ennui de santé m’a fait louper les deux dernières représentations, mais si demain vous êtes à Marseille sur le vieux port, je jouerais mon solo.
Si vous vouliez me voir jouer, il vous fallait arriver plus tôt pour être dans les premiers.
- Tu sais, on est en vacances en camping-car et après le spectacle on est allé faire la fête.

Merde, font-ils partie de mes amants d’un soir.

- Il fallait que je décuite pour prendre le volant.
- Boire ou conduire, il faut choisir.
Voulez-vous voir le spectacle comme personne ?
Suivez moi-même si la grande chèvre, c’est ma maman.

J’ai vu les barrières permettant à Cécilia de s’échapper avec ses boys et Annie.
Un gros bras garde l’entrée.
Par chance, j’ai pris mon badge me laissant libre accès.

- Passez.
- Ils sont avec moi, laissez-les passer.
Suivez-moi.

C’est dans la coulisse que nous arrivons.
Inutile de rentrer, ils verront mieux là où nous sommes, mieux qu’au premier rang.

- Tu sais pour ta mère, on s’excuse, la mienne doit avoir sensiblement le même âge, mais est bien moins foutue.
- Laisse tomber, chaque femme a son secret, il se peut que tu ignores ceux de ta mère.

Le show bat son plein.
Cécilia est magnifique, mais c’est pour moi que ces deux beaux gosses ont fait des kilomètres en bagnole pour me voir jouer.
Une heure pas une minute de plus et je vois, maman me faire signe.
Elle me rejoint son violon en main.
Claire se débat avec Prosper son instrument.

- Ça l’air d’aller mieux, c’est normal après deux jours de cure de sommeil.
As-tu faim ?
Et vous les jeunes je vous invite à dîner.
- Comment refuser une si gentille invitation, on a peu de fric et à midi, on était à deux doigts de manger nos ceintures !
- On passe à l’hôtel pour que je me change, après on y va.

Au plus profond de moi, je crois que c’est Nat que je fuis puisqu’elle veut coucher dans ma chambre à la place de Claire.
En espérant que lorsque nous rentrerons elle dorme.
Restaurant Italien, j’aurais fait ma cure de pizza Marguerita pour de nombreuses années.
À croire que tous les Italiens ont émigré en France ouvrir des restaurants.

- À la vôtre, Isabelle veux-tu une bière !
- Maman, tu sais bien que l’alcool m’est interdit.
- Pablo, avant-hier à Agde, elle a pris une cuite carabinée.
- C’est inutile de dire à Lionel et Luigi que je me suis pris la biture du siècle.

Luigi assis à côté de moi me prend par les épaules, sa main vient me palper le sein.
Bon pour éviter Nat, pourquoi pas ce beau blond mais je me vois mal les ramener dans notre chambre à l’hôtel.

- Venez, on a notre camping-car de l’autre côté de la route, il nous reste un fond de grenadine.

Maman, elle aussi est dans les bras de Lionel.
Elle semble aimer le sex-appeal du jeune homme.
Derrière la table impossible de voir sa main se promène et le peu d’empressement de maman de se défendre.
Quand elle est redescendue de sa chambre, elle était vêtue comme une pousse aux viols même si le viol, elle doit savoir l’anticiper en se donnant en cas d’agression.
Voir maman embrasser à pleine bouche Lionel me montre la cougar qu’elle est.
Nul doute que la main du garçon est sous sa mini étant certaine qu’elle est sortie sans culotte.
Pablo d’origine portugaise est plus réservé il me tient simplement la main.

- Un camping-car super j’ai toujours rêvé d’en visiter un.

Menteuse ou tacticienne avec Hilary tout semble possible pour satisfaire son sexe.
C’est bon, je ferais mieux de me taire après ce que j’ai fait à Agde par dépits amoureux.

Maman en grande dame paye et nous nous dirigeons vers la place où ils ont garé leur baisodrome roulant.
Baiser à la bougie ça doit être sympa.
Ce connard de Daniel quand j’étais chez lui a oublié cette délicatesse.

- Entrez, je vais lancer l’alternateur pour mieux se voir.

Un bruit de moteur se fait entendre et que la lumière soit.
C’est Lionel celui dont a hérité maman qui nous fait visiter.

- Maison pour les vieux en vacances.
Camping-car quatre places.

Il nous fait l’article.

- La table avec banquette pour deux personnes se transformant en un lit deux places.
Hilary regarde, siège conducteur pivotant permettant de faire salon.
Le passager idem, installez-vous mesdames.
Vous êtes face à la télé comme chez vous, mais je pense que tu as d’autres envient que de regarder Naguy avec ses jeunes débiles.
- Mais qui plaît aux vieilles dames comme moi.

C’est le moment où Pedro nous rejoint.
Il sent l’essence.

- Tu t’es foutu du gas-oil partout.
Lave-toi les mains, ces dames attendent.

En prononçant ses mots, il s’agenouille devant maman assise sur le siège conducteur.
Sa mini est assez remontée lui montrant le centre de son intérêt.
Pedro se lave les mains consciencieusement, se les essuie et vient me rejoindre.
Je suis comme maman sur l’autre siège.
Il est plus timide que son copain qui lèche déjà ma maman qui a les mains crispées sur les accoudoirs.

- Viens dans la chambre, je suis un peu pudique.

Le couple à nos côtés a passé la vitesse supérieure.
Ce sont les jambes relevées qu’une fraction de seconde je vois la chatte familiale se faire perforer par la bite que Lionel a sortie de son pantalon tirebouchonner à ses pieds.
Mon futur amant me prend par la main me relevant et après avoir ouvert une porte à glissière me fait entrer dans le lupanar sur roues.
Quelle drôle de situation, j’avais espéré beaucoup de choses dans cette tourner, mais baiser à côté de ma mère qui commence à couiner, ça dépasse tous.
J’ai toujours vu des camping-cars de l’impossible pour baiser avec des lits très hauts et bas de plafond une fois couché.

- Je vois que tu regardes le pieu, modèle pour personnes âgées, lit deux places au sol.
Viens…