COLLECTION JEUNE – VIEUX. J’apprends à soixante ans (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. J’apprends à soixante ans (1/1)
• Madame Raymonde, nous sommes nouveaux dans le quartier, nous avons racheté la maison de madame Georgette qui hélas est morte lors du covid.
C’est son fils Charles qui a vendu et c’est lui qui nous a dit de nous adresser à vous !
Vous avez été professeur de français et vous êtes à la retraite.
Nous avons un fils, Louis qui va passer son bac cette année et nous aimerions que vous lui donniez des cours qui assureraient sa réussite et sa place dans une école d’ingénieurs.
C’est un ami qui tient cette école et me devant bien des choses, m’a promis de lui offrir une chance s’il avait son bac avec mention bien.
• Vous me semblez bien sympathique, mais j’ai soixante ans et je voudrais profiter de ma retraite sans les soucis, si votre fils échoue malgré mon investissement.
• Mais nous avons les moyens de vous indemniser pour les heures de travails que vous serez obligée de lui donner.
Je vais être franche, vous êtes notre dernier recours que nous avons dans le quartier.
• Allez voir ce vieux salopard de père François, trois maisons plus loin, lui aussi a été prof.
• Nous avons été prévenues qu’il avait été interdit de professer après des incidents qui seraient intervenus.
• Certes si vous êtes au courant, c’est pour cela que je l’ai traité de salopard, il est venu me faire des propositions malhonnêtes juste après la mort de Robert mon mari.
• Vous savez, notre fils est un gentil garçon, très bien élevé, du moins nous le pensons.
Vous avez peut-être peur qu’il profite de votre isolement pour vous faire des propositions hors moral, vous vous trompez, à dix-huit ans, nous pensons qu’il est trop timide pour rencontrer une jeune fille.
C’est notre seul fils et nous voudrions pourtant avoir des petits enfants.
• Bon, je veux bien lui consacrer deux heures par semaine jusqu’au bac.
Les samedis après-midi se seraient parfaits, je pourrais même voir pour le prendre pendant trois heures.
Quand pouvez-vous me l’amener pendant une heure, je pourrais voir le travail de perfectionnement qu’il y a à faire ?
• Demain à 14 heures, ça vous ira, quant au émolument voilà ce que nous vous proposons.
Voilà c’est fait, madame Raymonde a accepté, comme je l’ai dit Louis a son âge a du mal à sortir de mes jupes.
Je vais faire une confidence, lorsque j’ai parlé à madame Raymonde de l’ami qui gère l’école où je veux y faire entrer mon fils, je dois dire que c’est plus qu’un ami.
Je vis dans un milieu très bourgeois et j’ai un mari qui a tendance à me délaisser, j’ai trouvé la parade en prenant un amant presque de l’âge de mon fils.
Nous nous donnons rendez-vous dans un hôtel que je finance avec l’argent du cocu, cet amant étant lui-même le fils de ma meilleure copine Arlette qui à ce que je le sais, à elle-même un amant qu’elle me cache.
Chez nous, tout est en façade, si Ruben semble fermer les yeux sur mes agissements dans son dos, c’est car moi aussi je ferme les miens lorsqu’il part quelques jours avec sa secrétaire, elle aussi très jeunes.
• Bonjour madame Raymonde, je suis Louis et je suis le fils de ma maman Clodette, elle m’a dit de venir, car vous voulez voir le travail qu’il me faut faire pour assurer mon bac avec mention.
• C’est toi, Louis, si j’avais su que c’était toi, j’aurais répondu oui tout de suite à ta maman.
• Pourquoi vous me trouvez beau ?
• Oui, non, pardon « oui », vous êtes beau, mais ça c’est secondaire, « non » car si je vous réponds ainsi vous pourriez croire que je vous fais des avances en vous parlant de beauté.
Oui tout de même car des jeunes du quartier dont certains que j’ai eus comme élèves, vous êtes le seul qui m’a toujours salué avec respect, vous méritez une chance que je vous aide pour obtenir votre bac.
Entrez, la porte à droite, c’est mon bureau du moins celui que mon mari s’était installé car il se levait la nuit pour écrire des ouvrages sur « les fourmis à travers les siècles ».
Il a écrit des centaines de pages et de photos sans jamais publier, ils sont là sur cette étagère à pendre la poussière.
Je sais, maman m’a dit que vous étiez veuve, c’est dommage pour une femme encore très appétissante.
• Oh ! Louis quel langage pour un jeune homme que sa maman ma dépeint comme très timide surtout avec les filles !
Bien sûr moi je suis une femme et vous pensez avoir le droit de m’interpeller pensant que vue mon veuvage, un beau gosse m’intéresse.
• J’ignore ce que maman vous a dit, mais moi je sais ce que je veux dans la vie, même si elle a des œillères lorsqu’il s’agit de son fils chéri.
• Tu m’interpelle, que veux tu dire par là, pourquoi à telle des œillères ?
Je me suis assise devant le portable que j’ai appris à me servir depuis la mort de mon mari.
À la mairie, il donne des cours d’informatique avec une prof pour nous apprendre les bases d’une vie sociale informatisée obligatoire au 21ème siècle.
Avant l’arrivée de Louis j’ai placé une deuxième chaise à côté de la mienne, Louis prend place sans que je lui demande.
C’est à ce moment que je prends conscience que je viens de le tutoyer moi qui en quarante ans de carrière, aie toujours vouvoyé mes élèves, car prof de Français, ils avaient déjà un certain âge dès ma première année.
• Maman a des œillères et papa aussi, ils se trompent l’un l’autre avec des jeunes comme moi, mieux, maman a pour amant le fils d’Arlette sa meilleure copine.
C’est Vianney qui me l’a avoué un jour où j’avais des doutes, maman le midi avait parlé de s’absenter, alors que dans un même temps, Vianney m’avait dit avoir un rancard avec une femme mariée.
• Je m’excuse, je vous ai tutoyé, soyez sans crainte, je vais me reprendre, c’était un moment d’égarement.
• J’adore la manière dont tu t’es égarée, ça facilite notre rapprochement, si tu savais pourquoi je suis ici, alors je t’ordonne de continuer.
Me disant cela, Louis me pose sa main sur ma cuisse, ce qui me fait comme une décharge.
• Tu m’ordonnes et dire que ta maman m’avait dit que tu étais timide, quel effronté tu fais à t’attaquer à une femme âgée, de plus veuve !
• C’est mieux de le faire avec une femme ayant ton âge et qui me fait bander, qu’avec Arlette la copine de ma mère qui m’a pris ma virginité sans qu’elle sache que sa copine dépucelait des jeunes comme moi.
J’ai eu les deux bouts du prisme des bourgeoises refoulées, la mère qui m’a appris bien des choses, mais aussi Léontine sa fille sœur de Vianney qu’à mon tour j’ai dépucelé.
Louis me prend la main et la pose sur la bosse de son jean, j’ai peu d’expériences sexuelles.
• Si je suis là et si je suis poli chaque fois que je te vois, c’est car j’ai été bien élevé mais surtout car j’ai flashé sur toi la première fois que je t’ai rencontré.
Ton âge et tes cheveux blancs, tu peux le constater, me fais bander aussi lorsque maman m’a proposé ces cours permettant notre rapprochement j’ai accouru.
Avant que je me reprenne ce discours sur le fantasme de ce jeune homme sur moi me fait fondre, j’oublie tout surtout ce que j’ai promis à Robert sur son lit de mort de rester fidèle à son souvenir jusqu’à ce que ma mort me ramène près de lui.
Lorsque je suis dans les bras de Louis, lui donnant ma bouche autant qu’il me donne la sienne, les plus de quarante ans qui nous séparent sont inexistants, je suis la midinette que j’étais lorsque Robert m’a dépucelé.
Mon dieu, quel engin, lorsqu’il sort sa verge et me la met dans la main.
• Louis, c’est la première fois que j’en ai une en main, Robert a toujours eu un manque de tact avec moi.
Lorsqu’il avait envie, il se frottait à moi dans notre lit la lumière éteinte, je soulevais ma chemise de nuit, il venait sur moi et entrait directement dans mon vagin, que veux-tu que je fasse avec, avec...
• Termine ta phrase tu étais prof de Français, avec ma bite, ma verge, mon chibre, bref ma queue ça tu connais !
Penche-toi et prends-la dans ta bouche, tu as bien entendu parler de fellation, dans les livres que tu as dû lire ?
Mais que m’arrive-t-il, il y a au bas mot un quart d’heure que tu es là et pour un timide, tu te poses là, je vais t’avouer quelque chose, je sais qu’il existe des films pornographiques, mais jamais de ma vie avec Robert nous en avons regardé, encore moins depuis sa mort.
• Si tu es innocente de tout cela, encore milieux je vais t’apprendre et réaliser mon fantasme de te baiser chaque fois que je te voyais.
Voilà comment j’apprends grâce à Louis à sucer une verge et que je me retrouve sur le canapé présent dans le bureau où nous nous trouvons.
• Louis, tu es fou, ce canapé c’est celui où Robert faisait ses vingt minutes de siestes tous les jours, même le dimanche et sur lequel il est mort.
• Il aurait mieux fait de te mettre à quatre pattes comme je te le fais faire et te prendre comme une chienne en levrette, tien, tien...
Une nouvelle fois, il me fait faire une chose impensable pour une femme honorable avec ses cheveux blancs.
Robert simplement en se mettant sur moi, c’était moins de cinq minutes sans que j’aie le temps de jouir, encore moins d’atteindre l’orgasme.
Une demi-heure, je vois la grande pendule que j’avais aidé à l’installer, une demi-heure, si intense qu’après le quatrième orgasme, j’ai arrêté de compter, jusqu’à ce qu’il explose en moi.
Cette demi-heure, s’est répétée chaque fois que Louis venait pour ses cours de perfectionnement.
Nous baisions pendant trois heures et sa mère me payait pour apprendre le kamasoutra.
Louis m’a tout appris, jusqu’à me baiser dans la cuisine une jambe placée sur mon plan de travail.
C’est ainsi que pour la première fois il m’a sodomisé comme il doit le faire maintenant avec sa femme.
J’ai soixante-dix ans aujourd’hui, Louis et Agnès son épouse vive dans la maison du père François partis caresser les anges, comme il le faisait avec ses jeunes élèves.
Agnès est la fille d’une autre bourgeoise de notre ville, femme du maire.
Louis a loupé son bac, peu importe, la succession et le fric de la famille de sa femme lui rapporteront plus que d’être passé par cette école d’ingénieurs.
• Louis entre, je t’attendais, allons sur notre canapé tu vas faire de moi ta salope mon chéri.
Eh ! oui, Louis est marié, mais qui aura à redire lorsqu’il vient régulièrement retrouver celle qui lui a donné des cours particuliers.
Savez-vous toujours ce qu’il se passe derrière les murs de vos voisins, derrière les miens malgré mon âge, j’adore encore découvrir des choses avec mon amant ?
Le seul que j’aurais dans ma vie comme j’ai eu un seul mari.
C’est son fils Charles qui a vendu et c’est lui qui nous a dit de nous adresser à vous !
Vous avez été professeur de français et vous êtes à la retraite.
Nous avons un fils, Louis qui va passer son bac cette année et nous aimerions que vous lui donniez des cours qui assureraient sa réussite et sa place dans une école d’ingénieurs.
C’est un ami qui tient cette école et me devant bien des choses, m’a promis de lui offrir une chance s’il avait son bac avec mention bien.
• Vous me semblez bien sympathique, mais j’ai soixante ans et je voudrais profiter de ma retraite sans les soucis, si votre fils échoue malgré mon investissement.
• Mais nous avons les moyens de vous indemniser pour les heures de travails que vous serez obligée de lui donner.
Je vais être franche, vous êtes notre dernier recours que nous avons dans le quartier.
• Allez voir ce vieux salopard de père François, trois maisons plus loin, lui aussi a été prof.
• Nous avons été prévenues qu’il avait été interdit de professer après des incidents qui seraient intervenus.
• Certes si vous êtes au courant, c’est pour cela que je l’ai traité de salopard, il est venu me faire des propositions malhonnêtes juste après la mort de Robert mon mari.
• Vous savez, notre fils est un gentil garçon, très bien élevé, du moins nous le pensons.
Vous avez peut-être peur qu’il profite de votre isolement pour vous faire des propositions hors moral, vous vous trompez, à dix-huit ans, nous pensons qu’il est trop timide pour rencontrer une jeune fille.
C’est notre seul fils et nous voudrions pourtant avoir des petits enfants.
• Bon, je veux bien lui consacrer deux heures par semaine jusqu’au bac.
Les samedis après-midi se seraient parfaits, je pourrais même voir pour le prendre pendant trois heures.
Quand pouvez-vous me l’amener pendant une heure, je pourrais voir le travail de perfectionnement qu’il y a à faire ?
• Demain à 14 heures, ça vous ira, quant au émolument voilà ce que nous vous proposons.
Voilà c’est fait, madame Raymonde a accepté, comme je l’ai dit Louis a son âge a du mal à sortir de mes jupes.
Je vais faire une confidence, lorsque j’ai parlé à madame Raymonde de l’ami qui gère l’école où je veux y faire entrer mon fils, je dois dire que c’est plus qu’un ami.
Je vis dans un milieu très bourgeois et j’ai un mari qui a tendance à me délaisser, j’ai trouvé la parade en prenant un amant presque de l’âge de mon fils.
Nous nous donnons rendez-vous dans un hôtel que je finance avec l’argent du cocu, cet amant étant lui-même le fils de ma meilleure copine Arlette qui à ce que je le sais, à elle-même un amant qu’elle me cache.
Chez nous, tout est en façade, si Ruben semble fermer les yeux sur mes agissements dans son dos, c’est car moi aussi je ferme les miens lorsqu’il part quelques jours avec sa secrétaire, elle aussi très jeunes.
• Bonjour madame Raymonde, je suis Louis et je suis le fils de ma maman Clodette, elle m’a dit de venir, car vous voulez voir le travail qu’il me faut faire pour assurer mon bac avec mention.
• C’est toi, Louis, si j’avais su que c’était toi, j’aurais répondu oui tout de suite à ta maman.
• Pourquoi vous me trouvez beau ?
• Oui, non, pardon « oui », vous êtes beau, mais ça c’est secondaire, « non » car si je vous réponds ainsi vous pourriez croire que je vous fais des avances en vous parlant de beauté.
Oui tout de même car des jeunes du quartier dont certains que j’ai eus comme élèves, vous êtes le seul qui m’a toujours salué avec respect, vous méritez une chance que je vous aide pour obtenir votre bac.
Entrez, la porte à droite, c’est mon bureau du moins celui que mon mari s’était installé car il se levait la nuit pour écrire des ouvrages sur « les fourmis à travers les siècles ».
Il a écrit des centaines de pages et de photos sans jamais publier, ils sont là sur cette étagère à pendre la poussière.
Je sais, maman m’a dit que vous étiez veuve, c’est dommage pour une femme encore très appétissante.
• Oh ! Louis quel langage pour un jeune homme que sa maman ma dépeint comme très timide surtout avec les filles !
Bien sûr moi je suis une femme et vous pensez avoir le droit de m’interpeller pensant que vue mon veuvage, un beau gosse m’intéresse.
• J’ignore ce que maman vous a dit, mais moi je sais ce que je veux dans la vie, même si elle a des œillères lorsqu’il s’agit de son fils chéri.
• Tu m’interpelle, que veux tu dire par là, pourquoi à telle des œillères ?
Je me suis assise devant le portable que j’ai appris à me servir depuis la mort de mon mari.
À la mairie, il donne des cours d’informatique avec une prof pour nous apprendre les bases d’une vie sociale informatisée obligatoire au 21ème siècle.
Avant l’arrivée de Louis j’ai placé une deuxième chaise à côté de la mienne, Louis prend place sans que je lui demande.
C’est à ce moment que je prends conscience que je viens de le tutoyer moi qui en quarante ans de carrière, aie toujours vouvoyé mes élèves, car prof de Français, ils avaient déjà un certain âge dès ma première année.
• Maman a des œillères et papa aussi, ils se trompent l’un l’autre avec des jeunes comme moi, mieux, maman a pour amant le fils d’Arlette sa meilleure copine.
C’est Vianney qui me l’a avoué un jour où j’avais des doutes, maman le midi avait parlé de s’absenter, alors que dans un même temps, Vianney m’avait dit avoir un rancard avec une femme mariée.
• Je m’excuse, je vous ai tutoyé, soyez sans crainte, je vais me reprendre, c’était un moment d’égarement.
• J’adore la manière dont tu t’es égarée, ça facilite notre rapprochement, si tu savais pourquoi je suis ici, alors je t’ordonne de continuer.
Me disant cela, Louis me pose sa main sur ma cuisse, ce qui me fait comme une décharge.
• Tu m’ordonnes et dire que ta maman m’avait dit que tu étais timide, quel effronté tu fais à t’attaquer à une femme âgée, de plus veuve !
• C’est mieux de le faire avec une femme ayant ton âge et qui me fait bander, qu’avec Arlette la copine de ma mère qui m’a pris ma virginité sans qu’elle sache que sa copine dépucelait des jeunes comme moi.
J’ai eu les deux bouts du prisme des bourgeoises refoulées, la mère qui m’a appris bien des choses, mais aussi Léontine sa fille sœur de Vianney qu’à mon tour j’ai dépucelé.
Louis me prend la main et la pose sur la bosse de son jean, j’ai peu d’expériences sexuelles.
• Si je suis là et si je suis poli chaque fois que je te vois, c’est car j’ai été bien élevé mais surtout car j’ai flashé sur toi la première fois que je t’ai rencontré.
Ton âge et tes cheveux blancs, tu peux le constater, me fais bander aussi lorsque maman m’a proposé ces cours permettant notre rapprochement j’ai accouru.
Avant que je me reprenne ce discours sur le fantasme de ce jeune homme sur moi me fait fondre, j’oublie tout surtout ce que j’ai promis à Robert sur son lit de mort de rester fidèle à son souvenir jusqu’à ce que ma mort me ramène près de lui.
Lorsque je suis dans les bras de Louis, lui donnant ma bouche autant qu’il me donne la sienne, les plus de quarante ans qui nous séparent sont inexistants, je suis la midinette que j’étais lorsque Robert m’a dépucelé.
Mon dieu, quel engin, lorsqu’il sort sa verge et me la met dans la main.
• Louis, c’est la première fois que j’en ai une en main, Robert a toujours eu un manque de tact avec moi.
Lorsqu’il avait envie, il se frottait à moi dans notre lit la lumière éteinte, je soulevais ma chemise de nuit, il venait sur moi et entrait directement dans mon vagin, que veux-tu que je fasse avec, avec...
• Termine ta phrase tu étais prof de Français, avec ma bite, ma verge, mon chibre, bref ma queue ça tu connais !
Penche-toi et prends-la dans ta bouche, tu as bien entendu parler de fellation, dans les livres que tu as dû lire ?
Mais que m’arrive-t-il, il y a au bas mot un quart d’heure que tu es là et pour un timide, tu te poses là, je vais t’avouer quelque chose, je sais qu’il existe des films pornographiques, mais jamais de ma vie avec Robert nous en avons regardé, encore moins depuis sa mort.
• Si tu es innocente de tout cela, encore milieux je vais t’apprendre et réaliser mon fantasme de te baiser chaque fois que je te voyais.
Voilà comment j’apprends grâce à Louis à sucer une verge et que je me retrouve sur le canapé présent dans le bureau où nous nous trouvons.
• Louis, tu es fou, ce canapé c’est celui où Robert faisait ses vingt minutes de siestes tous les jours, même le dimanche et sur lequel il est mort.
• Il aurait mieux fait de te mettre à quatre pattes comme je te le fais faire et te prendre comme une chienne en levrette, tien, tien...
Une nouvelle fois, il me fait faire une chose impensable pour une femme honorable avec ses cheveux blancs.
Robert simplement en se mettant sur moi, c’était moins de cinq minutes sans que j’aie le temps de jouir, encore moins d’atteindre l’orgasme.
Une demi-heure, je vois la grande pendule que j’avais aidé à l’installer, une demi-heure, si intense qu’après le quatrième orgasme, j’ai arrêté de compter, jusqu’à ce qu’il explose en moi.
Cette demi-heure, s’est répétée chaque fois que Louis venait pour ses cours de perfectionnement.
Nous baisions pendant trois heures et sa mère me payait pour apprendre le kamasoutra.
Louis m’a tout appris, jusqu’à me baiser dans la cuisine une jambe placée sur mon plan de travail.
C’est ainsi que pour la première fois il m’a sodomisé comme il doit le faire maintenant avec sa femme.
J’ai soixante-dix ans aujourd’hui, Louis et Agnès son épouse vive dans la maison du père François partis caresser les anges, comme il le faisait avec ses jeunes élèves.
Agnès est la fille d’une autre bourgeoise de notre ville, femme du maire.
Louis a loupé son bac, peu importe, la succession et le fric de la famille de sa femme lui rapporteront plus que d’être passé par cette école d’ingénieurs.
• Louis entre, je t’attendais, allons sur notre canapé tu vas faire de moi ta salope mon chéri.
Eh ! oui, Louis est marié, mais qui aura à redire lorsqu’il vient régulièrement retrouver celle qui lui a donné des cours particuliers.
Savez-vous toujours ce qu’il se passe derrière les murs de vos voisins, derrière les miens malgré mon âge, j’adore encore découvrir des choses avec mon amant ?
Le seul que j’aurais dans ma vie comme j’ai eu un seul mari.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une histoire bandante et originale. Personnellement, j'aurai aimé une description un peu détaillée de la belle (je suppose) Raymonde.
très belle histoire